Oggetto del Consiglio n. 2612 del 8 maggio 2002 - Resoconto
OGGETTO N. 2612/XI Iniziative di sensibilizzazione in ordine alla "Convenzione europea". (Approvazione di risoluzione)
Risoluzione Considerato che i recenti Consigli europei di Nizza e Laeken hanno ufficialmente aperto una nuova fase dell'integrazione europea, attraverso l'istituzione della "Convenzione", organo i cui lavori si sono aperti lo scorso 28 febbraio e che dovrà esaminare, mediante un'ampia riflessione sul patrimonio e l'identità comune, le questioni essenziali che il futuro sviluppo dell'Unione europea comporta, ridefinendo i meccanismi istituzionali e gli obiettivi politici dell'Unione;
Ritenendo che il contributo delle realtà locali e regionali costituisca un elemento fondamentale nel processo di avanzamento del progetto europeo, verso uno sbocco costituzionale, grazie alla maggiore prossimità che tali enti garantiscono rispetto ad ogni cittadino europeo in coerenza con una corretta interpretazione del principio di sussidiarietà, come sottolineato anche dal Ministro per le politiche comunitarie, On. Rocco Buttiglione, che con nota del 10 aprile u.s. indirizzata ai Presidenti dei Consigli regionali ha auspicato l'avvio di dibattiti regionali sulla "Convenzione europea";
Preso atto che la Conferenza dei Presidenti dell'Assemblea, dei Consigli regionali e delle Province autonome si è fatta carico di promuovere un dibattito su questo argomento, approvando un programma di animazione che ha già avuto una sua prima attuazione con i lavori del Convegno svoltosi ad Ancona il 1° marzo u.s. dal titolo "Verso la Costituzione europea", promosso dalla Presidenza Consiglio regionale delle Marche, oltre che attraverso un approfondito dibattito sul tema nel corso dell'ultimo Congresso delle Regioni, svoltosi a Roma gli scorsi 10 e 11 aprile;
Tenuto conto, altresì, della Proposta della Conferenza dei Presidenti dell'Assemblea, dei Consigli regionali e delle Province autonome di "organizzazione di Forum regionali", previsti dal programma di animazione sopra menzionato promosso dai Consigli regionali, i cui obiettivi prioritari consistono nel favorire la più larga partecipazione del mondo culturale, sociale, economico e politico nella sua dimensione regionale, nel favorire l'emergere di contenuti validi che possano configurarsi come contributi utili al dibattito italiano sulle riforme europee e al dibattito in corso in seno alla "Convenzione", nel mantenere il perno del dibattito, sia come luogo di elaborazione che di organizzazione, presso ogni Consiglio regionale e nel favorire le più ampie ricadute nella comunicazione, nel coinvolgimento e nella partecipazione dei cittadini;
il Consiglio regionale
Dà mandato
all'Ufficio di Presidenza del Consiglio regionale di porre in essere tutti gli atti necessari alla costituzione, sulla base di quanto indicato nella proposta della Conferenza dei Presidenti dell'Assemblea, dei Consigli regionali e delle Province autonome, di un Forum regionale, la cui durata sarà pari alla vita della Convenzione, che sia sede di dibattito sui lavori della Convenzione europea, e in particolare attraverso:
a) la convocazione in assemblea plenaria del Forum in almeno due occasioni, con la partecipazione di tutte le forze politiche, le espressioni sociali, culturali ed economiche della Valle;
b) la realizzazione di azioni di sensibilizzazione e di un dibattito propedeutico alle riunioni del Forum, negli ambiti della vita sociale, nelle scuole, nelle associazioni;
c) la costituzione di un Comitato per la Convenzione, che assicuri la circolazione delle informazioni e l'organizzazione degli eventi di animazione, che riunisca e stimoli la qualità e i contenuti dei dibattiti preparatori e a cui partecipino il Presidente del Consiglio regionale, che lo presiede, i Capigruppo del Consiglio, il Presidente della Regione o un Assessore suo delegato, il Sindaco di Aosta o un suo delegato, il Presidente del Consiglio permanente Enti Locali, invitandovi, come membri effettivi, i Parlamentari valdostani e i rappresentanti delle associazioni culturali, sociali ed economiche della Valle d'Aosta;
Individua
quali obiettivi del Forum regionale:
a) il coinvolgimento democratico del mondo culturale, sociale, economico, politico e sindacale nella sua dimensione regionale, per fare emergere contenuti validi che possano configurarsi come contributi utili al dibattito sulle riforme europee e al dibattito in corso sulla Convenzione;
b) un dibattito vivo e spontaneo, che abbia come soggetto promotore ed organizzatore il Consiglio regionale della Valle d'Aosta;
c) ampie ricadute di comunicazione, di coinvolgimento e partecipazione dei cittadini e delle cittadine della Valle d'Aosta al dibattito in corso, al fine di sottoporre al Consiglio regionale proposte da inviare alla Convenzione europea per la formulazione del testo costituzionale in preparazione.
