Info Conseil

Communiqué n° 342 de 18 décembre 2003

INTERPELLANZA SULLA NOMINA DEL NUOVO RETTORE DELL’UNIVERSITÀ DEGLI STUDI DELLA VALLE D’AOSTA

Seduta pomeridiana del Consiglio regionale

La serie delle interpellanze si è chiusa con la discussione sull’iniziativa presentata dai gruppi Arcobaleno Vallée d’Aoste e La Casa delle Libertà, riguardante le procedure di nomina del nuovo Rettore dell’Università degli studi della Valle d’Aosta.

Nella risposta, il Presidente della Regione Carlo Perrin ha precisato che “La nomination du nouveau recteur était à l’ordre du jour de la réunion du Conseil de l’Université du 12 novembre dernier. Au cours de la discussion, le conseiller Lombardi a exprimé ses doutes quant à la composition du Sénat académique et, par conséquent, quant à la validité des délibérations de cet organe. Il s’agit d’une question très technique, qui concerne la présence ou non de certaines personnes au sein du Sénat académique et, en particulier, celle des présidents des Comités académiques qui dirigent des cours et dont la fonction correspond en fait à celle des futurs présidents des Conseils de cours, ces derniers étant – selon les statuts – membres de droit du Sénat académique. Lors de sa séance du 26 novembre dernier, le Conseil de l’Université a examiné les résultats des travaux du groupe de travail et a décidé d’accepter la thèse soutenue par la majorité dudit groupe, selon lesquels, à l’heure actuelle, le Sénat académique n’est pas au complet puisqu’il ne comprend pas les présidents des Comités académiques et qu’il n’est donc pas juridiquement constitué et en mesure de délibérer valablement. Compte tenu du fait que le délai de prorogation, soit 45 jours, du mandat attribué à l’ancien recteur touchait à sa fin, le Conseil de l’Université a invité le président à nommer par arrêté un nouveau recteur. C’est ainsi que le 28 novembre dernier, j’ai pris un arrêté portant nomination pour quatre ans au poste de recteur de l’Université de la Vallée d’Aoste de M. Pietro Passerin d’Entrèves, professeur extraordinaire de la faculté de Sciences mathématiques, physiques et naturelles de l’Université de Turin. Quant aux projets de développement de l’Université, les mêmes consistent à : renforcer l’offre en matière de formation ; développer l’aspect international de l’activité universitaire ; créer des structures de recherche et les étayer solidement ; accroître la présence de l’Université dans le système socio-économique régional et surtout, bien entendu, dans les secteurs de l’éducation et de la formation. »

Nella replica, la Consigliera Dina Squarzino (Arcobaleno Vallée d’Aoste) ha detto di non essere soddisfatta della risposta. “C’è stata una scelta politica ben precisa sulla nomina del nuovo Rettore. Sui motivi non si dice nulla, mentre il Consiglio di Amministrazione avrebbe potuto riconfermare il precedente Rettore. Le vere motivazioni che hanno portato a questa scelta non ci sono state dette e allora possiamo pensare che non ce ne sono. I motivi forniti dal Presidente che non hanno confermato il precedente Rettore sono solo un paravento per nascondere chissà che cosa. Bisogna pensare che le scelte politiche hanno un’incidenza sull’attività accademica.”

Per il rappresentante della Casa delle Libertà Dario Frassyquesto argomento è delicato e questo precedente è pericoloso. Bisogna rispettare quelle norme che il Consiglio regionale si è dato. L’idea dell’Università statale sarebbe stata migliore perché sarebbe stata più libera. Le vicinanze con la politica possono rendere più vincolate certe scelte. Non mettiamo in discussione i due Rettori, però non accettiamo che non si sia avuto il coraggio di andare fino in fondo. Avreste dovuto difendere la nomina del nuovo Rettore, confermando la scelta politica. E questo non è accettabile. Non è stata sostenuta fino in fondo una ben precisa scelta politica e ci si è nascosti dietro una scelta tecnica.”