Objet du Conseil n. 2402 du 5 février 1997 - Resoconto
SEDUTA POMERIDIANA DEL 5 FEBBRAIO 1997
OGGETTO N. 2402/X Ricerca di una struttura di proprietà regionale da destinare alle attività dei gruppi giovanili. (Ritiro di mozione)
Mozione Premesso che anche nella nostra Regione c'è la necessità più volte espressa da gruppi di giovani di uno spazio da utilizzare per varie attività giovanili, ma soprattutto per organizzarvi incontri musicali (musica Rock, Rap, ecc.);
Rilevato che pur tra mille difficoltà il salone regionale aveva fino ad ora risposto alle suddette esigenze;
Preso atto della decisione di non più concedere il salone suddetto per qualsiasi tipo di concerto;
il Consiglio regionale della Valle d'Aosta
impegna
la Giunta regionale ad individuare, in tempi ragionevoli, tra le proprietà regionali una struttura adatta all'uopo. Le modalità di gestione della stessa potranno venire concordate con i vari gruppi giovanili esistenti nella nostra Regione.
F.to: Chiarello
Presidente Ha chiesto la parola il Presidente della Giunta, Viérin Dino.
Viérin D. (UV) De temps à autre le problème du choix d'un édifice public, susceptible d'accueillir les activités des associations des jeunes, revient à la surface; il s'agit sans doute d'un problème réel et je m'efforcerai, avec l'assesseur Louvin, de faire le point de la situation et de fournir au conseiller Chiarello, mais aussi à toute l'Assemblée, quelques suggestions.
Si, en effet, la question est désormais réglée pour ce qui est des événements pouvant se dérouler en plein air, puisqu'il a été décidé de recourir aux espaces publics et dans certains cas à l'arène de la Croix Noire, le problème demeure pour ce qui est des manifestations exigeant une structure fermée. A notre sens on ne peut borner ce problème à une question d'espaces ou de structures disponibles; il faut l'insérer dans un contexte plus général des exigences qui sont manifestées par les jeunes dans leur ensemble.
A cet effet je veux rappeler que déjà actuellement il existe des interventions de l'Administration régionale sur la base de la loi n° 3/1990, loi qui permet d'attribuer des financements aux collectivités locales qui présentent des projets spécifiques touchant les exigences et les nécessités de la population juvénile. La communauté de montagne du Grand-Paradis, les communes de Pont-Saint-Martin et de Hône, la commune d'Aoste, ont présenté des projets qui contribuent à donner des réponses spécifiques.
Reste le problème des salles et pendant une certaine période la salle des manifestations du Palais régional, qui n'est pas évidemment conçue à cet effet, a pu suppléer à une telle structure, tant qu'il s'est agi d'événements occasionnels.
Mais le fait est que les occasions ont commencé à se répéter de plus en plus fréquemment, ce qui a donné naissance à nombre de problèmes de caractère structurel, d'ordre et de sûreté publique, de gestion, d'entretien, également de coûts de remise en état, imputables aux abus des utilisateurs - je veux rappeler la réponse que j'avais donnée en 1995 à une interpellation de M. Chiarello, suite à un concert qui s'était tenu dans cette même salle le 4 février 1995 - mais également au fait que les locaux ne sont pas adaptés aux besoins de certaines manifestations du point de vue de la facilité d'accès et des structures annexes indispensables.
Comme toujours, l'utilisation d'une structure à des fins abusives, qui ne sont pas celles pour lesquelles elle a été conçue, finit par engendrer une réglementation. Cet usage sera peut-être exceptionnel, mais comme lorsque l'exception devient la règle, ce sont les autres activités qui en souffrent et notamment les activités institutionnelles, qui pour le moins caractérisent l'utilisation d'une telle salle: les conférences, les réunions, les débats, les assemblées. Je pense que c'est la salle ou ce sont les salles les plus utilisées au Val d'Aoste parce que nous les accordons à tous ceux qui en font la demande.