F.to: Louvin
Président Collègues Conseillers, le 9 mai, comme vous le savez, a été indiqué par la Commission européenne comme la Fête de l'Europe et, d'avis commun avec la Conférence des Chefs de Groupe et du Bureau du Conseil, il a été considéré important d'insérer ce point à l'ordre du jour non pas pour célébrer les faits de l'histoire, mais pour établir un point de départ de notre réflexion; cela parce que nous vivons un moment important, une étape fondamentale sur le chemin de l'intégration européenne.
Près d'un demi-siècle nous sépare du Traité de Rome de 1957, le long d'un parcours, parfois incohérent, qui a souvent oscillé entre la nécessité et l'utopie. Un processus qui, de l'avis d'une grande partie de nos peuples, est devenu inéluctable et nous espérons irréversible, mais dont rien ne laissait, au départ, imaginer le succès. Nos proches voisins regardent aujourd'hui à notre Europe comme à un havre de paix, de stabilité et de bien-être. Les Pays candidats à entrer dans l'Union européenne se multiplient et malgré cela nous vivons, nous, qui sommes à l'intérieur de cette forteresse européenne, avec la conscience, désormais sous les yeux de l'humanité entière, de l'existence d'éléments de grande inquiétude à l'intérieur de l'Union: de la part des composantes sociales ou des peuples qui se sentent menacés, qui risquent d'être marginalisés; des fantômes du totalitarisme et de la xénophobie; d'une marginalisation toujours possible de fortes composantes sociales et de nouvelles pauvretés. L'Union européenne qui est devenue désormais un géant économique, en même temps risque d'être un nain politique sur la scène internationale et les crises réitérées qui se sont produites à l'échelle internationale, du Kosovo à l'Afghanistan, à celle toute récente du proche Orient, nous font sentir le besoin d'une Europe plus forte et plus déterminée au sein de la communauté internationale.
Dans la situation actuelle de l'Europe à nos yeux, trois éléments se font remarquer: celui du déficit démocratique dont elle est marquée en ce moment, de par les faibles possibilités de participation populaire; du fait d'un manque de racines à la base de cette Europe; d'éléments de difficulté dans la communication de l'Europe, qui parfois, même la classe politique - les classes politiques, je ne veux pas isoler la nôtre parmi les autres - sent comme étant autre chose qu'elle même. Une Europe dont aisément nous prenons les distances en assumant des tons de critique, même là où nous aurions le droit et le devoir d'expliquer ou d'essayer de comprendre les nécessités à côté des justes critiques.
Nous l'accusons d'un défaut de transparence dans le langage critique et d'un excès de technicisme dont elle est indiscutablement marquée. Les peuples d'Europe craignent une Europe hydre, une Europe technocratique, une Europe à très haute concentration de pouvoirs sur Bruxelles et cela en même temps qu'ils assistent et prennent part à l'accélération spectaculaire du processus depuis Maastricht, à travers Schengen et Amsterdam, avec l'entrée en vigueur d'un régime monétaire commun et d'un système de banque centrale qui marque le recul de la souveraineté des Etats sur le domaine où s'était jusqu'à présent exercée toute leur autorité.
Nous savons combien l'unification allemande a joué dans cette direction, nous savons que la pression extérieure, que l'instabilité "aux bornes du royaume" - comme on disait autrefois - a fortement conditionné la nécessité d'union, nous savons combien la mondialisation des marchés a joué vers cette nécessité. Cependant, si les déclarations se multiplient, si le "Catalogue des droits" contenu dans la "Déclaration de Nice" a marqué aussi un point important, le volet social et la pénétration, je dirais "populaire" de cette Europe, est encore loin d'être un fait accompli. Sur cela la "Déclaration de Laeken" a lancé la "Convention européenne", elle a promu la naissance d'un organe nouveau visant à élaborer un texte qui pourrait devenir constitutionnel et constituant pour la nouvelle Europe que nous appelons de nos v?ux.
Les difficultés sont évidentes, un processus qui est, en quelque sorte, marqué par une certaine froideur à son origine, accompagné par la conscience de la nécessité historique de ce tournant, de même que par une absence d'âme dans cette démarche et de sensibilité de la part des gens. Nous avons, dans les études et les sondages d'opinion qui ont étaient réalisés dans ces dernières semaines, pris conscience du fait que les gens ne connaissent pas ce qui est en train de se produire au sommet. Nous avons le droit et je dirais plutôt le devoir d'expliquer, d'illustrer, de promouvoir la discussion si nous voulons être partie prenante et non spectateurs réduits à un rôle velléitaire, à cette aptitude superficielle qui nous amènerait à des comportements revendicatifs, non accompagnés d'un esprit de sérieux.
