Compte rendu complet du débat du Conseil régional

Objet du Conseil n. 2421 du 19 février 1997 - Resoconto

SEDUTA POMERIDIANA DEL 19 FEBBRAIO 1997

OGGETTO N. 2421/X Disegno di legge: "Promozione di iniziative sociali, formative e culturali a favore dei giovani".

Président Je rappelle que nous sommes en train de discuter le projet de loi n° 178 et que j'ai déclaré close la discussion générale. Les amendements ont été distribués. La parole à l'Assesseur à la santé et aide sociale, Vicquéry.

Vicquéry (UV) La discussion qui s'est déroulée dans cette salle à propos de ce projet de loi a été très intéressante. Je dois dire tout d'abord que je partage les grandes lignes de l'intervention de Monsieur Marguerettaz, mais je ne comprends pas les conclusions de son discours, car si les déclarations de principe sont valables, les amendements qu'il a présentés ne sont pas conséquents.

J'essaierai de suivre les thèmes qu'on a touchés dans la discussion générale. Monsieur Chiarello a dit que c'est bien drôle que le thème de politique sociale à faveur de la jeunesse soit confié à l'Assessorat de la santé. Nous sommes en train de réorganiser la machine régionale en suivant les dispositions de la loi n° 45, par conséquent l'Assessorat prendra le nom "Assessorat à la santé, au bien-être et aux politiques sociales". Là dedans ce n'est pas simplement une définition de principe, c'est un raisonnement bien plus profond qu'on a fait.

Quand on parle de santé et de bien-être et quand on parle de politiques sociales par rapport à l'assistance sociale cela signifie qu'on veut comprendre dans cet Assessorat des problèmes qui touchent directement la personne. La loi n° 45 unit l'Assessorat à la santé à l'Assessorat à l'instruction publique dans le domaine de la personne. Donc c'est pour cette raison qu'on a maintenu parmi les compétences de l'Assessorat de la santé, du bien-être et de la politique sociale le domaine de la politique de la jeunesse.

Dans la réorganisation que nous sommes en train de faire le bien-être est prévu comme poste de direction du 2ème niveau et le secteur de la santé aura un poste de direction du 3ème niveau, parce qu'on veut donner de l'importance aux thèmes du bien-être et de la politique sociale par rapport à la santé, qui est un domaine très important mais qui est au même niveau, par exemple, de l'hygiène de l'environnement, du secteur vétérinaire et cetera.

Donc c'est un choix politique très clair, il ne s'agit absolument pas de maintenir des pouvoirs.

En parlant de bien-être, j'ai pris une définition scolaire: on définit bien-être une situation matérielle qui permet de satisfaire les besoins de l'existence, donc la satisfaction, la sérénité, le bonheur; le bien-être c'est le contraire de l'angoisse, du malaise, de la pauvreté. Evidemment, quand dans le bien-être on parle aussi des politiques de la jeunesse, quelqu'un devrait me dire quel serait le domaine de travail de l'Assessorat, quand le même Assessorat touche aussi des thèmes tels que les mineurs, les adolescents, les situations liées à l'adoption, à la famille et cetera. C'est le secteur de la personne que l'Assessorat veut suivre de plus en plus et s'intéresser - si possible - moins encore de santé en termes stricts. Là je réponds à la réflexion qui est venue des Messieurs Chiarello et Marguerettaz.

Ce dernier a dit qu'on se limite à parler dans ce projet de loi de loisir et cetera; ce n'est pas vrai. Dans l'article 1 du projet de loi on dit clairement que la Région favorise la réalisation d'initiatives sociales, formatives et culturelles au profit des adolescents et des jeunes visant à encourager l'information, la vie associative et la coopération entre les jeunes; à réaliser des mesures pour leur insertion sociale, pour éliminer le malaise juvénile, à valoriser et soutenir toute forme de manifestation ayant un contenu culturel et encourager les loisirs, - il y a aussi les loisirs, mais c'est seulement un des points touchés - et à prévenir tout phénomène de déviance et de marginalité sociale.

Je partage l'intervention de Monsieur Marguerettaz, quand il parle de philosophie générale, quand il fait une distinction nette entre écoute et action, mais évidemment quand il parle de principe de subsidiarité j'avoue que je ne comprends pas bien. Le principe de subsidiarité nous le mettons en application concrète chaque jour en tant que Gouvernement régional et quand nous disons dans le projet de loi que non seulement les communautés locales sont appelées à gérer directement le projet, mais aussi les associations juvéniles, c'est là une nouveauté du projet de loi par rapport à la loi précédente n° 3 du 1990. Selon cette loi, la Conférence de la jeunesse n'avait pas de compétences en matière de gestion directe des projets, elle avait simplement des compétences bureaucratiques; c'était là un des points faibles de la loi régionale n.3 du 1990.

Quand on parle de subsidiarité, cela signifie que chaque échelon fait ce qu'il est dans ses compétences de faire et la Région ne veut pas gérer rien du tout. On l'a déjà dit, on le répète chaque jour ici dans cette Assemblée que la Région s'intéresse trop de la gestion ordinaire, nous ne voulons pas faire la même erreur, nous ne voulons pas continuer à faire ce genre de fautes et c'est donc là l'intention de ce projet de loi, c'est-à-dire de laisser aux communautés locales et aussi à la Conférence de la jeunesse le soin de s'organiser, de prévoir des systèmes de gestion directe et de le faire en toute liberté. Nous sommes convaincus qui existent les capacités à niveau des communautés locales, des administrateurs et des jeunes pour faire ça tranquillement. Les projets que nous sommes en train de suivre, comme celui de Pont-Saint-Martin, celui de Hône, celui de la Communauté de montagne du Grand Paradis, sont des projets très valables, qui sont différents par rapport à la réalité locale: le projet du Grand Paradis est tout à fait différent par rapport à celui de Pont-Saint-Martin, car il y a une réalité locale bien différente.

Monsieur Marguerettaz conteste aussi les limites d'âge. Malheureusement il est en contradiction avec le contenu du projet de loi et avec les propositions qui viennent de la part du Gouvernement italien et aussi de la part de la Communauté européenne. J'ai ici deux projets de loi qui prévoient 30 ans comme limites d'âge: jusqu'à. Il y a toute une ligne de pensée, qui veut encore augmenter l'âge en suivant les politiques communautaires dans le secteur de la jeunesse, qui financent ces projets jusqu'à 32 ans. Je peux partager l'avis de Monsieur Marguerettaz, mais la volonté politique c'est de mettre en pied une organisation de la jeunesse qui soit à même de se gérer et nous savons que malheureusement le chômage et toute une série de problèmes aujourd'hui obligent les jeunes à rester dans la famille sans travail et cetera. Donc les malaises de la jeunesse en général sont des problèmes qui touchent des âges de plus en plus hauts dans la vie et le choix de ce projet de loi qui s'arrête à 28 ans c'est un choix qu'on a longuement débattu à l'intérieur des Commissions, donc je pense que nous pouvons le maintenir.

