Oggetto del Consiglio n. 317 del 20 novembre 1967 - Resoconto
OGGETTO N. 317/67 - (Varia) - Proroga delle attribuzioni e dell'attività del Consiglio regionale. (Reiezione di un ordine del giorno - Approvazione di altro ordine del giorno)
Montesano (P.S.D.I.) - Scusa Bordon, c'è il Consigliere Andrione che ha chiesto la parola.
Andrione (U.V.) - Comme nous nous trouvons à discuter d'une loi et sans répéter tout ce qu'on a dit ce matin, je profiterais de cette occasion, c'est-à-dire du fait qu'on discute une loi, pour rappeler encore une fois le problème de la compétence législative du Conseil en relation aux dates de son échéance.
Pour cela je prierais Monsieur Montesano de... je donne lecture de cet ordre du jour et je prierais Monsieur Gal d'en porter une copie à Monsieur Bionaz et à Monsieur Montesano, et sans perdre du temps, simplement le mettre en votation comme nous croyons qu'il s'agit d'une question d'importance fondamentale pour les travaux du Conseil.
Alors: "Le Conseil Régional, attendu que le mandat de quatre ans est échu; attendu que la date des prochaines élections régionales n'est pas encore fixée et que de toute manière elle ne sera pas fixée avant le printemps prochain; attendu qu'une vacance législative de plusieurs mois paraît absolument excessive et préjudiciable aux intérêts de la population valdôtaine;
rappelle
l'article 61 de la Constitution qui prévoit de droit la prorogation des chambres échus jusqu'à leur substitution par de nouvelles chambre;
réaffirme
la totale compétence du Conseil dans toutes les matières et en particulier en matière de droit administratif jusque à la convocation des comices électoraux."
Comme la discussion a eu lieu ce matin, je ne répéterai pas les arguments qu'ont déjà été illustrés, et je prierais dans la mesure du possible d'arriver tout de suite à la votation de cet ordre du jour.
Montesano (P.S.D.I.) - La discussione su questo ordine del giorno, che è stato presentato in occasione dell'esame del disegno di legge recante provvedimenti in variazione al bilancio.
Chi chiede la parola? Germano...
Germano (P.C.I.) - Noi non vorremmo neanche far perdere tempo a fare una discussione, siamo d'accordo su questo ordine del giorno.
Montesano (P.S.D.I.) - No, ma siccome non tutti hanno avuto la copia dell'ordine del giorno.... i Capigruppo hanno avuto tutti la copia dell'ordine del giorno? (Andrione: ...il Capogruppo della DC era Berthet, io adesso non so...) ...Consigliere Chamonin, Pedrini, Cusumano avete avuto l'ordine del giorno?
(Discussione generale)
Allora dò il tempo necessario affinché i Capigruppo leggano questo ordine del giorno e poi passiamo alla proposta.
Bionaz (D.C.) - Monsieur Andrione, en tout cas il y a une certaine inexactitude dans la première ligne, que le mandat électoral de 4 ans est échu. On ne peut pas être d'accord, puisque l'échéance est au 25, on a toujours dit que l'échéance est au 25, alors ce n'est pas encore échu.
Deuxièmement, je me demande: est-ce que nous voulons rejoindre le but de prolonger la validité de nos délibérations, oui ou non? Si nous voulons rejoindre ce but, je pense que cet ordre du jour ne nous aide pas du tout. Je vous ai déjà exprimé mon idée et si nous voulons rejoindre ce but, je crois que ça doit être fait avec une certaine, avec un certain accord préalable, de façon que nous n'avons pas des entraves. Et je me permets de vous dire que mettre les organes constitutionnels devant une prise de position, n'est-ce pas, qui en tout cas n'a pas besoin d'être réaffirmée.
Par exemple "réaffirme la totale compétence du Conseil dans toutes les matières", pourquoi nous devons le dire? Pour nous c'est pacifique ça et en particulier en matière de pouvoir législatif nous en avons discuté ce matin! Je dis, si nous voulons rejoindre le but, à mon avis, et je vous assure que ce but sépare aussi de mon opinion, je vous l'ai dit, je pense, que vous croyez dans ma franchise. On dit toujours que j'ai des dessins malicieux, comme disait ce matin Monsieur Caveri; en tout cas la malice n'y entre pas du tout, en tout cas si malice peut y entrer c'est dans le sens de convaincre quelqu'un à nous laisser continuer nos travaux, voilà.
Alors je dirai: ceci à mon avis ne nous sert pas. Au contraire, peut-être une manière pour pouvoir obtenir un certain "irrigidimento", ce n'est pas sur ma langue la traduction du mot, c'est "irrigidimento". Alors je voudrais éviter ceci et je voudrais dire, en toute franchise, j'estime que cet ordre du jour ne devrait pas être accepté vraiment dans le but de ne pas rendre impossible et de ne pas préjudicier l'acceptation de son contenu. Voilà ce que je voulais dire.
