Compte rendu complet du débat du Conseil régional

Objet du Conseil n. 1787 du 10 janvier 2001 - Resoconto

OGGETTO N. 1787/XI Adeguata campagna di informazione sull’uso dei vaccini per i minori. (Interpellanza)

Interpellanza Appreso che spesso le vaccinazioni antipatie B cui sono soggetti i minori vengono comunicate ai genitori con pochissimo anticipo (2 o 3 giorni) rispetto alla data prevista per la vaccinazione;

Rilevato che in tal modo risulta difficile per gli interessati assumere le necessarie informazioni e decidere se sottoporre o meno i propri figli al vaccino, introdotto in Italia solo a partire dal 1991;

Osservato che a tale ultimo proposito, l’USL non ha attuato idonei progetti che assicurino una corretta informazione sull’uso dei vaccini (così come previsti dalla legge n. 210/92);

Ritenuto opportuno avere ulteriori informazioni sul fenomeno;

il sottoscritto Consigliere regionale

Interpella

l’Assessore competente per sapere:

1) perché le comunicazioni vaccinali sono fatte in modo tale da non dare tempo alle famiglie di effettuare le relative scelte nella piena consapevolezza;

2) se corrisponde al vero che nel vaccino antipatie B vi è la presenza di mercurio o di suoi derivati, nocivi alla salute;

3) se intende o meno promuovere, in collaborazione con l’USL, progetti di informazione sull’uso dei vaccini e sui possibili rischi e complicanze.

F.to: Curtaz

PrésidentLa parole au Conseiller Curtaz.

Curtaz (PVA-cU)L’ultima interpellanza la presento brevemente, perché mi sembra dal contenuto più agevole, anche se per certi versi non meno interessante.

Siamo venuti a conoscenza che rispetto a certi tipi di vaccinazioni, nella mia interpellanza ho fatto l’esempio della vaccinazione antiepatite B - nel testo manca una "t", antiepatite - i genitori vengano avvisati dagli organi preposti per la vaccinazione in termini brevissimi, due o tre giorni, e soprattutto non vengano edotti di quelli che sono i loro diritti, del fatto che possono arrivare fino al rifiuto di far vaccinare i propri figli, e non vengano informati adeguatamente sui rischi che possono comportare questi vaccini. Peraltro alcuni rischi sono noti, e tuttavia la vaccinazione avviene in tempi rapidissimi e senza che i genitori, quanto meno quelli più attenti, possano informarsi adeguatamente sulle conseguenze eventualmente negative che il vaccino può avere.

Pertanto chiedo, in primo luogo, perché queste comunicazioni sono fatte in modo tale da non dare tempo alle famiglie di effettuare le relative scelte nella piena consapevolezza; se rispetto al caso specifico della vaccinazione antiepatite B, risponde al vero che nel vaccino vi è la presenza di mercurio o di suoi derivati, nocivi alla salute; se l’Amministrazione intende o meno promuovere, in collaborazione con l’USL, progetti di informazione sull’uso dei vaccini e sui possibili rischi e complicanze. Questo obbligo di corretta informazione sull’uso dei vaccini risulta peraltro previsto dalla legge n. 210/1992.

PrésidentLa parole à l’Assesseur à la santé, au bien-être et aux politiques sociales, Vicquéry.

Vicquéry (UV)En ce qui concerne la vaccination contre l’hépatite virale de type B, les modalités de convocation sont les mêmes sur tout le territoire régional et les appels à la vaccination sont organisés en accord avec les médecins compétents par les assistants médicaux des dispensaires des districts.

Pour les mineurs de 12 ans la vaccination antihépatite B est pratiquée directement à l’école ou dans les dispensaires des districts par des médecins de santé publique, en collaboration avec les assistants médicaux. Les convocations sont effectuées, sauf difficultés d’organisation temporaires et exceptionnelles, avec 7 à 15 jours d’avance sur la date fixée. A ce propos je prie M. Curtaz et les collègues conseillers, de renseigner les usagers de faire une lettre aux autorités sanitaires compétentes, s’il est le cas, autrement on n’est pas à connaissance personnellement de retards de ce genre.

