Oggetto del Consiglio n. 1644 del 6 dicembre 2005 - Resoconto
OGGETTO N. 1644/XII - Richiesta di indizione di referendum popolare, ai sensi dell'articolo 138, comma secondo, della Costituzione, sulla legge costituzionale approvata dalla Camera dei Deputati, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti, nella seduta del 20 ottobre 2005 e dal Senato della Repubblica, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti, nella seduta del 16 novembre 2005, concernente "Modifiche alla Parte II della Costituzione", pubblicata nella Gazzetta ufficiale, serie generale, n. 269 del 18 novembre 2005.
Il Consiglio
Vista la legge Costituzionale recante "Modifiche alla Parte II della Costituzione", approvata dalla Camera dei Deputati, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti, nella seduta del 20 ottobre 2005 e dal Senato della Repubblica, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti nella seduta del 16 novembre 2005 e pubblicata nella Gazzetta ufficiale, serie generale, n. 269 del 18 novembre 2005;
Visto l'articolo 138, comma secondo, della Costituzione nella parte in cui prevede che, entro tre mesi dalla pubblicazione a fini notiziali nella Gazzetta ufficiale, le leggi costituzionali o di revisione costituzionale possano essere sottoposte a referendum popolare e che il referendum possa essere richiesto, tra gli altri, da almeno cinque Consigli regionali;
Ravvisata l'opportunità di richiedere sulla menzionata legge costituzionale l'indizione del referendum popolare, al fine di consentire un pronunciamento nel merito da parte dei cittadini elettori;
Visti gli articoli 3, 4, 10 e 11 della legge 25 maggio 1970, n. 352 (Norme sui referendum previsti dalla Costituzione e sulla iniziativa legislativa del popolo);
Su proposta della Conferenza dei Capigruppo, riunitasi il 2 dicembre 2005, di concerto con il Presidente della Regione;
Delibera
di richiedere l'indizione del referendum popolare, ai sensi dell'articolo 138, comma secondo, della Costituzione, sulla legge costituzionale approvata dalla Camera dei Deputati, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti, nella seduta del 20 ottobre 2005 e dal Senato della Repubblica, in seconda votazione, con la maggioranza assoluta dei suoi componenti, nella seduta del 16 novembre 2005, concernente "Modifiche alla Parte II della Costituzione", pubblicata nella Gazzetta ufficiale, serie generale, n. 269 del 18 novembre 2005.
Président - Comme nous avions convenu, nous discutons maintenant de la délibération concernant la proposition de référendum qui avait été envoyée aux Conseillers avec ordre supplétif.
Avevamo organizzato una riunione della Conferenza dei Capigruppo nella quale abbiamo convenuto all'unanimità di farci promotori nella richiesta di indizione di referendum popolare, di essere quindi fra le Regioni che chiedono l'indizione di questo referendum. La Conferenza dei Capigruppo ha adottato all'unanimità un testo, che avete sotto gli occhi. Dichiaro aperta la discussione generale su questa materia. Solo per informazione, vorrei dirvi che dovremo deliberare in modo palese per quello che riguarda il comma 1, cioè la richiesta di indizione del referendum; dovremo invece procedere a votazione per schede, trattandosi di nominativi per il punto 2, cioè il delegato effettivo del Consiglio regionale e il delegato supplente.
La parola al Presidente della Regione, Caveri.
Caveri (UV) - J'ai participé à la réunion des Chefs de groupe dans laquelle j'ai exprimé l'accord du Gouvernement régional sur cette procédure du référendum prévue par la Constitution italienne. Comme tout le monde sait, sur la soi-disant "dévolution" il n'y a pas eu la majorité des deux tiers à l'intérieur du Parlement dans la deuxième lecture et donc ça signifie qu'il y aura la certitude d'avoir le référendum. D'un côté on est en train de recueillir le quorum nécessaire pour le référendum à travers les Parlementaires dans les deux Chambres, le même sont en train de faire plusieurs Régions et nous on serait - il paraît - la 5ème à demander le référendum. Les Régions sont en train de le faire, parce qu'elles critiquent le contenu et la méthode de cette modification de la Constitution.
Moi j'ai voté contre quand j'étais Parlementaire la modification du titre V de la Constitution. Je l'ai fait même si l'ensemble des leaders de Centre-Gauche à l'époque me demandaient de changer d'avis, parce qu'à la Chambre des Députés il y avait le danger de ne pas avoir une majorité pour approuver cette modification de la Constitution. J'ai voté contre parce que je retenais - et je retiens encore aujourd'hui - que quand on change la charte fondamentale de la République il faut avoir une majorité élargie, qui ne soit pas seulement la majorité parlementaire, mais il faut dialoguer autour des réformes institutionnelles et à l'époque avec la "Commission D'Alema" on pensait au commencement qu'on pouvait trouver un accord plus général, tandis qu'à un certain point cet accord a échoué et il y a eu cette approbation à majorité d'une modification constitutionnelle. Il faut dire que c'est exactement la même chose qui a été proposée par le "Gouvernement Berlusconi" avec cette soi-disant "dévolution", qui se révèle tout à fait négative, surtout parce qu'il n'y a pas eu sur cette réforme et tout le long de ce processus de changement la capacité d'entendre les raisons des Régions et surtout des Régions autonomes.
