Il Consigliere Roberto Louvin (Alpe) ha presentato un'interrogazione relativa alle deleghe conferite ad alcuni componenti del Consiglio di amministrazione di Autoporto Spa, società controllata dalla Regione attraverso Finaosta che gestisce l'area autoportuale tra Pollein et Brissogne.

L'iniziativa intende accertare "se siano state deliberate modificazioni, e di quale esatta natura, alle deleghe rispettivamente affidate all'Amministratore delegato Renato Praduroux e al Presidente Elio Stacchetti; a quanto ammontino e se siano state deliberate modificazioni agli emolumenti percepiti dagli amministratori della società; se la Giunta regionale è stata informata e con quale esito delle intenzioni del Consiglio di Amministrazione della controllata società Autoporto Spa."

Dans sa réponse, le Président de la Région, il Presidente della Regione, Augusto Rollandin, a affirmé que "l'assemblée de la société Autoporto Spa, convoquée le 28 avril dernier pour l'approbation du budget au 31 décembre 2010 et pour le renouvellement des organes sociétaires, a fixé à 2 mille euros bruts annuels l'indemnité attribuée aux conseillers d'administration et à 40 mille euros bruts annuels  omni compréhensifs l'indemnité accordée au Président de la société - poste auquel a été confirmé monsieur Elio Stacchetti - en raison des responsabilités liées à cette charge. Par ailleurs, le 11 mai dernier, le Conseil d'administration a confirmé monsieur Renato Praduroux au poste d'Administrateur délégué de la société et l'indemnité brute annuelle de 20 mille euros au titre des délégations qui lui sont attribuées. En ce qui concerne les délégations attribuées à ces deux charges, aucune autre modification n'a été apportée : les pouvoirs relatifs à l'organisation des affaires ordinaires de la société sont répartis entre le Président et l'Administrateur délégué. »
Le Président a aussi ajouté que « le Gouvernement régional a soutenu ces décisions lors de l'assemblée d'Autoporto Spa, étant donné l'évolution de ladite société et celle de ses activités. En effet, je tiens à signaler que le budget de la société met en évidence une croissance positive des activités puisque l'exercice 2010 enregistre une augmentation tant de la marge opérationnelle brute que du résultat opérationnel. De plus, après une période essentiellement consacrée à la gestion de la zone de l'autoport, la société est, depuis 2010, à nouveau engagée dans d'importantes actions pour mener à terme sa reconversion et son 'infrastructuration', comme par exemple les actions visant à l'installation de la société IN.VA et du Département de l'innovation et de la technologie de l'Administration régionale dans la Tour des communications. Enfin, il faut rappeler que lors des précédents mandats 2002/2004 et 2005/2007, les indemnités versées au Président et à l'Administrateur délégué de la société, exception faite des jetons de présence, s'élevaient globalement à 114 mille et 100 euros, alors que pour le mandat 2011/2013 - de même que pour le mandat 2008/2010 à peine achevé - aucun jeton de présence n'est prévu et les indemnités totales des deux Administrateurs ne s'élèvent plus qu'à 62 mille euros. Ce qui représente la moitié de ce qui était prévu auparavant. »

Nella replica, il Consigliere Louvin ha detto che "il Presidente Rollandin è bravo nell'arrampicata ma questa è troppo ardua anche per lui: è dovuto risalire indietro di 10 anni per rapportarsi con un'epoca che non ha nulla a che vedere con la gestione attuale, che è assolutamente di ordinaria amministrazione. C'era allora in corso un'opera di infrastrutturazione molto importante, con persone che operavano, in quel quadro, con una pienezza di competenze e con un'intensità lavorativa che poco hanno a che spartire con la logica con la quale sono stati designati due esponenti politici dopo le elezioni regionali del 2008. Non vogliamo minimizzare l'importanza del loro ruolo, ma ci sembra una gestione totalmente ordinaria, che non giustifica il raddoppio secco degli emolumenti percepiti dal Presidente - si passa da 20 mila euro a 40 mila -, soprattutto in un momento in cui vigono delle disposizioni che vanno in senso contrario. C'è una grande leggerezza nel consentire ancora lievitazioni di remunerazioni di tipo economico a beneficio degli amministratori delle società controllate. Non ci sono comuni regole a beneficio di tutto il settore e, soprattutto, non c'è l'intenzione di calmierare tutto il comparto. Basta battere i pugni sul tavolo per ottenere?"

SC