Compte rendu complet du débat du Conseil régional. Les documents ci-joints sont disponibles sur le lien "iter atto".

Objet du Conseil n. 2972 du 19 septembre 2007 - Resoconto

OGGETTO N. 2972/XII - Costi e entrata in funzione del collegamento ferroviario Cogne-Charemoz. (Interpellanza)

Interpellanza

Considerati gli ingenti investimenti fatti per la ristrutturazione del Tunnel del Trenino Cogne-Charemoz;

Evidenziato lo stallo dei processi di utilizzo;

il sottoscritto Consigliere regionale

Interpella

la Giunta regionale e l'Assessore competente per conoscere:

il totale del costo degli investimenti ad oggi utilizzati per tale opera;

la situazione circa l'eventuale apertura ed utilizzo del tratto in oggetto;

gli intendimenti circa eventuali decisioni per l'opera in oggetto.

F.to: Lattanzi

Président - La parole au Conseiller Lattanzi.

Lattanzi (CdL) - Questa mattina un amico mi raccontava che in una città del Brasile a me sconosciuta in poco più di una notte hanno costruito una piazza, noi da 15 anni cerchiamo di capire che fine potrà fare uno dei progetti più ambiziosi di opere pubbliche lanciate dalla maggioranza di Centro-Sinistra, che aveva come caposaldo l'"Union Valdôtaine", che ancora oggi fa di questa opera uno dei suoi fiori all'occhiello di incapacità politica. Ogni tanto questo Consiglio si occupa di tale sperpero di denaro pubblico, possiamo definirlo così visto che alle ripetute interpellanze le risposte sono sempre molto vaghe, futuristiche, di prospettiva, una volta il problema è la larghezza dei vagoni, un'altra volta la mancanza delle motrici o il fallimento di alcune società e ancora la larghezza delle vie di fuga o delle sicurezze di quel tunnel. Ormai la popolazione valdostana guarda a quell'opera solo per sapere che fine farà, con la curiosità di chi in maniera distaccata cerca di capire come possono essere stati sperperati tanti miliardi, oggi milioni di euro, senza che nessuno oggi si "prenda la briga" di annunciare quale sia la prospettiva finale. Ogni tanto si parla anche di possibili gestioni, ma che vengono subito accantonate perché si prospettano costi di gestione che sono insostenibili, che potrebbero rientrare in un contesto di investimento che la Comunità tutta potrebbe affrontare se vi fosse una decisione politica di sostenere questo progetto, di portarlo avanti, perché almeno qualcuno ci creda. Già qualche tempo fa avevo disturbato la Giunta per sapere quali erano le condizioni, oggi vogliamo con l'interpellanza rifare il punto della situazione, ma in maniera molto semplice: sapere quanto ci è costata finora quest'opera, cosa si pensa di fare, quali sono le prospettive e quali gli intendimenti in termini di decisioni a breve dell'opera stessa, che ricordo essere un investimento importante che la Giunta ha fatto a nome dei Valdostani, i quali però ad oggi non ne sanno nulla.

Président - La parole à l'Assesseur au tourisme, aux sports, au commerce et aux transports, Pastoret.

Pastoret (UV) - Les prémisses du Conseiller Lattanzi ont été telles que je pouvais presque renoncer à ma réponse, mais cependant j'ai le devoir de répondre au moins aux questions qui sont en partie aussi techniques qui ont été posées avec le document qu'on a envoyé. C'est vrai qu'il est bien de connaître, alors ce sera ennuyeux, je vais lire et après je vais vous donner ces chiffres. Là il y a 2 sujets qui sont intervenus: l'Assessorat du territoire pour la réalisation, l'Assessorat du tourisme pour ce qui est des fournitures de matériel roulant.