C'est vrai que, pour la première fois, dans cette modification de la Constitution on a eu la possibilité d'écrire quelque chose d'important dans le renouvellement de l'article 116, c'est-à-dire que pour la première fois il y a une formule d'entente qui n'existait pas dans la précédente modification du titre V. Mais même s'il faut reconnaître que c'est un pas à l'avant positif, cette modification n'est pas suffisante pour évaluer positivement cette réforme. C'est vrai qu'aujourd'hui il me paraît que le document qui propose le référendum sera voté par l'ensemble du Conseil, donc chacun donnera son jugement; évidemment "Forza Italia" donnera un jugement positif, mais avec l'accord sur un référendum. D'ailleurs il faut dire que jusqu'à maintenant il y a eu la prise de position de la Lombardie, en sachant que la Lombardie est gouvernée par le Centre-Droite, et la même chose on peut dire que c'est passé en Sardaigne où, sur proposition de la Droite, il y a eu une prise de position sur le référendum du Conseil régional. Donc il me paraît que tout le monde désire le référendum, ceux qui veulent la confirmation de la "dévolution" et ceux qui, comme moi, retiennent que cette réforme n'est pas positive, qu'il faudra la reprendre pendant la prochaine législature, en partant d'un comportement négatif soit du Centre-Droite que du Centre-Gauche. C'est-à-dire qu'on ne peut pas concevoir qu'une réforme constitutionnelle de cette taille puisse être votée seulement par une partie du Parlement et donc dans la logique de la Constituante, où les majorités étaient bien plus larges. Il faut changer très probablement de nouveau l'ensemble des réformes que jusqu'à maintenant on a vu.
Un mot pour conclure pour ce qui est la question de la réforme du Statut. Moi je pense que le moment est venu, et sera très probablement une des grandes discussions au commencement de l'année prochaine, de réfléchir de nouveau, comme ça a été fait par l'ensemble des Régions italiennes, sur la nécessité d'une modification de notre Statut. Nous aurons sans doute la possibilité d'en discuter. Je voulais tout simplement annoncer au Conseil qu'il y aura quand même une initiative du Gouvernement sur cette matière, dans le sens que nous pensons, ici fin de l'année, de trouver un groupe d'experts qui puissent nous donner, non pour une écriture d'un texte, mais pour avoir quelques lignes de comparaison avec le travail qui est en train de se faire dans d'autres Régions autonomes et même dans les Régions à statut ordinaire, pour donner au Conseil un document de base de discussion, qui puisse nous permettre de choisir la méthode la meilleure pour envisager une saison de réformes à l'intérieur de ce Conseil.
Président - La parole au Conseiller Riccarand.
Riccarand (Arc-VA) - Il nostro gruppo si esprimerà a favore di questa richiesta di referendum, lo avevamo già detto in sede di Conferenza dei Capigruppo; siamo dell'avviso che su una riforma così importante sia necessario il pronunciamento popolare, che questo sia un passaggio fondamentale, anche perché questa è stata una riforma molto contrastata. Riteniamo anche opportuno che in questa presa di posizione non si entri nel merito delle posizioni da parte delle varie forze politiche, che ci sia - speriamo! - una posizione unanime da parte del Consiglio sulla necessità di andare al referendum; poi ognuno farà le sue valutazioni e si esprimerà nel merito.
Personalmente devo dire che trovo un pochino discutibile questo atteggiamento da parte dell'"Union Valdôtaine", che sistematicamente su ogni riforma costituzionale proposta dice di no... mentre noi abbiamo detto di sì alla riforma del Centro-Sinistra, sistematicamente l'"Union" dice di no...
(interruzione del Presidente della Regione, fuori microfono)
... so che Marco Boato ha fatto un grande servizio per la popolazione valdostana, che non ha fatto Luciano Caveri: quello di introdurre nella riforma della Costituzione e nella riforma dello Statuto della Valle d'Aosta il diritto al referendum propositivo per la popolazione valdostana... cosa che non ha fatto Luciano Caveri e che ha fatto Marco Boato! Può darsi che su altri punti abbiate avuto posizioni diverse, ma io lo ringrazio pubblicamente a nome della popolazione valdostana.
Ripeto, questo atteggiamento da parte dell'"Union", che su ogni riforma della Costituzione comunque è contrario perché guarda solo al suo "orticello" e non ha mai una visione complessiva, è una posizione che non possiamo condividere!
Président - La parole au Conseiller Cesal.