Andrione (U.V.) - Deux mots seulement pour répondre.
Évidemment cet ordre du jour n'est pas rigide si vous croyez d'y apporter des modifications, nous pouvons en discuter.
Deuxième chose: ce que je voulais dire au fond, je me permets de citer en latin, comme ce matin vous avez fait, quod abundat non vitiat, une réaffirmation de principe n'a vraiment pas le pouvoir de nous mettre dans une position difficile.
Ce que vous dites, et je peux vous donner acte de votre franchise, ce que vous dites, c'est-à-dire la possibilité d'un raidissement de la part de vos personnes, désormais existe déjà. Cet ordre du jour a une signification à l'intérieur du Conseil et si vous voulez a une signification particulière pour la minorité, dans le sens que nous voulons voir cette Junte, tout le monde, engagé dans une question de principe vis-à-vis du problème du pouvoir législatif du Conseil régional. Comme c'est un acte intérieur du Conseil, ce que cet ordre du jour deviendra est à part. Je comprends que vous poussiez être préoccupé de ne pas aller chercher noise, comme on dit, mais ce n'est pas là notre but. Ce que nous vous demandons c'est, d'homme à homme, votre engagement de faire cette lutte en matière de pouvoir législatif. Et pour cela nous avons besoin que vous fassiez ce petit geste, cet acte, avec les corrections que vous voulez apporter et tout le reste, c'est que l'ordre du jour est voté à l'unanimité. Un point, c'est tout, je ne prends plus la parole, moi j'ai fini.
Germano (P.C.I.) - Per me la prima riga si può anche togliere, l'ordine del giorno scorre benissimo senza quella prima riga. Però noi, oltre alle questioni di principio che condividiamo del Consigliere Andrione, vogliamo dare anche una garanzia al personale, la cui soluzione dei problemi non è compresa in quest'ordine del giorno, che non saranno lasciati lì e continueremo e che i loro problemi, nei quindici giorni, nei venti giorni, nel mese che sarà necessario, saranno anche risolti.
Quindi questione di principio, come giustamente ha detto Andrione e questione anche di una determinata garanzia del personale regionale che aspetta da anni, anni e anni e non ha ancora risolto i suoi problemi.
Bionaz (D.C.) - Monsieur Andrione, l'engagement de faire tout le nécessaire et tout la possible dans ce sens, je vous le donne.
Mais je vous répète, je ne veux pas partager, je dirais, la tactique, je ne la partage pas.
E al Signor Germano dirò che io credo che possiamo arrivare anche al punto che mi interessa sul personale. La preoccupazione del personale è nostra quanto può essere sua, questo certamente. Ora se noi faremo tutto il possibile per far procrastinare o per riaffermare la validità del funzionamento del Consiglio anche dopo il 25, questo sarà tanto di acquisito. Però se noi vogliamo questo ordine del giorno, in cinque o sei giorni lo esauriamo; lei dice "non sono d'accordo". Io vi dico che, se vogliamo, possiamo anche approfondire tutta la questione del personale e la esauriamo. (Voce di Germano) ...Ma sì, c'è all'ordine del giorno, come? C'è tutto, c'è tutto. C'è il tempo materiale, abbiamo sei giorni, 20, 21, 22, 23, 24 e 25; in questi sei giorni possiamo esaurire tutto.
Abbiamo bisogno di lavorare ancora, non solo per quello che sta scritto qui, ma anche per altri provvedimenti, anche per altri provvedimenti e io vi assicuro che il mio impegno per raggiungere questo scopo lo avrete e lo prometto qui sul mio onore davanti al Consiglio, farò di tutto ed è per questo che mi preoccupo di non, diciamo, creare una certa opposizione di fronte a certi organi, proprio per raggiungere questo scopo. Io più di questo non vi posso dire, ma sul mio impegno formale e sostanziale e, diremmo, di fare tutto il possibile per raggiungere questo scopo io ve lo prometto, e non ho delle ragioni per ritenere che, insomma, non si possa raggiungere.
Pedrini (P.L.I.) - Io chiedo una sospensiva di cinque-dieci minuti per vedere con più comodo il problema.
Montesano (P.S.D.I.) - Ora, si può anche sospendere, accogliere questa proposta del Consigliere Pedrini per vedere se, dato lo scopo che questo ordine del giorno, così come è stato presentato, oppure variato, possa essere accolto dall'unanimità del Consiglio. Io propongo al Consiglio stesso una sospensione di cinque minuti, dieci minuti al massimo per l'esame da parte dei Capigruppo e di chi vuol intervenire in questa riunione per l'esame dell'ordine del giorno.
Bionaz (D.C.) - Io mi rendo benissimo conto su quello che ha detto Andrione, che la minoranza vorrebbe proporlo ad ogni costo, io mi rendo conto, non mi stupisco mica e non mi scandalizzo per nulla, però se vogliamo raggiungere lo scopo, la tattica mi sembra che non sia quella. E perciò, per quanto mi riguarda, adesso sentiremo anche i colleghi in questi cinque-dieci minuti, per quanto mi riguarda, non ritengo che sia quella la strada migliore.
