Resoconto integrale del dibattito dell'aula

Oggetto del Consiglio n. 11 del 13 gennaio 1981 - Resoconto

OGGETTO N. 11/81 - RATIFICA DI DELIBERAZIONI ADOTTATE DALLA GIUNTA REGIONALE IN VIA DI URGENZA.

Presidente - Procediamo all'esame delle deliberazioni adottate dalla Giunta regionale in via d'urgenza:

Oggetto n. 5722 in data 14 novembre 1980: Parziale modificazione della parte dispositiva della deliberazione di Giunta n. 4284 in data 5/9/80, relativa all'appalto dei lavori di ampliamento del cimitero comunale di Châtillon (1° lotto).

Presidente - Chi prende la parola? Nessuno prende la parola. Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione di Giunta n. 5722:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 28

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 5754 in data 14 novembre 1980: Concessione di contributi nei Comuni per l'acquisto di mezzo meccanico da adibire al servizio sgombraneve in applicazione della legge regionale 9/4/79, n. 17 - Liquidazione di somma al Comune di Challant-Saint-Anselme.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto? Metto in approvazione la ratifica della deliberazione di Giunta n. 5754:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 28

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 5977 in data 28 novembre 1980: Concessione e liquidazione di contributo a favore del Consorzio di Miglioramento Fondiario La Magdeleine, con sede in Comune di La Magdeleine, per riattamento della strada interpoderale di Veuillen-Copetou danneggiata dalle recenti alluvioni.

Presidente - Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 5977:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 27

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 5978 in data 28 novembre 1980: Concessione e liquidazione di contributo a favore del Consorzio di Miglioramento Fondiario Epinel in Comune di Cogne, per riattamento delle strada interpoderale di Brenvey, danneggiata dalle recenti alluvioni.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 5978:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 26

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6072 in data 5 dicembre 1980: Concessione di contributi ai Comuni per il funzionamento della biblioteca pubblica. Approvazione e liquidazione di spesa - Anno 1980 - Deliberazione immediatamente eseguibile.

Presidente - Chi chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6072:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 26

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6081 in data 5 dicembre 1980: Concessione e liquidazione al Comune di Verrès di un contributo di Lire 4.110.000 nell'acquisto di arredamento per le Scuole Medie.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6081:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 26

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6158 in data 5 dicembre 1980: Lavori di sistemazione idraulica del torrente Bouvaz in Comune di Cogne. Approvazione di perizia suppletiva.

Presidente - Qualcuno chiede la parola?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6158:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 27

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6239 in data 13 dicembre 1980: Concessione e liquidazione di un contributo di Lire 30.000.000 al Liceo Linguistico Valle d'Aosta di Courmayeur - Anno scolastico 1980-1981 - Approvazione e liquidazione di spesa.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ha chiesto di parlare il Consigliere Minuzzo, ne ha facoltà.

Minuzzo (PSDI) - Vorrei solo un'informazione dall'Assessore: siccome si sente vociferare che probabilmente questa scuola verrà chiusa nel prossimo anno o in quello successivo, vorrei sapere dall'Assessore se queste voci rispondono a verità.

Presidente - Altri chiedono la parola? Ha chiesto di parlare il Consigliere Cout, ne ha facoltà.

Cout (PCI) - Visto che c'è già una richiesta del Consigliere Minuzzo, penso che nello stesso momento l'Assessore potrebbe anche spiegarci, se è possibile, i motivi per i quali questo Liceo Linguistico, che inizialmente era sede staccata del Liceo Linguistico Internazionale di Milano, legalmente riconosciuto, è chiamato ora Liceo Linguistico Valle d'Aosta. Cioè, come avviene questa gestione, e come mai non si è pensato - o se non si pensa per il futuro - di passarlo regionale, visto fra l'altro che va bene, gli allievi hanno un milione ognuno per quanto riguarda l'iscrizione, la Regione spende 30 milioni. E se la sede indicata continuerebbe a rimanere, in questo caso, Courmayeur, o se si pensa a una dislocazione differente, oltre, naturalmente, a dirci se c'è della verità in quello che ha detto il Consigliere Minuzzo.

Presidente - Altri chiedono la parola? Risponde l'Assessore alla Pubblica Istruzione Viglino. Ne ha facoltà.