Cesal (UV) - Le processus de réforme de la Constitution italienne a débuté à Lorenzano, en 2003, a abouti pour notre groupe à une solution qui ne peut pas être partagée. Nous avons maintes fois exprimé notre point de vue, essayé de donner des indications; nous avons invité avec de documents officiels les souteneurs de cette réforme qu'on aurait dû aller de l'avant en tenant compte aussi de l'avis des entités locales, qui, au contraire, n'ont jamais été concernées. Les différentes prises de position de notre Conseil et des Présidents des différentes Régions, des Conseils régionaux et de nos Parlementaires, n'ont jamais obtenu aucune réponse de la part d'une majorité qui a préféré privilégier sa stabilité interne plutôt que la confrontation et le partage avec tous les acteurs concernés. Au lieu d'essayer de maintenir un juste équilibre entre les différents pouvoirs qui constituent la structure institutionnelle de notre Etat, il fallait à tout prix démontrer que la majorité était à même de réaliser les promesses faites aux électeurs en 2001 et après la direction a été indiquée par la "Lega", qui a pu finalement justifier sa présence à l'intérieur de cette majorité gouvernementale. L'importance n'était pas donc le contenu, mais la médiatisation qui pouvait en découler.
En examinant dans le détail le texte, par devoir d'objectivité, je devrais avant tout citer les aspects positifs: en premier lieu, la reconnaissance et la plus claire définition du principe de l'entente préalable. Le texte voté rend ce passage un peu plus clair et conséquent avec les requêtes des Régions et des Provinces à Statut spécial. Encore il faut considérer comme favorable le maintien des conditions plus favorables prévues par le dessein de loi en question jusqu'à l'adoption du nouveau Statut - je me réfère à l'article 43 bis de la réforme - et la réduction du nombre des Parlementaires, même si insuffisant par rapport aux premières indications, ça doit être en quelque sorte considéré positif et en ligne avec l'attente de l'opinion publique.
Les aspects négatifs sont au contraire nombreux et, pour une grande partie, inadmissibles. La composition du Sénat fédéral représente de façon la meilleure cette réforme prétendue fédérale, qui n'a absolument rien de fédéral. En effet, tout en donnant la possibilité aux représentants des collectivités locales de participer aux travaux de cet organisme, ne leur donne aucune possibilité d'exprimer leur vote sur la situation qui les concerne. Il ne faut pas oublier non plus que pour organiser les nouvelles élections des Conseils régionaux, parallèlement avec celles du Sénat, le pouvoir de dissolution du Conseil régional est enlevé au Président du Gouvernement et confié au Président de la République: c'est une réduction de compétences inacceptables! Le processus de formation des lois comporte un alourdissement général, lois de compétence du Sénat, lois de compétence de la Chambre des Députés, lois bicamérales. Il s'agit d'un système qui comportera une augmentation de la conflictualité entre les différents organes et une paralysie du travail des différentes institutions.
La "dévolution", l'article 117, dans sa nouvelle formulation, en reconduisant sur le pouvoir étatique l'instruction et la santé, rend confuse et ambiguë la répartition des différentes compétences. Souvent un pouvoir législatif régional concourrant est contredit par un pouvoir étatique exclusif. Avec l'intérêt national on introduit encore un principe dangereux, inopportun, très grave, qui soumet toute la législation régionale au contrôle politique de la majorité gouvernementale, qui pourra s'en servir de façon discriminatoire et tout à fait discutable. L'introduction de ce principe suffit, je crois, à démontrer la volonté centralisatrice de cette réforme. Il me paraît opportun rappeler, pour citer un autre aspect négatif, le pouvoir substitutif, introduit par l'article 120, qui donnerait à l'Etat la possibilité de se substituer aux Régions dans n'importe quelle matière de leur compétence, chaque fois qu'il retendrait subsister des exigences de tutelle de l'unité juridique et économique de l'Etat même. Pensez au Tunnel du Mont Blanc: cet article permettrait à l'Etat de procéder à son redoublement sans se confronter avec les Régions et les communautés locales concernées.
Le texte issu de la Chambre des Députés n'établit en outre aucun contrepoids entre les nouveaux pouvoirs du premier ministre et les pouvoirs résiduels maintenus au Président de la république, qui jouera un rôle tout à fait marginal, sans aucune possibilité de marquer le débat politique et institutionnel.
En effet, on transfère le pouvoir de dissolution du parlement au premier ministre en l'enlevant au Président de la république.
J'estime donc nécessaire que ce Conseil soutienne la requête de référendum populaire confirmatif, pour soutenir aussi les raisons de ceux qui demandent d'effacer ce texte confus et contradictoire.
Nous devons aussi nommer un représentant de la Région; pour ce qui concerne notre groupe je proposerais le nom du Président du Conseil, il s'agit d'un représentant institutionnel d'envergure et qui est à même de représenter dignement notre Assemblée législative. Pour ce qui est du suppléant je laisse à la minorité d'exprimer sa volonté à ce propos, on pourrait arriver à la détermination d'une délégation qui soit à même de représenter dignement ce Conseil pour rendre opérationnel le référendum confirmatif de la réforme constitutionnelle récemment approuvée par le Gouvernement national.
Président - La parole au Conseiller Lattanzi.
Lattanzi (CdL) - Anche noi siamo d'accordo sul fatto che questo Consiglio regionale esprima la volontà di un referendum sull'attuale riforma della Costituzione e naturalmente lo facciamo con uno spirito diverso rispetto a chi si è appena espresso, perché se ci sono molti motivi da parte di chi è contrario a questa riforma, ce ne sono altrettanti e altrettanto validi da parte di chi questa riforma l'ha voluta in questi 5 anni!