Par ailleurs il faut aussi souligner que cette même assemblée a approuvé un projet de restructuration de cette salle, compte tenu des limites qu'elle présente actuellement; il suffit de participer à un débat ou à une conférence pour s'en rendre compte. Donc imaginez quel est l'état de cette salle ou quelle en est l'utilisation, à l'occasion des requêtes de concerts. Cela simplement pour signifier à M. Chiarello que le refus qui a opposé notamment à des jeunes militants de Rifondazione Comunista n'est pas ciblé contre ces militants, mais c'est un problème d'ordre général qui découle des considérations que je viens d'exprimer. Donc c'est pour ces raisons qu'il a été décidé de ne plus ouvrir la salle des manifestations du Palais régional à certains événements ou rencontres musicales.
En ce qui concerne les propriétés régionales, aucune structure n'est actuellement en mesure d'accueillir les activités des associations des jeunes, en particulier les rencontres musicales. Comme chacun sait, l'Assessorat de l'instruction publique travaille en ce moment en collaboration avec l'Assessorat des travaux publics à la proposition de restructuration de l'ancien cinéma Splendor. Ce projet prévoit la réalisation de deux salles pouvant accueillir respectivement 130 et 450 spectateurs, ce qui permettra d'y tenir ce genre de spectacles musicaux.
À part ces considérations, parce que si une réponse peut être fournie dans ce sens, ce n'est pas en tout cas une réponse immédiate, je pense - et là je laisserai à l'assesseur Louvin le soin de mieux définir ce concept - que l'on ne peut limiter le problème à une question de salle, mais on doit l'insérer dans un discours de caractère plus général en quelque sorte de projet pour les jeunes, ni solliciter uniquement l'Administration régionale pour la solution de ce problème. Donc un engagement que nous pourrons prendre vis-à-vis du problème soulevé, c'est d'assurer notre disponibilité, de concert dans ce cas spécifique avec la commune d'Aoste, pour essayer de donner une solution, sur la base des considérations que M. Louvin présentera maintenant, qui puisse satisfaire un besoin réel qui est exprimé par les jeunes générations.
Si dà atto che dalle ore 19,15, presiede il Presidente Stévenin.
Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla pubblica istruzione, Louvin.
Louvin (UV) Il y a certainement une grande utilité d'attirer notre attention sur cet aspect, qui concerne une partie assez importante de notre jeunesse. Il s'agit d'une activité sur laquelle nous nous sommes longtemps penchés pour essayer de donner le plus grand essor à ce domaine.
Je voudrais d'abord rappeler, pour donner le sens de l'ampleur de ce besoin dont vous faites état dans votre motion, qu'à notre connaissance il existe près de 35 groupes de musique de base dans la région valdôtaine. Nous avons fait mener à cet effet des enquêtes précises, le nombre des groupes est évidemment variable, car il s'agit de formations qui naissent et qui meurent avec un cours relativement rapide d'existence, mais en tout cas il s'agit d'un problème qui concerne plusieurs centaines de jeunes dans notre région et qui représente également un tremplin important pour la réussite artistique de nos jeunes: des manifestations telles que "Tutt'arte" l'ont largement démontré.
Les genres musicaux sont très variés, nous avons en la présence du Conseiller Linty un véritable expert en matière, mais nous passons du rock à l'heavy metal ou soul, rock démentiel, fusion, hard core, blues, rap, punk, funky, ragamuffinly, ska donc nous avons toute une situation très différenciée, qui a des exigences différentes. Il y a des groupes très légers qui ne demandent qu'une possibilité de réaliser une activité d'épreuve, il y en a d'autres pour lesquelles l'exhibition entraîne des situations difficiles à gérer.
Le problème se divise en trois aspects. Le premier c'est celui d'avoir un espace pour les essais où aller essayer ces musiques. La plupart de ces groupes partent normalement des garages, il y a même un secteur de cette musique qui s'appelle le garage punk, qui prend son nom de la situation dans laquelle ce garage devient un peu le berceau où se forment ces groupes. Il serait très difficile, voire mal vu de certains milieux, de vouloir institutionnaliser ces situations. Il y a un esprit contestataire et antagoniste par rapport aux institutions, qui fait de sorte que certaines interventions de la main publique seraient relativement mal perçues.
Par rapport à certains de ces groupes nous avons des possibilités bien que limitées de fournir des instruments d'essai auprès de l'Institut musical, qui pour certains genres musicaux donne une disponibilité quoique limitée dans sa salle d'épreuve.
