Info Conseil
Communiqué n° 257 de 26 mai 2010
QUESTION SUR L'ACTIVITE EXERCEEE PAR LA CRECHE « CASITA MARIPOSA »
Réunion du Conseil régional
La Conseillère du groupe Alpe, Patrizia Morelli, a présenté une question à réponse immédiate sur l'activité exercée par la crèche « Casita Mariposa » dans la commune d'Aoste.
En particulier, la Conseillère, après avoir affirmé d'avoir « appris par la presse qu'une crèche dénommée 'Casita Mariposa' a accueilli jusqu'à 75 enfants, a exercée son activité à Aoste depuis 2006, sans répondre aux critères établis par la loi et sans avoir les autorisations requises », a voulu savoir « comment se justifie une telle situation de défaillance de la part des services régionaux compétents en la matière. »
Dans sa réponse, l'Assesseur à la santé, Albert Lanièce, a dit que « on ne peut pas considérer comme acceptable le fait de parler de 'situation de défaillance' pour un système des services de la petite enfance qui est sans égaux en Italie en ce qui concerne la capacité, la qualité, la fourniture et la proximité aux citoyens. Pour ce qui est de la crèche « Casita Mariposa », elle est enregistrée à la Chambre valdotaine des entreprises à partir du 1er janvier 2009 comme « baby parking ludoteca » et donc elle ne rentre pas dans les services réglementés par la délibération n. 2283 de 2007. »
« Les bureaux régionaux ont reçus seulement dans le mois de septembre 2009 une requête d'insertion aux besoins régionaux en qualité de crèche. Si la structure répond à toutes les exigences de la réglementation, elle peut être autorisée et habilitée à exercer l'activité. Les bureaux régionaux concernés, ayant appris de façon informelle de cette structure, se sont mis à disposition pour supporter les organes d'enquête dans l'exécution de leurs enquêtes. L'Administration régionale n'a aucune autorité pour fermer un service privé qui n'est pas autorisé pour la petite enfance, parce que cette prérogative est du ressort des forces de l'ordre. »
Dans la réplique, la Conseillère Morelli s'est dite insatisfaite de la réponse de l'Assesseur. "Ci risulta che la situazione di questa struttura fosse a conoscenza dei servizi del suo Assessorato già da molto tempo e che fosse stata segnalata l'irregolarità già al suo predecessore. Crediamo di interpretare lo sgomento e la preoccupazione dei cittadini e dei genitori che hanno appreso la notizia dai giornali. Senza voler criminalizzare nessuno, ci auguriamo che la situazione e le responsabilità eventuali siano chiarite al più presto, a sostegno della credibilità dei servizi che la nostra Regione vanta nei confronti dei bambini."
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En particulier, la Conseillère, après avoir affirmé d'avoir « appris par la presse qu'une crèche dénommée 'Casita Mariposa' a accueilli jusqu'à 75 enfants, a exercée son activité à Aoste depuis 2006, sans répondre aux critères établis par la loi et sans avoir les autorisations requises », a voulu savoir « comment se justifie une telle situation de défaillance de la part des services régionaux compétents en la matière. »
Dans sa réponse, l'Assesseur à la santé, Albert Lanièce, a dit que « on ne peut pas considérer comme acceptable le fait de parler de 'situation de défaillance' pour un système des services de la petite enfance qui est sans égaux en Italie en ce qui concerne la capacité, la qualité, la fourniture et la proximité aux citoyens. Pour ce qui est de la crèche « Casita Mariposa », elle est enregistrée à la Chambre valdotaine des entreprises à partir du 1er janvier 2009 comme « baby parking ludoteca » et donc elle ne rentre pas dans les services réglementés par la délibération n. 2283 de 2007. »
« Les bureaux régionaux ont reçus seulement dans le mois de septembre 2009 une requête d'insertion aux besoins régionaux en qualité de crèche. Si la structure répond à toutes les exigences de la réglementation, elle peut être autorisée et habilitée à exercer l'activité. Les bureaux régionaux concernés, ayant appris de façon informelle de cette structure, se sont mis à disposition pour supporter les organes d'enquête dans l'exécution de leurs enquêtes. L'Administration régionale n'a aucune autorité pour fermer un service privé qui n'est pas autorisé pour la petite enfance, parce que cette prérogative est du ressort des forces de l'ordre. »
Dans la réplique, la Conseillère Morelli s'est dite insatisfaite de la réponse de l'Assesseur. "Ci risulta che la situazione di questa struttura fosse a conoscenza dei servizi del suo Assessorato già da molto tempo e che fosse stata segnalata l'irregolarità già al suo predecessore. Crediamo di interpretare lo sgomento e la preoccupazione dei cittadini e dei genitori che hanno appreso la notizia dai giornali. Senza voler criminalizzare nessuno, ci auguriamo che la situazione e le responsabilità eventuali siano chiarite al più presto, a sostegno della credibilità dei servizi che la nostra Regione vanta nei confronti dei bambini."