Il Vicepresidente del Consiglio Valle, André Lanièce, ha aperto i lavori dell'Assemblea regionale, convocata per oggi, mercoledì 10, e domani, giovedì 11 marzo 2010.

Il Vicepresidente Lanièce, nello scusare l'assenza del Presidente Alberto Cerise, impegnato fuori Valle per una serie di incontri istituzionali, ha comunicato che ieri, martedì 9 marzo, è stata depositata alla Presidenza del Consiglio, una petizione popolare, sottoscritta da 528 firmatari, contro la realizzazione di centrali idroelettriche nel vallone di Verney, nel territorio comunale di La Thuile.
"L'iniziativa - ha detto Lanièce - sarà prossimamente esaminata dall'Ufficio di Presidenza del Consiglio ai fini della sua ammissibilità e dell'assegnazione alla Commissione consiliare competente."

Il Vicepresidente ha poi annunciato che è pervenuta questa mattina la comunicazione del cambio di denominazione del gruppo consiliare di Vallée d'Aoste Vive/Renouveau in ALPE.

Le Chef de groupe Roberto Louvin a pris la parole en soulignant que « le pas qui vient d'être franchi aujourd'hui, par la naissance de l'ALPE, marque à nos yeux une étape capitale dans le renforcement de notre aire politique du point de vue de sa capacité de répondre à l'attente des citoyens d'un fort mouvement autonomiste, écologiste et progressiste tel que nous le sommes aujourd'hui. Il ne s'agit donc pas d'un simple accord organisationnel ou d'un pacte fédératif, mais de la naissance d'un sujet politique qui saura, telle est notre ambition, féconder mutuellement  les cultures politiques originaires, autonomiste, écologiste et progressiste qui en sont à l'origine pour dégager, dans une perspective nouvelle et originale, des capacités renouvelées d'interprétation de la société valdôtaine et de construction d'un avenir meilleur pour notre Vallée, aujourd'hui marquée par une crise économique, sociale et identitaire majeure. »
Il a aussi ajouté que « notre groupe, qui adhère entièrement et avec beaucoup de conviction au projet politique de l'ALPE, a été jusqu'à présent le deuxième groupe du Conseil seulement en vertu du nombre de ses composants du fait d'une liste électorale commune; il devient, à ce jour, aussi l'expression de la deuxième force politique de la Région, ce qui implique un responsabilité accrue dans l'expression d'un projet de gouvernement alternatif à celui qui est manifesté par la force de majorité relative. »
« Nous espérons d'ailleurs - a-t-il conclu - que l'on sache, de la part de tous les partis, démentir dans les faits la résolution, qui a pourtant été aussi exprimée en ces jours du même côté, d'interdire tout contact et dialogue politique avec notre mouvement dès les prochaines consultations électorales communales. »