Je voudrais aussi signaler le danger, qui est présent dans cette salle comme ailleurs, d'un certain nombrilisme, d'un certain repli sur des guerres picrocholines qui occupent, parfois spectaculairement, notre communauté valdôtaine; le risque se déclare que les compétitions, qu'elles soient électorales ou d'autre nature, tout à fait internes dans notre communauté, prennent les devant sur les grands enjeux que nous vivons. Nous ne pouvons pas laisser planer le doute qu'il y ait un déficit démocratique dans notre région, là-dessus nous avons le devoir d'ouvrir le débat dans la société valdôtaine.
Un débat sur quoi? D'abord, sur la mission de l'Europe, sur ce qu'elle est appelée à faire pour être espace de liberté, gardien de la paix au niveau mondial, maître dans son économie, mais aussi utilisateur responsable des ressources internes et externes, sujet d'une action humanitaire permanente.
Puis un débat sur la répartition verticale des compétences dont souvent nous avons déjà souligné, que le danger d'expropriation nous guette; nous devons accompagner cette définition de nouvelles compétences aux trois niveaux de l'Europe en garantissant les autonomies dans les contenus et dans les procédures. Encore, un débat sur les pouvoirs financiers pour que la répartition des charges soit homogène, mais qu'elle tienne compte aussi des différences structurelles notamment de la nôtre: celle de la dimension de "Pays de montagne", que nous sommes.
Un débat aussi sur les instruments puisque nous savons que toute fédération, tout système fédéral, a toujours utilisé les pouvoirs implicites qu'il lui était accordés pour en assurer l'expansion. Aurons-nous des lois cadre, des "soft-law", comme on dit aujourd'hui, de la part de l'Union européenne de demain? C'est de cela qu'on parle à la Convention; c'est cela que nous appartient de comprendre, d'essayer, de prévoir et le cas échéant, de contraster. L'on parlera aussi d'élection directe, l'on discutera de l'accès à la Commission de Justice de la "justiciabilité de la subsidiarité", terme compliqué, terme juridique mais qui cache en réalité les droits profonds que nous voulons et nous pouvons exercer; l'on parlera, dans cette future constitution européenne, des droits individuels et des droits collectifs.
Notre point de mire, dans ce débat, doit être principalement - mais pas seulement - celui de garantir à notre région un avenir. L'avenir à une région spéciale pendant 50 ans, mais qui ne sait pas si elle pourra l'être demain dans la dimension d'une Europe à 25, dans une dimension européenne qui regarde vers l'Est pour s'agrandir, mais qui sait déjà qu'elle aura des déséquilibres profonds, et que l'an 2006 viendra rapidement avec un risque très grave et largement annoncé d'une réduction, voir d'une cessation des fonds structurels, dont nous avons largement bénéficié aujourd'hui, dont beaucoup de régions, notamment dans le midi de l'Europe, ont bénéficié jusqu'à présent.
Nous devons rechercher des perspectives nouvelles pour notre Région dans ce contexte, qui est mesurée, pour la première fois, après un demi-siècle, à un vrai choix constitutionnel. Quels seront nos alliés? Quels seront nos adversaires dans ce jeux? Quelle stratégie aurons-nous? Quelle stratégie aura-t-elle cette région? C'est de cela qu'il faudra parler d'après nous.
Pour ce faire nous devrons cependant être à l'écoute de notre société valdôtaine, de ses craintes et de ses attentes, du monde rural, industriel, de la formation, des services, pour comprendre et accompagner ce phénomène, pour être bien branchés sur la l'âme de fond du mouvement régional européen qui s'est affirmé dans ces dernières années en Espagne, au Royaume Uni, en Belgique, qui parait se renforcer en Italie pour rejoindre d'autres Pays, mais qui doit trouver un cadre nouveau dans une Europe des régions plus large.
La partie se joue entre les États, nous le savons, mais nous n'en sommes pas spectateurs. Dans le Comité des Régions d'Europe, où notre Président de la Région est présent, dans les Parlements nationaux, dans le Parlement européen.
Dans toutes les instances de liaison, notre voix ne doit pas être une voix individuelle, mais la voix collective, forte dans le choix du modèle d'Europe qui est, en ce moment, en jeu. Nous savons la faiblesse du poids des Régions au sein de la Convention, où six seulement sont les représentants régionaux face à plus de 100 représentants d'autres institutions, mais cette partie est a jouer pour que nous puissions être assurés d'avoir un espace. C'est peut être "mero esercizio filosofico" mais la philosophie, parfois, est indispensable, elle est l'âme et le sel de notre civilisation; notre participation à cet exercice de style est fondamentale pour notre communauté.
Je crois personnellement - j'espère vous partagerez ce point de vue - que le dialogue et la confrontation des idées peuvent nous amener loin et, en tout cas, renforcer notre communauté dans le sens de lancer un message à la Convention pour que l'Union européenne soit unie dans une paix responsable, juste, équitable, vers un développement durable et soutenable de tous les peuples qui la composent.