Les parents en annexe de la lettre de convocation percevront une fiche, qui fournit les indications précises sur la vaccination à administrer. De plus, sur la fiche figurera le numéro de téléphone du service de vaccination du district de référence, auquel tous les parents peuvent s’adresser.

Les renseignements sur les vaccinations et leurs conséquences sont indiquées de la page 30 à la page 32 du livret de la santé, qui est distribué à tous les parents à la naissance de leurs enfants et dont la nouvelle édition est disponible depuis un an.

Par ailleurs les médecins de la santé publique et les pédiatres sont à la disposition des familles pour toutes informations utiles.

A page 32, "Information sur les vaccinations", on touche aussi le thème que M. Curtaz a affronté, c’est-à-dire les vaccins sont-ils sûrs? "Les vaccins ne sont autorisés par le Ministère de la santé - je cite - qu’après que des études auraient démontré qu’ils sont efficaces, sûrs et bien tolérés. Les vaccins sont produits par des laboratoires pharmaceutiques agrées?", et cetera et cetera, et après on parle des effets négatifs des vaccins, et cetera et cetera. Ce livret est consigné à tous les parents au moment de la naissance.

Pour ce qui est du deuxième point de l’interpellation, le vaccin contre l’hépatite B contient du timerosal à base de mercure, qui fait fonction d’agent conservateur. La teneur de ce composant dans le vaccin ne constitue pas un danger pour le sujet vacciné. Il peut entraîner une intolérance chez les personnes souffrant d’hypersensibilité immunologique, ce qui est toutefois assez rare.

A ce propos, le 17 octobre 2000 le Ministère de la santé a publié une notice d’information, qui mentionne l’avis du Conseil supérieur de la santé, selon lequel les vaccins actuellement sur le marché, y compris ceux qui contiennent le timerosal, apportent des bénéfices incontestables aux enfants et à la population en général et il n’y a donc pas de risques pour la santé, notamment pour ce qui est des couches de la population les plus exposées.

Dans le but d’offrir des vaccins toujours plus efficaces et plus sûrs, le Ministère de la santé a publié le 18 juin 2000 un décret par lequel l’utilisation du timerosal et des autres agents conservateurs est interdite dans les vaccins unidose avant 2006. C’est une chose un peu drôle, mais pour l’instant les dispositions du ministère sont celles-là; d’un côté on dit que la chose est sûre, de l’autre on dit qu’avant 2006 on va changer les choses.

Pour ce qui est du troisième point, un groupe de travail mixte, USL et Région, a été mis en place, qui a élaboré un projet en conformité avec le plan national des vaccins. Ce projet prévoit au premier semestre 2001 la formation de pédiatres et de médecins de santé publique, et par la suite l’information de la population. Actuellement l’information passe par les médecins, les professionnels, le livret de la santé et les notices d’information qui accompagnent l’appel à la vaccination.

En ce sens je m’engage à respecter ce que M. Curtaz a proposé dans l’interpellation, c’est-à-dire d’informer davantage la population et surtout de former le personnel: pédiatres et médecins de famille.

PrésidentLa parole au Conseiller Curtaz.

Curtaz (PVA-cU)Per quanto riguarda questo ultimo impegno dell’Assessore, ne prendo atto con soddisfazione e lo attenderò al varco, nel senso che vedremo quali saranno gli atti concreti per un’informazione migliore ai genitori i cui figli devono sottoporsi a vaccinazione.

Rispetto alla tempistica, lei ha detto di segnalare, e io le segnalo un episodio, non faccio il nome perché non posso farlo non avendone parlato con l’interessato. Ho la documentazione ufficiale, una fotocopia, data della lettera inviata alla famiglia del bambino, 3 novembre 2000.

Questa lettera viene concretamente consegnata ai bambini sabato, 4 novembre 2000, la vaccinazione è prevista, prima dose, per martedì, 7 novembre 2000; praticamente viene dato un giorno, il lunedì, se escludiamo la domenica, ai genitori per informarsi e sapere se sottoporre il figlio a vaccinazione. Penso che sia un caso concreto, che evidenzia come questi tempi siano veramente troppo brevi.

PrésidentCollègues conseillers, nous avons sur ce point achevé l’examen de l’ordre du jour; le Conseil sera convoqué à domicile.

La séance est levée.