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Comunicato n° 167 del 26 marzo 2009

LE CONSEILLER DONZEL A LA COMMISSION DES AFFAIRES PARLEMENTAIRES DE L'APF

Réunie à Fribourg (Suisse) du 23 au 25 mars 2009

Le Conseiller Raimondo Donzel, membre de la section valdôtaine de l'Assemblée parlementaire de la francophonie, a participé aux travaux de la Commission des affaires parlementaires de l'APF, qui a eu lieu à Fribourg (Suisse), les 24 et 25 mars 2009. En prélude à cette réunion, le 23 mars, un séminaire de synthèse visant à définir les critères d'évaluation du caractère démocratique des parlements francophones a été organisé conjointement par l'APF et le Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD).

« Il s'agit d'un thème extrêmement important - explique le Conseiller Donzel - car la Commission des affaires parlementaires, dans le cadre du partenariat avec le PNUD, est en train de travailler à un document sur les bonnes pratiques de la démocratie parlementaire. Un texte, qui sera ensuite envoyé aux sections membres de l'APF pour un nouvel examen, en vue d'une adoption formelle lors de la Session qui se tiendra à Paris les 5 et 6 juillet 2009. Le but étant celui d'arriver, grâce aussi à la collaboration avec les autres associations interparlementaires présentes sur la scène internationale, à une Déclaration universelle sur la démocratie parlementaire, qui devrait être approuvée par l'Assemblée générale des Nations-Unies en 2010. Si nous parviendrons à atteindre cet objectif, ce sera un énorme pas en avant pour la démocratie dans le monde, à l'instar de ce qui s'était produit avec la Déclaration universelle des droits de l'homme. »

« En tant que Vallée d'Aoste - poursuit Raimondo Donzel - nous avons voulu souligner l'importance du rôle des Assemblées législatives régionales, car une nouvelle démocratie mondiale peut seulement passer par un engagement fort et rénové des citoyens et des institutions représentatives de proximité. J'estime que notre adhésion à l'APF nous offre une opportunité extraordinaire de pouvoir participer activement aux processus internationaux, sans quoi nous serions  écartés de la possibilité de contribuer ainsi que de toute décision à l'égard des questions qui ont une retombée sur notre réalité. »