Avec beaucoup de rhétorique, j'espère sans trop avoir abusé de votre patience, j'ai essayé de tracer les perspectives dans lesquelles s'insère cette initiative par rapport à laquelle j'ai reçu mandat, de la Conférence des Chefs de groupe et du Bureau de la Présidence, d'élaborer un texte de résolution pour promouvoir la naissance d'un forum de discussion, un forum permanent de discussion qui accompagnera les travaux de la "Convention européenne". D'autres Régions vont s'organiser dans le même sens, dans le sillon d'une initiative promue par les Conseils régionaux et qui est fortement sollicitée également par le Parlement national et par le Gouvernement italien. Je vous demande, par conséquent, de bien vouloir vous exprimer à ce sujet. La discussion est naturellement ouverte et je vous remercie, d'ores et déjà, de l'apport que vous y donnerez.
Par rapport au texte que les Chefs de groupe et les membres du Bureau avaient reçu, le texte actuel contient quelques petites corrections sur la réformulation des objectifs, non pas dans la substance, mais dans la forme, et également une petite précision sur les sujets qui composent le Comité pour la Convention.
Veuillez bien en prendre note. Merci beaucoup.
Président La parole au Conseiller Curtaz.
Curtaz (PVA-cU) Soltanto poche parole dopo l'introduzione direi ampia, completa e, per larga parte, condivisibile del Presidente, introduzione che evita a chi interviene successivamente di riprendere, magari esponendoli in modo peggiore, i concetti illustrati dal Presidente, per lo più del tutto condivisibili. Ritengo sia comunque necessario intervenire, anche nella mia qualità di Capogruppo, per sottolineare l'importanza di questa iniziativa.
Lamentiamo spesso - e non a torto - di vivere in una Europa in cui le dinamiche economico-finanziari hanno avuto un'accelerazione che giudichiamo positiva, ma alle quali non è coinciso un processo di unificazione politica, culturale, un processo che avrebbe dovuto andare di pari passo con l'integrazione economico-finanziaria, e del cui ritardo forse oggi paghiamo i primi prezzi politici.
Il fatto che in tutti i Paesi d'Europa ci siano dei partiti politici, dei movimenti che si dichiarano anti-europeisti o che, pur non dichiarandosi apertamente anti-europeisti, manifestano perplessità che definire eccessive è dire poco, manifestano un atteggiamento di diffidenza, di sospetto, di critica spesso ingiustificato nei confronti dell'Europa, è il segnale del ritardo politico nell'assimilazione delle varie culture politiche di cui è composta l'Europa.
Diversità di culture politiche che costituiscono la ricchezza dell'Europa stessa, ma che hanno rallentato l'unificazione politica, accumulando pesanti ritardi rispetto a quella che è stata l'unificazione di carattere economico-finanziario, accelerata dai fenomeni della cosiddetta "globalizzazione" e dall'introduzione della moneta unica. Ebbene, io credo che questo ritardo vada colmato, vada colmato soprattutto con la partecipazione, con il coinvolgimento delle istituzioni e dei cittadini a questo processo; quello che è mancato in questi anni è stato un coinvolgimento più capillare, un coinvolgimento più profondo proprio dei soggetti principali della vita democratica. Abbiamo avuto l'impressione - ma non solo l'impressione, è un dato di fatto - che i procedimenti di decisione politica europea fossero svincolati dai principi di democrazia a cui siamo abituati da decenni di pratica democratica.
Per anni non abbiamo votato neppure un parlamento europeo, quando si è insediato il parlamento europeo, abbiamo votato un organismo dapprima privo di poteri sostanziali e solo via via abbiamo scelto un parlamento che ha cominciato ad assumere delle caratterizzazioni e delle competenze più importanti, ma senz'altro inferiori agli organismi decisionali - Commissione e Consiglio d'Europa - che in questi anni, senza una legittimazione democratica diretta del popolo, hanno preso tutte le importanti decisioni che conosciamo.
C'è bisogno di maggiore democrazia, c'è bisogno di una partecipazione e quindi di un coinvolgimento dei cittadini, delle associazioni e delle forze politiche a questo processo costituente; quindi, l'iniziativa delle regioni, l'iniziativa che oggi promuoviamo con la risoluzione che andiamo a votare, è un'iniziativa opportuna, che dovrà tuttavia riempirsi di concretezza e di contenuti. Dobbiamo cercare di evitare, per non commettere un errore, di approvare una risoluzione condivisibile e condivisa, senza poi dare ai nostri impegni quella concretezza che invece l'iniziativa richiede.
Potrei fermarmi qui, ma voglio fare ancora una precisazione, che peraltro potrebbe pure sembrare inopportuna, vista l'importanza della materia. La voglio fare affinché non ci siano fraintendimenti, e dico subito che non avremo un atteggiamento pretestuoso, che voteremo le modifiche proposte dal Presidente esattamente nella forma in cui sono state proposte e senza presentare alcun emendamento. Vedo che al punto c), quando si parla della costituzione del Comitato per la convenzione, sono stati aggiunti i Parlamentari valdostani. Ritengo che questa aggiunta sia opportuna.