Sur la base des chiffres fournis par la structure compétente de l'Assessorat du territoire, les coûts relatifs au projet de la construction du "tramway", qui s'élèvent à 23.086.903,82 euros, sont repartis de la façon suivante: première tranche, tunnel et coffrage 4.110 euros (j'arrondis); deuxième tranche, tunnel et coffrage encore 3.008.000 euros; troisième tranche, relevé et coffrage 1.274.000 euros; quatrième tranche, ventilation 2.513.000 euros; cinquième tranche, gare, garage et atelier 2.110.000 euros; sixième tranche, installations spéciales 5.034.000 euros; septième tranche, aire de stationnement et de parking 573.000 euros; huitième tranche, Urtier-Gimillan 2.705.000 euros; neuvième tranche, raccordement à la route régionale n° 18 à Plan Praz 1.021.000 euros; dixième tranche, ouvrage en régie 639.000 euros, rétribution du directeur des travaux 994.000 euros, direction du travail et conception du projet l'ensemble du tout ("progettista"). Les coûts afférents à la fourniture du matériel roulant, TVA incluse, soutenus à ce jour par l'Assessorat du tourisme par contre sont repartis de la façon suivante: fourniture des wagons, société "Firema", 2.601.000 euros, fourniture des locomotives, société "Costaferroviaria", une fourniture partielle 1.789.000 euros, société "Costarail-RSI" groupe achèvement de la fourniture des locomoteurs 2.485.000 euros.

Vous l'avez vu, vous l'avez entendu sur les éléments que je vous ai donnés, une des difficultés qu'ont expliqué souvent dans ce Conseil ceux qui m'ont précédé avant c'était d'obtenir ces locomotives et ces wagons. La première entreprise que j'ai rappelée, la "Firema", a fait faillite, 2 ans presque d'inactivité avant d'avoir une nouvelle entreprise qui accepte de terminer le travail déjà entamé, donc des retards de ce genre de ce point de vue.

Quoi faire maintenant? Maintenant les wagons existent, les locomotives aussi, tout a été fourni. L'ouverture et l'utilisation du tronçon sont subordonnés à certaines obligations de caractère technique que j'avais expliquées et que je représente ici. En particulier les expertises ministérielles ne pourront être effectuées que lorsque le matériel roulant sera disponible et que les rails seront prêts pour les essais en ligne, y compris à plein régime. Ledit matériel qui a été livré n'est pas encore prêt pour les essais en ligne - "percorso continuo avanti e indietro" - et allumage de certains appareils électroniques qui doivent être mis en condition de marcher, approvisionnement en pièces de recharge, manuel, instruction et formation du personnel. Pourquoi cela? Parce qu'il faut rappeler que le 1er février 2007 le fournisseur, la société "Costarail" du groupe "RSI", la troisième qui est entrée dans toute cette affaire, a présenté au Tribunal de Lecco un recours contenant une proposition de plan de concordat, prévoyant la cession de ses actifs et la poursuite de ses activités, afin d'être admise à la procédure de concordat préventif aux sens de l'article 160 et des articles suivants de la loi sur les faillites. Cette situation et les incertitudes qui planaient sur le projet, mais qui avaient déjà plané sur la consigne des locomoteurs ont ralenti les dernières opérations que le fournisseur devait réaliser. J'avais déjà eu l'occasion de dire ici qu'on continue à ne pas payer cette société, afin que dans la procédure de "concordato" nous on perd l'argent, elle ne procède pas à faire les dernières preuves techniques qui la concernent. Entre temps la société "Pila S.p.a.", qui actuellement par convention gère toute l'affaire, comme cela avait déjà été prévu dans la loi régionale, a lancé les procédures de sélection du personnel, dont les premières unités seront formées par la suite. Par ailleurs, les fournisseurs ont procédé à certains essais techniques préalables sur le matériel roulant.

