Info Conseil

Comunicato n° 402 del 26 luglio 2012

Interpellanza su presunti tentativi di estorsione verificatisi in Valle d'Aosta

Adunanza del Consiglio regionale

Il problema legato all'estorsione è stato sollevato dal Consigliere del gruppo Alpe, Alberto Bertin, che con un'interpellanza ha voluto avere notizie circa la conclusione dell'inchiesta su presunti tentativi che si sono verificati in Valle d'Aosta.

In particolare, il Consigliere Bertin ha precisato che «la vicenda in questione, per la quale fra i sette indagati risulta esservi anche, per favoreggiamento aggravato, il titolare delle società Saint-Bernard srl e Edilsud, è collegata all'esecuzione di un'opera di interesse pubblico per la quale la Regione ha disposto l'acquisto di quasi 500 posti auto a servizio del complesso ospedaliero Parini di Aosta. Vorremmo sapere se il Presidente della Regione ha chiesto, o intenda chiedere, ai fini di una attenta valutazione, copia degli atti relativi all'inchiesta appena conclusa da parte della Dda di Torino; se, qualora si verifichi un rinvio a giudizio, ritiene possano sussistere danni morali o d'immagine per la Regione Valle d'Aosta e se in conseguenza ritiene possibile che la stessa si costituisca parte civile nel processo

Dans sa réponse, le Président Rollandin a affirmé que «en l'état actuel des choses, le Gouvernement régional ne peut, à aucun titre, accéder au dossier de ladite enquête. En effet, la Région n'a pas été déclarée partie lésée, c'est-à-dire un sujet porteur de l'intérêt protégé par la loi et lésé par le délit concerné, en l'occurrence pour ce qui est de la tentative d'extorsion, son patrimoine, et pour ce qui est de l'entrave à la justice, l'intention de cette dernière de poursuivre les coupables d'un délit. »
«Quand le inistère public requerra le renvoi en jugement, si cette requête présentera des éléments permettant d'établir que la Région est la victime d'une hypothèse de délit et à la suite de cela, l'Administration régionale sera déclarée partie lésée, il nous sera possible de prendre connaissance du dossier d'enquête et de déterminer alors si la Région a subi des dommages, en vue du remboursement desquels le Gouvernement régional pourrait décider de se constituer partie civile lors du procès, et ce, au cas où le juge de l'audience préliminaire déciderait de renvoyer en jugement les accusés. Il faut toutefois préciser que la constitution en partie civile a pour seul but l'exercice de l'action civile dans le cadre du procès pénal, action qui ne peut être motivée que par l'existence d'un dommage patrimonial - à savoir une perte économique résultant immédiatement et directement du délit - ou d'un dommage non patrimonial, lequel - dans la mesure où il affecte un organisme public - ne saurait bien évidemment pas constituer un préjudice moral, mais bien, éventuellement, une atteinte à l'image, autrement dit au prestige et à l'honorabilité dudit organisme. »

Il Consigliere Bertin ha replicato che «su questa vicenda bisogna acquisire il massimo di informazioni perché è delicata e molto inquietante. Esistono a nostro avviso le possibilità di una richiesta di danni per l'immagine della nostra regione. È una richiesta da valutare sin d'ora perché è un dossier che non deve essere sottovalutato. Auspichiamo un maggior impegno della Regione su questa vicenda


PL