Ricordo che questa riforma è frutto di un impegno che il "Governo Berlusconi" aveva preso con gli elettori nel momento in cui si è proposto agli Italiani, quindi non è una novità che il federalismo, la riduzione del numero dei Parlamenti, la Costituzione di un Senato federale possano essere oggi tema di approfondimento. È altrettanto evidente che chi ha voluto fortemente questa riforma, cioè la maggioranza degli Italiani, ha la volontà di confermare queste scelte.
Dobbiamo dire con estrema onestà che il processo di modifica di una parte importante della Costituzione è avvenuto in maniera complicata e sorprendente, se vogliamo, non sempre coerente con i passaggi istituzionali; però bisogna riconoscere a questo Governo e alla sua maggioranza l'assoluta coerenza rispetto a un impegno preso con i cittadini. Potrà dare fastidio - e poi parleremo delle posizioni dell'"Union" e del silenzio assordante dei "DS" valdostani - che il Paese tenti un'innovazione sotto l'aspetto costituzionale, ma noi riteniamo che sia un'innovazione costituzionale determinante per il futuro di questo Paese. Fra qualche ora cominceremo a discutere del bilancio e della finanziaria regionale, inevitabilmente discuteremo della finanziaria nazionale e parleremo dei contesti di riforma necessari affinché questo Paese e questa Regione possano continuare sulla strada del progresso e del benessere. Bene, il federalismo è una chiave portante dell'opportunità di questo Paese di potersi rinnovare, perché federalismo significa responsabilità.
Certo, ci sono due Italie in questo momento; c'è una Italia conservatrice che non vuole il cambiamento e credo sia facilmente individuabile chi oggi da questa situazione trae vantaggio: penso alle Regioni assistite, come la nostra e invece penso a quella parte del Paese che è stata motrice del benessere e della ricchezza che oggi rivendica la possibilità di decidere del proprio futuro.
Federalismo uguale sussidiarietà; credo che questa riforma parta da un punto sacrosanto: una Italia unita e federale. Si è molto parlato del federalismo come di una sorta di rivendicazione da parte della "Lega" di una zona ricca del Paese a discapito di quelle più povere, credo che bisogna dare merito invece a chi la riforma l'ha voluta più fortemente, ma anche a chi ha lavorato perché questa riforma federale non fosse una disgregazione del Paese e quindi una Italia unita e federale è l'obiettivo che avevamo proposto ai cittadini italiani ed è un obiettivo che ci sentiamo di poter dire di avere raggiunto.
Certo, dopo cinquant'anni di assetto costituzionale, parlare oggi di "riforma della Costituzione", così come si parla di tante riforme... bisogna dare merito e atto che almeno c'è qualcuno che le ha proposte queste riforme! Abbiamo vissuto per cinquant'anni in una sorta di cristallizzazione che si è via via resa sempre più determinante per il rallentamento dello sviluppo di questo Paese. Non solo, abbiamo assistito nell'ultimo decennio a una serie di tentativi di riforme, ricordo quello fatto dal Centro-Sinistra, che oggi urla allo scandalo perché una riforma viene fatta a colpi di maggioranza e dimentica di aver fatto una riforma costituzionale con soli 4 voti di maggioranza in Parlamento. Non solo, una riforma che alla Valle d'Aosta non riconosceva neanche l'opportunità di un'intesa su eventuali riforme costituzionali, cosa che invece il Centro-Destra ha avuto la sensibilità di riconoscere. Questo non l'ho sentito mai abbastanza nel dibattito politico regionale, anzi, si omette quello che ormai è evidente, cioè che in Valle d'Aosta di federalismo si parla molto, ma si vuole molto poco, nel senso che il federalismo ideologico che vige in questa Regione è quello dell'assistenzialismo, quindi non mi stupisco che l'"Union" sia conservatrice. Lo è sempre stata, lo è e lo sarà... perché mai dovrebbe modificare un assetto costituzionale che riconosce alla nostra Regione dei privilegi che altre Regioni non hanno?
La nostra posizione è diversa, perché non ci sentiamo solo Valdostani, ma ci sentiamo Italiani e abbiamo capito - forse più e meglio di loro - che non può esistere autonomia e sviluppo della nostra Regione in un Paese in declino, checché ne dica la strategia ultima dell'"Union" di non fare più riferimento a Roma, ma di fare riferimento a Bruxelles. Noi non crediamo in quel modello, perché non crediamo che Bruxelles abbia più attenzioni di quante ne abbia avute l'Italia nei confronti della Valle d'Aosta, allora diciamo che le riforme sono necessarie: tutti le chiedono, nessuno le vuole! Dopo cinquant'anni abbiamo riformato la scuola, dopo cinquant'anni abbiamo riformato le Camere, Senato e Camera dei Deputati, abbiamo ridotto il numero dei Deputati e renderemo le Regioni responsabili non solo per la devoluzione dei poteri, ma per il federalismo fiscale che verrà con l'approvazione della riforma, che è la vera chiave di volta del dibattito politico. Nessuno ne parla, ma è il vero nodo cruciale della riforma costituzionale.