En ce qui concerne les rails, qui sont le problème plus important et nous espérons le dernier des problèmes, requièrent ces rails des travaux d'entretien extraordinaires, compte tenu du temps passé depuis leur pose. La société "Pila S.p.a." a mis en place une phase terminale de la procédure de marché public des travaux qui devront commencer au mois d'octobre. Une expertise demandée par la société "Pila" elle-même a mis en évidence la nécessité de réaliser encore certains travaux supplémentaires au cours de l'automne et de l'hiver sur la voûte du tunnel. A ce sujet les documents nécessaires pour le marché public sont en cours d'élaboration. Suite à cela il faudra avoir ce que j'ai toujours dit il fallait être une condition indispensable: les expertises ministérielles prévues par l'USTIF, qui pourront commencer après les travaux après les travaux susmentionnés. Ces expertises seront suivies d'une période de tests fixés par l'USTIF lui-même, pendant laquelle un certain nombre de kilomètres - quelques centaines - seront parcourus à vide, de façon à roder définitivement tous les équipements et le matériel roulant. Comme on peut facilement le déduire de ces explications, qui d'ailleurs ont été synthétisées car la question serait énormément longue, le contexte général n'est encore pas défini dans tous ces aspects et il est difficile de prévoir la date d'ouverture du tronçon au public. Par conséquence à ce jour, sur la base des informations dont je dispose et compte tenu des expertises ministérielles, ainsi que du temps nécessaire au recrutement et à la formation du personnel, il serait trop tôt de fixer la date d'ouverture de cette ligne de tramway, ce que je pourrai faire dans 2 ou 3 mois.

Pour ce qui est des intentions, les intentions sont claires, je les ai annoncées maintes fois ici, malgré les retards et toutes les conséquences qui se sont produites, l'Administration a l'intention de s'en tenir aux décisions prises par le passé, à savoir de procéder le plus rapidement possible, compte tenu des contraintes qui nous concernent, mais que nous ne gérons pas au point de vue des temps, à la mise en service de ce tramway intercommunal et cela il doit se faire en toute sécurité et bien sûr dans le respect des différentes obligations techniques prévues par la réglementation en vigueur dans ce domaine. Nous n'avons escompté pas seulement les questions relatives aux entreprises dont j'ai parlé tout à l'heure, mais aussi à une série de problèmes qui sont intervenus quant aux dispositions de sécurité sur les voies ferrées. Moi j'ai une opinion personnelle sur ce qui aurait pu être le choix déjà au commencement, mais je pense que 112.000 habitants de la Région, tous ont une opinion à eux-mêmes donc je renonce à l'exprimer et j'attends votre réponse. J'espère avoir au moins fourni les données qui vous étaient utiles de ce point de vue, j'ai une copie à vous remettre si vous le souhaitez.

Président - La parole au Conseiller Lattanzi.

Lattanzi (CdL) - Assessore, mi è sfuggita la seconda parte di investimenti dell'altro Assessorato, perché ho solo ascoltato quella dei 23 milioni dei lavori pubblici.

Président - La parole à l'Assesseur au tourisme, aux sports, au commerce et aux transports, Pastoret.

Pastoret (UV) - La fourniture des wagons, qui a été effectuée par la société "Firema", la première, 2.601.000 euros, la fourniture des locomotives, première fourniture, société "Costaferroviaria", une fourniture partielle montant à 1.789.000 euros, suite à cela une troisième société parce que les 2 précédentes ont eu tous les problèmes dont je vous ai parlé tout à l'heure... la société "Costarail", qui après encore a changé son nom et est devenue "RSI groupe", elle a achevé la fourniture et le dernier montant prévu de payement pour les locomoteurs se chiffre à 2.485.000 euros.

Président - La parole au Conseiller Lattanzi.