Pour ces raisons je ne peux pas prendre en considération toute une série d'amendements qui ont été présentés, dont une partie est même en contradiction avec la loi régionale 45/1995; à l'article 2 on veut instituer "l'ufficio delle politiche giovanili", cette structure peut être constituée seulement en suivant la loi régionale, là où on dit que le coordinateur (ou les coordinateurs) des assessorats ou de la Présidence de la Junte propose l'organigramme et à l'intérieur de l'organigramme c'est le directeur qui peut constituer le bureau. Cela du point de vue purement nominatif, mais du point de vue substantiel je ne comprends pas quelle serait la raison de changer l'Observatoire avec une structure comme un bureau.

On l'avait proposé dans la première version du projet de loi et après on nous a fait remarquer que c'était là aussi en contraste avec la loi 45 et c'est pour cette raison qu'on a inséré un dernier article de "Dispositions transitoires" où l'on dit que: "Dans l'attente de l'application de la loi régionale n° 45... les compétences relatives à l'application de la présente loi sont attribuées au services des affaires générales, aide sociale et services sociaux de l'Assessorat de la santé et de l'aide sociale". Pour cette raison donc l'amendement ne peut pas être accepté.

Monsieur Marguerettaz voudrait ajouter un alinéa à l'article 1; le principe est juste et je le partage: "La Regione inoltre riconosce e sostiene il ruolo di quelle realtà associative senza scopo di lucro eccetera", mais nous avons déjà une loi régionale, précisément la loi régionale 43/ 1993 qui dit ces choses-là. Il s'agit d'une loi portant réglementation du bénévolat, là où la Région reconnaît la valeur sociale de l'oeuvre de solidarité des organisations bénévoles qui poursuivent des fins de caractère social, civil et culturel, et en soutient l'essor dans le respect de leur autonomie - voilà le principe de subsidiarité - et conformément aux dispositions nationales et régionales. Après à l'article 4 la loi parle des conventions avec les organisations bénévoles et de celles entre les organisations bénévoles et les communautés locales et la chose peut se faire en suivant cette loi.

Je pense d'avoir répondu aux questions qui ont été posées, pour ce qui est des amendements de Monsieur Chiarello, au-delà du discours de la Présidence de la Junte ou de l'Assessorat de la santé, bien-être et politiques sociales, l'article 9 propose....

(...intervento del Consigliere Chiarello, fuori microfono...)

... j'ai déjà dit la raison pour laquelle on l'a inséré dans le secteur de la personne, c'est le secteur de l'aide à la personne, l'Assessorat de la santé, bien-être et politiques sociales.

L'article 4 est déjà compris dans le projet de loi...

(...intervento del Consigliere Chiarello, fuori microfono...)

... à la limite on pourra le faire moyennant les interventions directes de la Junte régionale. Quant à l'article 9 je ne suis pas de l'avis de mettre un numéro minimum à la composition des associations, car on risquerait d'exclure des associations qui ont une force et une identité. L'effort de ce projet de loi est d'enlever des mains de nous politiciens le contrôle des jeunes, chose qui pendant une période a été faite. Quand on parle d'associations, on parle d'associations dans la globalité.

Pour ces raisons je ne peux pas accepter, malgré moi, les amendements qui ont été présentés même si je partage une bonne partie des interventions qui ont été faites.

Presidente Si passa all'esame dell'articolato. All'articolo 1 ci sono due emendamenti. Il primo è a firma del Consigliere Chiarello, ne do lettura:

Emendamento All'articolo 1 è aggiunto il seguente nuovo comma:

"1bis. La Presidenza della Giunta promuove il coordinamento tra i vari settori dell'Amministrazione regionale che si occupano di politica giovanile".

Presidente Il secondo è a firma del Consigliere Marguerettaz e di altri consiglieri, ne do lettura:

Emendamento All'articolo 1 aggiungere il seguente comma:

"2. La Regione inoltre riconosce e sostiene il ruolo di quelle realtà associative senza scopo di lucro che, nelle diverse forme e attività, svolgono un servizio educativo nei confronti dei giovani. A tale fine gli enti locali territoriali attuano dei provvedimenti per coordinare gli interventi e rispondere alle necessità logistico-organizzative di tali realtà operanti sul territorio di competenza".

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Squarzino Secondina.

Squarzino (VA) Quando questo disegno di legge è stato assegnato alle Commissioni II e V si è deciso - come qualcuno ha ricordato stamani - di ascoltare per motivi professionali o per scelte personali persone che vivono accanto ai giovani, oppure persone che seguono iniziative che riguardano i giovani, iniziative nel lavoro, nello sport, nell'associazionismo. C'era da parte delle Commissioni l'esigenza di conoscere il mondo giovanile da una parte e di verificare dall'altra se le proposte contenute nel disegno di legge rispondevano ai bisogni dei giovani.

L'audizione è durata un giorno intero, ma nonostante questo non siamo riusciti ad ascoltare tutti quelli che avremmo voluto; al riguardo il Consigliere Chiarello sottolineava come sarebbe stato opportuno forse sentire anche i rappresentanti dei giovani.

Comunque, noi abbiamo lavorato a lungo e da queste audizioni sono emerse fondamentalmente due esigenze. Una, più concreta, è l'esigenza degli spazi: si lamentavano quasi tutti che mancano luoghi in cui i giovani possono trovarsi quando vogliono stare insieme, mancano luoghi in cui far musica, mancano prati in cui giocare al pallone e si parlava di quest'esigenza proprio nell'ultimo Consiglio regionale.

L'altra esigenza di carattere più generale nasce dalla mancanza nella nostra regione di una politica unitaria per i giovani, di un progetto politico che prenda sul serio la complessità del mondo giovanile, che cerchi di dialogare con questa complessità, un luogo in cui si elaborino e si scelgano azioni mirate e integrate fra di loro, tali da sostenere la fatica del vivere e del costruire la propria personalità, che incontrano i giovani. Nella nostra regione ci sono infatti molte iniziative rivolte ai giovani: agenzie del lavoro, scuole, agenzie formative, associazioni sportive e culturali, comunità di recupero per tossicodipendenti, ma ogni iniziativa è pensata in modo un po' settoriale per cui, mentre in alcune iniziative si concentrano molte risorse, penso al settore sportivo, non poniamo altrettanta attenzione per quanto riguarda le difficoltà che i giovani incontrano in altri settori quali la prevenzione, il miglioramento della qualità della vita, l'inserimento nel mondo lavorativo e l'accesso alla casa.

È un problema che anche altre regioni hanno incontrato e a cui hanno cercato di dare una risposta proprio individuando strumenti e strutture adeguate a cui demandare il compito di elaborare e coordinare programmi di politiche giovanili. In genere questo centro di coordinamento e di programmazione è collocato non in un Assessorato preciso, ma presso la Presidenza della Giunta.

