Info Conseil

Communiqué n° 85 de 22 février 2012

Interventi sulle comunicazioni del Presidente del Consiglio

Adunanza del Consiglio regionale

Sulle comunicazioni del Presidente del Consiglio Alberto Cerise sono intervenuti le Consigliere Hélène Impérial e Patrizia Morelli.

La Consigliera Hélène Impérial (UV) ha ringraziato il Presidente Cerise «per la cura e la solerzia con cui ha provveduto a fornire con lettera una risposta alle nostre preoccupazioni per gli eventi che si sono verificati in aula nell'ultimo Consiglio. Essere indicati come franchi tiratori era già 'sgradevole' per usare un eufemismo, ma l'indicazione di non votare come 'prova provata' del nostro tradimento ci ha costretto a segnalare il fatto alla Presidenza del Consiglio. Prendiamo atto con soddisfazione che nella sostanza le nostre preoccupazioni sono state accolte dal Presidente e abbiamo ricevuto le scuse formali dal Capogruppo Empereur

La Cheffe de groupe de Alpe, Patrizia Morelli, a commenté que «nous avons appris avec beaucoup d'inquiétude les contenus de la lettre envoyée par les Conseillers Caveri et Impérial au Président du Conseil. C'est une dénonciation sans précédent : le contrôle du vote et l'exercice de pressions sur la liberté d'expression des Conseillers sont des faits très graves. Sous-estimer le problème et le classer comme un simple acte de superficialité, comme l'a fait le Président du Conseil, amoindrit notre Assemblée régionale, qui est la plus haute expression de la représentation du peuple valdôtain. Il est nécessaire de rejeter ces comportements, car ils n'appartiennent pas à la culture valdôtaine et ne doivent appartenir à cette Assemblée. Il faut que le Président nous dise s'il estime devoir signaler ce fait à l'autorité judiciaire. Au cours de la journée nous évaluerons la possibilité de présenter une résolution sur cette question
Quant à la requête présentée par Monsieur Tamone, pour la Conseillère Morelli «ce n'était pas à la Conférence des chefs de groupe  d'entrer dans le fond de la question, mais simplement d'évaluer la régularité et la recevabilité. Nous prenons acte que la majorité de la Conférence l'a rejetée, mais nous estimons qu'il aurait fallu l'admettre, aussi pour ne pas donner l'impression d'avoir une attitude de défense à priori de la 'casta'. La transparence est le principe qui devrait nous inspirer et elle est la réponse que les citoyens attendent.»


SC