Info Conseil
Comunicato n° 677 del 17 dicembre 2009
INTERROGAZIONE SUL DIGITALE TERRESTRE
Adunanza del Consiglio regionale
Oggi, giovedì 17 dicembre 2009, il Presidente del Consiglio Valle, Alberto Cerise, ha aperto la seconda giornata di lavori dell'Assemblea.
Il gruppo Vallée d'Aoste Vive/Renouveau ha presentato un'interrogazione relativa alle problematiche connesse al passaggio dal sistema televisivo analogico al digitale terrestre.
Il Consigliere Alberto Bertin ha sottolineato che in parti significative del territorio regionale come la Valle del Gran San Bernardo, la Valdigne, la Valle di Champorcher e altre, l'offerta di canali televisivi è rimasta immutata e il segnale continua ad essere caratterizzato da una certa instabilità e poca qualità.
Ha quindi voluto sapere se il governo regionale è a conoscenza di questa situazione; in quanti Comuni valdostani l'offerta di reti televisive non si è accresciuta con il passaggio al digitale terrestre; se, e in quali tempi, sarà ampliata l'offerta di canali televisivi anche nelle zone che presentato maggiori difficoltà di ricezione.
Dans sa réponse, le Président de la Région, Augusto Rollandin, a dit que « la Fondazione Ugo Bordoni, qui pour le compte du Ministère du développement économique est l'organisme référent et responsable en matière de télécommunications, nous a précisé que, dans le cadre du passage au système numérique, l'élargissement de l'offre en ce qui concerne le nombre de chaînes tient exclusivement aux choix de chaque éditeur de TV qui, sur la base de ses plans commerciaux et de son programme de développement, peut demander au Ministère l'autorisation d'étendre son réseau.
En revanche, aucune disposition n'impose aux émetteurs de couvrir l'ensemble du territoire national. Le seul sujet qui soit tenu de respecter des obligations précises de service en la matière est la RAI, en tant que titulaire d'une concession publique. Aux termes du contrat de service, la RAI n'est d'ailleurs tenue d'assurer qu'à un pourcentage donné de la population - 85% en 2009 - la réception de ses trois chaînes généralistes et non pas celle de toute la nouvelle offre numérique. »
Pour ce qui est de la qualité du signal, le Président Rollandin a précisé que « une certaine instabilité nous a été rapportée. Nous avons donc demandé à la RAI, par l'intermédiaire de la société RAY WAY, d'effectuer un contrôle sur un échantillon de 20 communes valdôtaines, afin de vérifier ce qu'il en était et de pourvoir aux interventions nécessaires.
Quant à l'offre, les données dont nous disposons à l'heure actuelle concernent la RAI. Dans le cadre de sa fonction de service public, la RAI a respecté les obligations prévues par le contrat de service en garantissant que 100% de la population soit en mesure de recevoir les trois chaînes généralistes (RAI1, RAI2 et RAI3) et a étendu à 67% de la population toute sa programmation.
Les communes qui ont bénéficié d'un élargissement de l'offre et qui, à ce jour, reçoivent toute la programmation RAI sont au nombre de 41, tandis que 33 communes n'ont pas encore bénéficié de cet élargissement. »
Enfin, le Président a rappelé que « la Région ne saurait imposer aux chaînes de télévision de couvrir l'ensemble de son territoire. Par ailleurs, compte tenu notamment de l'engagement de l'Administration régionale, ainsi que des efforts déployés par celle-ci pour accompagner les citoyens dans leur passage au numérique terrestre, et au vu des problèmes qui nous ont été signalés, nous avons demandé, dès le 6 octobre dernier, à l'Associazione Italiana per lo Sviluppo del Digitale Televisivo Terrestre - DGTVi, à la RAI, à Mediaset et à La7 d'évaluer, dans des délais raisonnablement courts, la possibilité d'étendre la diffusion de leurs chaînes aux zones qui actuellement ne sont pas encore couvertes. »
Nella replica il Consigliere Bertin ha preso atto "che in 33 comuni la situazione non è cambiata. In questi anni di sperimentazione, si sono alimentate delle aspettative nei cittadini, in particolare negli abitanti delle valli laterali che pensavano di avere le stesse possibilità di quelli del fondo valle. La richiesta ai canali privati arriva tardivamente e doveva essere fatta nei cinque anni che hanno preceduto il passaggio al digitale terrestre."