Chamonin (U.V.) - Non so se forse si potrebbe trovare una soluzione in questo senso: io proporrei questo emendamento: "Le Conseil régional, attendu que la date des prochaines éléctions régionales n'est pas encore fixée etc. etc. rappelle l'article 61 etc. etc.; réaffirme la volonté du Conseil régional de continuer ses réunions jusqu'à la convocation des comices électoraux, à fin de définir les problèmes les plus urgents actuellement à l'étude, entre autre la révision du plan organique du personnel".
Montesano (P.S.D.I.) - Va bene, Consigliere Chamonin, adesso appunto, si vedrà nella riunione che farete con i Capigruppo, dopo che ho dato la parola al Consigliere Germano, che mi pare l'aveva chiesta.
Germano (P.C.I.) - Io potevo anche non parlare; c'è solo questo, che non è vero che potremmo qui con questa, in questa tornata del Consiglio regionale risolvere il problema del personale. Io chiedo a testimonianza tutti quelli della commissione del personale; non abbiamo potuto risolverli, perché non sono stati messi giù, perché la Giunta ha fatto le sue riserve. Ci vuole ancora una, due, tre riunioni per superare queste cose, che in questa tornata non si potrebbe. Abbiamo quella dei laboratori che non ci è stata neanche consegnato: quindi non è che possiamo, sarebbe un'illusione, se non facciamo altre cose, queste questioni del personale non le risolviamo, non per cattiva volontà dell'uno o dell'altro, ma è il tempo materiale che non c'è.
Montesano (P.S.D.I.) - Allora l'adunanza è sospesa per dieci minuti.
(Sospensione dalle ore 16,40 alle ore 17,17)
Montesano (P.S.D.I.) - Si riapre l'adunanza. Allora chi chiede la parola?
Bionaz (D.C.) - Io proporrei che l'ordine del giorno sia votato in questi termini: "Le Conseil régional, attendu que son mandat échoit le 25 novembre 1967, que les prochaines élections régionales, en considération des précédents et des dispositions de cette matière, auront lieu ce printemps prochain d'après les déclarations du Président de la Junte, affirme la volonté du Conseil régional de continuer son activité jusqu'à la convocation des comices électoraux".
Germano (P.C.I.) - Io chiederei di poterlo esaminare, cioè noi vorremmo veramente solo cinque minuti, non un quarto d'ora, venti, ma cinque minuti per esaminarlo e decidere.
(Sospensione della seduta dalle 17,19 alle 17,23)
Fosson (U.V.) - Nous avons examiné l'ordre du jour qui a été présenté par l'Avocat Bionaz. Nous proposerions quelques modifications, pour une plus grande clairté.
Nous avions énoncé dans notre question sur la première ligne que le mandat électoral de 4 ans est échu; vous nous avez fait une objection et nous avons accepté de l'enlever: nous reprierons d'enlever "que son mandat électoral échoit le 25 novembre", c'est une question où nous avons des points de vue différents. Nous pouvons l'enlever mais pas le mentionner dans cet ordre du jour, de façon que on ne met pas en discussion cette question.
Et alors, reprenant votre ordre du jour: "attendu que les prochaines élections régionales auront lieu ce printemps prochain d'après les déclarations du Président de la Junte", et nous proposerions d'enlever "en considération des précédents et des dispositions en cette matière", "affirme la volonté du Conseil régional de continuer son activité y compris son pouvoir législatif jusqu'à la convocation des comices électoraux".
Si vous acceptez ces modifications que nous y apportons, que nous vous proposons, nous sommes d'accord de voter cet ordre du jour, sans quoi nous demanderions de voter tout court l'ordre du jour qui avait été présenté par le Conseiller Andrione.
J'espère que ces petits détails de modification ne devraient pas changer la chose et je me souhaite que soit approuvé l'ordre du jour comme ça modifié, présenté par vous.
Bionaz (D.C.) - Je suis d'accord d'accepter d'effacer la première ligne, même ça "attendu que le mandat électoral etc." nous pouvons l'effacer, mais tout le reste doit rester, parce que je pense que "les prochaines élections régionales, en considération des précédents et des dispositions de cette matière" c'est la chose la principale. Je vous demande pourquoi, maintenant vous savez qu'elles sont fixées pour le printemps prochain, je ne vois pas pourquoi il faut effacer cela.
(Fosson: ...ce printemps prochain, d'après les déclarations du Président de la Junte) ...Il y a une raison pour qu'on dit "ce printemps prochain", parce que ce n'est pas moi... (Voce di Andrione) ...Si vous n'y croyez pas il n'y a personne, je ne serais pas ici de l'apostolat pour vous faire y croire, non; mais vous y croyez, vous y croyez, vous ne voulez pas le dire mais vous y croyez. En tout cas j'estime qu'il n'y a rien à changer ici.