D'autres solutions sont à ce sujet envisageables mais dans une perspective plus lointaine, qui est celle qui a déjà été rappelée par le Président du Gouvernement, c'est-à-dire celle du Cinéma Splendor. Je veux rappeler à ce propos que nous n'avons pas seulement créé dans notre projet une possibilité d'exhibition, grande salle, mais également une petite salle et une petite salle avec possibilité d'enregistrement. Ce qui représente par rapport à la possibilité d'affirmation de ces groupes un avantage énorme, qui leur sera accordé dès que cette structure pourra être réalisée.
La question des spectacles doit être nécessairement vue dans des limites et avec des règles précises parce que vous savez pertinemment qu'une commission de surveillance empêche la réalisation de spectacles en dehors de certains critères de légalité et le troisième volet sur lequel nous sommes attentifs est celui de créer un espace de rencontre, où l'on fasse bien entendu de la musique, mais en se trouvant entre jeunes, comme cela était le cas dans le temps "nell'oratorio parrocchiale", ce qui ne se fait plus.
A ce propos j'ai eu une longue conversation avec l'Assesseur de la ville d'Aoste, M.me Indrio, qui m'a fait état d'un engagement de la Commune dans cette direction, suite aux contacts qu'ils ont également eus avec le Forum de la Jeunesse, pour identifier une structure. Il est de l'intention de la Commune de rechercher dans les meilleurs délais des structures qui puissent accueillir ce genre de situation à l'intérieur des politiques de jeunesse.
Je voudrais rappeler une dernière partie de notre engagement dans ce secteur, puisqu'il est impossible de répondre en tant que collectivité publique à tous les besoins. Il est cependant de notre devoir de faire tout notre mieux pour que la jeunesse ait le plus grand essor, dans ce cas l'essor artistique et de rencontre.
Nous avons déjà rappelé le projet de réaménagement du Cinéma Splendor; je veux rappeler les concerts que nous avons organisés pour les groupes de jeunesse de la Région: Atélier Nouveau, Beppe Barbera, David and Band, et de nombreux autres qui ont trouvé un lancement grâce aux initiatives parrainées par l'Administration régionale. Enfin, je voudrais rappeler que dans la Saison Culturelle depuis cette année une saison expressément a été ouverte pour la musique de jeunesse. Donc il y a une très grande attention vers ce secteur, mais par rapport à la nécessité, voire à la possibilité, d'identifier à court terme de notre part une structure régionale, je pense que nous ne sommes pas en mesure de satisfaire cette exigence.
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.
Chiarello (RC) Queste cose le avevo già sentite. L'Assessore ha elencato i vari gruppi musicali, ma sa benissimo che quello che intendo io è un altro tipo di divertimento, è un'altra musica.
Devo dire la verità, non mi piace neanche, perché a me piacciono di più le canzoni melodiche, però so che esiste, so che c'è questa necessità.
Allora vorrei chiedere solo una cosa, Assessore, dato che la Regione non ha spazi e che nel Comune non ho più fiducia, perché in tutte le discussioni che facciamo in Commissione arriva quando ormai, per così dire, il paziente è morto: se i giovani trovano uno spazio e lo occupano, cosa farete? Prenderete atto che viene occupato questo spazio? Nelle altre regioni sono tutti spazi autogestiti, come lei sa benissimo, sono tutti spazi comunali o non comunali occupati. Se vogliamo che in questa regione si arrivi a questo... perché era già stato occupato e io non le ammetto quelle cose. Quando però era stato occupato erano state fatte promesse a quei ragazzi, che non sono giovani comunisti, qualcuno del Comune aveva loro detto che sarebbe stato approntato uno spazio. Promesse che non sono state mantenute neanche quella volta.
La mia domanda è solo questa, è inutile che ci giriamo intorno, dicendo che ci sono i vari tipi di musica, io non li conoscevo neanche.
L'Assessore ha i consulenti musicali che lo informano su tutti i vari tipi di musica. Io una volta sono passato sotto al Palazzo regionale, stavano facendo un concerto organizzato dai giovani e la sala era piena. Spero che tutti quelli che c'erano fossero comunisti, ma non erano comunisti, erano dell'Union Valdôtaine, il figlio di Gino Agnesod... erano i nostri figli per dirla in breve.
