Oggetto del Consiglio n. 3575 del 8 maggio 2024 - Resoconto
OGGETTO N. 3575/XVI - Interrogazione a risposta immediata: "Notizie sulle procedure del project financing nell'ambito delle interlocuzioni per la norma di attuazione in materia di concessioni idroelettriche".
Bertin (Presidente) - Punto n. 6.02. Ha chiesto la parola il consigliere Aggravi per l'illustrazione del question time, a lei la parola.
Aggravi (RV) - Intervengo molto brevemente. Venerdì scorso su "Il Sole 24Ore" è stato pubblicato un articolo dal titolo: "Dall'energia alle autostrade, Italia in ordine sparso", si fa un quadro abbastanza anche complesso di tutta la situazione o, meglio, la gestione più che a geometria variabile delle varie situazioni che riguardano concessioni, non soltanto quelle che interessano più a noi relative all'idroelettrico, ma si parla di geotermia, di balneari, si parla di autostrade e quant'altro. C'è un passaggio che ci ha messo un po' sul chi va là e quindi è oggetto di questa specifica interrogazione a risposta immediata laddove si parla appunto delle concessioni di derivazione idroelettrica, si cita un passaggio, ovvero il fatto che pare che dall'Unione europea, da Bruxelles, nei mesi scorsi sia stato inviato al Governo italiano un documento in cui si sollevano perplessità sull'utilizzo delle procedure del Project financing adottato in Italia per via delle implicazioni sugli aiuti di Stato. Ricordo che il Project financing, insieme alla gara tout court e all'affidamento a una società mista pubblico-privata sono oggi le tre opzioni che possono essere annoverate tra quelle per la gestione delle procedure di assegnazione delle concessioni.
Chiediamo al Governo regionale per comprendere se nell'ambito delle interlocuzioni per la definizione della norma d'attuazione in materia di concessioni idroelettriche siano emersi i contenuti che ho testé citato.
Presidente - Ha chiesto la parola il Presidente della Regione per la risposta.
Testolin (UV) - Par rapport à cette question, nous avons lu également l'article mentionné dans la question qui semble très bien décrire la situation quelque peu désorganisée, pour ne pas dire chaotique, qui règne en Italie en matière de concessions. L'impression générale qu'on en tire malheureusement c'est que derrière... l'Europe nous le demande... souvent répandue, se cache en réalité une application non coordonnée et approximative des règles européennes, alors que d'autres Pays consacrent beaucoup plus d'attention à leur transposition et à la protection de leurs intérêts; comme le souligne très bien l'article dans le passage dédié à l'ouverture aux investisseurs étrangers dans secteurs comme l'hydroélectrique qui devrait être stratégique pour notre Pays.
Quoi qu'il en soit des doutes européennes quant à l'utilisation des procédures, du Project Financing nous n'avons pas eu de nouvelles pour le moment, ce qui n'exclut pas la possibilité que la question soit soulevée prochainement au sein de la Commission paritaire; la situation, à notre avis, est tout de même à suivre avec attention parce qu'elle pourra ouvrir éventuellement des opportunités à poursuivre.
Presidente - Consigliere Aggravi, a lei la parola.
Aggravi (RV) - Sans doute même la nouvelle que ce matin vous avez donnée au Conseil par rapport à la réactivation de la Commission paritaire pourra nous donner quelques informations en plus; sans doute, on utilise la langue française, la France dans ce domaine a fait autres choix, donc on aurait pu, disons, prendre bien note de ce que la France a fait, en particulier pour ce qui est de l'hydroélectrique. Cela dit, bon, on souhaite que ce mémorandum - je pense aux communications que Bruxelles a envoyées - sera, disons, plus du point de vue du consul et non d'une imposition, et on va voir ce qui va arriver; sans doute, c'est, disons, dangereux et c'est un péril pour ceux qui regarde, on le pense, le parcours de notre règle d'actuation.