Fosson (U.V) - Vous permettez si j'illustre encore un instant et nous ne perdrons pas d'autre temps pour ceci, mas je ne vois pas pourquoi on doit mettre dans cet ordre du jour "en considération des précédents et des dispositions en cette matière".
Bionaz (D.C.) - ..."d'après les déclarations du Président de la Junte" c'est tout dit, je ne justifie pas cela...
Fosson (U.V.) - Nous prenons pour bon ce que vous dites "auront lieu ce printemps prochain, d'après les déclarations du Président de la Junte", mais "des dispositions en cette matière" quelles dispositions en cette matière?
Bionaz (D.C.) - ...vous les connaissez, nous n'allons pas faire toutes les discussions que nous avons déjà faites...
Fosson (U.V.) - Alors nous nous tenons fermes sur notre ordre du jour, mais tout de même permettez-moi que je souligne encore une fois que pratiquement quand on arrive à un ordre du jour ou qu'on demande exclusivement de continuer un droit qui revient au Conseil, vous vous opposez, parce que la question que vous faites sur la première partie cache votre intention sur la deuxième partie, c'est-à-dire sur la question du pouvoir législatif du Conseil. Voilà.
Bionaz (D.C.) - Nous nous ne sommes pas du tout d'accord; quand on dit "affirme le pouvoir législatif du Conseil régional de continuer son activité" et l'activité nous savons quelle est, "son activité jusqu'à la convocation des comices électoraux", je crois qu'il y a tout. Écoutez, nous nous cachons vraiment derrière le petit cheveux...
Fosson (U.V.) - C'est vous qui vous vous cachez là, parce que "son activité", son activité, le Conseil pourrait continuer à faire des délibérations et de plus faire des lois.
Bionaz (D.C.) - Fosson, nous restons chacun convaincu de notre thèse et puis c'est tout.
Germano (P.C.I.) - Volevo solo dire questo, che noi come al solito abbiamo cercato di trovare il modo di farlo tutti assieme. E cosa abbiamo chiesto di togliere? Le motivazioni che erano controverse fra di noi. L'Avvocato Bionaz sostiene che le leggi e i precedenti e le disposizioni lo consigliano, gli suggeriscono di fare le elezioni in aprile, noi non riconosciamo questi precedenti e queste leggi e allora cosa chiediamo? Che si tolga!
Bionaz (D.C.) - ...ma le attribuisco a me, intendiamoci...
Germano (P.C.I.) - Ma è un ordine del giorno che votiamo all'unanimità!
Bionaz (D.C.) - ...va bene, ma le attribuisco a me: non è che io dica che siete voi che lo dite, "le mie dichiarazioni", è detto chiaro...
Germano (P.C.I.) - Noi vogliamo dire qui: le elezioni saranno in aprile perché così ha detto il Presidente della Giunta, non discutiamo sul merito, se è giusto o se non è giusto, perché abbiamo due punti di vista diversi.
L'altro problema, quello di fondo, che abbiamo sostenuto da stamattina, cioè di mettere in evidenza la questione del potere legislativo, anche questa viene oscurata col fatto che continua la sua attività.
Bionaz (D.C.) - ...qual è l'attività? Non è l'attività legislativa?
Germano (P.C.I.) - Può anche riunirsi e non fare leggi.
Bionaz (D.C.) - ...ma allora non è più la sua attività
Germano (P.C.I.) - E perché non lo possiamo mettere? È l'unica cosa che chiediamo di mettere. Il fatto è che non riusciamo mai a fare un ordine del giorno dove siamo d'accordo.
Bionaz (D.C.) - No, Germano, non è che siamo nati ieri, lei lo comprende e poi lei le sa queste cose, diamine! Qui se si vuole effettivamente, c'è ampia materia per essere contenti tutti.
Germano (P.C.I.) - Se ci fosse ampia materia per essere contenti, non reclameremmo, non chiederemmo la votazione del nostro, non staremmo qui a fare discussione; se non si può, chiediamo la votazione del nostro.
Caveri (U.V.) - Deux petites remarques. Je veux vous expliquer pourquoi nous ne pouvons pas voter un ordre du jour dans lequel il y ait cette phrase "en considération des précédents et des dispositions en cette matière".
Pourquoi nous ne pouvons pas accepter cette phrase? Parce que cette phrase suppose une certaine interprétation des lois électorales et des dispositions en général, suppose une interprétation qui est votre interprétation. Or, notre interprétation, vous savez, est une autre, c'est inutile que je reste là le rappeler. Alors voilà pourquoi nous ne pouvons pas voter une phrase qui implicitement et explicitement contient cette interprétation des lois électorales qui n'est pas la nôtre et qui est la vôtre. Premier point.
(Voce di Bionaz) ...Voilà, justement pour cela, maintenant pas parce que nous déterminons in "odium autoris", parce que nous sommes supérieurs à ces choses, parce que si vous, demain, vous disiez une chose juste, nous votons votre proposition; ce n'est pas parce que c'est votre interprétation, mais c'est parce que nous ne partageons pas votre interprétation et nous, nous avons notre interprétation. Et alors je ne sais pas pour quel motif nous ne pouvons pas voter un ordre du jour qui contient cette phrase.