Certo, ci sono delle Regioni che si sono espresse in maniera contraria, qualcuno lo dice in maniera strumentale, come la Lombardia, ma bisogna dire perché alcune Regioni governate dal Centro-Destra si sono espressa in maniera contraria a questa riforma: perché questa riforma partirà solo dal 2011 e dal 2016... bisogna dirlo! La protesta di quelle Regioni contrarie a questa riforma è per la sua lentezza, non per la sua attuazione! Noi vedremo ridotto il numero dei Parlamentari con questa riforma solo dal 2016 in avanti, perché i Parlamentari si sono ben guardati dal ridursi di numero e dal ridursi gli stipendi, cosa che abbiamo dovuto fare noi! Il clima non aiuta; molti hanno auspicato che la riforma costituzionale passasse a stragrande maggioranza delle Camere, questo purtroppo non è stato, perché? Perché credo che la parte più conservatrice del Paese - e ci metto non solo gli assistiti di questo Paese, ma ci metto anche tutti i grandi della burocrazia romana che vegeta nei ministeri a Roma - non ha accelerato questo processo, perché una Italia unita e federale significa uno Stato più snello, significa anche Regioni che non solo hanno devoluzione di poteri, ma anche responsabilità di amministrare le risorse.
Lo spirito della riforma doveva e poteva essere unitario, non lo è stato perché la Sinistra ha utilizzato la riforma, anzi la controriforma o la mancanza di riforma o la non volontà di riforma come bandiera di guerra politica. Si è talmente demonizzata la riforma a prescindere, che non si è mai parlato dei suoi contenuti, perché se chiedessimo agli Italiani - è quello che vogliamo fare con il referendum - se sono d'accordo che il Paese diventi federale, siamo convinti che la stragrande maggioranza del Paese direbbe di sì. Se chiedessimo agli Italiani se sono d'accordo che le Regioni assumano delle responsabilità in termini di sussidiarietà, siamo convinti che gli Italiani direbbero di sì. Se chiedessimo agli Italiani se sono d'accordo che il federalismo avvenga in uno Stato unito e solidale, siamo convinti che direbbero di sì.
Per tutti questi motivi siamo non solo favorevoli a questo ordine del giorno - e cogliamo anche l'invito del collega Cesal affinché la delegazione che rappresenterà il Consiglio sia veramente rappresentanza del Consiglio e non della maggioranza, e qui vedremo le parole di buona volontà se si tradurranno in fatti! -, ma crediamo che questo sia un referendum necessario affinché sia il popolo italiano a dire se vuole un Paese ammodernato non solo tecnologicamente, ma anche costituzionalmente. Non c'è dubbio che la Costituzione attuale non rispecchia più la volontà e gli atteggiamenti del Paese.
Presidente - La parola al Consigliere Sandri.
Sandri (GV-DS-PSE) - È quanto meno divertente, se non fosse tragico, il riempirsi la bocca da parte dell'opposizione con il Senato federale; evidentemente le veline che arrivano da Roma bisogna verificarle, perché non sempre dicono la verità e sul Senato federale qualche riflessione si potrebbe farla.
Senato federale significa un'assise in cui gli enti territoriali di un Paese vengono rappresentati con lo stesso peso, perché hanno la dignità di entità territoriale. Dato che "La Casa delle Libertà" è notoriamente sensibile all'America, il Senato federale in America è formato da 50 rappresentanze di 50 Stati, che hanno dimensioni clamorosamente diverse, Stati che hanno tutti 2 senatori. Come si fa a chiamare "Senato federale" un Senato in cui la Valle d'Aosta come oggi avrebbe sempre solo un unico Senatore, mentre la Lombardia e la Sicilia ne avrebbero decine? Questo non è un Senato federale, è un "paciocco", è un "minestrone", è un ennesimo guazzabuglio istituzionale fatto da chi le cose non le conosce ed è stato messo in una posizione di responsabilità senza averne gli strumenti! Ma non c'è bisogno di portare l'esempio dell'America per confermare questa definizione di Senato federale; basta pensare alla Svizzera dove il Consiglio degli Stati è lo stesso rappresentato da 2 esponenti per ciascun Cantone, salvo i più piccoli - i cosiddetti semi-Cantoni - che ne hanno uno soltanto.
Noi cosa pensiamo? Pensiamo a un Senato federale, ennesima copia della Camera dei Deputati in cui non c'è il riconoscimento di queste entità territoriali? Credo che questo sia uno dei tanti temi su cui dobbiamo sbugiardare il Centro-Destra per la scorrettezza con cui utilizza queste parole!
Questa riforma non solo è sbagliata per quanto riguarda il Senato federale, che non è federale, ma deve essere cassata anche perché riporta in auge una preponderanza dell'interesse statale rispetto a quello regionale, e qui non dimentichiamo che nel 2001, quando fu fatta l'altra riforma del titolo V della Costituzione, di cui condivido la scorrettezza istituzionale di averla voluta fare un po' "manu militari" in fine legislatura, fu introdotto un concetto molto preciso dei rapporti fra Stato, Regioni, Province e Comuni che si articolavano su un piano di parità, nel quadro di un'organizzazione chiara in cui la nostra Regione poteva avere un riconoscimento ulteriore del proprio "status".