Queste due esigenze che tipo di risposta hanno trovato? Rispetto alla carenza di locali direi che la risposta, come abbiamo già detto il Consiglio scorso, può venire direttamente dagli enti locali se predispongono progetti finalizzati alle iniziative che questa legge finanzia, progetti che consentono di mettere a disposizione dei giovani degli spazi per concerti ed iniziative varie.

Per quanto riguarda la seconda esigenza, cioè la creazione di un momento di elaborazione unitaria coordinata di politiche giovanili, direi che quest'esigenza non trova una risposta in questa legge o la trova in un modo molto limitato. Non c'è una struttura regionale ad hoc attrezzata a questo scopo. Viene attivato, è vero, un Osservatorio regionale che svolge i compiti tipici dell'Osservatorio che - come dice l'articolo 2 - sono: effettuare il monitoraggio del fenomeno, gestire e divulgare i risultati; a quest'Osservatorio vengono poi attribuiti altri compiti che sarebbero più tipici di una struttura regionale preposta alla programmazione che non di un Osservatorio e si chiede all'Osservatorio allora di supportare la predisposizione di progetti, di collaborare per valutare i progetti, di attivare e promuovere il coordinamento delle politiche giovanili per assessorati regionali.

Vediamo però che la risposta che viene data è un po' ambigua, nel senso che questa struttura ha funzioni diverse e non è ben chiaro a quale di queste funzioni l'Osservatorio risponda in modo essenziale. La stessa collocazione presso l'Assessorato della sanità porta a chiedersi come possa diventare un punto nodale dell'Amministrazione, tale da essere punto di riferimento per le politiche settoriali portate avanti dai diversi assessorati. Direi che questo è il limite maggiore di questa legge, oltre ad alcune incertezze che sono però meno essenziali. Devo constatare che non siamo riusciti, nonostante gli sforzi fatti in Commissione, a cambiare l'impostazione della legge che continua ad essere strutturata come legge di finanziamento. È mancato il coraggio di fare un passo avanti, di fare una legge più organica che metta al centro dell'attenzione della politica il mondo giovanile e le sue esigenze, che metta come punto essenziale del lavoro quello di elaborare questo tipo di politica. Ripeto, è mancato questo salto di qualità - come qualcun altro diceva - noi Verdi comunque voteremo a favore di questo disegno di legge, anche se non è la legge che avremmo voluto, anche se è una legge che recepisce in modo parziale le nostre richieste, anche se non è la legge organica che mette un punto di partenza per quanto riguarda l'attivazione di politiche giovanili. Tuttavia è pur sempre una legge che finanzia i progetti dei giovani, che inizia ad osservare il fenomeno, che prevede un luogo istituzionale in cui i giovani possono cominciare a presentare le loro istanze.

Seguiremo con molta attenzione l'applicazione di questa legge e continueremo a lavorare perché le istanze giovanili in un prossimo futuro possano trovare ascolto e riscontro nell'attività programmatoria della Regione.

Presidente Faccio una sola osservazione. Senza entrare nel merito dell'intervento appena conclusosi, devo però rilevare dal punto di vista formale che il luogo più indicato sarebbe stata la discussione generale. Poi è chiaro che in sede di discussione di qualsiasi articolo uno può prendere l'occasione per fare qualsiasi tipo di intervento. Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) Non so cosa vuol fare questa maggioranza, se vuol cambiare nome all'Assessorato, qui non c'è ancora scritto da nessuna parte, mentre c'è la legge che sta passando e il testo è questo; vedrei meglio un Assessorato in più, così che accontentereste di più la maggioranza, ad esempio un Assessorato alla famiglia e alle questioni giovanili...

(... commenti vari ed ilarità dell'Assemblea...)

... nel sapere questa legge affidata ad un Assessorato come quello che si intende costituire... la vedo come una prevenzione, invece l'avrei vista meglio affidata all'Assessorato all'istruzione; mi spiace dare un'altra incombenza a Louvin, ma la vedo come un qualcosa di propositivo non come un qualcosa di curativo nei confronti dei giovani. Un giovane di 14 anni non ha bisogno di prevenzione subito, ma ha bisogno di proposte e di un qualcosa che non lo porti ad avere dei problemi.

Ritengo però che la Giunta nel suo complesso abbia tutti gli assessorati e tutti gli strumenti ed è per questo che abbiamo chiesto la Presidenza della Giunta, appunto perché ritenevo importante che quest'attività fosse gestita dalla Presidenza della Giunta.

Questo lo ribadisco, Assessore, anche se si cambierà nome all'Assessorato, rimarrà sempre una cosa di competenza della Presidenza della Giunta ed è per questo che mantengo l'emendamento all'articolo 1.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Ho sentito la replica dell'Assessore, devo dire che mi ha fatto molto piacere; volevo sapere dall'Assessore, visto che ha affermato di condividere in gran parte le cose che ho detto, ma di non condividere gli emendamenti che ho presentato, se è d'accordo io ritiro gli emendamenti e voi ritirate il disegno di legge. No? Potrebbe essere una soluzione davvero; vedo dall'Assessore che la strada non è percorribile...

Vengo a spiegare il significato di quest'emendamento. L'Assessore dice che è un principio condivisibile, già espresso del resto nella legge n. 83 del 1993, la legge quadro sul volontariato e non faccio fatica a credere alle parole dell'Assessore; aggiunge che è superfluo riconfermare qui questa questione e su questo non sono totalmente d'accordo. Non so quanti di noi pensino, parlando di volontariato in generale, a quel genere di attività che concernono questa legge in particolare; adesso vorrei dire altre cose sulle quali mi soffermerò di più in fase di dichiarazione di voto, però il discorso è proprio questo, Assessore: la filosofia che sembra stare dietro questa legge è ancora un rapporto fra istituzioni, fra comuni e Regione, all'interno della Regione sì c'è una Consulta, ma il rapporto è sempre fra questi due. Allora cosa vogliamo dire con quest'emendamento?

Se posso dire così, l'emendamento vuole andare nella direzione di dire agli enti locali territoriali, quindi comuni e comunità montana, che possono, anzi devono attivarsi al di là di quelli che sono i finanziamenti previsti dalla legge. Vuol dire solo questo, ovvero: "... a tal fine gli enti locali territoriali attuano dei provvedimenti per coordinare gli interventi e rispondere alle necessità...", e qui ho messo appositamente questa formula, "logistico-organizzative", proprio per far trasparire il fatto che non si tratta solo di flussi finanziari. Ci sono soprattutto a livello dei comuni delle necessità che hanno piccole realtà, che magari fanno un dopo scuola, che magari fanno una festa all'anno, che magari mettono insieme quattro ragazzi per farli suonare, che non hanno problemi di soldi e i cui progetti sono talmente ridotti e limitati nelle dimensioni che non accederanno mai ai finanziamenti di questa legge. Si tratta di dire ai comuni di prestare attenzione anche a questi, di venire loro incontro non con soldi, ma con strutture, magari con un locale, con uno sveltimento di alcune pratiche burocratiche.