Mais là où les choses sont encore plus évidentes, c'est là où vous ne voulez pas ajouter à la phrase que nous acceptons "affirme la volonté du Conseil régional de continuer son activité, jusqu'à la convocation des comices électoraux", nous entre la parole "activité" et la phrase "jusqu'à la convocation des comices électoraux", nous demandons qu'on insère la phrase "y compris le pouvoir législatif". Et alors Monsieur Bionaz sur ce point il dit: oui mais quand nous disons "son activité" on entend tout; mais si on entend tout, alors pourquoi vous ne voulez pas ajouter "y compris le pouvoir législatif"?
Si vous ne voulez pas ajouter la phrase "y compris le pouvoir législatif" c'est que vous ne voulez pas que le Conseil continue toute son activité, mais seulement une partie de l'activité. Voilà le deuxième motif pour lequel nous ne votons pas pour cet ordre du jour.
Si au lieu vous acceptiez, comme a dit Fosson, de supprimer "en considération des précédents et des dispositions de cette matière", et si vous acceptiez d'ajouter au fond "y compris le pouvoir législatif" nous votons votre ordre du jour.
Alors, je voulais un peu expliquer les vrais motifs pour lesquels....
Bionaz (D.C.) - ...toute son activité, et puis c'est tout. Toute son activité.
Caveri (U.V.) - Dis-moi pourquoi vous ne voulez pas mettre "y compris le pouvoir législatif" parce qu'alors c'est de l'ambiguïté toute l'activité de même... mais, oui, toute l'activité, mais on voulait dire l'activité administrative; pour être clair il faut mettre "y compris le pouvoir législatif".
Alors, si c'est comme ça, bien, si ce n'est pas comme ça nous ne pouvons pas adhérer a cet ordre du jour, mais nous sommes obligés de demander la votation de notre ancien ordre du jour.
Pedrini (P.L.I.) - Io, a nome del gruppo liberale, devo dire che condividevamo in pieno l'ordine del giorno presentato dagli Union-Comunisti. Vi è da aggiungere però che la sospensiva da noi chiesta per dieci minuti ha evidentemente chiarito questo ordine del giorno e, mentre noi riteniamo di aderire alla richiesta fatta adesso dal Consigliere Caveri e prima dal Consigliere Germano, di togliere eventualmente quella prima frase che è messa nel testo, noi liberali siamo d'accordo di votare questo ordine del giorno in quanto riteniamo che l'aggiunta fatta adesso dal Presidente Bionaz, in cui dice "tutta l'attività", sia da accettarsi in quanto ritengo che la parola di un Presidente della Giunta, il quale dice in un Consiglio regionale, a tutto il Consiglio regionale, che tutta l'attività si riferisce anche a quella legislativa, è da accettarsi come parola di uomo di legge, di uomo di governo e come tale noi liberali noi la accettiamo; pertanto voteremo l'ordine del giorno testé letto dal Presidente della Giunta.
Casetta (P.C.I.) - Io mi limiterei a chiedere la votazione segreta, a nome dei Consiglieri Casetta, Manganoni, Barone, Germano e Macheda sull'ordine del giorno da noi proposto.
Barone (P.C.I.) - Non sono stato presente adesso alla riunione degli Union-Comunisti. Però vorrei dire, non so se noi possiamo ancora trovarci due minuti solo per questo: quando si dice ad esempio "tutta la sua attività" non so se è preclusa qualche cosa. Alle volte qui si fa un po' una questione, mi sembra, di lana caprina. Ma se noi diciamo "tutta", è ben compresa anche l'attività legislativa, se noi diciamo "tutta".
Adesso io posso anche prendere un abbaglio, ma io mi appello, diciamo così, al binario della logica e del buon senso; non è che io voglia fare... io posso benissimo sbagliare, poi mi lascerò riprendere dagli altri, mi lascerò convincere. Ma io dico questo: se noi diciamo tutta, mi lascerò convincere. Ma io dico questo: se noi diciamo tutta, mi pare bene che è compresa anche ... non so se si vuole fare una sottilissima distinzione, ma tutta, è esclusa l'attività legislativa? Io chiedo solo questo, adesso non so se chiedo qualche cosa di talmente abnorme per cui uno dica: "ma non è compresa la cosa".
Se è compresa tutta, non so, più di tutto non so cosa si possa mettere, perché anche quella piccola parentesi che si vorrebbe fare "y compris son pouvoir législatif" sarebbe, suonerebbe secondo me, quasi come una menomazione del potere.....
E allora noi vorremmo già ammettere che l'attività del Consiglio potrebbe anche non essere legislativa, ecco; io non voglio fare l'avvocato del diavolo, ma secondo me, se è compresa tutta, non lo so ... io non voglio fare delle cattiverie, voglio solo, sono molto guidato dal buon senso, perché se dico tutta l'attività, mi pare che non è esclusa nessuna attività.