Non voglio intervenire sulle cose assolutamente fantasiose, quanto meno come quella di imporre il cambiamento della data delle elezioni ai Consigli regionali per uniformarli a quella del Senato: se questo è il rispetto delle istituzioni regionali... ditemi voi! Qui forse qualcuno potrebbe essere interessato ad avere una legislatura che si prolunga fino al 2011, ma di certo il diritto della Valle d'Aosta di autodeterminazione almeno in termini elettorali sarebbe messo nel dimenticatoio.
Infine, il motivo per cui il nostro gruppo condivide non solo la necessità di andare al referendum, ma di votare "no" al referendum, è sulla confusione che viene fatta fra competenze delle Regioni a Statuto ordinario e delle Regioni a Statuto speciale. In tutta la gestione di questa riforma non c'è stato un momento in cui le Regioni a Statuto speciale abbiano potuto vedere le proprie competenze non valorizzate o messe in contrapposizione, ma considerate almeno per quelle che sono. È stata fatta volutamente una grande confusione per cercare di sminuire una tradizione di autonomia più che cinquantennale garantita dalla Costituzione, quindi sistema federale non è, riforma federale non è, rispetto delle situazioni di decentramento e degli enti territoriali minori non c'è, per quanto riguarda i rapporti verso le autonomie e i diritti delle minoranze linguistiche non c'è... credo che ci siano tanti buoni motivi per cui la Valle d'Aosta compatta voti "no" al referendum confermativo!
Presidente - La parola al Consigliere Viérin Marco.
Viérin M. (SA) - È chiaro che, dopo aver sentito le due parti più distanti fra di loro dal punto di vista politico, il mio intervento potrebbe essere definito "neutrale". Credo che proprio su questo termine dovremmo lavorare, perché di modifiche alla parte seconda della Costituzione ce n'è una parte, di natura generale, non condivisa anche da noi: fra queste, ad esempio - ma entreremo nel vivo della questione nei prossimi mesi - il Senato federale, alcuni aspetti di mancata chiarezza o di mancato coraggio ci sono stati. Vi sono poi delle confusioni che andrebbero meglio chiarite; vi sono aspetti che ledono anche la nostra autonomia speciale... però bisogna riconoscere che ci sono delle questioni che hanno fatto un minimo di chiarezza.
Intanto bisogna riconoscere che la "devolution" non è altro che una serie di commi che vanno a dare autonomia scolastica, sanitaria e di polizia amministrativa regionale e che si estendono anche a norme concorrenti fra Regioni e Stato di un'altra ventina di materie. Poi c'è il fatto dell'intesa - che altri colleghi hanno toccato - che non è mai stato possibile introdurre in passato, ma che presenta ancora oggi delle criticità per come è scritta, e si dovrebbe soprattutto chiarire quali azioni possono essere intraprese solo dallo Stato centrale. Sul termine "intesa", sì, è stato inserito, ma c'è questo dubbio che su alcuni aspetti l'azione può essere fatta solo dallo Stato.
Secondo noi, quindi, i contenuti della riforma dovrebbero essere soprattutto analizzati nei prossimi mesi e l'obiettivo principale delle forze politiche credo sia quello di essere impegnati soprattutto a far conoscere nella sostanza... perché oggi i cittadini valdostani - come quelli di altre Regioni - nella sostanza di questa riforma non sono entrati e non sono ancora riusciti a capire quasi niente. Il nostro obiettivo come forze politiche - ripeto - è quello di impegnarci soprattutto a far conoscere la sostanza e quindi i contenuti di questa riforma ai nostri concittadini e poi, democraticamente, che come per tutte le riforme importanti, sento che è una riforma importante per "La Casa delle Libertà", sento che è una riforma disastrosa completamente per i "DS"..., credo che sia più serio e corretto il pronunciamento popolare: è per questi motivi che abbiamo aderito all'istituzione del referendum.
Presidente - La parola al Consigliere Salzone.
Salzone (FA) - Solo per dichiarare, come abbiamo detto in Conferenza dei Capigruppo, che il nostro gruppo voterà "no" a questo referendum per le motivazioni che sono state già espresse nel nostro documento, ovvero la riforma ha avuto una maggioranza parlamentare risicata, mentre noi pensiamo che per queste riforme debba esserci una rappresentanza molto più ampia. Tra l'altro è una riforma che ha avuto critiche da tutte le parti, anche molte Regioni del Centro-Destra, soprattutto come diceva il Consigliere Lattanzi, perché i ritardi dell'applicazione di questa riforma portano ad uno stravolgimento delle indicazioni stesse.
Siamo quindi d'accordo sulla rappresentanza regionale nella persona del Presidente del Consiglio e non so se le minoranze hanno già proposto l'altra candidatura, che mi pare sia concordata per il collega Lanièce, Vicepresidente del Consiglio. Riteniamo di andare quindi in questa direzione.
Président - La parole au Conseiller Tibaldi.
