Info Conseil

Comunicato n° 458 del 23 settembre 2009

INTERROGAZIONE A RISPOSTA IMMEDIATA SUL CARCERE DI BRISSOGNE

Adunanza del Consiglio regionale


L'Assemblea ha per la prima volta nella sua storia affrontato l'istituto dell'interrogazione a risposta immediata.

I Consiglieri del gruppo Vallée d'Aoste Vive/Renouveau hanno voluto chiedere approfondimenti in merito alla situazione della casa circondariale di Brissogne.

In particolare, il Consigliere capogruppo Roberto Louvin, constatata l'attuale situazione di sovraffollamento del carcere, ha chiesto al Presidente della Regione quali iniziative abbia posto in essere per far fronte con la massima urgenza all'emergenza in essere.

Dans sa réponse, le Président de la Région, Augusto Rollandin, a communiqué que les conditions de surpopulation de la maison d'arrêt de Brissogne ont été examinées par l'Observatoire chargé de contrôler la mise en œuvre du protocole d'accord passé entre le Ministère de la justice et la Région, le 17 septembre 2008.
« À l'occasion de la dernière réunion, j'ai demandé de m'informer de la situation de cet établissement.
La maison d'arrêt en question, conçue pour accueillir 180 détenus, en héberge actuellement environ 250. Ces conditions de surpopulation sont dues au transfert de détenus provenant d'autres établissements et, notamment, de la prison des Vallette, située à Turin. L'inspecteur Aldo Fabozzi a affirmé qu'il s'est parfois avéré indispensable de placer deux détenus une même cellule. M. Fabozzi nous a également assuré du fait que l'Administration pénitentiaire s'engage à éviter toute saturation de la maison d'arrêt régionale, à ne pas dépasser le plafond de deux personnes par cellule, à réserver un nombre suffisant de ces dernières à une utilisation individuelle et à sauvegarder l'environnement des détenus.
L'Administration régionale, dans le cadre de ses compétences, œuvre pour l'amélioration générale des conditions de vie des détenus, au moyen des ses structures. La prochaine réunion de l'Observatoire susmentionné, qui se tiendra à la fin du mois de novembre 2009, permettra de faire le point sur l'évolution des conditions en question. Il s'agit malheureusement de problèmes auxquels l'Administration régionale ne peut apporter aucune solution, étant donné que cette matière relève de la compétence exclusive du Ministère de la justice et, malheureusement, on n'a pas eu de résultats positifs.
 »

Nella replica, il Consigliere Capogruppo Louvin ha dichiarato che "si è trattato di risposte di circostanza, ma non è questo il ruolo che deve avere il Presidente della Regione nelle sue attribuzioni prefettizie: bisogna puntare i piedi, il Ministero deve sapere che la Valle d'Aosta non accetta questa situazione. Pare che la questione non sia stata presa a cuore: invitiamo a voler portare avanti un'azione molto più incisiva."