Objet du Conseil n. 2983 du 7 novembre 2017 - Resoconto
OGGETTO N. 2983/XIV - Interrogazione: "Valutazioni in merito alle problematiche riguardanti la fornitura al gruppo CVA di turbine cinesi".
Farcoz (Président) - Point n° 8 à l'ordre du jour. La parole au Président de la Région pour la réponse.
Viérin (UVP) - Pour ce qui est de la première question, collègue Bertin, il s'agit de donner une réponse très technique; si vous êtes d'accord, je vous fournis directement les données telles qu'elles nous ont été fournies par la Compagnie valdôtaine des eaux, je vous les fournis tout de suite. En ce qui concerne le rendement mesuré, CVA communique que le contrat prévoyait la réalisation d'un essai de rendement pour une seule des turbines d'Avise et pour une seule des turbines de Valpelline. L'essai pour la turbine d'Avise a fait enregistrer un rendement supérieur au minimum prévu, compte tenu de la bande de tolérance prévue par le contrat; aucun essai de rendement n'a été réalisé sur les turbines de Valpelline. C'est ce que la société nous a communiqué.
Sur la deuxième question je vais également vous fournir les données techniques transmises par CVA qui précise, à cet égard, que les rendements sont ceux qui ont été relevés lors des tests réalisés de 1993 jusqu'à 2003, et là aussi il y a toute une série de données ponctuelles.
Pour ce qui est de la troisième question, CVA nous communique que les coûts s'élèvent à environ 98 mille euros pour les approfondissements techniques (mesures spécifiques, analyses et études internes et externes), 47 mille euros pour les remplacements (personnel et polissage des équipements de remplacement) et, enfin, à environ 188 mille euros de "manque à gagner pour cause d'indisponibilité".
La quatrième question demandait si les évaluations ont été faites. Faisant suite à la résolution approuvée par le Conseil régional le 25 janvier 2017 portant révocation, par le Conseil d'administration de CVA, des mandats attribués à Monsieur Trisoldi et à Monsieur Giachino, ainsi qu'au rapport final de la Commission d'enquête, d'où il ressort que, dans la mesure où elles étaient applicables, les procédures d'entreprise ont été suivies et que les Dirigeants de la société ont œuvré dans le cadre des pouvoirs qui leur ont été confiés pour chaque procédure d'entreprise, Finaosta a demandé à CVA, sur la base de la Commission d'enquête, les résultats. La documentation y afférente a été transmise à la Présidence de la Région et à la Présidence du Conseil au mois de juin dernier et est à la disposition de tous les collègues; donc, il y a toutes les actions de vérification que Finaosta a faites sur la société. Par la suite, en vue d'une réorganisation de l'entreprise, CVA a souhaité analyser l'opération qui a abouti à l'achat des matériels chinois, afin de mettre en lumière d'éventuels points faibles lors de la mise en œuvre des procédures et cela aussi pour éviter des problèmes futurs.
Président - La parole au Conseiller Bertin pour la réplique.
Bertin (GM) - La CVA - lo ricordo - è stata l'unica società del settore della produzione idroelettrica in Europa ad acquistare dai cinesi le famigerate "turbine", l'unica in Europa. Forse bisognava farsi qualche domanda, come mai sino ad allora nessuno avesse intrapreso questa strada. Non soltanto si è acquistato dai cinesi, ma non si è fatto neanche un piccolo test per verificare se i prodotti erano all'altezza della situazione. Si sono spesi complessivamente circa 90 milioni di euro per materiale che alla fine - adesso risulta evidente, ma lo si sapeva già - non era adatto.
Sono ormai anni che questo Consiglio si interessa a questa vicenda, dalle lontane interpellanze dell'allora collega Tibaldi. Era evidente che c'era un problema di qualità per quel che riguarda le forniture cinesi, ma soltanto adesso leggiamo che si apre un contenzioso con i fornitori cinesi. È un'altra anomalia che si aggiunge ai danni economici. Anche oggi lei ci ha fatto un riassunto di quanto verrà a costare questa sostituzione, e sono altre spese che si vanno ad aggiungere. Sono danni economici per mancata produzione, per produzione minore in questi anni e anche danni all'immagine, perché la CVA ne esce malissimo da questa vicenda cinese. In un contesto del genere si vuole ancora quotare in Borsa la società, una società sotto indagine da parte della Finanza, in mezzo ad uno scandalo grave (quello delle acquisizioni delle turbine cinesi) dagli sviluppi imprevedibili.
Credo che in questa situazione quotare una società in Borsa sia alquanto improvvida. I Dirigenti che hanno scelto la quotazione, peraltro, sono gli stessi che si sono lanciati in questa avventura. Pertanto in questo contesto credo che procedere ad una quotazione sia quantomeno un'avventura da evitare. Come minimo ci vuole un dibattito ampio, che coinvolga tutta la popolazione e che, a mio avviso, si deve concludere con un pronunciamento diretto da parte dei valdostani. Non si può chiedere in questa situazione un atto di fiducia su questo dossier complesso che riguarda la quotazione, che ha anche dei collegamenti con le vicende di cui si parla in questa interrogazione, a meno che poi tutto non si risolva con un bottino da spendere in campagna elettorale. A parte questo, ancora oggi vediamo i danni di questa scelta di acquisire in Cina le turbine, che ci è costata e ci costerà moltissimo.
Dalle ore 11:24 riassume la presidenza il Presidente Rosset.