Info Conseil
Communiqué n° 258 de 14 juillet 2004
INTERPELLANZA SUGLI INTERVENTI STRAORDINARI PER GARANTIRE IDONEE CONDIZIONI DI SICUREZZA ALLA DIGA DI BEAUREGARD
Seduta antimeridiana del Consiglio regionale
Per quanto riguarda le interpellanze, il Consigliere Carlo Curtaz (Arcobaleno Vallée d’Aoste) ha voluto conoscere gli interventi straordinari per garantire idonee condizioni di sicurezza della diga di Beauregard a Valgrisenche.
Per il Consigliere Curtaz “il problema delle condizioni statiche della diga è stato portato all’attenzione dell’opinione pubblica perché il Consiglio Superiore dei lavori pubblici ha sollecitato degli interventi di carattere straordinario ed eccezionale per garantirne la sicurezza. Già nel passato le condizioni della struttura, le ragioni del suo uso limitato erano state oggetto di discussioni nella nostra Regione ed ora è giunto il momento di approfondire la tematica.”
Nella risposta, il Presidente della Regione Carlo Perrin ha detto che “en l’absence de toute communication officielle des bureaux compétents du Registre italien des barrages, la Région – qui est parfaitement consciente des conséquences et des problèmes inhérents à toute déclaration quant à la sécurité d’un barrage – ne dispose d’aucun élément concret lui permettant d’étayer un raisonnement. Depuis près d’une année, les techniciens de la CVA et du RID travaillent pour établir les conditions effectives du lac de retenue et décider des travaux qui permettraient de maintenir le barrage en état, voire en fonction, ne serait-ce que dans les limites de sécurité fixées au cours de ces dernières décennies. En ce moment, les techniciens s’occupent des questions de sécurité liées aux conditions du lit du cours d’eau en aval et à l’utilisation de la retenue pour régulariser les crues. Le Gouvernement valdôtain souligne donc que toute procédure de fermeture du barrage doit nécessairement tenir compte de la situation du reste du territoire et de la sécurité publique en cas de précipitations car, même si elles ne sont pas particulièrement intenses, celles-ci pourraient libérer des volumes d’eau supérieurs à la portée de la Doire de Valgrisenche. L’Administration régionale ne connaît à l’heure actuelle aucun des facteurs de risque retenus par le RID et, donc, par le Conseil supérieur des travaux publics. Pour ce qui est de la retenue d’eau, je peux vous indiquer que la CVA étudie actuellement les limites de son utilisation et donc les interventions éventuelles susceptibles d’en renforcer la sécurité. »
Nella replica, Curtaz ha precisato che “questo tema sarà ancora affrontato nei prossimi mesi perché è importante. Alla ripresa dei lavori, in concomitanza con la consegna degli studi che si stanno facendo, potremo ritornare sull’argomento. Bisognerà cercare delle misure più radicali rispetto al problema. Anche perché in futuro la diga non potrà essere utilizzata neppure ai minimi livelli.”
Tweet
Per il Consigliere Curtaz “il problema delle condizioni statiche della diga è stato portato all’attenzione dell’opinione pubblica perché il Consiglio Superiore dei lavori pubblici ha sollecitato degli interventi di carattere straordinario ed eccezionale per garantirne la sicurezza. Già nel passato le condizioni della struttura, le ragioni del suo uso limitato erano state oggetto di discussioni nella nostra Regione ed ora è giunto il momento di approfondire la tematica.”
Nella risposta, il Presidente della Regione Carlo Perrin ha detto che “en l’absence de toute communication officielle des bureaux compétents du Registre italien des barrages, la Région – qui est parfaitement consciente des conséquences et des problèmes inhérents à toute déclaration quant à la sécurité d’un barrage – ne dispose d’aucun élément concret lui permettant d’étayer un raisonnement. Depuis près d’une année, les techniciens de la CVA et du RID travaillent pour établir les conditions effectives du lac de retenue et décider des travaux qui permettraient de maintenir le barrage en état, voire en fonction, ne serait-ce que dans les limites de sécurité fixées au cours de ces dernières décennies. En ce moment, les techniciens s’occupent des questions de sécurité liées aux conditions du lit du cours d’eau en aval et à l’utilisation de la retenue pour régulariser les crues. Le Gouvernement valdôtain souligne donc que toute procédure de fermeture du barrage doit nécessairement tenir compte de la situation du reste du territoire et de la sécurité publique en cas de précipitations car, même si elles ne sont pas particulièrement intenses, celles-ci pourraient libérer des volumes d’eau supérieurs à la portée de la Doire de Valgrisenche. L’Administration régionale ne connaît à l’heure actuelle aucun des facteurs de risque retenus par le RID et, donc, par le Conseil supérieur des travaux publics. Pour ce qui est de la retenue d’eau, je peux vous indiquer que la CVA étudie actuellement les limites de son utilisation et donc les interventions éventuelles susceptibles d’en renforcer la sécurité. »
Nella replica, Curtaz ha precisato che “questo tema sarà ancora affrontato nei prossimi mesi perché è importante. Alla ripresa dei lavori, in concomitanza con la consegna degli studi che si stanno facendo, potremo ritornare sull’argomento. Bisognerà cercare delle misure più radicali rispetto al problema. Anche perché in futuro la diga non potrà essere utilizzata neppure ai minimi livelli.”