Chamonin (U.V.) - Io concordo insieme con quanto esposto adesso dal Consigliere Barone, ritiro pertanto quella proposta di emendamento che avevo fatto e noi voteremo la proposizione fatta dal Presidente della Giunta.
Montesano (P.S.D.I.) - Allora, io prima volevo soltanto fissare questo aggettivo dove va messo, se è "totale" oppure "toute": "toute son activité". Consigliere Andrione.
Andrione (U.V.) - Moi je voudrais faire simplement une question de prudence, effectivement au point de vue linguistique il pourrait se faire que l'interprétation de Monsieur Barone et de Monsieur Chamonin, de Monsieur Pedrini soit exacte. Cependant, je disais avant, en riant, que nous sommes les sceptiques bleus, nous sommes légèrement méfiants et alors nous aimons les choses précises. C'est-à-dire claires. Un petit rappel historique qui certainement à la culture de Mr. Barone n'échappe pas, il y a eu, je crois, au Concile de Nicée une dispute sur un "iota homoiousios" qui a durée quelque chose comme mille ans. Par conséquent nous nous serions de l'avis, si l'on veut être clairs, de mettre cette précision dans le texte dans lequel nous répétons, parce que toute la discussion est née sur quoi? Est née sur la question du pouvoir législatif, et nous nous demandons vraiment que le Conseil réaffirme d'une façon claire, précise, ce point; c'est pour cela que, même si au point de vue linguistique Monsieur Barone pourrait avoir raison, nous n'approuvons pas son point de vue.
Deuxième chose, non tenons ferme ce qui concerne le deuxième alinéa de l'ordre du jour, la suppression de cette phrase en considération des précédents et des dispositions en cette matière. Non, il y a deux questions, la deuxième nous retenons qu'il doit être spécifiée la volonté du Conseil régional de continuer en matière législative à avoir toutes ses compétences; le deuxième point, d'enlever cette phrase.
Je crois que j'ai expliqué notre point de vue, je m'associe à ceux qui ont demandé la votation.
Montesano (P.S.D.I.) - Allora io concludo, almeno queste sono le conclusioni alle quali tutti conveniamo, si era giunti ad un accordo sui due ordini del giorno, di modo che si mettono in votazione tutti e due, prima l'uno e poi l'altro, con la votazione a scrutinio segreto, richiesto da cinque Consiglieri. Consigliere Pedrini.
Pedrini (P.L.I.) - Io vorrei ancora rivolgermi, se lei permette, al gruppo comunista. Mi pare che il Prof. Barone abbia detto le stesse cose che ho detto io, vorrei richiamare il capogruppo Germano, che mi pare che abbiamo l'esatta sensazione, perché qua è una questione di puntiglio, o di punti di vista, ma così, soltanto per presa di posizione. Dobbiamo fare arrivare, secondo me questo ordine del giorno a Roma, all'unanimità. Ora, io penso, l'Union Valdôtaine, se vuol mantenere la sua posizione su questo argomento a me spiace onestamente, e la mantenga pure, ma almeno i partiti che sono rappresentati a Roma, almeno quelli mantengano l'unanimità su questo; mi pare che sia giusto.
Quando si dice "tutta l'attività", il Presidente della Giunta ci dà la sensazione chiara, ci dice che è compresa quella legislativa, perché dobbiamo andare veramente a fare i Don Chisciotte e così non riesco ad afferrare, quindi vi pregherei proprio gentilmente, se volete un momentino vedere la posizione e aderire a quanto ha detto il Prof. Barone.
Germano (P.C.I.) - Io vorrei fare una domanda, che faccio non alla Giunta, ma al Consigliere Pedrini. Io le domando perché l'Avvocato Bionaz non vuole mettere la parola "legislativa"? Me lo spieghi un po'.
Pedrini (P.L.I.) - Io penso che un Presidente della Giunta, a un dato punto, può anche avere dei motivi politici, diciamo, per cui ritiene che... posso pensare... (Germano: ...solo per motivi politici?) ...no, ma sono io che penso questo, è per questo che io aderisco a questa impostazione data. Quando vi dice "tutta" e vi dice compresa anche quella, per me va bene, ho la sua parola, diamine! In fin dei conti è qua, risponde a noi Consiglieri, a meno che noi non diciamo: "l'Avvocato Bionaz è un farabutto, non crediamo alla sua parola", e allora chiuso, finito. Ma quando un Presidente della Giunta dice questo e mi pare che il Prof. Barone abbia in pieno detto "qua si vuole fare una questione di punta".
Io penso che il capogruppo Comunista Germano, se vuole e se veramente intende che questo ordine del giorno abbia una efficacia su Roma, debba a un dato punto rivedersi bene la situazione e votare, secondo me, a favore. Questo non è un Consiglio che io voglio dare, è soltanto una richiesta che faccio, perché ritengo che se è fatta all'unanimità, questo ordine del giorno fatto all'unanimità può dare un risultato positivo: punto e basta!