Ecco l'indirizzo che voleva dare l'emendamento era solo questo, per cui mi auguro che dopo aver illustrato il senso di quest'emendamento l'Assessore e la maggioranza possano rivedere la loro posizione.

Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla sanità ed assistenza sociale, Vicquéry.

Vicquéry (UV) Pour préciser à Monsieur Chiarello que le nom de l'Assessorat a déjà changé, nous avons pris une délibération qui confirme cela.

Quant à Monsieur Marguerettaz, nous sommes convaincus que rien n'empêche aux petites réalités locales d'aider les petites associations locales, au contraire. Pour sensibiliser aussi les communautés locales et les associations du bénévolat le Gouvernement régional envisage d'ici la fin de l'année l'organisation d'une conférence régionale qui aura comme but prioritaire celui de sensibiliser tous les gens à aider les jeunes, car c'est un problème qui de plus en plus nous donne des tracas. Lors de cette occasion nous pourrons nous confronter sur les différentes positions. Pour ces raisons on s'abstiendra sur les amendements présentés.

Presidente Pongo in votazione l'emendamento a firma del Consigliere Chiarello:

Presenti: 25

Votanti e favorevoli: 1

Astenuti: 24 (Agnesod, Bavastro, Bionaz, Borre, Chenuil, Dujany, Ferraris, Lanivi, Louvin, Mafrica, Marguerettaz, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Squarzino Secondina, Stévenin, Tibaldi, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'emendamento a firma del Consigliere Marguerettaz e di altri consiglieri:

Presenti: 26

Votanti e favorevoli: 4

Astenuti: 22 (Agnesod, Bavastro, Bionaz, Borre, Chenuil, Chiarello, Dujany, Ferraris, Lanivi, Louvin, Mafrica, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Stévenin, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 1 così come da disegno di legge:

Presenti: 26

Votanti e favorevoli: 22

Astenuti: 4 (Chiarello, Lanièce, Marguerettaz e Tibaldi)

Presidente All'articolo 2 c'è l'emendamento presentato dal Consigliere Marguerettaz e da altri consiglieri, di cui do lettura:

Emendamento Sostituire così l'articolo 2 e l'articolo 3:

Articolo 2

(Ufficio delle politiche giovanili)

1. È istituito presso l'Assessorato regionale della Sanità ed Assistenza Sociale, l'Ufficio delle politiche giovanili, quale struttura regionale competente in materia. Esso svolge funzioni di strumento operativo al servizio della Consulta giovanile, delle associazioni che svolgono attività a favore dei giovani e degli enti locali, nonché di coordinamento tra i vari settori dell'Amministrazione regionale e degli enti locali che si occupano di politiche giovanili.

2. In particolare l'Ufficio delle politiche giovanili provvede a:

a) elaborare i piani generali delle politiche giovanili in collaborazione con la Consulta giovanile;

b) supportare la predisposizione e la valutazione dei progetti della Consulta, delle associazioni di cui al comma 1 e degli enti locali;

c) attivare il coordinamento delle politiche giovanili tra gli assessorati regionali;

d) effettuare il monitoraggio costante del fenomeno giovanile;

e) gestire i risultati delle indagini periodicamente effettuate sulle realtà giovanili.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) L'obiezione che l'Assessore ha fatto su quest'emendamento è di tipo tecnico, nel senso che secondo l'Assessore la legge 45 non permette l'adozione di un emendamento così come è stato formulato.

Rimango sulle parole dell'Assessore, ma faccio una considerazione a lato di questo. Le competenze che avevo previsto per quest'ufficio, che sembra non si possa creare se non modificando la pianta organica dell'Amministrazione, se ho ben capito, il disegno di legge presentato le attribuisce all'Osservatorio. Se l'idea di quest'Osservatorio di per sé è buona, trovo tuttavia strano che gli uffici non abbiano avuto nulla da eccepire su come viene formulata l'ipotesi di quest'Osservatorio perché non andiamo a parlare di un ufficio evidentemente, ma non sappiamo nemmeno bene di cosa andiamo a parlare. Se confrontiamo come viene descritto l'Osservatorio permanente sulla condizione giovanile e paragoniamo questo alla descrizione della Consulta, ci rendiamo conto della grossa incongruenza perché, per quanto riguarda la Consulta, si dice da quanti membri è composta, come viene eletta, chi fa il regolamento attuativo eccetera, mentre per quanto riguarda l'Osservatorio l'unica cosa che viene espressa in legge sono le competenze, ma non si sa chi farà questo lavoro, se sarà personale dell'Assessorato che oggi si occupa anche di altre cose, se invece si pensa a delle formule di appalto di un servizio. Non c'è scritto nulla e mi fa strano che si possa in una legge istituire un qualcosa di cui non si ha materia; generalmente, almeno per quel poco di esperienza che mi sono fatto in questi anni, capita che nelle leggi non si scenda nei particolari, quindi non si dica come una cosa è strutturata eccetera, ma in quel caso si fa rinvio ad un provvedimento della Giunta o a qualche altra soluzione, che invece qui non vedo presente. Pertanto sono anche disposto a ritirare l'emendamento, ma non mi dispiacerebbe se l'Assessore mi ragguagliasse su come intende impostare quest'Osservatorio perché dalla legge si stenta a capire.

Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla sanità e assistenza sociale, Vicquéry.

Vicquéry (UV) L'Observatoire a été envisagé dans le projet de loi comme un service général, un staff à l'intérieur de l'organisation de l'Assessorat. Dans la réorganisation de l'Assessorat à la santé, au bien-être et à la protection sociale nous avons envisagé des services généraux comme l'Observatoire épidémiologique régional, le système informatif et cetera. L'Observatoire sur les politiques de la jeunesse aura un rôle de service général à l'intérieur de l'Assessorat. C'est pour ces raisons qu'on ne renvoie pas aux délibérations de Junte, mais ce sera le Coordinateur qui préparera un organigramme, à l'intérieur duquel il y aura ce genre d'organisation.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Mi dispiace dover dire che la risposta dell'Assessore in questo senso è decisamente insufficiente perché qui andiamo ad istituire una cosa che, a detta dei relatori, è una delle perle di questa legge, ma è una perla che parte in piena zona d'ombra. Abbiamo scritto in legge un'idea, invece abbiamo bisogno di un punto di riferimento e il punto di riferimento non traspare così come è scritta questa legge per cui, a costo di rischiare le ire o la contrarietà degli uffici, credo che l'emendamento così come io l'ho proposto definisca meglio un ambito a cui fare riferimento, al quale non si sottraggono nessuna delle competenze previste per l'Osservatorio quindi, mantengo il secondo emendamento.