Viglino Maria Ida (UV) - Je sais très bien qu'il y a, en effet, des voix qui courent et qui parlent de la fermeture de ce Lycée. Je m'en suis occupée personnellement, et nous avons fini par trouver un accord avec la Commune de Courmayeur qui est extrêmement intéressée à ce que ce lycée continue à subsister là haut; et en effet cette année, pour aider les finances du Lycée Linguistique, la Commune de Courmayeur a accepté de lui faire un loyer symbolique, de payer le chauffage, de payer la lumière.

En ce moment, la Commune de Courmayeur est en train de rechercher la possibilité de créer à Courmayeur même, à travers la location d'un petit hôtel, la meilleure façon de pouvoir offrir l'hospitalité soit aux enseignants, soit, surtout, aux élèves qui ne sont pas de Courmayeur. Donc, au Lycée Linguistique actuellement il y a quatre classes complètes pour quatre-vingt élèves; de ces quatre-vint élèves, quarante-deux sont de Courmayeur même, douze d'Aoste, et les autres sont des Communes de la Vallée; il n'y a personne qui ne soit pas résidant en Vallée d'Aoste.

Quant à la profession des parents, elle est assez diversifiée, mais évidemment, nous avons beaucoup d'hôteliers de Courmayeur même qui préfèrent envoyer leurs enfants dans cette école. Et nous avons offert déjà l'année dernière au Lycée Linguistique les mêmes bourses que nous offrons, par exemple, à la Scuola Magistrale et aux élèves qui fréquentent des écoles qui n'existent pas dans la Vallée d'Aoste. Donc les familles qui peuvent avoir des difficultés pour faire fréquenter le Lycée, peuvent très bien demander une bourse d'étude, dont le montant peut s'élever jusqu'à cinq cent-six cent mille lires d'aide.

La Région a décidé d'intervenir au point de vue financier - et elle l'a déjà fait l'année dernière - pour soutenir cette école, mais nous n'avons absolument pas d'intention, et en cela nous suivons un peu la même route suivie par le Ministère de l'Instruction Publique, de rendre régionale une école de ce type, parce que tous les Lycées Linguistiques sont des lycées linguistiques "legalmente riconosciuti". Nous savons très bien la difficulté qu'il y a à obtenir des enseignants qui sachent enseigner les langues qui sont demandées dans un lycée de ce type; et les Lycées Linguistiques "legalmente riconosciuti" ont la possibilité d'employer des professeurs même s'ils n'ont pas la nationalité italienne; en effet au Lycée Linguistique il y a du personnel anglais et du personnel allemand, chose qui est absolument impossible à notre égard. Et nous savons très bien comment les Universités italiennes préparent les professeurs de langues étrangères: en leur parlant continuellement en italien, et, lorsque quelqu'un essaie de présenter une thèse écrite dans la langue du Pays, on lui dit: "Non, non, vous pouvez la présenter en italien, ça va très bien comme ça!" Alors, pour se trouver avec un Lycée Linguistique et ne pas avoir du personnel à la hauteur, moi je vous déclare tout de suite que je ne le ferais jamais, parce que c'est trop facile d'écrire les choses sur le papier, et, au moment de la réalisation, ensuite, les Administrations sont accusées de ceci et de cela. Et c'est d'ailleurs le conseil que j'ai donné à la Commune de Courmayeur lorsque la Direction de l'Ecole avait demandé que le Lycée devienne un lycée communal; j'ai dit: "Prenez-vous bien garde de le rendre communal, parce que vous sauriez dans les mêmes conditions que nous sommes nous mêmes". Remarquez que tous les ans il y a une inspection, évidemment, sur le Lycée, et en général les relations qu'on nous fait sont plutôt bonnes.

Comme je dis, j'ai également parlé assez longtemps, dernièrement, avec le Président de la Communauté de Montagne n. 1 à ce sujet, et nous allons voir ce que la Commune de Courmayeur pourra réaliser justement pour que ce Lycée prenne définitivement place là haut, et puisse, rejoindre un état optimal, qui selon moi est représenté par cinq classes et une moyenne d'élèves qui doit être de quinze, ou de dix-huit au maximum, parce que il faut également des dons naturels pour apprendre les langues.

De plus, je dirai que évidemment, comme Administration, nous nous sommes fait envoyer tous les documents qui concernent le bilan; nous avons contesté quelques dépenses qui étaient inscriptes, et en ce moment, avec notre intervention, la comptabilité devrait à peu près marcher, et je pense, donc, que l'école est en train de s'affirmer et de s'établir.

