Il Vicepresidente del Consiglio Valle, Albert Chatrian (Alpe), ha presentato un'interrogazione relativa alle valutazioni in merito all'andamento della casa da gioco di Saint-Vincent.

Nell'iniziativa vengono evidenziati «i dati relativi ai primi nove mesi del 2012 diffusi da Casinò de la Vallée Spa per quanto riguarda gli introiti dell'attività di gioco che ammontano a 58,1 milioni di euro rispetto ai 72,5 milioni dell'analogo periodo dello scorso anno con un calo del 20 per cento. Nel terzo trimestre 2012 i quattro casinò italiani hanno incassato complessivamente 83.691.105 euro rispetto ai 102.000.856 totalizzati nello stesso periodo del 2012. In termini percentuali, si tratta di una flessione pari al 18 percento. A Campione si è passati dai 26.231.116 euro del terzo trimestre 2011 ai 22.657.308 attuali (meno 13,7 percento), a Sanremo da 18.221.105 a 13.788.850 (meno 24,4 percento), a Saint Vincent da 25.042.599 euro a 18.629.323 (meno 25,7 percento), a Venezia da 32.506.036 euro a 28.615.624 (meno 12 percento). Non si tratta più di 'una naturale contrazione' - così definita dal management della società nella relazione al bilancio 2011 - legata a vari fattori quali la crisi economica e l'incremento del gioco d'azzardo pubblico, ma del consolidarsi di un andamento marcatamente negativo della nostra casa da gioco che rischia di diventare strutturale.»

Dans sa réponse, le Président de la Région, Augusto Rollandin, a affirmé que «à l'heure actuelle, des contraintes considérables affectent l'offre de jeux, de divertissement, de services, de restauration et d'accueil. La disponibilité d'accueil de l'hôtel est réduite de 50%, l'activité du centre des congrès est suspendue et, depuis un certain temps déjà, les travaux effectués dans les salles de jeu conditionnent l'accès des clients, ainsi que le confort des différents locaux. Maintenant, s'il est vrai qu'investir en période de crise peut être avantageux, il n'en reste pas moins que les différentes interventions doivent être réalisées toutes en même temps et sans que la maison de jeu ferme, d'où de sérieux inconvénients pour la clientèle. Cette situation, prévue dans le détail, bien évidemment, conditionne toute l'activité et perdurera jusqu'à fin 2013, au moins, tandis que les premiers retours des interventions effectuées ne seront pas perceptibles avant 2014. Le 30 septembre 2012, le chiffre d'affaires des maisons de jeu italiennes présentait une perte moyenne de 19,7% par rapport à l'année précédente, avec une chute de leur chiffre d'affaires total qui passait de 312 millions d'euros en 2011 à environ 251 millions d'euros cette année. Au 20 octobre dernier, la perte de chiffre d'affaires de notre casino était inférieure à la moyenne, puisqu'elle atteignait 19%.»
«Au cours des trois dernières années, c'est-à-dire durant la période où la nouvelle gestion a mis en œuvre ses premières mesures significatives, le casino de Saint-Vincent a enregistré une perte de 17,4%, un fait pratiquement entièrement dû à l'année 2012. Les pertes de ses concurrents étaient presque deux fois supérieures, avec, pour le casino de Campione -23,42% en euros et -38,91% en francs suisses, pour le casino de Sanremo -36,45%, et pour celui de Venise, -30,68%.»
«Je voudrais rappeler un point important : Casino de la Vallée spa est la seule société gérant un casino italien qui ait dégagé des bénéfices au cours des trois dernières années et dont la situation patrimoniale et financière est absolument saine, même si elle a dû combler le lourd déficit hérité de la société Stv. Je tiens à rappeler que le plan financier de Casino de la Vallée spa prévoit un déficit pour cette année, comme pour la prochaine.»
«Le projet qui a été lancé - et qui comporte un investissement de 70 millions d'euros - représente la réponse la plus concrète à la grave situation d'abandon que connaissaient tant le casino que la structure hôtelière. Il est bien entendu qu'à l'heure où nous parlons, les plans commerciaux du complexe sont encore en phase de définition, ce qui signifie qu'il faudra attendre l'achèvement de tous les travaux de rénovation prévus pour en mesurer les premières retombées, qui ne se vérifieront pas avant 2014.»

Il Vicepresidente Chatrian ha, quindi, replicato che «è difficile in poco tempo affrontare i risultati della casa da gioco. In questo anno il nostro gruppo ha portato l'argomento in quest'aula perché molto preoccupato per i risultati negativi. I primi nove mesi sono terminati e la nostra preoccupazione si è concretizzata. La situazione è gravissima. Non siamo i migliori tra i casinò e i cali nei primi nove mesi sono del 20 per cento, alla faccia della maglia rosa. Sono a rischio i posti di lavoro. Il Presidente ci ha parlato di lavori e di investimenti, ma per andare dove e con quale disegno. Dovete rivedere la riorganizzazione e si è consolidato il trend palesemente negativo. Affrontiamo piuttosto i problemi contrattuali, organizzativi e di governance e non guardiamo in casa d'altri. Ci aspettavamo una risposta chiara e determinata invece si vive alla giornata, 'bluffando' e fingendo che il problema non esiste.»

PL