Presidente Pongo in votazione l'emendamento a firma del Consigliere Marguerettaz e di altri consiglieri:

Presenti: 30

Votanti e favorevoli: 6

Astenuti: 24 (Agnesod, Aloisi, Bavastro, Bionaz, Borre, Chenuil, Dujany, Ferraris, Florio, Lanivi, Louvin, Mafrica, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Stévenin, Vallet, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 2 così come da disegno di legge:

Presenti: 31

Votanti e favorevoli: 25

Astenuti: 6 (Chiarello, Collé, Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Presidente Pongo in votazione l'articolo 3:

Presenti: 31

Votanti e favorevoli: 26

Astenuti: 5 (Collé, Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Presidente All'articolo 4 c'è l'emendamento presentato dal Consigliere Chiarello che recita:

Emendamento Il comma 5 dell'articolo 4 è sostituito dal seguente:

"5. La Consulta giovanile può avvalersi della consulenza di esperti".

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) Questo è un semplice emendamento; non sempre gli esperti possono essere della Regione, penso che la Consulta possa anche avvalersi di esperti esterni, di qualcuno che lavora sulle politiche giovanili all'esterno della Regione.

Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla sanità ed assistenza sociale, Vicquéry.

Vicquéry (UV) L'amendement peut être accepté, car dans une première lecture on parlait d'experts de l'Administration régionale. Si on se limite à parler d'experts, on peut engager des expertises à l'extérieur, avec l'accord que ce sera la Région à payer les frais des experts. L'amendement est accepté.

Presidente Pongo in votazione l'articolo 4 nel testo così emendato:

Articolo 4 (Consulta giovanile)

1. È istituita la Consulta giovanile, composta da nove membri designati secondo le modalità stabilite dall'Assemblea regionale del mondo giovanile di cui all'articolo 9.

2. La Consulta giovanile si dota di un regolamento per il proprio funzionamento ed elegge al suo interno un presidente.

3. La Consulta giovanile dura in carica tre anni.

4. La Giunta regionale adotta tutti i provvedimenti per garantire il funzionamento della Consulta giovanile.

5. La Consulta giovanile può avvalersi della consulenza di esperti.

Presenti, votanti e favorevoli: 30

Il Consiglio approva

Presidente All'articolo 5 c'è l'emendamento presentato dal Consigliere Marguerettaz e da altri consiglieri, di cui do lettura:

Emendamento All'articolo 5:

- abrogare la lett. a);

- alla lett. b) dopo le parole "... formula proposte... " aggiungere "e pareri".

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Mi auguro vivamente che quest'emendamento venga accettato perché mi sembra vada incontro alle affermazioni che l'Assessore ha fatto quando parlava nella sua replica di alcuni vincoli burocratici ai quali la vecchia Consulta era chiamata.

Così come è formulato quest'articolo, la lettera a) in particolare, dice sostanzialmente che la Consulta esprime pareri obbligatori non vincolanti su ciò che la Giunta le passa; non mi piace già tanto come impostazione che questa Consulta sia obbligata a formulare un parere che per lo più non è obbligatorio, ma semplicemente consultivo su ciò che la Giunta decide la Consulta stessa debba esprimersi. Tanto più che alla lettera b) invece, laddove si elenca tutta una serie di altre competenze della Consulta, sarebbe sufficiente prevedere che la Consulta, oltre a formulare proposte, formula pareri su ciò che la Consulta stessa ritiene più opportuno.

Questo anche nella direzione di ciò che si diceva stamani, su cui mi sembrava l'Assessore stesso convenisse, quando si diceva che gli atti amministrativi che possono concernere la sfera giovanile non sono quelli che necessariamente portano il titolo "per i giovani", ma ci possono essere altre iniziative in campo culturale, sportivo, sociale, urbanistico addirittura che potrebbero invece suscitare l'interesse dei giovani e quindi il desiderio da parte della Consulta di formulare dei pareri. Suggerisco di emendare l'articolo 5, mi sembra che si possa parlare, se emendato, di un articolo più snello e meno macchinoso per la Consulta stessa.

Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla sanità ed assistenza sociale, Vicquéry.

Vicquéry (UV) J'ai l'impression qu'on tourne autour des problèmes, mais la substance est la même, c'est-à-dire dans le projet de loi on dit que la Conférence de la jeunesse exprime des avis sur toute une série d'actes, sur des projets de loi, sur des règlements, sur des actes administratifs. Dans la lettre b) l'on dit que la Consulte prépare des propositions pour la Junte régionale et pour le Conseil régional. Ce sont deux choses qui vont dans la même direction, même du point de vue de la formulation on ne peut pas écrire: "formula proposte e pareri", donc je maintiens l'abstention sur l'amendement de Monsieur Marguerettaz.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Non voglio polemizzare, Assessore, io spero che lei non abbia capito, credo che sia così. Di fatto, se lei rifiuta quest'emendamento, allora la Consulta sarà obbligata a formulare pareri su ciò che voi deciderete debba esprimere parere. Per cui un giorno che voi portate un atto alla Consulta che suscita l'indifferenza generale da parte della Consulta stessa, comunque la Consulta si dovrà riunire e formulare un parere. Questo mi sembra vada nella stessa esatta direzione in cui andava la legge n. 3 del 1990, quando si cercava di fare di tutto - almeno questi sono stati i risultati su cui conveniamo tutti - e questo ha fatto sì che alla fine i partecipanti alle consulte si stufassero, non andassero più, cominciasse a mancare il numero legale e la macchina non abbia più funzionato. Lasciamo la libertà a questa Consulta di formulare pareri e proposte su ciò che ritiene opportuno.

Credo che forse la cosa migliore sia a questo punto di cancellare la seconda parte di quest'emendamento cioè la sostituzione delle parole della lettera b) e di abrogare la lettera a) del comma.

Presidente Pongo in votazione l'articolo 5 con l'emendamento soppressivo della lettera a), ovvero nel seguente testo emendato:

Articolo 5 (Funzioni della Consulta giovanile)

1. La Consulta giovanile:

a) elabora rapporti, promuove dibattiti pubblici, convegni e incontri, formula proposte da sottoporre all'esame della Giunta regionale o del Consiglio regionale nel campo delle politiche giovanili tese a realizzare le finalità di cui all'articolo 1;

b) predispone programmi e progetti di cui all'articolo 6.

Presenti: 28

Votanti: 27

Favorevoli: 26

Contrari: 1

Astenuti: 1 (Florio)

Il Consiglio approva

Presidente All'articolo 6 c'è l'emendamento a firma del Consigliere Chiarello, di cui do lettura:

Emendamento L'alinea del comma 1 è così sostituito:

"1. Per il raggiungimento delle finalità di cui all'articolo 1 la Presidenza della Giunta, gli Enti Locali, la Consulta giovanile, le Associazioni giovanili (quando non rappresentate nella Consulta) predispongono proposte, programmi e progetti relativi ai seguenti ambiti:".

