Info Conseil
Comunicato n° 359 del 17 dicembre 2008
COMMUNICATIONS DES PRESIDENTS DU CONSEIL ET DE LA REGION
Séance du Conseil régional
Le Président du Conseil de la Vallée, Alberto Cerise, a ouvert les travaux du Conseil, réunis aujourd'hui, mercredi 17, et demain, jeudi 18 décembre, en annonçant que la Présidence de l'Assemblée a reçu copie du recours en Conseil d'Etat présenté par Giovanni Sandri contre le jugement n° 82/2008 du TAR de la Vallée d'Aoste. Jugement qui avait repoussé le recours de M. Sandri pour obtenir l'annulation des actes du Bureau électoral de la Région portant sur la proclamation des élus à l'occasion des dernières élections régionales.
Le Président de la Région, Augusto Rollandin, dans ses communications, a informé l'Assemblée que vendredi 12 décembre dernier, le Gouvernement régional a exprimé l'accord de l'Administration régionale sur le projet de décret du Président de la République redéfinissant des limites du Parc national du Grand-Paradis.
« Avec l'accord analogue - a dit le Président Rollandin - qui sera bientôt donné par la Région Piémont, ce texte crée les conditions d'une nouvelle définition rapide des limites du Parc et apporte une première réponse concrètes aux attentes des communes et des communautés valdôtaines d'Ayamvilles, Cogne, Introd et Champorcher, conformément à la résolution adoptée par le Conseil régional, le 20 février dernier. »
« Cette nouvelle délimitation a comporté une importante redéfinition des parties du territoire protégé. Globalement, la superficie du Parc a été réduite de 0,07%, mais cette diminution comprend 153 hectares situés dans la commune de Champorcher, qui seront rattachés au Parc du Mont-Avic. Par ailleurs, en vertu du principe de compensation territoriale adopté, des zones de grand intérêt naturel ont été incluses dans le Parc du Grand-Paradis, par contre certaines aires urbanisées et anthropisées présentant un faible intérêt naturel ont été exclues du Parc. En particulier, l'exclusion du village de Sylvenoire (Aymavilles), de la cave de Pont de Laval, village de Buthier, aire pique-nique de Lillaz (Cogne), la redéfinition des frontières au village de Chevrère (Introd) et des confins avec le parc naturel du Mont-Avic (Champorcher). »
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Le Président de la Région, Augusto Rollandin, dans ses communications, a informé l'Assemblée que vendredi 12 décembre dernier, le Gouvernement régional a exprimé l'accord de l'Administration régionale sur le projet de décret du Président de la République redéfinissant des limites du Parc national du Grand-Paradis.
« Avec l'accord analogue - a dit le Président Rollandin - qui sera bientôt donné par la Région Piémont, ce texte crée les conditions d'une nouvelle définition rapide des limites du Parc et apporte une première réponse concrètes aux attentes des communes et des communautés valdôtaines d'Ayamvilles, Cogne, Introd et Champorcher, conformément à la résolution adoptée par le Conseil régional, le 20 février dernier. »
« Cette nouvelle délimitation a comporté une importante redéfinition des parties du territoire protégé. Globalement, la superficie du Parc a été réduite de 0,07%, mais cette diminution comprend 153 hectares situés dans la commune de Champorcher, qui seront rattachés au Parc du Mont-Avic. Par ailleurs, en vertu du principe de compensation territoriale adopté, des zones de grand intérêt naturel ont été incluses dans le Parc du Grand-Paradis, par contre certaines aires urbanisées et anthropisées présentant un faible intérêt naturel ont été exclues du Parc. En particulier, l'exclusion du village de Sylvenoire (Aymavilles), de la cave de Pont de Laval, village de Buthier, aire pique-nique de Lillaz (Cogne), la redéfinition des frontières au village de Chevrère (Introd) et des confins avec le parc naturel du Mont-Avic (Champorcher). »