Tibaldi (CdL) - Da quando è entrata in vigore la riforma costituzionale promossa dal Centro-Sinistra nel 2001, abbiamo assistito a tutta quella conflittualità esasperata che c'è stata a livello di competenze fra Stato e Regioni innanzi alla Corte costituzionale. Allora, la tanto elogiata "riforma" portata avanti dal Centro-Sinistra e approvata con soli 4 voti di scarto in scadenza di legislatura - come è stato ricordato - ha creato un caos immenso nella questione delle competenze legislative, portando quasi tutto a livello di legislazione concorrente, riservando a livello esclusivo poche materie allo Stato e lasciando alla competenza residuale delle Regioni tutto il resto: ha praticamente aperto una parentesi interpretativa enorme che deve essere spesso decisa dalla Corte costituzionale. Ecco uno dei primi risultati della riforma del Centro-Sinistra; la Valle d'Aosta stessa si trova di fronte alla Corte per sostenere la validità delle proprie leggi regionali che sono state impugnate dal Governo nazionale, sia esso di Centro-Destra oggi, sia domani di Centro-Sinistra.
Una delle prime ragioni per cui a nostro avviso questa riforma costituzionale è necessaria è perché riordina le competenze, devolvendo alle Regioni alcune specifiche materie e lasciando alla riserva legislativa dello Stato le altre. Non possiamo negare che è indispensabile creare una separazione più netta fra i compiti dello Stato e i compiti delle Regioni, altrimenti la legislazione regionale paradossalmente sarà fatta dalla Corte costituzionale.
Un secondo ragionamento che è degno di interesse è proprio l'interesse nazionale... perché tanto scandalo di fronte all'interesse nazionale? È naturale che certe materie siano di competenza superiore rispetto ai limiti delle Regioni; la stessa Regione Valle d'Aosta, nel legiferare, per esempio, nelle grandi opere di rilevante interesse regionale, pone proprio l'interesse regionale come filo conduttore per una regolare applicazione delle norme locali nei rapporti con gli stessi enti locali, per far sì che non ci sia confusione nei rapporti fra i 2 livelli. Allora è normale, a nostro avviso, che ci sia una regolamentazione delle materie che devono rientrare nell'ambito dell'interesse nazionale, anche perché si fa tanto rumore per nulla!
Sentivo prima il Capogruppo dell'"Union" che condannava e censurava l'interesse nazionale: come c'è quello regionale nei confronti degli enti locali, è naturale che ci sia quello nazionale nei confronti delle Regioni: fino a prova contraria, facciamo parte di una cornice statale all'interno della quale dobbiamo coesistere con il livello statale, quindi tanto rumore per nulla, che, al di là di una censura demagogica - a mio avviso - non ha avuto a suffragio alcun argomento veramente sostanziale per essere difeso e sostenuto.
Un altro aspetto importante è quello del ruolo del Primo Ministro. Vorrei ricordare ai colleghi del Centro-Sinistra che quando c'era la Commissione bicamerale presieduta da Massimo D'Alema maggioranza e opposizione avevano concordato su un punto: che il Premier avesse poteri più forti, e Massimo D'Alema era un sostenitore accanito di questa tesi. Oggi non si può condannare il premierato come è stato disegnato nella cosiddetta "devolution" come qualcosa di propedeutico a una futura dittatura (come ho addirittura letto)! Va bene che siamo in campagna elettorale e che il referendum costituzionale coinciderà con le elezioni politiche, quindi si è aperta la campagna elettorale non solo per il rinnovo del Parlamento italiano, ma anche per la consultazione referendaria su questa riforma, ma cerchiamo di misurare certe parole o, quanto meno, cerchiamo di suffragarle da tesi che siano valide! Massimo D'Alema sosteneva, a suo tempo, in quella Commissione bicamerale, che di fatto ha fallito il suo compito, che ci vuole un Premier forte perché il Premier italiano, nell'ambito degli equilibri di potere europei, è uno dei più deboli. Vogliamo rafforzare la sua potestà di decisione? Altrimenti il nostro Paese sarà sempre l'Italietta che non riesce a compiere delle scelte strategiche in qualsiasi direzione.
Penso che questa debolezza del Premier sia suffragata proprio in questi anni, a seguito della riforma costituzionale del Centro-Sinistra, da questa necessità di concertazione ossessiva che ci deve essere e con i Governatori delle Regioni e con i Sindaci e con le Province e con le città metropolitane... ma vi rendete conto che è tutta una concertazione che è fine a sé stessa? Quali risultati ha prodotto questa concertazione? Ha prodotto la confusione, ha prodotto quell'immobilismo in cui si è invischiata l'Italia! Da un lato la legislazione concorrente voluta da quella riforma del 2001, dall'altra parte la concertazione ossessiva hanno paralizzato l'Italia... vogliamo permettere a chiunque debba governare l'Italia di avere quel minimo di poteri per poter decidere qualcosa? Non mi sembra che finora questi risultati siano stati conseguiti dalla riforma costituzionale del Centro-Sinistra!