Germano (P.C.I.) - Io volevo dire questo: ci sono delle ragioni politiche, è questo. Il fatto è che il Presidente della Giunta non vuole prendersi l'impegno su questa parola, e noi vogliamo invece che se la pigli su questa parola! La spiegazione che ha dato il Prof. Barone è una spiegazione che sul terreno dell'italiano può avere anche delle ragioni d'esistere, ma sul piano politico la sostanza è questa: faranno tutto quello che vuoi, ma la parola "legislativo", lì, l'Avvocato Bionaz non la mette, perché il discorso si può anche cambiare; e invece di dire: "beh! Perché non possiamo votare quando si dice tutta l'attività?" E allora chiediamo all'Avvocato Bionaz: "perché non si può votare quando diciamo la sua attività legislativa e amministrativa?".
Bionaz (D.C.) - ...perché sta scritto qui qual è l'attività del Consiglio...
Caveri (U.V.) - Non vorrei, con le mie parole, offendere il Consigliere Pedrini, non è tale la mia intenzione; d'altra parte il Consigliere Pedrini sa che io per lui ho un debole. Però mi permetto solo di dire questo: che - un debole politico, non di altra natura - il Consigliere Pedrini ha reso un cattivo servizio all'Avvocato Bionaz, perché il Pedrini dicendo che se il Bionaz non accetta l'inserzione della frase "anche il potere legislativo" ha le sue ragioni politiche e quindi avrà le sue ragioni politiche. Quindi questa rivelazione di Pedrini è quella che dimostra che le nostre paure e le nostre diffidenze sono fondate. Io auguro all'Avvocato Bionaz di avere dei migliori interpreti del suo pensiero, non le conviene di avere di questi interpreti del suo pensiero.
Pedrini (P.L.I.) - Io desideravo soltanto chiarire all'amico carissimo, Consigliere Caveri, il quale gode di tutta la mia fiducia, da quando l'hanno eletto Presidente della Giunta nel lontano 1947, e l'ho seguito proprio passo passo lungo tutta la sua via e vita politica, abbracciato a lui veramente da legami più che sentimentali, va bene, più che sentimentali, perché quelli che portano alle porte di un tribunale, sono più che sentimentali. Ho fatto una ipotesi e che egli, Presidente della Giunta già passata, avrebbe dovuto capire perfettamente se io ho fatto una ipotesi che lui Presidente della Giunta, seduto a quel posto, avrebbe convalidato in pieno e il mio tentativo era stato fatto solo ed esclusivamente per portare ad un dato punto su questo ordine del giorno la buona volontà del voto unanime e comune.
Voi non lo volete votare! Non lo votate, ma evidentemente da parte nostra, liberali, vi era questo tentativo perché volevamo fare arrivare a Roma un ordine del giorno votato all'unanimità che dava la sensazione che tutti, indistintamente, i partiti che qua in questa aula sono rappresentati, volevano e hanno l'intenzione di continuare i lavori di questo Consiglio sino alla convocazione dei comizi elettorali.
Questa era la nostra intenzione e questo era il nostro presupposto. Evidentemente, se si vogliono cambiare le carte in tavola, se si vuole fare il processo alle intenzioni o alle parole, l'Avvocato Caveri è abilissimo in questo, l'ha dimostrato tante volte, non soltanto in tribunale, ma anche fuori, e quindi continui pure, che per conto nostro, stia tranquillo, non ci tocca!
Caveri (U.V.) - Io chiedo la parola per fatto personale, per dire che in questo momento Pedrini ha superato sé stesso, perché, mentre prima ha cercato di interpretare quello che pensava il Bionaz, non accettando quelle tali parole "anche il potere legislativo", è arrivato al punto di voler interpretare quale sarebbe stata la mia azione, se io in questo momento fossi Presidente della Giunta.
Quindi supera certi limiti, eh!
Pedrini (P.L.I.) - ...lei non sputa su Parigi, ma su Roma, questo lo sappiamo chiaro.
Dujany (D.C.) - Si vous permettez, moi je voudrais faire une petite réflexion. Pourquoi est-il sortie cette discussion?
Je crois que le but est celui-ci: de demander au Conseil qu'il affirme la possibilité et le droit du Conseil de continuer son activité jusqu'à la convocation des comices électoraux. Pourquoi? Parce que la législation n'est pas claire, ou bien elle est contrastante, parce que la façon d'agir dans ces quinze dernières années, la façon a été différente.
Or, on veut affirmer évidemment une certaine volonté du Conseil au sujet de son fonctionnement. Et qu'est-ce qu'on demande? On demande que le Conseil continue son activité jusqu'à la convocation des comices électoraux.
