Oggetto del Consiglio n. 2440 del 6 febbraio 2002 - Resoconto
OBJET N° 2440/XI Conférence régionale de la condition féminine. Approbation du programme d’activité pour l’année 2002.
Délibération Le Conseil
Étant donné que la Conférence régionale de la condition féminine a présenté son programme d’activité pour l’année 2002 et demande son approbation par le Conseil régional, aux termes de l’article 8 de la loi régionale n° 65 du 23 juin 1983;
Considérant que cette Conférence a par ailleurs présenté le rapport ci-joint sur ses activités en 2001;
Vu le budget prévisionnel du Conseil régional au titre de l’année 2002;
Vu les délibérations du Bureau de la Présidence du Conseil n° 149 du 27 octobre 2000, portant "Révision de l’organisation du Conseil régional et modification des délibérations n° 104/1999 et n° 106/1999" et n° 201/2001 du 21 décembre 2001, portant "Attribution, au titre de l’année 2002, aux structures de direction des crédits et des objectifs de gestion y afférents";
Vu la loi régionale n° 65 du 23 juin 1983 modifiée;
Vu l'avis favorable émis par le Directeur des affaires générales de la Présidence du Conseil, au sens du dispositif conjoint de la lettre e) du 1er alinéa de l'article 13 et du 2e alinéa de l'article 59 de la loi régionale n° 45 du 23 octobre 1995 sur la légalité de cette délibération;
Entendu l'avis de la IIème Commission permanente du Conseil;
Délibère
1) d’approuver l’annexe programme d’activité rédigé par la Conférence régionale de la condition féminine au titre de l’année 2002, qui prévoit une dépense globale de 77.469 euros;
2) d’établir que la dépense jusqu’à concurrence de 77.469 euros, qui grèvera sur le chapitre 185 ("Financement du programme annuel des activités de la Conférence régionale de la condition féminine") du budget prévisionnel du Conseil régional au titre de l’année 2002, qui présente la disponibilité nécessaire, soit engagée par des actes ultérieurs du Bureau de la Présidence du Conseil ou par le dirigeant, dans la limite de leurs attributions respectives, et aux termes de la délibération du Bureau de la Présidence du Conseil n° 201/2001 du 21 décembre 2001 portant "Attribution, au titre de l’année 2002, aux structures de direction des crédits et des objectifs de gestion y afférents".
Annexe
(Omissis)
PrésidentCollègues conseillers, le 21 décembre 2001 la Conférence régionale de la condition féminine a présenté le programme d’activité pour l’année 2002, le rapport sur les activités déployées au cours de l’année précédente, ainsi que le budget 2002 pour l’approbation de la part du Conseil de la Vallée aux termes de l’article 8 de la loi régionale n° 65/1983.
J’ai eu l’honneur moi-même d’illustrer cet acte à la IIème Commission permanente du Conseil qui a exprimé un avis unanimement favorable le 21 janvier dernier.
Le budget 2002, comme vous le voyez dans les documents qui sont à vos mains, prévoit une dépense globale de 77.469 euros. Cette année la conférence a mis l’accent sur le rôle prioritaire que la conférence occupe pour accroître les rapports avec le plus grand nombre de sujets opérant soit à l’intérieur de l’Administration régionale, soit dans les domaines professionnels du monde de l’emploi, des entreprises, des institutions, notamment par le biais de la conférence des élus des différentes administrations.
Il faut également souligner la collaboration qui est actuellement en cours avec deux Assessorats, à savoir celui de l’agriculture et celui de la santé, qui concernent des projets ayant comme objectif la valorisation de la présence féminine: dans le secteur agricole qui a marqué dans ces dernières années un intérêt remarquable et la réalisation de projets d’information au sujet des problèmes inhérents au phénomène de la violence familiale, une activité qui d’ailleurs est déjà mise en ?uvre par le Centre des femmes contre la violence.
Sur cet argument il est prévu également, par le document qui est soumis à votre attention, un projet avec le monde de l’école pour la réalisation d’une campagne éducative pour prévenir la violence à travers une meilleure connaissance des dispositions législatives, ainsi qu’une plus étroite relation avec les forces de l’ordre et les professionnels ?uvrant dans ce secteur.
Le programme d’activité prévoit également une attention particulière pour des événements d’envergure européenne, pour les activités en cours de réalisation au-delà des contacts déjà pris avec la Commission nationale des Pari Opportunità et la conférence et les commissions régionales agissant à ce même titre.
La parole à la Conseillère Charles Teresa.
Charles (UV)Le programme d’activité pour l’année 2002 de la Conférence de la condition féminine, que le Président du Conseil a si bien illustré et qui avait été voté unanimement par la IIème Commission, mérite toute l’attention possible de la part de notre Conseil malgré l’indifférence parfois démontrée par certains collègues à cet égard.