Non sentiamo la necessità, la demandiamo ad altri, lo spazio regionale in questo momento non c'è, stiamo in sostanza dicendo ai nostri figli che, se vogliono inquadrarsi in quei settori che sono riconosciuti dalla Regione - tipo l'Harmonie Valdôtaine alla quale è stato dato lo spazio, perché ne ha diritto - va bene, altrimenti, se non "stanno" in certe regole ma vogliono suonare e divertirsi, lo spazio non c'è.
Allora chiedo in questo Consiglio: se i giovani individuano un'area che non viene utilizzata e che a loro andrebbe bene e la occupano, ne prendiamo atto e li mandiamo via a calci nel sedere, oppure li lasciamo lì?
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Linty.
Linty (LNPIAP) Credo che ci sia una differenziazione da fare, collega Chiarello, perché - pur non entrando nel merito dei vari stili - ogni stile musicale richiede un sito appropriato dove eseguirlo.
Tuttavia l'oggetto, da quello che ho potuto capire dall'intervento fatto dal presentatore della mozione e dalle risposte dei membri della Giunta, non è tanto una discussione in merito allo stile musicale, quanto il corollario che di solito fa da contorno a questi concerti.
Credo di poter dire, per esperienza personale, che non è che manchino gli spazi in Valle d'Aosta, mi viene in mente l'Auditorium di Pont-Saint-Martin o l' Auditorium della biblioteca comprensoriale di Châtillon, o la biblioteca di viale Europa ad Aosta. Secondo me la differenza sta nel fatto di esigere un locale gratuitamente per farci dentro quello che si vuole, oppure quello che a mio modo di vedere una società civile deve fare, cioè chiedere un minimo di contribuzione per poter usufruire di una struttura in grado di reggere un concerto di una determinata musica, restando nei canoni che l'ente locale, nella fattispecie il Comune, fissa per uno svolgimento dignitoso del concerto.
È chiaro che non si può pretendere di andare all'Auditorium di Pont-Saint-Martin e mentre si ascolta la musica punk - perché di tal genere si tratta, io ho avuto modo di sentire alcuni pezzi - chi è seduto sulle sedioline magari si rolla la canna e l'accende, perché lì dentro è vietato fumare... sì, il problema è questo, dentro lo Splendor, nell'ex macello, si faceva così. Non vorrei che il criterio dell'occupazione dello Splendor o dell'occupazione dell'ex macello venisse importato poi in zone dove ciò non è permesso.
Quindi credo che il problema del posto dove esibirsi sia facilmente superabile, perché basta fare domanda presso un comune, si pagano le 100-200 mila lire come è giusto che sia, e si utilizza la sala.
Questo per dire che, se viene mantenuta la mozione, mi asterrò.
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.
Chiarello (RC) Non dubitavo che il Consigliere Linty dicesse quello perché Formentini a Milano sta chiudendo tutti i centri giovanili...
(interruzione del Consigliere Linty, fuori microfono)
... no, ma non è riuscito a chiuderli perché probabilmente anche lì i giovani sono più forti di Formentini.
Linty, sai benissimo quali sono le esigenze, quando non vogliamo dare qualcosa, andiamo subito nei limiti. La canna non so se se la sono fatta lì o se se la fa la gente bene di Aosta nei salotti buoni di Aosta, magari lì sniffano coca o altro. Quando non si vuole dare qualcosa a qualcuno, si "tira fuori "la canna ma, se li hai visti e chi li ha visti, sono stati per un anno o due a suonare qui nel salone e una sera o due hanno fatto anche dei danni. Non ritengo che questo salone sia adatto a quelle esibizioni, però tante altre sere hanno consegnato il salone come gli era stato dato.
Sono d'accordo di non dare questo salone in previsione della ristrutturazione, non è pensabile - e non è pensabile per quelle cose neanche il Cinema Splendor - ma se non si vuol dare, è inutile che cerchiamo di renderli brutti agli occhi della gente.
Ritengo che questo sia un problema sociale e che la Valle d'Aosta abbia la possibilità di dare, dato che in questo momento non c'è nessun centro occupato, e se non si vuole arrivare all'occupazione, 200 metri quadrati, ma non che debbano andare a pagare. Questi giovani non hanno mai chiesto un contributo perché, fra l'altro, i contributi per comprare un capannone o per affittarlo sarebbero troppo alti e non sarebbero ragionevoli. Non lo so, la mia domanda è quella, se poi si vuole andare al massimo per non darli, nessun problema.
