Oggetto del Consiglio n. 1042 del 17 novembre 2021 - Resoconto
OGGETTO N. 1042/XVI - Interpellanza: "Adempimento degli obblighi di comunicazione previsti dalla normativa regionale in materia di misure di prevenzione e di intervento concernenti la specie del lupo".
Bertin (Presidente) - Adesso passiamo al punto n.16 all'ordine del giorno. Per l'illustrazione dell'interpellanza, ha chiesto la parola il consigliere Rollandin, ne ha facoltà.
Rollandin (PA) - Il y a six mois, on avait approuvé la loi sur le loup après un débat important, surtout après qu'il y avait déjà eu des essais pour essayer de trouver le système qui puisse nous donner la possibilité de comprendre la présence du loup et en même temps de ne pas avoir des dégâts conséquents pour ce qui est l'agriculture en particulier. En effet, nous avons pu voir que les problèmes concernant la présence du loup n'étaient pas seulement les promenades qui se passaient dans la route principale d'Aoste ou dans d'autres petites communes. Il y avait au contraire des difficultés dans les différentes petites communes et des difficultés à comprendre comment se tenir face à la présence du loup. On a approuvé cette loi. La loi prévoit qu'il y ait une série de concertations avec ce qui est avant tout l'Assessorat compétent, le Ministère national compétant et aussi les passages qui doivent être présentés à l'Europe. Je crois que dans ce sens, soit pour ce qui est de l'article 1er au alinéa 2, qui prévoit de transmettre à l'État une série de informations nécessaires à toutes celles qui sont les applications de communication envers la Communauté européenne. On voudrait donc comprendre ce qui s'est passé jusqu'à aujourd'hui, si on a pris des rendez-vous avec les responsables, soit de l'Administration nationale qu'au niveau européen, pour comprendre si et comment on peut continuer ce travail si délicat et en même temps si on peut éviter d'avoir les dégâts qu'on a connu aussi pendant l'été et que tout le monde connaît: le fait de la présence des loups et - l'Assesseur le connait très bien - de la perte de bétail sur cette montagne d'Ayas. On demande de connaître quelles sont les problématiques et surtout ce qui a été fait jusqu'aujourd'hui pour donner les renseignements nécessaires soit au niveau national qu'européen.
Presidente - Risponde l'assessore Sapinet.
Sapinet (UV) - Alors, je vais répondre aux trois questions. Pour ce qui concerne le premier point de cette question relatif aux actions d'information et de formation sur le loup, destinées tant aux professionnels directement concernés par la surveillance qu'aux personnes intéressées par ce sujet : les éleveurs, les chasseurs, et cetera, il faut dire qu'il s'agit d'une préoccupation cruciale pour l'Administration régionale, qui a toujours considéré comme fondamental de fournir les informations correctes sur ce prédateur afin d'éviter toute confusion. Pour ce qui est de la formation, en vue de compléter les données sur le suivi du loup grâce à la correcte information importante, nous avons formé une centaine de bénévoles, issus du monde de la chasse et des associations de la défense de l'environnement, ainsi que des guides de la nature. La première session de ce cours de formation, qui a vu la participation de 30 personnes, est déjà conclue, alors que deux autres sections sont prévues pour la dernière semaine de novembre et la deuxième de décembre. En revanche l'action d'information a consisté en quelques points: la mise à jour de la section Internet du site institutionnel consacré au loup en Vallée d'Aoste avec l'insertion de nombreuses données mises à jour en temps réel; la collaboration avec les Communes de la Vallée d'Aoste et la création de documents hydrographiques publiés sur le site régional, comme sur les sites des Communes qui l'ont souhaité.
Quant au comportement correct à adopter en cas de rencontre avec un loup, aux mesures de prévention et aux indemnisations prévues pour les éleveurs qui subissent des pertes à cause du prédateur, pendant l'été il y a eu l'organisation de soirées thématiques dans plusieurs communes de la Vallée d'Aoste et le dernier vendredi de cette semaine je serai au CELVA pour un débat sur la question du loup avec les Syndics de la Vallée d'Aoste.
Deuxième question: les actions pour l'actuation de la loi. Cet été les équipes d'intervention d'urgence et du projet "Life WolfAlps", formées des agents du Corps forestier de la vallée d'Aoste, des techniciens expressément envoyés dans le cadre du dit projet, ont effectué plusieurs visites sur les lieux dans les entreprises agricoles en Haute Vallée, en Moyenne Vallée et en Basse Vallée en vue de la formation et l'information des éleveurs en alpage et de la fourniture de l'assistance technique à ces derniers, ainsi que pour la définition de la meilleure stratégie de protection des cheptels. Le cas échéant, dans l'attente que les éleveurs acquittaient ce matériel, grâce aux aides régionales prévues par la délibération n° 407 du 2021, nous leur avons fourni les équipements nécessaires à cette fin, en prêt et en usage gratuit.
La nouvelle expérimentation sur les troupeaux, qui a débutée pendant l'été et qui va maintenant continuer, est en train de se faire dans les alpages et dans les pâturages de la Vallée d'Aoste, où la technologie s'est mise au service de l'élevage. Après, à l'occasion de la prochaine Table du loup, organisée par les Régions alpines, qui la Vallée d'Aoste a demandé de nouveau rencontrer, des nouvelles expérimentations dissuasives pourront être évaluées et pourront être insérées dans notre région avec le voisin Piémont.
Pour ce qui est la troisième question: l'intention de l'Administration pour aller de l'avant avec ce qui est prévu par l'article 1er de la loi, les mesures visées à l'article 16 de la directive 9243C du Conseil du 21 mai 1992, prévoient que la Région communique à la Commission européenne, par l'État, toute dérogation appliquée pour le prélèvement, la capture, l'éventuel abattage des loups, quand il n'existe aucune autre solution et que ces actions ne nuisent pas au maintien de la population animale concernée dans un état de conservation satisfaisant et dans son aire de répartition naturelle. À ce jour aucune dérogation n'a été encore appliquée et c'est pour cela qu'on n'a pas encore fait aucune communication, mais c'est évident que la situation est sous le regard du Corps forestier et de l'Assessorat et cette action est suivante à des démotivations. Sur cela c'est très important et sur les rapports avec ISPRA est fondamentale la collaboration avec les Provinces de Trento et Bolzano pour l'application des lois. Il est nécessaire en même temps un travail entre le Ministre de l'agriculture et celui de l'écologie, un travail qui a été demandé par les Régions alpines sur la thématique du loup, mais surtout même sur tous les autres problèmes de la faune sauvage.
Presidente - Per la replica, ha chiesto la parola il consigliere Rollandin.
Rollandin (PA) - Assesseur, je crois que les communications que vous venez de faire nous donnent un peu l'idée de ce qui s'est déjà passé jusqu'aujourd'hui. Il serait bien qu'il y ait un compte rendu des différentes perspectives qu'on a et de ce qu'on a fait jusqu'à présent surtout pour le fait de la présence du loup et surtout les numéros qui doivent être reçus de la part des différentes zones, afin de comprendre où il y a une perspective plus lourde à maintenir, car dans certaines zones c'est plus présent que dans d'autres... Alors, même le risque pour le bétail est plus haut, c'est tout à fait normal. Alors je crois que, si l'Assesseur le retient important, il serait bien de faire un petit compte rendu et de faire une rencontre dans la Commission compétente pour savoir qu'est-ce qu'on veut faire encore pour faire comprendre ce que nous sommes en train de faire et pour éviter qu'il y est des malentendus surtout sur la question du loup dans son ensemble.