Allora dove sta la mia precisazione? Possiamo intendere i Parlamentari valdostani in due modi. Credo che siano Parlamentari valdostani il Deputato e il Senatore della Repubblica eletti nella nostra Regione e basta. Credo però che il Presidente del Consiglio intenda come "Parlamentari valdostani" i nostri Parlamentari italiani e l'On. Caveri.
Non chiedo di precisarlo, però per onestà intellettuale, anche perché un domani non si dica: "avete accettato questo testo", oppure: "una volta è stata presentata in Consiglio regionale questa definizione" - che poi potrebbe anche avere dei risvolti regolamentari in quest'aula - voglio chiarire che, mentre possiamo parlare di "Parlamentari valdostani" in riferimento ai Parlamentari eletti alla Camera e al Senato, perché rappresentanti della Valle d'Aosta in base a un sistema elettorale di tipo uninominale - non possiamo accettare invece, come spesso avviene anche sugli organi di stampa - soprattutto quelli pubblici -, che un Parlamentare eletto come rappresentante di una forza politica che si è presentata in una circoscrizione possa essere caratterizzato come "Parlamentare valdostano".
Dopo di che sono personalmente persuaso e convinto che l'On. Caveri, anche per i ruoli istituzionali che riveste, debba far parte del Comitato per la Convenzione della nostra Regione.
Président La question, loin d'être une question sémantique, a fait l'objet de discussions au sein de la Commission pour le Règlement. Je voudrais simplement souligner qu'il n'y a pas de malice en cela, que la terminologie "Parlamentari della Valle d'Aosta" est utilisée pour indiquer, aux termes du Statut, les deux Parlementaires élus au sein du Parlement national; ce n'est pas sans raison que nous avons utilisé une définition, qui dans ce cas nous permet de faire rentrer, comme je pense que tout le monde ici considère utile et précieux, même les Parlementaires valdôtains qui siègent en ce moment au sein de l'Assemblée de Strasbourg et qui en plus occupent une place particulièrement importante. Cela n'a pas de liaison et de sens caché par rapport à une discussion qu'à d'autres niveaux nous avons menée et que naturellement nous mènerons encore. Merci pour votre précision.
La parole au Conseiller Nicco.
Nicco (GV-DS-PSE) Esprimiamo anche noi apprezzamento pieno per la decisione della Conferenza dei Presidenti dell'Assemblea, dei Consigli e delle Province autonome di ascoltare su un tema come questo, di indubbio rilievo, qual è la Convenzione europea, la voce delle comunità territoriali, dei Consigli regionali. Ovviamente auspichiamo che le risultanze di questa consultazione siano tenute nella dovuta considerazione e non servano, come troppo spesso accade in situazioni analoghe, unicamente a riempire qualche archivio, già troppo inutilmente corposo.
Nel merito, qualche breve considerazione aggiuntiva a quanto è già stato detto dal Presidente Louvin e dal collega Curtaz.
L'Europa è nata come entità prevalentemente economico-commerciale, nonostante progetti ben più ampi in discussione nel primo dopoguerra: dalla Federazione europea di Schuman, al tentativo di costituzione di una Comunità europea di difesa, fin dal 1952.
L'Europa è stata poi a lungo, sostanzialmente, essenzialmente, economico-commerciale: comunità del carbone e dell'acciaio, allargamento delle competenze all'agricoltura, e così via, e, come giustamente ha ricordato il Presidente Louvin, il rischio è stato di trovarsi di fronte ad un gigante economico e ad un nano politico. Così è stato anche recentemente. Con passi decisivi sul versante economico, commerciale e finanziario: il Patto di stabilità, la Banca centrale europea, l'euro. E con passi invece ben più timidi, troppo timidi su altri aspetti. In questi anni, su vicende cruciali - alcune sono state ricordate dal Presidente Louvin - abbiamo potuto misurare tutta la debolezza dell'Europa in materia di politica estera e di difesa comune.
Europa debole e contraddittoria anche nelle sue istituzioni, a mio modo di vedere, con il permanere del dualismo Consiglio-Commissione, con un Parlamento che è tuttora alla ricerca di un ruolo che non sia di mera ratifica delle decisioni assunte dagli altri organismi.
Europa, per contro, assai pervasiva, invasiva su altri piani, tramite una struttura burocratica che non possiamo non definire "elefantiaca". Lo abbiamo sperimentato direttamente, anche noi, come Regione autonoma Valle d'Aosta. "Meno complessità e rigidità" e soprattutto "più efficienza e trasparenza", recita la stessa "Dichiarazione di Laeken", e quindi, evidentemente, ci si è resi conto anche ai massimi livelli di una situazione che deve essere modificata.
Con la Convenzione europea siamo ora certamente ad un passaggio importante, forse decisivo, anche sul piano politico. "L'Europa ad un crocevia" titola, non a caso, il primo paragrafo della citata "Dichiarazione di Laeken", con cui si è promossa l'istituzione della Convenzione, che dovrebbe redigere nuove regole comuni fino a porre le basi di quella Costituzione europea da più parti auspicata, ed in ultimo anche nella dichiarazione congiunta dei Presidenti Ciampi e Rau del 15 aprile scorso.
