Gli investimenti cofinanziati dal Fondo europeo di sviluppo regionale 2007/2013 a favore della crescita e dell'occupazione sono stati al centro di un'interpellanza posta dai gruppi Alpe e Union Valdôtaine Progressiste all'inizio della seduta di oggi, giovedì 17 luglio 2014.

In particolare, il Consigliere Albert Chatrian (Alpe), nell'illustrare l'iniziativa, ha richiamato i progetti pilota proposti da società a partecipazione regionale e da fondazioni per sapere se questi abbiano svolto il loro compito di modello trasferibile a enti e imprese operanti nel territorio regionale. Ha poi chiesto una valutazione politica sui risultati, in termini di competitività, di questa tipologia di investimenti pubblici e gli intendimenti del Governo regionale per il prossimo periodo al riguardo.

Dans sa réponse, le Président de la Région, Augusto Rollandin, en rappelant les trois projets pilotes financés (installation d’équipements photovoltaïques et micro-éoliens et d’un système d’éclairage innovant et la transformation de la galerie d'artisans dans la zone de l'autoport en bâtiment à énergie zéro; installation d’équipements photovoltaïques et solaires à Villa Cameron à Courmayeur; projet "RêVE-Grand-Paradis" visant à offrir aux touristes des voitures alimentées grâce à l’énergie électrique), a expliqué: «Ces interventions visent à augmenter les informations disponibles et à évaluer les niveaux de prestation des diverses technologies, afin d’établir s’il est possible de les implanter ailleurs et de les diffuser à grande échelle, dans le contexte régional. Les résultats du suivi des données sont utilisés par le COA-Énergie de Finaosta spa pour évaluer l'applicabilité sur le territoire régional et pour comparer les prestations dans des conditions environnementales identiques ; ces informations sont ensuite communiquées à la population dans le cadre d’activités d’information ciblées. A ce propos, les données relatives à l'utilisation des vélos électriques RêVE sont particulièrement intéressantes : 3 152 trajets en 2012 et 6 817 en 2013, avec 66 vélos assistés électriques de qualité. Nous considérons que ces projets ont rempli leur mission et que les résultats acquis ont permis de concevoir des interventions mieux structurées, ainsi que de développer des technologies qui permettront de mieux cibler les objectifs visés dans la programmation 2014/2020. Notons, par ailleurs, que le financement des projets constitue un outil indispensable, visant à définir les axes d’un essor technologique possible, lesquels peuvent également créer des retombées dans le domaine économique. Pour ce qui est des évaluations de nature politique, nous considérons que les résultats de ces projets ont permis de concevoir des actions mieux ciblées. Dans cette optique, diverses actions ont été élaborées, à savoir : la promotion des interventions de requalification énergétique de structures et de bâtiments publics situés sur le territoire régional ; la réalisation de projets visant à diffuser la mobilité douce et les systèmes de transport à faibles émissions de CO2, dans les principaux centres urbains de la région et, notamment, dans la ville d’Aoste et dans son aire périurbaine. C’est pourquoi il n’est pas prévu de financer des projets pilotes du Programme d’investissements pour la croissance et l’emploi 2014/2020.»

Il Consigliere Chatrian ha replicato: «Confermo che la criticità – a livello nazionale come in Valle d'Aosta – è quella di non poter disporre di informazioni sulle ricadute dirette a medio e lungo termine dei progetti. Si sono utilizzate risorse cofinanziate dall'Unione europea come pozzo di San Patrizio per finanziare le Società partecipate? Sarebbe estremamente grave. E' questa la nostra grande paura, tenuto conto che i milioni di euro spesi non hanno veicolato nuove azioni, nuovi progetti e relative ricadute positive e tangibili. Come facciamo a sapere se i benefici per la collettività superano i costi sostenuti? Un conto è il finanziamento diretto, un altro è il volano per il modello valdostano. Pensiamo che la programmazione 2014/2020 purtroppo non sarà molto diversa da quella del periodo 2007/2014, perché non risolverà questi problemi. Come Regione autonoma dovremmo riuscire a trovare dei criteri per valutare ricadute e non spendere malamente i soldi.»

MM