Tweet
Il gruppo Vallée d'Aoste Vive/Renouveau ha presentato un'interrogazione relativa alle problematiche connesse al passaggio dal sistema televisivo analogico al digitale terrestre.
Il Consigliere Alberto Bertin ha sottolineato che in parti significative del territorio regionale come la Valle del Gran San Bernardo, la Valdigne, la Valle di Champorcher e altre, l'offerta di canali televisivi è rimasta immutata e il segnale continua ad essere caratterizzato da una certa instabilità e poca qualità.
Ha quindi voluto sapere se il governo regionale è a conoscenza di questa situazione; in quanti Comuni valdostani l'offerta di reti televisive non si è accresciuta con il passaggio al digitale terrestre; se, e in quali tempi, sarà ampliata l'offerta di canali televisivi anche nelle zone che presentato maggiori difficoltà di ricezione.
Dans sa réponse, le Président de la Région, Augusto Rollandin, a dit que « la Fondazione Ugo Bordoni, qui pour le compte du Ministère du développement économique est l'organisme référent et responsable en matière de télécommunications, nous a précisé que, dans le cadre du passage au système numérique, l'élargissement de l'offre en ce qui concerne le nombre de chaînes tient exclusivement aux choix de chaque éditeur de TV qui, sur la base de ses plans commerciaux et de son programme de développement, peut demander au Ministère l'autorisation d'étendre son réseau.
En revanche, aucune disposition n'impose aux émetteurs de couvrir l'ensemble du territoire national. Le seul sujet qui soit tenu de respecter des obligations précises de service en la matière est la RAI, en tant que titulaire d'une concession publique. Aux termes du contrat de service, la RAI n'est d'ailleurs tenue d'assurer qu'à un pourcentage donné de la population - 85% en 2009 - la réception de ses trois chaînes généralistes et non pas celle de toute la nouvelle offre numérique. »
Pour ce qui est de la qualité du signal, le Président Rollandin a précisé que « une certaine instabilité nous a été rapportée. Nous avons donc demandé à la RAI, par l'intermédiaire de la société RAY WAY, d'effectuer un contrôle sur un échantillon de 20 communes valdôtaines, afin de vérifier ce qu'il en était et de pourvoir aux interventions nécessaires.
Quant à l'offre, les données dont nous disposons à l'heure actuelle concernent la RAI. Dans le cadre de sa fonction de service public, la RAI a respecté les obligations prévues par le contrat de service en garantissant que 100% de la population soit en mesure de recevoir les trois chaînes généralistes (RAI1, RAI2 et RAI3) et a étendu à 67% de la population toute sa programmation.
Les communes qui ont bénéficié d'un élargissement de l'offre et qui, à ce jour, reçoivent toute la programmation RAI sont au nombre de 41, tandis que 33 communes n'ont pas encore bénéficié de cet élargissement. »
Enfin, le Président a rappelé que « la Région ne saurait imposer aux chaînes de télévision de couvrir l'ensemble de son territoire. Par ailleurs, compte tenu notamment de l'engagement de l'Administration régionale, ainsi que des efforts déployés par celle-ci pour accompagner les citoyens dans leur passage au numérique terrestre, et au vu des problèmes qui nous ont été signalés, nous avons demandé, dès le 6 octobre dernier, à l'Associazione Italiana per lo Sviluppo del Digitale Televisivo Terrestre - DGTVi, à la RAI, à Mediaset et à La7 d'évaluer, dans des délais raisonnablement courts, la possibilité d'étendre la diffusion de leurs chaînes aux zones qui actuellement ne sont pas encore couvertes. »
Nella replica il Consigliere Bertin ha preso atto "che in 33 comuni la situazione non è cambiata. In questi anni di sperimentazione, si sono alimentate delle aspettative nei cittadini, in particolare negli abitanti delle valli laterali che pensavano di avere le stesse possibilità di quelli del fondo valle. La richiesta ai canali privati arriva tardivamente e doveva essere fatta nei cinque anni che hanno preceduto il passaggio al digitale terrestre."