Tuttavia, come non rilevare, anche qui, una debolezza a mio avviso di fondo, strutturale, perché l'organismo a cui è affidato un compito di così grande rilievo è costituito da 105 rispettabili personalità, nominate in rappresentanza dei Capi di Stato e di Governo, dei Parlamenti nazionali, dei Paesi candidati all'adesione, ma non ha avuto alcuna legittimazione democratica diretta da parte di quei cittadini per i quali essi dovrebbero operare.
Non credo che ai costituenti europei mancheranno i punti di riferimento ideale e politico a cui ispirare la loro azione, ne voglio ricordare uno, quel "Manifesto di Ventotene" (luglio 1941) in cui già si prefiguravano le linee di sviluppo della nuova Europa, con un ordinamento federale che segnasse "la fine definitiva delle politiche nazionali esclusiviste", l'abolizione delle barriere protezionistiche, la piena libertà di movimento a tutti i cittadini, il reclutamento e l'impiego delle forze armate, la conduzione della politica estera, l'adozione di una moneta unica, la garanzia dei diritti delle minoranze. Tutto ciò era già scritto fin da allora, 1941, in modo quanto mai lungimirante.
Come Valdostani poi, potremmo certo ricordare, sommessamente ai membri della Convenzione questo interessante volumetto - non possiamo non farlo - dal titolo "Storia dell'idea di Europa", in cui, nell'ormai lontano 1959, Federico Chabod raccoglieva i suoi studi, iniziati in piena guerra, nel 1943-1944, sui tempi e i modi in cui era emersa e si era configurata una coscienza europea. Studi densi di riferimenti, dai quali tuttora l'Europa non può prescindere: Erasmo e l'Umanesimo, Montesquieu e "L'esprit des lois", Voltaire e "La république littéraire", e quant'altro.
Quindi Europa, come scriveva Chabod, "che forma un quid a sé, proprio e soprattutto per certe determinate caratteristiche dei suoi sistemi filosofici e politici, Europa come individualità storica".
Per quanto poi ci concerne più direttamente, in quanto entità politico-amministrativa autonoma, già altre volte in quest'aula abbiamo cercato di definire dei punti fermi nelle nostre relazioni con l'Unione europea, una Unione nella quale - come giustamente è già stato sottolineato - il ruolo delle comunità territoriali è oggi ancora largamente marginale. Il Presidente Louvin ricordava che il Comitato delle Regioni ha una propria rappresentanza all'interno della convenzione, bisogna aggiungere che questi rappresentanti saranno lì non a pieno titolo, ma solo come osservatori. Punti fermi, dicevo, quelli che abbiamo cercato di indicare già altre volte, che hanno una valenza tuttavia generale, per tutte le realtà simili alla nostra, e che proprio perciò mi pare utile richiamare brevemente raccogliendo quell'invito alla concretezza di contenuti che faceva prima anche il collega Curtaz.
La Valle d'Aosta deve quindi poter concorrere alla determinazione della volontà della Repubblica italiana in merito alla politica dell'Unione europea; partecipare alla formazione degli atti normativi comunitari che incidono nelle materie di nostra competenza; provvedere direttamente all'attuazione del diritto comunitario in queste materie; partecipare, ovviamente, con una propria rappresentanza al Parlamento europeo; poter adire gli organi giurisdizionali comunitari quando ritenga che una propria competenza sia lesa da un atto dell'Unione europea. Ecco dunque una serie di elementi concreti, da mettere sul tappeto di questo dibattito, che deve essere, sì, ampio sui principi generali, ma anche poi contenere delle indicazioni precise, operative.
Queste mi sembrano, in sintesi, alcune questioni di carattere sia generale, ideale, sia particolare che potrebbero essere sottoposte a quel "Forum permanente" la cui costituzione è prospettata nella risoluzione che ci viene sottoposta, e poi lì, in quella sede ampiamente ed opportunamente sviluppate.
Président La parole au Conseiller Marguerettaz.
Marguerettaz (SA) Mi inserisco volentieri in questo dibattito che sta nascendo e che sembra assumere, perlomeno in certi frangenti, dei toni di carattere ideale o filosofico, come diceva il Presidente Louvin.
La cosa non mi scandalizza, anzi, mi appassiona, perché credo che quando ragioniamo sull'Europa, sulla convenzione e un domani su quella che sarà la "costituzione europea", o abbiamo il coraggio di ripartire da questo pensiero dell'uomo sull'uomo, oppure corriamo il rischio di generare quella che purtroppo, ad oggi, sembra una conformazione che sta prendendo l'Europa, vale a dire una mera lotta tra interessi di carattere economico, finanziario e di potere.
Invece il processo di integrazione europea, con la relativa creazione di istituzioni comunitarie, ha visto sorgere, fin dal suo nascere il problema della coesistenza di istanze autonome e sovrane all'interno di un progetto politico comune.
