Info Conseil
Communiqué n° 117 de 27 février 2014
Un étudiant valdôtain au Parlement Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles
A Bruxelles du 3 au 7 mars 2014
Marco Carrel, 22 ans, domicilié à Valtournenche et inscrit à la troisième année de Science de l'économie et de la gestion d'entreprise à l'Université de la Vallée d'Aoste, représentera le Conseil régional à la 18e session du Parlement Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles, qui se déroulera à Bruxelles du 3 au 7 mars 2014.
Le Parlement Jeunesse est une simulation parlementaire durant laquelle une centaine de jeunes âgés de 17 à 26 ans investissent le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et se glissent dans la peau d’un parlementaire ou d’un journaliste : ils examinent durant une semaine quatre projets de décret fictifs, de la lecture initiale au vote final, en passant par l’examen en Commission. Les thèmes sur lesquels les jeunes travailleront au cours de cette nouvelle édition concernent la réforme du système carcéral, l'instauration d'une taxe carbone, la protection des mineurs dans l'audiovisuel et l'instauration d'un revenu parental.
L'étudiant valdôtain, qui a été sélectionné par un jury, a rédigé un texte portant sur le thème de l'instauration d'une taxe carbone, en présentant aussi un projet de loi qui sera examiné lors des travaux du Parlement Jeunesse.
L'année dernière, c'était Alessandra Borre de Sarre, étudiante en langues et littératures à l'Université de Turin, qui avait représenté le Conseil de la Vallée à la 17e session du Parlement Jeunesse.
Les Valdôtains peuvent y participer grâce à l'Entente liant le Conseil régional de la Vallée d'Aoste, le Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles et le Parlement de la République et Canton du Jura.
«Cette initiative, à laquelle le Conseil de la Vallée adhère depuis la signature de l'Entente trilatérale en 2000, est un occasion formidable pour nos jeunes – déclare la Présidente de l'Assemblée législative valdôtaine, Emily Rini –. Elle reflète l'envie de nos jeunes de s'engager, de construire un futur par la participation démocratique en tant qu'instrument de développement des droits humains et des communautés.»
SC