Siamo d'accordo al fatto che questa riforma sia sottoposta al vaglio popolare, perché è giusto che i cittadini dicano la loro in quanto sono loro i destinatari della riforma; ebbene, crediamo che questa riforma - anche se non è la panacea di tutti i mali, perché la sua temporizzazione è alquanto lunga, andrà a completamento nel 2016 - se verrà confermata dall'esito popolare, sia pur sempre un passo avanti! Sarà un passo avanti anche perché, se questo è il primo passo verso un federalismo, un secondo passo lo vedremo nel 2009 con il federalismo fiscale, con l'effettiva ripartizione di risorse sulla base di competenze che poi sono state attribuite: questo sarà un altro scoglio sul quale dovremo difendere le nostre prerogative, ma soprattutto la nostra capacità di proporci in maniera competitiva con le altre Regioni italiane.
C'è poi un fatto fondamentale e riguardante la Valle d'Aosta che è stato unanimemente riconosciuto, non dico da voi, perché l'"Union" e i "DS" cercano di disconoscerlo: il principio dell'intesa. Leggo qui il parere di un costituzionalista, professore ordinario dell'Università degli studi di Roma, che nel criticare alcuni aspetti della riforma del Centro-Destra e nell'apprezzarne degli altri, tra quelli che apprezza (cito): "Viene giustamente aggiunto all'articolo 116, comma 1, il principio d'intesa con le Regioni speciali e le Province autonome sulle modifiche allo Statuto, intesa da raccogliersi fra la prima e la seconda deliberazione parlamentare". È la prima volta che viene riconosciuta la possibilità di un patto tra la Regione e lo Stato; non mi sembra che gli amici del Consigliere Sandri abbiano portato avanti questo principio con convinzione... anzi, ricordo che il Parlamentare Soda dei "DS" voleva modificarlo d'imperio, lo Statuto, senza neppure coinvolgere il Consiglio regionale! Se andiamo a guardare la recente storia costituzionale e repubblicana d'Italia, penso che ci siano più problemi nel suo schieramento per concepire una devoluzione di competenze alle autonomie locali che non dalla nostra parte; siete più centralisti voi che noi, questo è testimoniato dai fatti che sono agli atti parlamentari!
Ripeto, il fatto che D'Alema, Presidente della "bicamerale", volesse rafforzare i poteri del Premier, come oggi lo hanno voluto scrivere Berlusconi e i suoi alleati nella riforma, chiarisce quali sono i giochi delle parti. Possiamo continuare a giocare ognuno dalla sua parte e dire che la nostra è una bella riforma e la vostra è brutta, però allo stato degli atti, dopo 4 anni di vigenza della riforma del Centro-Sinistra, la situazione è invischiata e l'Italia non riesce a crescere da un punto di vista istituzionale. Ripeto, leggi regionali che vengono alla fine decise dalla Corte costituzionale e azioni amministrative che sono "impantanate" nelle conferenze unificate: questo è stato il vostro risultato!
Noi non possiamo permettere che l'Italia si fermi di fronte a un mondo che avanza ad una velocità stratosferica e per questa ragione siamo convinti sia del referendum, sia della valenza della riforma promossa dalla maggioranza della "Casa delle Libertà".
Président - S'il n'y a pas d'autres collègues qui souhaitent intervenir, je vous rappelle que nous votons en deux tronçons, premièrement en votant le point 1.
Je soumets au vote le point 1:
Conseillers présents et votants: 32
Pour: 32
Le Conseil approuve à l'unanimité.
Président - Nous votons maintenant pour ce qui concerne les 2 représentants officiels en tant que délégués au Conseil régional.
La parole au Conseiller Cesal.
Cesal (UV) - Pour ce qui concerne la désignation des représentants de ce Conseil je propose, en accord avec toutes les forces politiques, les nominatifs du Président du Conseil et du Vice-président du Conseil, c'est-à-dire M. Perron en tant que membre effectif et M. Lanièce en tant que membre suppléant.
Président - La parole au Conseiller Viérin Marco.
Viérin M. (SA) - Chiedo 2 minuti di sospensione, perché vorremmo concordare con tutte le forze di opposizione. Se le altre forze di opposizione sono d'accordo bene, altrimenti chiedo 2 minuti di sospensione per addivenire ad una proposta unitaria.
Presidente - Non ho difficoltà a sospendere, ma mi pare di capire che ci sia l'intesa... posso considerare, collega Viérin, non indispensabile la sospensione?
Viérin M. (SA) - Se le forze di opposizione sono d'accordo...
Presidente - ... mi pare di capire di sì.
Pongo in votazione il punto 2:
Consiglieri presenti e votanti: 33
Schede valide: 33
Hanno riportato voti:
quale delegato titolare:
Perron Ego: 31
Lanièce André: 2
quale delegato supplente:
Lanièce André: 29
Perron Ego: 2
Viérin Marco: 2
Presidente - Dichiaro eletti il Presidente Perron come delegato effettivo del Consiglio regionale e il Vicepresidente Lanièce come delegato supplente del Consiglio.
Il Consiglio
ai sensi del terzo comma dell'articolo 10 della legge 25 maggio 1970, n. 352:
Designa
- Perron Ego (delegato effettivo)
- Lanièce André (delegato supplente)
quali delegati che, di concerto coi delegati di almeno altre quattro Regioni, provvederanno ad inoltrare la richiesta di Referendum.