Il problema dell'attribuzione delle competenze, in particolare di come regolare i rapporti fra le istituzioni comunitarie e gli Stati nazionali, ha trovato ora una soluzione nel ricorso al principio di sussidiarietà. Il "Trattato di Maastricht" e il successivo "Protocollo di Amsterdam" hanno in effetti consacrato la sussidiarietà a principio fondante dell'Unione europea. In questo modo, per avviare il processo di integrazione politica del vecchio continente, è stato riesumato un principio che affonda le sue radici nella dottrina classica del diritto naturale, e in specie in S. Tommaso d'Aquino, che è al centro della dottrina sociale della Chiesa.
Il processo di costruzione europea, quindi, "dovrebbe" fondarsi - uso volutamente il condizionale - sull'esistenza presso i popoli europei di una sorta di complicità, che viene prima degli interessi particolari ed è più importante degli interessi nazionali medesimi; potremmo definirlo, in una parola, il "bene comune europeo". Nel processo di integrazione europea questo principio di sussidiarietà è chiamato a giustificare e a garantire l'autonomia dei gruppi fondatori e a ricordare, al tempo stesso, che l'istanza superiore, la comunità, è a loro servizio, e non il contrario, ma esso richiama anche l'attenzione sulle esigenze di un interesse generale comune, come dicevo, che è la ragione principale che ha avviato il processo di integrazione europea. Tale principio non annulla l'istanza superiore, cioè la Comunità europea, ma ne delimita le competenze, avendo come scopo il non perdere di vista né l'autonomia delle singole comunità né l'interesse generale.
Come sosteneva il Benvenuti, ciò a cui tende il diritto comune europeo non è tanto di sostituire e quasi sopraffare gli Stati nazionali, quanto di ottenere una parificazione delle posizioni giuridiche di tutti i cittadini europei a qualunque Stato essi appartengano, facendo leva attraverso il principio di sussidiarietà sulla capacità degli individui singoli e associati di autoregolarsi. Ad ogni modo, se è da considerarsi con favore il fatto che il principio della sussidiarietà sia stato accolto e recepito nei trattati dell'Unione, occorre anche considerare con spirito critico il modo con cui viene recepito questo principio. Infatti, nel leggere la disposizione del "Trattato di Maastricht", secondo la quale compito delle istituzioni è garantire che le decisioni siano prese il più vicino possibile ai cittadini conformemente al principio di sussidiarietà, molti colgono un suggerimento teso ad ampliare il potere degli enti locali minori nei confronti dello Stato. Così la sussidiarietà si concretizzerebbe semplicemente nel delegare il centro di gestione del potere dallo Stato alle Regioni, da queste alle Province, da queste ancora ai Comuni, e via dicendo. A mio avviso, invece, il livello più vicino al cittadino rimane il cittadino stesso, in altri termini occorre che la persona sia al centro e insieme protagonista della vita politica e sociale, e ciò è possibile unicamente se si riconosce il valore della dignità della persona umana. La sussidiarietà, quella vera, ha, come sappiamo, una dimensione istituzionale, verticale, ma anche contemporaneamente una dimensione sociale, orizzontale. Lo stesso "Libro bianco" sulla "gouvernance" europea adottato dalla Commissione europea il 21 luglio 2001, denuncia l'insufficienza dei soli principi di sussidiarietà verticale e di proporzionalità a sostenere lo sviluppo del futuro dell'Unione europea.
Nel medesimo tempo, lo stesso "Libro bianco" suggerisce la strada dell'integrazione di quei principi attraverso direzioni diverse, fra cui quella del coinvolgimento della società civile organizzata nelle decisioni e nell'attuazione delle politiche comunitarie.
È quindi da salutare con favore e da incentivare questa partecipazione dei soggetti sociali fin da questo momento, fin dal momento cioè della fase di elaborazione della Convenzione che, come sappiamo, sarà propedeutica alla futura "costituzione europea". Il dibattito intorno a questa Convenzione europea e, più in generale, intorno al modello di unione che si vuole realizzare, vede ormai sempre più accentuarsi la contrapposizione fra, da una parte, i sostenitori della sovranità statale e, dall'altra, i partigiani della sussidiarietà.
Per i primi, l'Europa deve fondarsi su istituzioni forti e sovranazionali, la politica deve cedere il passo forse alla tecnocrazia: in questo modo le istituzioni europee avranno la possibilità di governare dall'alto i processi politici e sociali e saranno in grado di affrontare i problemi delle fasce più deboli della società. Viceversa, per i cultori della sussidiarietà, il destino politico dei popoli europei dipende, facendo leva appunto su questo concetto, da loro stessi, dalla loro capacità di farsi carico del proprio destino.