Lo pongo in votazione:

Presenti: 28

Votanti e favorevoli: 3

Astenuti: 25 (Agnesod, Aloisi, Bavastro, Bionaz, Borre, Collé, Dujany, Florio, Lanivi, Louvin, Mafrica, Marguerettaz, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Stévenin, Tibaldi, Vallet, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 6 così come da disegno di legge:

Presenti: 28

Votanti e favorevoli: 24

Astenuti: 4 (Chiarello, Lanièce, Marguerettaz e Tibaldi)

Presidente All'articolo 7 c'è l'emendamento a firma del Consigliere Chiarello, di cui do lettura:

Emendamento Il comma 1 dell'articolo 7 è sostituito dal seguente:

"1. La Giunta regionale, gli enti locali e le associazioni giovanili operanti sul territorio della Valle d'Aosta possono avvalersi sulla base delle apposite convenzioni di cooperative e/o associazioni di volontariato per la gestione delle iniziative di cui all'articolo 6".

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) Sì, è lo stesso, scusate, stavo prendendo... a forza di discutere...

Presidente Pongo in votazione l'emendamento testé letto:

Presenti: 29

Votanti e favorevoli: 1

Astenuti: 28 (Agnesod, Aloisi, Bavastro, Bionaz, Borre, Chenuil, Dujany, Ferraris, Florio, Lanièce, Lanivi, Louvin, Mafrica, Marguerettaz, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Squarzino Secondina, Stévenin, Tibaldi, Vallet, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 7 così come da disegno di legge:

Presenti: 31

Votanti e favorevoli: 30

Astenuto: 1 (Chiarello)

Presidente Pongo in votazione l'articolo 8:

Presenti: 30

Votanti e favorevoli: 26

Astenuti: 4 (Collé, Lanièce, Marguerettaz e Viérin M.)

Presidente All'articolo 9 c'è l'emendamento a firma del Consigliere Chiarello, ne do lettura:

Emendamento Il comma 1 dell'articolo 9 è sostituito dal seguente:

"1. L'Assemblea regionale dell'associazionismo giovanile, convocata in prima istanza dalla Presidenza della Giunta mediante pubblico avviso riservato ai giovani residenti in Valle d'Aosta, facenti parte di gruppi o di associazioni senza fini di lucro composte da un numero di unità uguale o superiore a venti, si costituisce con la stesura di un regolamento che ne determina le modalità di funzionamento".

di conseguenza la rubrica dell'articolo 9 è così modificata:

"(Assemblea regionale dell'Associazionismo giovanile)".

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) All'Assessore su questo, dopo la spiegazione che mi ha dato, do una spiegazione diversa. Proprio per tirare fuori dalla partecipazione dei soli gruppi politici, che sono quelli organizzati e che possono anche contare un certo numero di giovani, avevo chiesto che potessero essere riconosciuti anche gruppi di giovani che siano al di fuori di questi, che però abbiano almeno venti partecipanti. Questo era proprio per non discriminare certe associazioni giovanili e non fare associazioni di serie A ed associazioni di serie B.

Abbiamo già detto all'inizio che non vogliamo una Repubblica dei giovani, ma una Consulta aperta a tutte le esigenze giovanili; se si trova un gruppo di venti persone che ha delle esigenze, mi sembra che, anche se non è aggregato ad un partito, debba e possa far parte di questa Consulta. Con la legge non vedo la possibilità che possa entrare nella Consulta un gruppo che abbia almeno venti iscritti, non è previsto; è per questo che chiediamo che venga inserito che anche un gruppo di venti persone al di fuori - detto fra noi - delle organizzazioni di partito o organizzazioni clericali possa partecipare alla Consulta.

Devo segnalare un errore di battitura nella stesura dell'emendamento: dove si parla di Assessore alla sanità vorrei ribadire che è la Presidenza della Giunta.

Ho guardato altre leggi sulle politiche giovanili di altre regioni, ma non mi stavo inventando niente quando ho messo Presidenza della Giunta; tali politiche sono affidate a compartimenti che dipendono dalla Presidenza della Giunta. In Valle d'Aosta, se vogliamo fare della prevenzione anche sui giovani, è un'altra cosa.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello... no, il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Dare del Chiarello a Marguerettaz è come dare dei proconsoli di Prodi agli Unionisti...

(...ilarità dell'Assemblea...)

... due questioni, una sull'emendamento del Consigliere Chiarello e l'altra sull'articolo così come è formulato nel disegno di legge. Abbiamo vissuto una modificazione di quest'articolo dal testo originario all'attuale, cioè ci si è resi conto che il fatto, per uno che passava davanti all'Assemblea generale dei giovani, di potere entrare e contribuire a prendere le decisioni, non era una soluzione facilmente fattibile e che invece era più percorribile quest'ipotesi contenuta nel testo. Rimane però in piedi il dubbio che era stato sollevato questa mattina, quando si è andati ad analizzare l'esito della vecchia legge e quando si diceva che una delle cause del fallimento della vecchia legge è stata l'aver creato delle sorte di Parlamentini, di rappresentanze dei vari organismi politici, fatto questo che ha portato le conseguenze che talvolta si vedono negli organismi degli adulti che fanno politica. Quindi si era detto, più volte ripreso dal relatore Perron, di stare attenti a non fare la stessa cosa, ed è vero, lo spirito è senz'altro giusto.

Tuttavia con questa formulazione, pur rendendomi conto che la prima via era decisamente impercorribile, non ci si mette al riparo da quel rischio, cioè nel momento in cui si convocherà l'Assemblea dei giovani facenti parte di gruppi o associazioni senza fini di lucro c'è il rischio che si presentino - anche se sicuramente saranno molto meno rispetto a qualche anno fa perché la storia è andata in un certo modo - le organizzazioni giovanili comunisti, la Jeunesse valdôtaine, qualche giovane speriamo di trovarlo anche noi... Quindi chiedo all'Assessore come pensa di ovviare a questi inconvenienti.

Il principio sotteso alla proposta suggerita dall'emendamento del Consigliere Chiarello, anche se è un po' difficoltoso il pensare come si possa realizzare nei fatti, mi vede favorevole e credo sia stato seguito anche in diverse esperienze in altre realtà regionale, cioè cercare di coinvolgere quelle aggregazioni cosiddette informali, quei gruppi informali che spontaneamente nascono fra i giovani senza necessariamente avere una denominazione di questa o di quell'altra associazione. Un gruppo di amici che regolarmente si trova per fare una attività che li lega, alla quale tutti tengono, può essere un interlocutore valido dell'Assemblea.

Da una parte attendo la risposta dell'Assessore, se viene, dall'altra annuncio voto favorevole all'emendamento del Consigliere Chiarello.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) Volevo solo aggiungere che l'emendamento comprende anche la cancellazione dell'età compresa fra i 14 e i 28 anni. Ci sono delle leggi che ha riportato anche l'Assessore che parlano anche di 32 anni, leggi europee, leggi statali e via dicendo; ritengo che si debba lasciare libera l'età anche perché uno si sente giovane finché viene accettato dai giovani. Se volessimo mettere un limite di età, sarebbe meglio mettere quello riportato dalle leggi europee, 30 o 32 anni, non capisco perché 28 anni.