Lattanzi (CdL) - Grazie, Assessore, per la puntualizzazione. Possiamo dire 64 dei vecchi miliardi, circa 32-33 milioni di euro. Che dire? Sotto l'aspetto della risposta tecnica, è ineccepibile, così come è altrettanto di buon senso sottolineare che, se aspettiamo ancora un po', dovremo iniziare i lavori di manutenzione delle opere costruite 15 anni fa, come lei ha accennato, perché è quello che stiamo facendo. Il dramma dell'utilizzo di denaro pubblico è che le persone vogliono dei servizi e a queste richieste come politici dobbiamo dare delle risposte, ma se per dare delle risposte il denaro pubblico viene usato per costruire progetti che per la loro difficoltà e complessità diventano poi praticamente irrealizzabili - poi vedremo una volta realizzati cosa possono portare alla Comunità - e la cui costruzione implica tempi, modalità, gestioni, burocrazie tali che alla fine innescano un percorso di manutenzione dell'opera non ancora costruita, entriamo in un circolo vizioso che è stato il circolo vizioso dell'ex Cinema "Splendor", una delle altre grandi incompiute, o del Palazzetto di Ayas, un'altra di quelle opere straordinarie che nascono per farsi gestire, perché la loro finalità non è quella legata a dare una risposta al territorio, ma quella di fregiarsi di un'opera pubblica così straordinaria che la straordinarietà sta nel continuare straordinariamente a gestirla e a continuare ad investire i denari pubblici in attività, progetti. Cito solo i 900mila euro dati alla direzione generale per poter seguire questo progetto, che è una cifra spropositata per...

(interruzione dell'Assessore Pastoret, fuori microfono)

... sì, progetto direzione lavori, ma credo che ne avremmo trovati tanti di direttori di lavori che per 1 milione di euro stanno ad assistere ai lavori di un'opera pubblica come questa, al di là delle competenze. Non vogliamo fare i qualunquisti, non è più tempo di fare i qualunquisti.

Credo invece sia tempo di fare un bilancio di tipo politico. Lei ha fatto parte della Giunta precedente, che di questo cavallo di battaglia aveva fatto il suo punto forte, anzi ricordo le parole dell'allora Presidente Dino Viérin, ma anche dell'Assessore Caveri, che facevano di questa opera un cavallo di battaglia importante, per realizzare poi che cosa? Un collegamento fra 2 stazioni turistiche: una più naturalistica, più portata allo sci da fondo, a una stazione Pila più portata allo sci da discesa. Ricordo che il primo giorno che entrai qui dentro e cominciai ad occuparmi di amministrazione feci un'obiezione: quando avremo speso i 70 miliardi previsti, quando avremo messo in piedi questa opera e avremo un servizio che sposta 150 persone all'ora - perché questa è la capienza -, quando avremo 300 persone che dovranno aspettare 2 ore per potersi spostare da una stazione all'altra, avrà avuto un senso fare questo? Mi ricordo che una risposta fu: "però, se proprio non ha un significato turistico, avrà un significato di emergenza, nel senso che, siccome conosciamo la strada di Cogne quando ogni tanto si "ferma", questa potrebbe diventare un'opportunità viaria per dare sfogo ad un isolamento che ogni stagione invernale colpisce quella bellissima vallata". Ricordo che a tale considerazione politica aggiunsi che era un'opportunità che si poteva cogliere, rinforzando i paravalanghe, che in quegli anni si era deciso di non fare perché era in opera questa cosa. Oggi stiamo continuando a fare l'operazione del trenino, facendo anche i paravalanghe, di fatto spendendo 2 volte i soldi che avremmo potuto spendere 15 anni fa.

Non so se augurarmi allora, non solo da Valdostano, ma da "cognen" di adozione, che questo trenino prima o poi funzioni, perché nel giorno stesso che funzionerà noi fra formazione e costi di gestione avremo accollato alla Comunità un costo ricorrente di 3-4 milioni di euro l'anno in perdita. Questa è la realtà dei fatti, che poi vengono mascherati con costi che vengono rigirati... alla fine mettere in piedi quel "giocattolino" che sposterà 150 persone all'ora, sarà costato alla Comunità valdostana circa 65 miliardi delle vecchie lire, 15-20 anni di attesa, al punto che avremo dovuto fare ulteriori manutenzioni che già sono in atto sulle rotaie che sono state depositate 10 anni fa e devono essere già modificate, perché, quando non si utilizzano, le cose decadono, quindi le dico che sono nell'imbarazzo di augurarmi che questo trenino decolli. Perché se non decolla, abbiamo buttato via 32 milioni di euro; se decolla, ho il sospetto che ne butteremo via altrettanti nei prossimi 10 anni per mantenerlo, per fare quale servizio? Uno potrebbe dire: "va bene, ha un costo che la collettività si deve assumere per dare comunque un valore aggiunto a un territorio", ma io faccio fatica oggi con i lavori che vengono fatti sulla strada di Cogne, con quelle che possono essere le alternative molto meno costose e più rapide che si possono affrontare per collegare quelle 2 stazioni, faccio fatica con quei tempi e orari di spostamento di vedere in quella cosa, con quel costo, un valore aggiunto. Ho il sospetto che ci troveremo qui fra qualche anno con quel trenino che sarà partito, a chiederci se è giusto che le 2 comunità continuino a pagare una cosa che dà un servizio irrilevante, ma errori se ne possono fare, il dramma è non decidere, perché rispondere con la motivazione politica che ormai è un processo che s'ha da finire è una cosa imbarazzante.