Quelle est-elle la fonction du Conseil? Quelle est l'activité du Conseil? C'est l'activité législative et délibérative, ou le Conseil continue dans son activité complète ou il ne continue pas. Or, je crois, lorsqu'on affirme que le Conseil doit continuer son activité, cette activité est complète, parce que je crois qu'il n'y a pas de raisons de pouvoir soutenir que le Conseil puisse continuer son activité d'une façon partielle, seulement pour examiner les délibérations et non pas pour examiner ou approuver les lois, c'est-à-dire on ne peut pas distinguer ces deux compétences; le Conseil continue son activité dans sa compétence complète, ou bien il ne continue pas son activité.
Fosson (U.V.) - Je voudrais répondre vraiment à ces dernières affirmations faites par l'Assesseur Dujany, parce que l'interprétation que nous avions entendue dans cette sale par le Président de la Junte et même comme ça en passant par le Prof. Montesano, il y a quelques séances, quand on a dit qu'on devait faire tambour battant ces séances du Conseil avant le 25 novembre et nous nous étions permis de demander des explications, explications qu'on n'a pas voulu donner clairement, mais que tout de même nous avons eu la sensation de comprendre que en faisant justement une distinction de ce genre: qu'on disait que le pouvoir législatif tombe au moment où échoit le Conseil et le Conseil pourra se réunir non plus pour faire des lois, mais seulement pour voir des délibérations, et tout cas les motions ou les interrogations ou les interpellations, jusque au moment de la convocation des comices électoraux. Et c'est justement ici le point fondamental, et je voudrais le dire aussi à Monsieur Pedrini, parce que s'il n'y a pas ce motif et s'il n'y pas ces craintes je ne vois pas pourquoi on ne doit pas s'orienter et mettre la parole "législatif", dire clairement comme ont déjà dit ceux qui m'ont précédé. S'il n'y a pas - je ne dis pas même une arrière-pensée - une peur que le Conseil ne puisse pas fonctionner pour la partie législative.
Nous nous avons cru comprendre de ses affirmations, faites quelques-unes un peu plus clairement, quelques-unes un peu plus sourdement, cru comprendre qu'il y avait justement cette distinction.
Or c'est sur cette distinction que nous ne pouvons pas être d'accord. Et quand Monsieur Dujany dit: "le Conseil a le pouvoir législatif et le pouvoir législatif et administratif et si on dit "il continue son activité" doit continuer son activité entière". Nous sommes de l'avis qu'il doit continuer son activité entière, mais nous ne voudrions pas qu'à travers une formulation de l'ordre du jour comme on l'a dite maintenant "continue son activité", cette activité à un certain moment soit limitée à la partie administrative et non pas à la partie législative.
Et alors s'il n'y a pas de votre part des craintes dans ce sens, il faudrait être clair et la clarté dans ce cas sert pour vous et sert pour nous.
Caveri (U.V.) - La deuxième partie de ce qu'a dit Monsieur Dujany ne vas pas d'accord avec la première partie. Et je dirai de plus: la première partie de ce que vient de dire Monsieur Dujany est très grave, parce qu'elle ne cache pas un complexe d'infériorité, parce que Monsieur Dujany dit qu'il y a une disparité entre les lois pas claires. Alors il a déjà des doutes sur l'interprétation valable des lois qui règlent cette question de l'activité du Conseil y compris le pouvoir législatif; il a des doutes, parce qu'il parle de disparité entre les lois peu claires.
Et puis il est venu à parler - deuxième proposition très grave - il parle, à propos de la continuité de l'activité du Conseil, il parle textuellement - je me suis écrit la phrase, les mots qui sont sortis de sa bouche - et dit "une certaine activité", autre complexe d'infériorité, c'est-à-dire on ne croit pas à la possibilité de continuer le pouvoir, l'activité législative. Les déclarations de Dujany sont bien et plus graves de celles de Pedrini, parce que Pedrini aura pu commettre une erreur de la pensée de Monsieur Bionaz, mas ce qu'a dit, je regrette pour Monsieur Dujany, parce que c'est une faiblesse, mais je regrette de constater qu'il y a une contradiction à ce qu'il a dit. Mais toute la première partie démontre qu'il ne croit pas, qu'il n'a pas la foi, il n'a pas la foi dans la possibilité d'une continuation de l'activité législative. Et dit cela je n'ajoute plus rien.
Montesano (P.S.D.I.) - Nessun altro che chiede la parola? Allora mettiamo ai voti il primo ordine del giorno, quello presentato dal Consigliere Andrione, con votazione a scrutinio segreto.
Chi approva mette pallina bianca, chi non approva mette pallina nera.
Risultato della votazione: presenti 31, votanti 31, maggioranza 16, favorevoli 11, contrari 20.
Il Consiglio respinge.
Si passa alla votazione dell'ordine del giorno presentato dal Presidente della Giunta.
Presenti 31, votanti 31, maggioranza 16, favorevoli 21, contrari 10.
Il Consiglio approva.
Allora si passa all'esame dell'ordine del giorno, dove ci siamo formati questa mattina, oggetto n. 7.