D'autre part, comme vous savez, nous avons ouvert une Section détachée dell'IPR pour Sécretaire Administratif d'Hôtel à Morgex, où nous faisons un gros effort avec cinq heures par semaine de français, d'anglais et d'allemand; donc, s'il y avait des familles qui désirent que leurs enfants puissent avoir un titre d'étude avant d'attendre les cinq ans du Lycée Linguistique, Morgex peut leur offrir une école qui peut leur donner une certaine formation et qui permet d'obtenir après trois ans, un diplôme utile un petit emploi.

Presidente - I Consiglieri intendono ancora prendere la parola?

Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione di Giunta n. 6239:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 29

Il Consiglio approva all'unanimità.

Objet n° 6240 en date 13 décembre 1980: Allocation et liquidation d'une contribution de 3.000.000 de lires au Centre d'Etudes francoprovençales "R. Willien" de Saint-Nicolas, pour la réalisation d'une plaque commémorative en mémoire de René Willien - Approbation et liquidation de dépense.

Presidente - Il y a quelqu'un qui demande la parole? Personne.

Je vous demande d'approuver la ratification de la délibération n. 6240:

Esito della votazione:

Présents, votants et favorables: 30

Le Conseil approuve à l'unanimité.

Oggetto n. 6248 in data 13 dicembre 1980: Lavori di rifacimento del tetto dell'edificio scolastico di Champorcher. Approvazione di perizia suppletiva - Approvazione ed impegno di spesa.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6248:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 31

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6251 in data 13 dicembre 1980: Concessione di contributi a Comuni ed a Consorzi di Comuni della Regione nelle spese per la realizzazione di infrastrutture ricreativo-sportive ai sensi della legge regionale 11/8/76, n. 33 e successive modificazioni ed integrazioni.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Nessuno chiede la parola. Ci sono dichiarazioni di voto? Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6251:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 31

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6266 in data 13 dicembre 1980: Acquisto di immobili pignorati ed oggetto di vendita all'incanto, siti in Comune di Charvensod, già di proprietà di "Peloso Luigi e Aldo s.d.f." - Approvazione di spesa.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ha chiesto di parlare il Consigliere Tonino, ne ha facoltà.

Tonino (PCI) - L'acquisto impegna la Regione in una spesa di 103 milioni; né questa delibera della Giunta regionale, né la precedente, riportano le motivazioni per cui la Regione acquista e ha partecipato all'incanto per l'acquisto di questi immobili, né ci sono indicazioni dell'uso che dei medesimi intende fare la Regione.

Trattandosi di edifici per attività produttive, è evidentemente importante, al di là delle operazioni di salvataggio che possono essere state fatte, capire fin dall'inizio quale potrà esserne l'utilizzo da parte della Regione.

Presidente - La parola al Presidente della Giunta, Andrione.

Andrione (UV) - La Regione, come è stato rilevato nella discussione del passato Bilancio regionale, affitta numerosi capannoni per deposito di proprio materiale; in particolare, ci sono gli Assessorati dell'Agricoltura, dei Lavori Pubblici e del Turismo che hanno necessità di ampi spazi per poter deporre quello che non utilizzano. Nel caso specifico deve essere precisato che, a seguito di un fallimento, erano disponibili, in una località più prossima dei capannoni che affittiamo a Quart, le strutture, cioè la parte più costosa di un capannone che deve ancora essere terminato, anche se già munito di concessione edilizia.

La Giunta regionale ha ritenuto di intervenire e di acquistarlo; di intervenire in prima seduta, però. Non c'è stata nessuna operazione di salvataggio. Se il Consigliere Tonino mi permette, non abbiamo avuto la vigliaccheria di aspettare che nessuno si presentasse e che la struttura dovesse essere ripresentata con il ribasso del 20% non era neanche giusto, poiché, il valore di questo capannone è nettamente superiore a quanto la Regione ha pagato; non sto a spiegare, ma potrei far avere la perizia segreta che la Regione aveva fatto precedentemente.

L'idea della Giunta regionale è di terminare i lavori e di destinare questo capannone all'Assessorato del Turismo per tutti quei depositi che riguardano la Sovrintendenza Antichità e Belle Arti ed il Turismo vero e proprio, e di destinarlo a questo specifico scopo, liberando così dei capannoni che oggi abbiamo in affitto.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Consigliere Cout, ne ha facoltà.

