Nella seduta del 17 luglio 2014, i gruppi di opposizione Alpe, UVP, M5S e PD-SVdA hanno posto un'interpellanza sull'eventuale ricollocazione di personale regionale a favore delle strutture che si occupano dei programmi cofinanziati dai fondi europei per il periodo 2014/2020.

Il Consigliere di Alpe Albert Chatrian ha evidenziato la centralità che assumerà la gestione di questi strumenti di programmazione e di finanziamento nell'ambito dell'azione politico-amministrativa della Regione: «Vista la riduzione delle disponibilità finanziarie a carico del nostro bilancio regionale e la parallela riduzione dei carichi di lavoro del personale regionale, sarebbe opportuno che per questa nuova programmazione si valutasse di assegnare personale regionale alle strutture competenti, invece di ricorrere, come si faceva negli anni passati, all'esternalizzazione delle attività attraverso incarichi e consulenze.»

Le Président de la Région, Augusto Rollandin, a souligné : « Le Gouvernement régional est bien conscient du fait que la capacité administrative des sujets concernés par la mise en œuvre des programmes constitue la condition nécessaire de l’efficience et de l’efficacité. Par ailleurs, pour les nouveaux programmes de la période 2014/2020, la capacité administrative représente une condition préalable qui doit être satisfaite le 31 décembre 2016 au plus tard. A ce propos, au cours du deuxième semestre 2014, chaque programme doit, conformément à la législation européenne, avoir élaboré un système de gestion et de contrôle conforme aux dispositions spécifiques transmises par la Ragioneria generale dello Stato. C’est dans ce cadre que seront définies les procédures d’application et de contrôle (les plus simples possible) et les ressources humaines nécessaires à l’exercice des différentes fonctions. L’on vérifiera si les ressources actuelles correspondent aux besoins et un plan spécifique de renforcement administratif sera défini. Pour pallier le manque de personnel, l’on aura recours, dans la mesure du possible, à la réaffectation de ressources en surplus, qui recevront une formation ad hoc. Pour faire face au manque de ressources constaté dans les structures qui exercent les fonctions d’autorité de gestion, en revanche, le Gouvernement régional a déjà pris des mesures en attribuant à ce problème une priorité spécifique. Pour valoriser certaines compétences précises déjà acquises, l’on envisagera le recrutement, sous contrat à durée indéterminée, du personnel actuellement employé sous contrat à durée déterminée par les structures des autorités de gestion. En ce qui concerne la formation, celle-ci sera conçue comme un outil et un investissement servant à adapter ou renforcer les compétences des ressources humaines. Pour ce qui est des prévisions de recrutement de personnel et du recours aux mandats externes, il sera possible de procéder éventuellement à des recrutements sous contrat à durée déterminée. Il ne sera fait recours aux mandats externes que s’il s’avérerait nécessaire de faire appel à des consultants ou à des collaborateurs professionnels, au titre d’activités strictement liées à l’application des programmes, et ce, même lorsque le recours à des personnes n’appartenant pas à l’Administration est prévu par la loi. Enfin, lesdites ressources relatives à l’assistance technique pourront être utilisées pour l’acquisition de services de soutien à l’application des programmes, par le biais de marchés publics.»

Nella replica, il Consigliere Chatrian si è detto poco soddisfatto della risposta, «perché è stata generica e vaga: avrei gradito sentire che sarà valorizzato e formato il personale interno, anche per risparmiare parecchi soldi e quindi investirli in progetti e programmi attivi. Nella passata programmazione la Regione ha incaricato e assunto per vari motivi personale esterno, impegnando 1,3 milioni di euro: questo non è più sostenibile. E' finita un'epoca. Continueremo comunque a vigilare sulla questione, perché potremmo avere nuove risorse da destinare a nuovi progetti.»

Il Consigliere Elso Gerandin (UVP) ha ribadito «la preoccupazione in merito agli affidi esterni, tenuto conto delle precedenti esperienze. Indipendentemente dalle richieste dell'Unione europea, noi non possiamo continuare a gestire i bandi e i progetti con strutture temporanee, avvalendoci di studi legali esterni.»

MM