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Communiqué n° 366 de 8 juillet 2009

5e SESSION DU PARLEMENT FRANCOPHONE DES JEUNES

Les travaux se sont tenus du 4 au 6 juillet 2009, à Paris

La 5e Session du Parlement francophone des jeunes (PFJ), qui a eu lieu du 4 au 6 juillet 2009, dans les locaux du Sénat français, à Paris, en marge de la 35e Session de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie, a réuni une soixantaine de jeunes de l'espace francophone.

Le Conseil de la Vallée était représenté par deux étudiants universitaires, qui avaient été sélectionnés à la suite d'un concours lancé par l'Assemblée régionale au mois de février dernier: Monica Meynet de Valtournenche, étudiante en économie et management des administrations publiques et des institutions internationales à l'Université Bocconi de Milan, et Stefano Crétier de Saint-Vincent, étudiant en biotechnologies et droit du vivant à l'Université de Genève.

Les deux jeunes valdôtains, qui, à l'occasion de la sélection, avaient présenté deux textes sur le même thème, à savoir « la crise alimentaire, la crise financière, la vie chère, le pouvoir d'achat : les conséquences sociales sur le jeunesse francophone », ont participé aux travaux de la Commission de la coopération et du développement : Monica Meynet en a été élue Vice-Présidente et Stefano Crétier rapporteur adjoint. Ce thème était aussi l'argument au coeur des discussions de la session plénière de l'APF.

Les autres sujets portaient sur les enfants soldats, sur les jeunes et les partis politiques ainsi que sur le travail des enfants.

Un véritable exercice de simulation parlementaire, le PFJ  avait pour objectif l'adoption de quatre textes (un par commission) qui ont été ensuite présentés aux parlementaires, lors d'une séance conjointe à la fin des travaux de la 35e Session, et qui seront soumis à l'attention du Sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Francophonie.

Les mots de Monica Meynet et de Stefano Crétier : « Le PFJ est un Parlement où la promotion des valeurs de la démocratie et l'esprit de solidarité et de fraternité, préalable indispensable à une vraie politique de coopération cohérente et efficace, sont une réalité. Une expérience très enrichissante qui nous a permis de rentrer en contact avec des jeunes de notre âge, avec les mêmes aspirations mais avec des situations culturelles et de vie tout à fait différentes de la nôtre. »