La realizzazione del nono rapporto sulla Qualità regionale dello sviluppo è stata l'oggetto di un'interpellanza presentata dal Consigliere del gruppo Alpe, Giuseppe Cerise.

Nell'illustrazione, il Consigliere Cerise ha detto che «prendiamo atto del nono rapporto Quars (Qualità regionale dello sviluppo), realizzato da 'Sbilanciamoci', che, per quanto riguarda il settore dell'istruzione e della cultura, colloca la nostra Regione al penultimo posto davanti alla Sicilia. Nutriamo, però, forti dubbi sull'attendibilità di tale rapporto, in quanto anche nella graduatoria di altri settori vengono poste in posizioni poco gratificanti regioni normalmente indicate fra le più virtuose. Riteniamo che le valutazioni generiche non supportate da una corretta base scientifica possono disorientare i cittadini fornendo un quadro distorto della realtà, soprattutto in contesti di piccole dimensioni come il nostro.»
Il Consigliere ha, quindi, voluto sapere dall'Assessore competente «se è a conoscenza dei criteri di valutazione utilizzati dallo studio citato e quali iniziative intende assumere per fornire all'esterno della nostra regione una corretta informazione sullo stato di salute del contesto dell'istruzione e della cultura.»

L'Assesseur à l'éducation et à la culture, Laurent Viérin, dans sa réponse a dit: «le rapport 'Come si vive in Italia? Qualità sociale, diritti umani, ambiente, politiche pubbliche regione per regione' est publié depuis 2003 : il s'agit d'un classement des régions fondé sur leur développement environnemental, social, ainsi que de l'importance des dépenses publiques. Ce rapport est réalisé grâce au Quars, indice élaboré de manière autonome par  'Sbilanciamoci!'. Depuis 2006 le Quars prend en compte  des indicateurs regroupés en sept aires: environnement, économie et travail, droits et citoyenneté, instruction et culture, santé, égalité des chances, participation. Je tiens à préciser que l'association dont il est question n'a jamais pris contact avec l'Administration et avant la présentation de l'interpellation nous ne connaissions même pas son existence. »
«Les données négatives  vis-à-vis de la construction scolaire dérivent du rapport de Legambiente sur la qualité de la construction scolaire, des structures et des services qui, réalisé à l'échelon provinciale, n'a pas pris en compte notre région. Aucune  requête d'information n'a été adressée à notre Assessorat. Pour ce qui est de l'instruction tertiaire (licence et doctorat), les données proviennent du Ministère de l'instruction, remontent à 2009 et portent sur toute la population résidente dans notre région, tandis que à propos de l'attractivité universitaire, il faut souligner que les données sont relatives aux étudiants immatriculés hors de la Vallée d'Aoste par rapport aux nombre total d'étudiants valdôtains. Il est bien évident que notre université ne propose qu'un nombre limité de cours, et que nos étudiants doivent donc, dans la plupart des cas, se déplacer hors de la Vallée.  En conclusion, je voudrais souligner que nous sommes toujours disposés à fournir des données à ceux qui nous les demandent, mais que tout organisme, association ou société qui élabore des rapports statistiques, de type privé, est libre de choisir la manière dont il collecte et traite ses données, mais aussi de se poser des questions lorsque certains résultats ne cadrent pas avec les autres. Je rappelle que, depuis 2007, l'Assessorat dispose de sa propre structure d'évaluation du système scolaire pour collecter les données significatives relatives à la qualité du système d'éducation, les traiter par des méthodes statistiques et développer une base statistique, en vue de la rédaction d'un Rapport statistique annuel, mais également de la mise en ligne de certaines données relatives à l'école valdôtaine. »

Nella replica, il Consigliere Cerise ha ribadito che « avevamo seri dubbi sull'attendibilità dello studio. Ciò che ci  interessa è avere un quadro il più realistico possibile sulla situazione valdostana. Ci dispiace vedere dati negativi sulla Valle d'Aosta con discrepanze di analisi, che non rendono giustizia alle risorse messe in campo. Da non enfatizzare, infine, che la maglia rosa in questo rapporto è stata attribuita al settore dell'ambiente, in quanto gli indicatori che hanno determinato questo giudizio positivo non sono certamente riconducibili alle azioni politiche poste in essere dall'Assessorato.»



MM