Cout (PCI) - Vorrei cogliere l'occasione di questa deliberazione di Giunta, che tratta appunto dell'acquisto di un capannone che si riferisce ad un'attività produttiva, per chiedere, se è possibile, al Presidente della Giunta, cos'è scaturito dall'incontro che mi sembra abbia avuto con gli operai dell'IMVA che aspettavano da stamattina per conoscere il destino di quei 75 operai, mi sembra, per i quali ad aprile scadrà il periodo di cassa integrazione, e che non hanno in questo momento delle prospettive di lavoro.

Vorrei solo, molto brevemente, ricordare che per tutti questi operai, che sono in maggior parte delle donne di una certa età, sarà molto difficile trovare un'occupazione, se non si trova un modo per aumentare la richiesta di occupazione da parte delle industrie della bassa Valle. Al momento attuale questa richiesta non c'è, non c'è neanche per i giovani che cercano una prima occupazione, e penso che la Regione dovrebbe, per tempo, pensare a come si può risolvere questa situazione.

Mi sembra che l'incontro sia avvenuto nel pomeriggio, e penso che tutto il Consiglio sia interessato a sapere che cosa si profila per questi 75 operai, oltre che per altri operai che sono in una situazione occupazionale abbastanza difficile nella bassa Valle, o che sono in attesa di occupazione.

Presidente - Vi sono altri che intendono prendere la parola?

Il Presidente della Giunta intende rispondere? Ha facoltà di parlare il Presidente della Giunta.

Andrione (UV) - Non ho capito qual è il nesso, ma non ha nessuna importanza! Effettivamente ho parlato qualche minuto fa con una delegazione che si interessava particolarmente all'ex IMVA; vi sono 65 donne e 10 uomini che aspettano.

La Giunga regionale è impegnata in trattative sia con la ex Dolfra sia con altre fabbriche; non può garantire niente per aprile, perché, come diceva quel mio amico: "facciamo il possibile, i miracoli alla prossima tornata", però l'ex IMVA, malgrado dichiarazioni contrarie, sta andando piuttosto bene e, a quanto pare, assumerà altro personale. La Regione si è impegnata a garantire che, prima di altri, vengano assunti questi, tenendo anche conto di quanto ha detto il Consigliere Cout, e cioè che ci sono nuove leve che si presentano e che chiedono occupazione. Quindi ci saranno delle questioni di corsi e di qualificazione che potranno chiarificare questi problemi.

Presidente - Ci sono dichiarazioni di voto? Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6266:

Esito della votazione:

Presenti: 32

Votanti: 25

Favorevoli: 25

Astenuti: 7 (Bajocco, Carrel, Cout, Dolchi, Mafrica, Péaquin e Tonino)

Il Consiglio approva

Oggetto n. 6287 in data 13 dicembre 1980: Concessione di un contributo a favore della Scuola Militare Alpina di Aosta per la manutenzione ed il ripristino di taluni manufatti del complesso costituente il patrimonio artistico del Castello "G. CANTORE" di Aosta.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ha chiesto di parlare il Vice Presidente Faval, ne ha facoltà.

Faval (UV) - Ritengo che, quello che noi chiamiamo lo Château Jocteau, sia proprietà del Demanio Militare. Vorrei sapere qual è il motivo per il quale la Regione finanzia l'Esercito, sia pure con una cifra molto modesta - si tratta soltanto di 10 milioni - per dei lavori di manutenzione e ripristino di cosiddetti manufatti.

Presidente - La parola al Presidente della Giunta.

Andrione (UV) - Non vi è nessun mistero. Forse il Consigliere Faval ha visto questa mattina, o ieri, non ricordo bene, sul "Corriere della Sera" la polemica su Venezia; allora, il problema è quello di certi arabeschi, in stile Liberty, che esistono nelle due sale che si aprono sulla hall del Castello Jocteau e che devono essere ripassati a mano con una certa delicatezza. Già dai tempi di Peyronnel - perché bisogna dare atto alla Scuola Militare Alpina di tenere bene questo castello - c'era il problema di fare questo lavoro, che è un lavoro di pazienza, e nei confronti delle preoccupazioni della Soprintendenza alle Antichità e Belle Arti, anche se piccola come quella della Valle d'Aosta, è meglio farlo fare direttamente dal possessore, anche se è il Demanio Militare, che intraprende una procedura per intervenire su una proprietà aliena. Quindi, tenuto anche conto di altri fattori, abbiamo ritenuto che, visto come è tenuto il castello, valesse la pena di dare questo contributo per quel lavoro specifico, per mantenere il Castello Jocteau nella sua intierezza. Spendendo adesso questi 10 milioni, in fondo si risparmia, perché si mantiene la costruzione in buone condizioni.