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Linty.
Linty (LNPIAP) Qui il problema non è che non si vuole dare, Consigliere Chiarello; ho detto che ci sono i sistemi per poter usufruire di queste cose...
(interruzione del Consigliere Chiarello, fuori microfono)
... se è vero che tirano 400 persone, prendere 500 lire, 1000 lire l'uno, non è che si muoia per 1000 lire; prima cosa.
Seconda cosa, non mi va assolutamente bene il clima di minaccia: se poi non date, questi occupano... Ma scherziamo?
Per quanto riguarda Milano, credo che Leoncavallo docet. Al limite, se occupano qualcosa, non è detto che non si possa chiedere a Milano che strumenti hanno usato per liberare Leoncavallo, faremo la stessa cosa anche qui.
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Secondina Squarzino.
Squarzino (VA) Credo che uno dei problemi che i giovani hanno non è tanto quello di trovare uno spazio per organizzare incontri musicali pubblici, quanto piuttosto la mancanza di spazi per incontrarsi e per svolgere la loro attività.
Fra l'altro nelle Commissioni II e III, quando abbiamo proceduto ad una serie di audizioni di responsabili di associazioni o di operatori che lavorano con i giovani, è stato sottolineato proprio come la carenza di spazio sia uno dei punti critici da affrontare per impostare una politica seria con i giovani.
Non credo che con questa risoluzione si risolva il problema. Credo anche che è difficile che una Regione in quanto tale metta a disposizione degli spazi ai giovani, ma che debba farlo tramite gli enti locali, i comuni.
Sono contenta che ci sia stata questa sollecitazione rispetto al Comune di Aosta e spero proprio che in tempi brevi si possa realizzare quest'iniziativa perché non possiamo continuare per due o tre anni a pronunciarci a favore di determinate iniziative e a non realizzarle. Troviamo facilmente delle soluzioni per altri problemi, ma qui abbiamo a volte difficoltà.
La proposta è di lavorare con gli enti locali affinché soprattutto ad Aosta, il luogo dove c'è maggiore carenza di spazi, si trovi una soluzione in tempi brevi; penso che sia questa la soluzione più adeguata. Ripeto, non è con questo tipo di impegno che si risolve il problema. Possiamo sollecitare l'Assessore affinché questo tipo di impegno venga portato avanti in modo che si possa dare una risposta ai giovani, che la aspettano.
Presidente Ha chiesto la parola l'Assessore alla pubblica istruzione, Louvin.
Louvin (UV) Nous devons écouter avec attention les voix qui viennent de ce Conseil et y rajouter l'attention que nous portons nous-mêmes à cet argument.
Je demande à M. Chiarello de bien vouloir croire à toute notre disponibilité à creuser à fond cet argument pour essayer de trouver d'entente, en particulier avec la Commune d'Aoste, une solution pour ce problème. J'aurai moi-même des rencontres avec les Administrateurs de la Commune d'Aoste tout prochainement et je voudrais l'insérer dans l'agenda des problèmes à résoudre dans le meilleur délai.
S'il veut bien retirer sa motion, à laquelle nous ne pourrions pas formellement adhérer, je le tiendrai au courant, je l'impliquerai autant que possible, de même que la Commission du Conseil qui est chargée des affaires culturelles pour que l'on envisage ensemble des solutions possibles à ce problème.
Presidente Ha chiesto la parola il Consigliere Chiarello.
Chiarello (RC) Volevo solo ricordare che il problema si pone perché fino adesso hanno utilizzato il salone regionale, da adesso in avanti non ce l'hanno più. Ma io non voglio il salone regionale, sono d'accordo con chi non lo dà più perché non è il sito idoneo, però fino adesso è stato utilizzato tale salone quindi, il problema si crea solo da adesso in avanti, cioè le grosse ripercussioni si avranno da adesso in avanti.
È per quello che dico che è urgente trovare una soluzione; non è che fino adesso questi ragazzi non hanno avuto niente, almeno fino ad oggi hanno utilizzato questo salone; adesso che non glielo diamo più, può scoppiare un bubbone. Mi sembra che sia una previsione realistica.
Presidente Viene ritirata la mozione dal Consigliere Chiarello.