Presidente Pongo in votazione l'emendamento proposto dal Consigliere Chiarello:

Presenti: 29

Votanti e favorevoli: 5

Astenuti: 24 (Agnesod, Aloisi, Bavastro, Bionaz, Borre, Chenuil, Dujany, Ferraris, Florio, Lanivi, Louvin, Mafrica, Parisi, Perrin C., Perrin G.C., Perron, Piccolo, Riccarand, Rini, Stévenin, Vallet, Vicquéry, Viérin D. e Voyat)

Il Consiglio non approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 9 così come da disegno di legge:

Presenti: 29

Votanti e favorevoli: 24

Astenuti: 5 (Chiarello, Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Presidente All'articolo 10 c'è l'emendamento proposto dall'Assessore Vicquéry, che recita:

Emendamento All'articolo 10 dopo le parole... "ed i protocolli relativi agli scambi socio-culturali stipulati dal Ministero degli Affari Esteri" aggiungere "e dalla Regione Autonoma Valle d'Aosta".

Pongo in votazione l'articolo 10 nel testo così emendato:

Articolo 10 (Scambi socio-culturali)

1. La Regione adotta progetti tendenti a promuovere iniziative rivolte a realizzare scambi di esperienze con Paesi esteri in ambito europeo, allo scopo di favorire lo sviluppo socio-culturale dei giovani in armonia con gli accordi culturali ed i protocolli relativi agli scambi socio-culturali stipulati dal Ministero degli affari esteri e dalla Regione Autonoma Valle d'Aosta, nel rispetto dell'articolo 2 del decreto del Presidente della Repubblica 22 febbraio 1982, n. 182 (Norme di attuazione dello statuto speciale della regione Valle d'Aosta per l'estensione alla regione delle disposizioni del D.P.R. 24 luglio 1977, n. 616 e della normativa relativa agli enti soppressi con l'articolo 1-bis del D.L. 18 agosto 1978, n. 481, convertito nella L. 21 ottobre 1978, n. 641) e del decreto del Presidente del Consiglio dei Ministri 11 marzo 1980 (Disposizioni di indirizzo e coordinamento per le attività promozionali all'estero delle regioni nelle materie di competenza).

Presenti: 30

Votanti e favorevoli: 26

Astenuti: 4 (Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Il Consiglio approva

Presidente Pongo in votazione l'articolo 11:

Presenti: 30

Votanti e favorevoli: 26

Astenuti: 4 (Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Presidente Pongo in votazione l'articolo 12:

Presenti, votanti e favorevoli: 30

Presidente Pongo in votazione l'articolo 13:

Presenti, votanti e favorevoli: 30

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Marguerettaz.

Marguerettaz (PpVA) Ci asterremo dal votare questo disegno di legge per le seguenti motivazioni che vado a sintetizzare per punti.

L'Osservatorio: checché ne dica l'Assessore, sfido chiunque qui dentro a spiegarmi come funzionerà, cosa sarà quest'Osservatorio. Con questa legge andiamo a decretare la necessità che ci sia qualcosa di questo genere, ma non diciamo nulla di come questa cosa verrà strutturata. Di conseguenza non si risponde ad una delle necessità comunque più urgenti che vi sono nell'impostare una legge regionale sulle politiche giovanili. La necessità più urgente almeno che io vedo è che ci sia un luogo di riferimento; finché non c'è questo, le cose non procederanno come ci auguriamo perché anche in questo senso il mancato funzionamento della legge n. 3 del 1990 ha avuto anche questa causa.

Ricordo dei sindaci di alcuni comuni della Valle che, oltre a non aver compreso molto bene cosa significava quella legge, quali opportunità venivano loro date con quella legge, non sapevano neanche a chi riferirsi di fatto. C'era l'Assessore Beneforti all'epoca e qualcuno andava dall'Assessore Rusci, quindi il suggerimento che aveva fatto Chiarello nello scambio di assessorati di competenza si vede che c'era anche qualcun altro che ci aveva pensato. Comunque di fatto questo riferimento viene a mancare con questa legge. Questo almeno apparentemente, poi tutti ci auguriamo del contrario e io per primo, ma credo sia indicativo anche il silenzio dell'Assessore su quella domanda specifica che avevo posto sull'organizzazione di questa Consulta.

Abbiamo richiamato l'attenzione sul tipo di Consulta creato dalla legge del 1990, cioè una Consulta politicitizzata ed abbiamo chiesto come si poteva ovviare a questo; la risposta non è venuta e non può venire. In questo caso mi dispiace che l'Assemblea non abbia accettato l'emendamento del Consigliere Chiarello, emendamento che su quell'articolo poteva se non altro rappresentare un segnale che non si voleva necessariamente andare in questa direzione, perché nel momento in cui si parla anche di gruppi informali si riesce ad allargare un po' il respiro. Perché davvero qui il rischio è che le forze politiche, quelle che hanno ancora una realtà giovanile bene o male organizzata, mobilitino questi giovani e quindi siamo punto e a capo.

Ci asterremo su questa legge per un concetto molto significativo ed importante. La bocciatura del primo emendamento che avevo presentato sull'articolo 1, concernente gli enti locali, mi è dispiaciuta perché dietro a questa legge ci sta un ulteriore rischio. Come sapete, spesso si dibatte se è la legge che fa la morale o la morale che fa la legge, io non so dare bene una risposta a questo, ma temo che con un'impostazione così come quella che è stata data a questa legge si crei una mentalità negli enti locali, che è quella di dire: politiche giovanili uguale legge - quello che sarà - della Regione Valle d'Aosta che ci dà i soldi. Questa è la mentalità pericolosa che si innesca con questa legge, anche perché a volte do atto, non sempre, Assessore Vicquéry, è vero che in qualche occasione abbiamo visto delle inversioni di tendenza per quanto riguarda l'applicazione del concetto di sussidiarietà, ma sono ancora molto rare queste occasioni, in questo caso io salvo la buona fede dell'Assessore perché sono certo che voleva andare in quella direzione, ma a mio avviso non riuscirà nell'intento perché il problema è quello di far sì che gli enti locali - e qui spero che la Conferenza a cui ha accennato l'Assessore sia utile, spero veda anche una partecipazione nutrita - si rendano conto che sono le realtà più vicine a poter rispondere a questi bisogni, legge o non legge regionale. Se succede questo, siamo punto e a capo, nel senso che avremo i sindaci che torneranno giù al martedì o qualche altro giorno con il loro progettino e chiederanno all'Assessore di avere il finanziamento per il loro progettino.