Abbiamo due esempi: questo, che è l'esempio minore di revival, e il Castello Savoia, che evidentemente, appartenendo a Margherita di Savoia-Genova, sposa di suo cugino primo, Umberto di Savoia-Carignano, è certamente l'esempio migliore che esista, uno dei grandi esempi europei. Quello la Regione l'ha comprato; questo la Regione fa in maniera che sia mantenuto nello stato migliore possibile. La somma è relativamente piccola, e credo che valga la pena di spenderla. Se il consigliere Faval una volta verrà con me a visitare il castello, vedrà che questo tipo di arabeschi, che è proprio una testimonianza precisa di un'epoca e di un gusto, merita di essere mantenuto.

Presidente - Vi sono altri che intendono prendere la parola?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6287:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 28

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6300 in data 13 dicembre 1980: Sottoscrizione di capitale azionario della costituenda S.p.A. "Società per l'incremento turistico di Saint-Barthélemy". Modifica della deliberazione consiliare n. 558, in data 30/10/80.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Consigliere Tonino, ne ha facoltà.

Tonino (PCI) - Questa ratifica, che prevede un aumento del capitale azionario nella Stazione turistica di Saint-Barthélemy, mi dà l'occasione - dichiarando subito che noi siamo d'accordo su questa sottoscrizione - per chiedere alla Giunta e all'Assessore competente come si sta affrontando la situazione di difficoltà in cui si trovano alcune stazioni turistiche della nostra regione, in particolare in bassa Valle: Gressoney, Ayas e Champorcher, per quella che, forse scherzosamente, qualcuno ha chiamato 'la calamità naturale del bel tempo'. La situazione, credo sia a conoscenza di tutti, è piuttosto difficile, soprattutto per alcune società di impianti di risalita, che hanno fatto investimenti proprio in questa stagione. Siamo abituati in questo Consiglio a votare aumenti di capitale sociale che servono per pagare i nuovi investimenti, e questa è una parte del finanziamento; l'altra parte è in genere ottenuta con gli incassi che si hanno proprio nel periodo natalizio, nel periodo di massima presenza turistica. Le difficoltà di queste società stanno proprio nel trovarsi senza questi incassi che, soprattutto per le piccole stazioni, è necessario sapere che variano dal 30 al 50%, anche, dell'incasso di tutta la stagione turistica. Alcune di queste società - io conosco bene la situazione di Champorcher, per fare un esempio - hanno difficoltà ad ottenere del credito da parte degli Istituti bancari, perché non riescono a fornire le necessarie garanzie.

Credo che questa situazione metta anche in luce alcune carenze, un male che è cronico per il turismo nella nostra regione, ed è il fatto che la stagione, soprattutto invernale, è concentrata nell'attività di pochissimi mesi, quando non addirittura nell'attività di un mese all'anno.

Di qui la necessità, che credo vada ribadita, di alcune affermazioni che più volte abbiamo fatto in quest'aula: da un lato far crescere le stazioni turistiche, soprattutto quelle minori, sulla base di un piano che dev'essere predisposto dalla Regione, in modo che non si facciano scelte sbagliate o non si rincorrano sempre e soltanto le scelte (... Interruzione ...) Io credo che si possa tranquillamente affermare che il fatto che ci siano dei periodi all'anno in cui non c'è innevamento sufficiente, è un fatto ciclico, com'è nella nostra regione (... Interruzione ...).

Lo so, questo significa che noi dovremmo in primo luogo fare le stazioni con un piede di partenza sempre prudenzialmente esatto e studiato bene; il secondo intervento che secondo noi dev'essere fatto e che dev'essere contenuto nel piano, è quello che tenda ad allungare la stagione turistica.

Ci dev'essere un'offerta turistica che guarda agli altri periodi e non sia concentrata nei 15 giorni tra Natale e Capodanno, facendo in modo che anche le stazioni turistiche minori siano comprese in quell'offerta e propaganda turistica che la Regione fa, con l'incentivazione delle settimane bianche in periodi fuori da quelli di punta.