Lei dice che la decisione politica è quella di andare avanti, io dico: "ma dobbiamo pur rendere conto alle persone di come si va avanti". Quando mettiamo in piedi una ristrutturazione di un tunnel... e oggi dobbiamo spendere dei soldi per mantenere le opere pubbliche che non hanno ancora funzionato, ma sono già da ristrutturare... credo che la Corte dei Conti ci chiederà conto e non potremo noi chiamare in causa le procedure burocratiche, le società che sono fallite... noi possiamo prendere la decisione di non spendere dei soldi, così come voi state prendendo la decisione di continuare ad investire, ma è una parola grossa, perché gli investimenti presupporrebbero dei ritorni che qui non si vedono! Anzi è evidente che sarà un gigantesco investimento di risorse pubbliche per avere un ritorno assolutamente marginale. Siamo qui a parlare di chiudere dei tratti di funivia perché fanno 7-800mila euro di debito annuo nella loro gestione e stiamo lavorando con milioni di euro di investimenti per aprire una cosa che farà 2-2,5 milioni di debiti l'anno! Chiameremo le Comunità ad accollarsi anche questo? La società "Pila" si accollerà tale debito? Mi pare abbia detto: "no". Saremo di nuovo qui a parlare, come per il casinò, di ripianamenti continui di costi di gestione, ma per quale ritorno? Mentre per una funivia uno potrebbe anche trovare una motivazione, sono un po' come le strade: se vuoi avere i turisti che vanno a sciare, devi fare le funivie, è un costo che i Valdostani si devono accollare per far sciare i turisti, spendere 60 miliardi per spostare 150 persone all'ora, mentre 300 persone devono aspettare 2 ore per tornare a casa dopo una sciata non sta nella logica del buon Governo! Vorrei vedere le facce del 350° sciatore che alle 5 del pomeriggio prenderà il trenino per tornare a Cogne e arriverà alle 7,30 di sera a casa! Se lo prenderà per la seconda volta o se prende la macchina, scende e torna prendendo la funivia a Pila da Aosta ci mette un'ora e venti, ma neanche ci mette 20 minuti a scendere e 20 a salire! Cambia stazione e va a Courmayeur! Questi sono i dubbi che cominciamo ad avere quando le opere pubbliche diventano disastri pubblici. Oggi non mi sento, perché non ho responsabilità di Governo, di dare dei suggerimenti, mi sto solo chiedendo - ma credo che dobbiamo darci delle risposte - se quegli investimenti abbiano avuto un senso, oggi potremmo dirci "no" perché sono stati esorbitanti per la lunghezza dei tempi.

La domanda che ci dobbiamo porre - e dovete aprire un dibattito serio in Giunta, in maggioranza, magari anche allargando alle Commissioni così anche la minoranza può dare il suo parere - è: ha senso accollarci un costo di gestione di quel tipo? Sentiamo la Comunità e le società interessate, la Regione ossia noi e voi, per capire se questa è una prospettiva. Credo di aver dato un contributo solo per aver riposto il problema, un'opera da 60 miliardi non si può dimenticare aspettando che qualcuno ci dica cosa farne.