Pour établir un parallèle avec un phénomène beaucoup plus important et de toute autre envergure, affirmer que la chose ne concerne pas notre Conseil, formé de tant d’hommes, ce serait comme dire que les problèmes du tiers monde ne nous concernent pas; a part l’erreur de base macroscopique, aussi du point de vue égoïste les conséquences d’une telle vision individualiste du problème de l’univers féminin peuvent se rétorquer contre ceux qui tombent dans ce piège.
Encore une réflexion à ce sujet. Pour lire laïquement le programme, il faut poser une seule condition préliminaire: que la Conférence féminine soit toujours objective, jamais politisée, jamais partisane d’une partie ou de l’autre; j’estime que la Conférence doit être lieu de débat, de réflexion, de promotion d’activité et jamais lieu politisé. On ne doit pas non plus à mon avis transformer la Conférence en lieu bureaucratisé, ce serait là aussi une grave erreur; superposer des bureaux et des structures dans la Conférence ce serait vraiment faire ce que les femmes avec leur bon sens et leur sensibilité critiquent dans des cas semblables.
Après cette prémisse nécessaire, pour éviter toute équivoque, il faut reconnaître que le travail que la Conférence féminine fait est très important et que ce programme ainsi que sa réalisation demandent de grandes énergies, de grandes responsabilités et sont hautement méritoires. Le mensuel "Informadonna", qui paraît depuis dix ans, avec ses suppléments "DonnaEletta", "EuropaDonna" et "Donneinsieme", fait connaître régulièrement les initiatives de la Conférence et informe sur des thèmes qui intéressent particulièrement les femmes. Le Centre des femmes contre la violence, par son activité personnelle et directe ou téléphonique, soutient des femmes en graves difficultés et informe l’opinion publique sur le grave problème, toujours irrésolu, de la violence même en famille. La Conférence des élus favorise le débat pour augmenter la participation des femmes dans la vie publique.
Dans le programme 2002 on propose en outre de continuer dans l’activité de promouvoir l’égalité des chances entre les deux sexes, ainsi que l’activité "Centro donne insieme", qui offre des cours pour mettre en évidence l’habilité et les capacités des femmes et encore d’autres nombreuses manifestations culturelles et d’étude. Comme tout le monde a pu le voir, et certainement a pu le lire à travers les dossiers, le programme est d’une grande richesse et d’une grande variété et mérite - je le souhaite - l’approbation unanime de notre Assemblée.
PrésidentLa parole à la Conseillère Squarzino Secondina.
Squarzino (PVA-cU)Vorrei ringraziare innanzitutto la collega Charles che ha saputo illustrare così bene e in modo così chiaro l’attività e il programma della Consulta.
Vorrei solo al suo intervento aggiungere tre piccole precisazioni a titolo di complemento; non faccio un discorso generale e completo, perché mi riconosco nella presentazione fatta dalla collega. Sono quasi venti anni che c’è questo organismo e in questo periodo è molto cresciuto ed è cresciuto anche nell’uso di strumenti nuovi che utilizza per operare, in particolare, come ricordava la collega, questo sguardo verso l’Europa, questa capacità di essere attento anche ai nuovi strumenti che sono messi in atto dalla Comunità europea.
A questo riguardo vorrei ricordare che ben tre su quattro progetti, che la Consulta ha presentato all’interno dei programmi europei, sono stati finanziati. Questo sta ad indicare la serietà con cui sono stati preparati i programmi, l’importanza dei temi trattati che rientrano all’interno delle finalità che a livello europeo vengono perseguite. In secondo luogo vorrei ricordare anche il grande lavoro di volontariato che è presente nelle varie attività che vengono svolte: si parla di centinaia di ore di volontariato per ogni tipologia di attività; questo ci dice come la Consulta sia un organismo che lavora grazie all’apporto di molte donne, di tutte le componenti politiche e sindacali e quindi che esprime l’ampio spettro di posizioni culturali esistenti in Valle.
Infine la Consulta, nel presentare il proprio programma, ricorda che, perché possa continuare a lavorare e a lavorare in modo sempre più proficuo, sarebbe utile che fosse rivista la legge regionale sulla quale adesso essa impernia la propria attività. È una legge che risale quasi a vent’anni fa, è una legge che probabilmente andrebbe rivista. Ripropongo quindi qui ad alta voce la richiesta di revisione della legge, la richiesta che è presentata anche in questo programma.
PrésidentY a-t-il d’autres conseillers qui demandent la parole? Au cas contraire, la discussion générale est close.
Je soumets au vote le programme d’activité et la prévision budgétaire jointe à ce même programme:
Conseillers présents: 29
Votants: 25
Pour: 25
Abstentions: 4 (Frassy, Lattanzi, Martin, Tibaldi)
Le Conseil approuve.