Queste credo siano le due cose che devono essere tenute in considerazione nel momento in cui si decide di far nascere una stazione turistica. Noi crediamo che questo non sia stato assolutamente fatto, anzi abbiamo detto tante volte, e lo ripetiamo, che le stazioni nascono più che altro in seguito ad una crescita spontanea, senza che ci sia mai un progetto da quanto ci risulta da parte della Regione.

Ho preso spunto da questa ratifica di delibera di Giunta per sollevare il problema, perché si sentono le voci più disparate; giornali parlano di contributi anche a fondo perduto e noi diciamo subito che saremmo decisamente contrari a un simile intervento della Regione; riteniamo invece che, facendo un'indagine precisa sulla situazione di alcune di queste società di impianti di risalita che si trovano nelle zone in cui massimo è stato il danno dovuto al maltempo, società che hanno fatto ricorso ad un forte indebitamento per far fronte agli oneri dei nuovi investimenti. Noi crediamo che in quel caso ci debba essere un intervento della Regione.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Vice Presidente Faval, ne ha facoltà.

Faval (UV) - La questione sollevata dal Consigliere Tonino, è certamente un problema estremamente delicato e che va affrontato con molta serietà da parte del Consiglio regionale, perché se certi aspetti evidenziati dal Consigliere Tonino sono senz'altro da prendersi in considerazione, bisogna anche tener conto di quello che è il modo attraverso il quale la Valle d'Aosta opera all'interno del settore turistico, e specificatamente, direi, del settore turistico invernale.

Teniamo conto per esempio di un fatto: a me pare che in Valle d'Aosta ci sia, da parte degli imprenditori che operano in questo settore, una volontà di accumulare redditi in tempi eccessivamente stretti rispetto all'investimento fatto; e per rendersi conto di ciò è sufficiente guardarsi attorno. Per esempio, teniamo conto che nel vicino Vallese ci sono stazioni, tipo Verbier - e per coloro che frequentano le piste di sci, Verbier è un nome di grosso prestigio che offre certamente molto di più di quanto possono offrire alcune delle stazioni della Valle d'Aosta, perché altre senz'altro non sono allo stesso livello - che praticano dei prezzi, per quanto riguarda il giornaliero e le settimane bianche, molto inferiori rispetto a quelli che abbiamo in Valle d'Aosta, nonostante il cambio della lira sia estremamente negativo rispetto al franco svizzero. Noi stessi, l'anno scorso, abbiamo avuto una certa esperienza quando siamo stati a Wengen. Quindi, in questo settore, direi che dobbiamo stare molto attenti.

Sono del parere, comunque, che questa situazione debba essere esaminata da parte del Consiglio regionale, però in termini seri e concreti, perché per esempio, nell'ambito di questo discorso, non dimenticherei che comunque qualsiasi attività economica non può non prevedere il rischio d'impresa. Questo fa parte del rischio d'impresa, perché il bel tempo chiaramente ha messo in condizioni poco simpatiche alcune imprese, che malauguratamente proprio in quest'ultimo periodo hanno fatto anche dei cospicui investimenti. E questi vanno riconosciuti, perché gli investimenti dovrebbero poter significare una maggiore produzione: su questo siamo assolutamente d'accordo.

Ci sono poi altri mezzi per allungare il periodo turistico e allargare l'offerta turistica in Valle d'Aosta. Secondo me uno dei modi per allargare questa offerta e qualificarla anche in termini di qualità, sarebbe quello di organizzare in modo più valido di quanto non sia stato fatto finora - perché finora è stato fatto a livello abbastanza approssimativo, per iniziativa di qualche privato - l'attività dello sci-alpinismo, facendo partire quest'attività, per quanto possibile, dagli impianti di risalita. Questo è uno spazio immenso che la Regione Autonoma Valle d'Aosta, con il tipo di orografia che ha, potrebbe sfruttare e, vista la diffusione che in questi ultimi anni ha avuto la pratica dell'alpinismo e dello sci-alpinismo, è senz'altro un settore che noi dobbiamo assolutamente cercare di sfruttare, e da abbinare a quella che è la pratica dello sci ripetitivo in pista.

Presidenza del Vice Presidente Mappelli.

Presidente - Altri che intendono parlare? Ci sono dichiarazioni di voto sull'oggetto n. 6300?

Risponde l'Assessore al Turismo, Urbanistica e Beni Culturali, Pollicini, ne ha facoltà.