In breve, sintetizzando, per i primi, i fautori di un'Europa Stato sovrazionale, l'unione diventa un super-Stato, per i secondi invece diventa una vera e propria federazione di popoli. La sfida credo che, alla sintesi di tutte le questioni che sono e che saranno dibattute, si riduca poi a questo. È dunque proprio in questa ottica che mi auguro che in questo "Forum", che andremo ad organizzare e che ritengo più che mai opportuno, la società valdostana, forte della sua tradizione autonomista e solidarista nel tempo stesso, sappia avanzare delle proposte - proposte alle quali ci auguriamo tutti che qualche orecchio dia ascolto - che salvaguardino quella visione dell'uomo che apparteneva fortemente al popolo valdostano e che aveva le stesse origini culturali di quelle di S. Benedetto, non a caso elevato a Patrono dell'Europa.
Président La parole au Conseiller Cerise.
Cerise (UV) Mi sono visto anticipare quello che volevo dire dal Consigliere Marguerettaz. Il mio non era un intervento preparato, non ho avuto nemmeno il tempo, ho preso atto di questa proposta…
(interruzione del Consigliere Marguerettaz, fuori microfono)
… no, tu eri più informato di me! Il mio intervento parte da una considerazione e cioè qual è l'impatto che questa risoluzione può avere nei confronti del cittadino valdostano. È una risoluzione condivisibile, per certi versi perfetta, auspicabile, quindi un'ottima iniziativa quella che poi sottende, cioè l'apertura di questo "Forum". Voglio fare però un piccolo appunto a tutta la restante documentazione, che mi pare parta da un presupposto.
Mi pare di rilevare che in tutto il suo percorso la Comunità europea non si toglie di dosso un peccato originale, che è quello che ha detto il Consigliere Marguerettaz, ovvero di non porre all'attenzione della sua azione il cittadino. Il cittadino diventa uno strumento della Comunità europea, di progetti ambizioni, di disegni apprezzabili, ma non è mai posto al centro dell'azione dell'istituzione europea. Questo forse spiega perché abbiamo, oggi, in Europa, quattro trattati e non una costituzione, alla quale finalmente speriamo di poter arrivare. In un certo senso anche qui l'unica volta che si usa la parola cittadino, la si usa per dire che il contributo delle realtà locali e regionali costituisce un elemento fondamentale verso uno sbocco costituzionale, grazie alla maggiore prossimità che tali enti garantiscono rispetto ad ogni cittadino europeo. Può darsi anche che riusciamo a percepire il significato importante di questa affermazione, ma mi chiedo un uomo della strada cosa percepisce di questo tipo di messaggio. Il mio auspicio era allora di sottolineare in questa risoluzione che l'obiettivo è quello di ridisegnare un nuovo cittadino europeo, che sia protagonista dell'azione politica della Comunità europea.
Un'altra considerazione che volevo fare, brevissima, era per quanto riguarda una certa attitudine. Chi ha seguito la campagna politica nelle elezioni tedesche, ma anche in quelle francesi, si è accorto di come anche partiti, che dopo hanno fatto inversioni di marcia a 180 gradi, si siano lasciati prendere la mano, ma questo per fidelizzare un certo tipo di elettorato, lasciandosi andare sulla strada di una sorta di "revanscismo nazionalista": recuperare degli spazi nei confronti dell'Europa. Questa attitudine è poi quella che in Francia ha portato certi risultati e che anche in Germania ha avuto i suoi effetti. Allora, cosa mi viene voglia di dire in relazione a questo? Qui, nella nota in cui si dice: "animazione del dibattito nel territorio sulla Convenzione europea e il futuro delle regole e il processo di integrazione", si parla di quelli che sono i quesiti posti: "potranno essere di due livelli, uno generale e uno regionale, da un lato essi riguardano una serie di quesiti rivolti al cittadino italiano e europeo che coincidono con quelli già posti alle stesse condizioni", per esempio: "Abbiamo bisogno di più o di meno Europa"? Io comincerei molto più in basso, comincerei a porre il quesito in questi termini: "Abbiamo bisogno dell'Europa"? Perché è questo che dobbiamo far capire una volta per tutte, altrimenti ogni volta che ci si vede limitare l'azione per quanto riguarda i contributi, piuttosto che una direttiva che rivoluziona un certo tipo di comportamento, viene voglia di dire: "Insomma questa Europa alla fine finisce per essere non uno strumento di promozione, ma uno strumento di vincolo". Questo era solo il mio modesto contributo a questo dibattito. Grazie.
Président Merci, Monsieur le Conseiller. Est-ce qu'il a d'autres Conseillers qui souhaitent intervenir dans le débat? Je n'ai plus de Conseillers inscrits à parler. Je pense que les indications qui nous viennent du Conseiller Cerise sont a considérer plutôt dans le sens d'une sollicitation d'ordre général que d'un amendement formel au texte de la résolution. Sur cela je vous remercie de vos contributions très pertinentes et profondes au débat que nous avons essayé de lancer.
Je soumets au vote la résolution telle qu'elle vous a été soumise:
Conseillers présents: 30
Votants: 30
Pour: 30
Le Conseil approuve à l'unanimité.