Ci asterremo su questa legge perché - anche se mi rendo conto che questo è un punto difficile da gestire, è tutto molto difficile da gestire, di questo va dato atto - in essa vedo un mettere insieme e senza che ci sia un minimo accenno che faccia pensare al contrario le problematiche del ragazzino di 14 anni con le problematiche del ragazzo di 28 anni. È vero che ci sono le indicazioni del Parlamento europeo - ho letto anch'io addirittura le indicazioni di dare il voto ai sedicenni nei comuni e cose di questo genere - però ritengo che questo non significhi fare una politica per questa fascia di età, ma solo considerare questa fascia di età con interventi differenziati e questo non traspare dalla legge. Torno a sottolineare che i problemi del ragazzino di 14 anni sono più lontani per assurdo da quelli di uno di 28 rispetto a quelli di uno di 90, perché sono problematiche molto, molto diverse.

In conclusione a cosa servirà questa legge? Ecco perché ci asteniamo e non votiamo contro la legge. Questa legge servirà a far funzionare un po' meglio dal punto di vista burocratico quella che era la procedura della legge del 1990; probabilmente rispetto ai tre progetti finanziati negli ultimi anni dalla legge del 1990 con questa legge si potranno finanziare un numero maggiore di progetti e in questo senso ben venga.

Da questo punto di vista è un passo in avanti, però rispetto alle tematiche complessive delle politiche giovanili viene in mente il famoso detto: la montagna ha partorito il topolino. Per carità un parto c'è comunque stato, anche un topo viene partorito, però spero che con questo - e ribadisco quello che ho detto stamani - non si giri la pagina giovani, spero che con questa legge - che immagino il Consiglio voterà - non si dica che abbiamo concluso la pratica giovani, passiamo ad altro, perché questo sarebbe l'atteggiamento più deleterio che tutti noi potremmo prendere.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.

Chiarello (RC) Siamo tutti d'accordo sul fatto che ci fosse bisogno di una legge che cercasse di fare almeno un passo avanti. Ho già espresso più di una volta oggi il mio parere dicendo che, secondo me, affidando ad un certo Assessorato, si tende in una certa maniera verso i giovani, mentre ritenevo opportuno che si facesse un qualcosa di diverso, come d'altronde si è fatto in altre regioni. L'ultimo emendamento mi è stato proposto dai giovani del mio partito, proprio per le modalità che citava prima il Consigliere Marguerettaz, perché loro per primi si rendono conto che può diventare un Parlamentino dei partiti, dal momento che gli unici giovani organizzati in Valle d'Aosta in questo periodo sono i giovani dei partiti non so se delle associazioni cattoliche o qualcosa, ma al di fuori stentano a nascere anche perché nella legge non è scritto che possono partecipare anche altri o in che numero. Il grosso problema è che diventi di nuovo una cosa che poi non funziona.

Avendo partecipato a qualche riunione dei giovani, non solo dei nostri, ho visto che c'è un buon fermento giovanile; spero che questo movimento dei giovani che hanno voglia di fare qualcosa spinga la legge a funzionare però, secondo me, la legge di sicuro ha solo i finanziamenti, le altre cose sono abbastanza latitanti.

Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Perron.

Perron (UV) Nel ribadire il voto favorevole del Gruppo dell'Union Valdôtaine su questo progetto di legge, credo che qualcuno abbia voluto attribuire a questa legge delle finalità che la legge non ha, così come mi sono state attribuite questa mattina delle dichiarazioni in quanto relatore che il relatore non ha assolutamente fatto.

Ho detto stamani che questa legge non ha la pretesa di essere la risposta globale a tutte le problematiche del mondo giovanile; questo lo sappiamo nel momento in cui abbiamo iniziato il confronto in Commissione. Siamo stati onesti con noi stessi e con coloro che ci hanno ascoltato fin dall'inizio, dicendo che non eravamo in grado di promettere delle cose che non si potevano promettere; ora si possono anche accettare e capire certi ragionamenti quando si dice che questa legge non è completa, che vanno fatti una certa filosofia e un certo modo di ragionare sulla problematica complessa del mondo giovanile, ma io credo che su quest'iniziativa si sia fatta anche un po' di strumentalizzazione. Ripeto, cercare in un progetto di legge di risolvere tutte le problematiche del mondo giovanile è impossibile.

Quando parliamo di problematiche del mondo giovanile parliamo di cultura, di disoccupazione, di lavoro, di territorio, di scuola, di famiglia, di stato sociale in cui un giovane vive e comprendere in una legge tutte queste tematiche diventerebbe a mio giudizio impossibile. Io credo che invece il tentativo di questa legge, pur con tutti i suoi limiti, sia nobile e positivo. Ad esempio non condivido i rilievi negativi che fa il collega Marguerettaz sul discorso dell'età; credo che non vi sia nulla di così drammatico se in una legge vengono fissati dei limiti minimi e massimi entro i quali cercare di adottare delle politiche giovanili. Vero è che il giovane di 14 anni ha delle esigenze diverse dal giovane di 28 anni, ma credo che sia normale fissare un ambito entro il quale cercare di indirizzare da parte della Pubblica Amministrazione una politica verso i giovani. Su questo si può condividere il ragionamento che faceva Chiarello sul limite un po' più alto di età massima da fissare in questa legge.

Credo che sia da respingere quella sorta di accusa che viene fatta di aver prodotto un qualcosa che non era proponibile. Il nostro Gruppo è convinto che ancora una volta ci siamo distinti a nostro giudizio nel giusto da altre realtà regionali che non hanno avuto la capacità di mettere mano in questo settore, proponendo un qualcosa di positivo. Credo che questa proposta, vista nella sua globalità, sia una proposta nuova - anche se ripeto non è la soluzione di tutti i mali - e sia una buona occasione per dare ai giovani un qualcosa di concreto.

Sottolineo ancora una volta la buona fede, come citava qualcuno, da parte delle forze politiche di evitare che vi siano delle strumentalizzazioni di tipo politico su quest'iniziativa. In questo modo la politica fornisce ai giovani una sorta di fiducia, un po' una carta bianca al fine di permettere ai giovani di gestire direttamente le loro iniziative e di fare, a differenza della legge precedente, delle proposte che li riguardano direttamente.

In questo senso cerchiamo di valorizzare i giovani, dando agli stessi della responsabilità, della fiducia perché la mancanza di fiducia nei confronti dei giovani è oggi una delle cause principali del disinteresse dei giovani nei confronti di tutto ciò che è sociale, di tutto ciò che è impegno istituzionale, di tutto ciò che comunque riguarda le istituzioni.

Ci assumiamo totalmente la responsabilità di ciò che facciamo, siamo convinti che, una volta adottata questa legge, non diremo: abbiamo fatto un qualcosa per i giovani, non ci pensiamo più, ma credo che continueremo con attenzione a seguire ciò che viene fatto a livello di politica indirizzato verso il mondo giovanile.

Con queste convinzioni il Gruppo dell'Union Valdôtaine esprime il suo giudizio positivo sull'atto che stiamo discutendo.

Presidente Pongo in votazione il disegno di legge nel suo complesso:

Presenti: 31

Votanti e favorevoli: 25

Astenuti: 6 (Chiarello, Collé, Lanièce, Marguerettaz, Tibaldi e Viérin M.)

Il Consiglio approva