Pollicini (DP) - È bastato che non venisse il solito metro di neve che era sufficiente gli altri anni a coprire le carenze turistiche della regione, perché tutti scoprissero cose che, con un'attenta valutazione, si potevano scoprire anche sotto il tradizionale metro di neve.

Le carenze sono intanto di lunga data; noi eravamo convinti che la gente dovesse venire in Valle d'Aosta per rendere omaggio a Sua Maestà il Monte Bianco, a Sua Maestà il Cervino, a Sua Maestà il Monte Rosa, a Sua Maestà il Gran Paradiso, e che fosse sufficiente avere questi colossi perché la gente si sentisse in obbligo di venire qui e di ringraziarci per averle consentito di vedere questi stupendi monti che abbiamo. Non ci siamo resi conto che la gente oggi va in montagna perché vuole avere un periodo di riposo, vuole trovare le condizioni per cambiare il proprio ambiente di vita ma non annoiarsi in una stanza di albergo.

Una volta probabilmente la motivazione che faceva andare in montagna era l'albergo, perché nell'albergo c'erano gli amici; era una specie di élite, ed era un turismo élitario. Oggi non esiste più questa motivazione: oggi uno va in vacanza, e siccome questo costa molto caro - e la vacanza in Valle d'Aosta è fra le più care esistenti sul mercato, e stiamo andando fuori mercato - la gente vuole avere le cose che le consentano di passare il tempo, di avere uno svago che sia almeno proporzionale al prezzo che paga. E noi non siamo in grado di dare queste cose, perché il giorno in cui manca la neve, non abbiamo strutture alternative sufficienti. Ma questo non è un discorso che si realizza in un anno; vorrei evitare le facili soluzioni a tavolino che i Consiglieri potrebbero essere tentati di proporre. Sono discorsi che, per potersi realizzare, presumo abbiano bisogno di un decennio se non di un ventennio, perché è vero che l'Alto Adige rispetto a noi ha molte altre prospettive per il turista, però è anche vero che l'Alto Adige è partito 50 o 70 anni prima di noi, per cui questo gap esiste, e potremmo ridurlo, ma non di molto.

Occorre però avere in mente un obiettivo molto preciso, e non andare avanti con scelte spontanee, come qualcuno diceva prima; su questo sono d'accordo. Però non dimentichiamo che è un discorso che deve essere conseguente fino in fondo, perché non è sufficiente dire queste cose oggi che s'è verificata una situazione di emergenza, e poi, magari fra cinque minuti, quando c'è un tipo di proposta che viene fatta per un investimento nel settore turistico, dire che non si è più d'accordo.

Ora, io dico che, tenuto conto che il reddito economico derivante dal turismo è oltre un quarto del reddito complessivo della nostra regione; che nei soli impianti di risalita durante i cinque mesi invernali ci sono 1200 dipendenti, e che gli impianti di risalita hanno complessivamente, per tutto l'anno, 500 dipendenti; che questo è forse l'unico tipo di azienda che non ha diritto alla cassa integrazione anche quando manca la materia prima, così come sta mancando oggi la neve; che non ha diritto alla fiscalizzazione degli oneri sociali, come ne ha diritto magari un qualsiasi albergo, è evidente che è penalizzata e che questi fattori contribuiscono a far crescere il prezzo del biglietto rispetto a quello delle concorrenze straniere.

Se guardiamo la legislazione francese, vediamo che lo Stato si fa carico di una parte degli oneri di manutenzione e di gestione degli impianti di risalita. È chiaro che se lo Stato si fa carico del 30% di questi oneri, è possibile che quei prezzi siano ridotti rispetto ai nostri del 30%; e se in quel caso vi sono certe protezioni di carattere normativo per quanto riguarda gli impegni nei confronti del salario dei dipendenti, evidentemente questo discorso gioca anche nella stabilizzazione dei prezzi.

D'altra parte, non possiamo neanche dimenticare che oggi stiamo assistendo a dei fenomeni legati all'inflazione nazionale, per cui quello che era prima un rapporto di netta convenienza per la cifra che veniva pagata in Italia rapportata alla valuta straniera, sta riducendosi al limite a cui oggi assistiamo, e il grosso mercato inglese cerca di dirottarsi verso l'Austria e la Francia. Allora dobbiamo renderci conto del rischio che andiamo correndo, perché in queste condizioni stare fermi vuol dire andare indietro. Non possiamo illuderci che queste cose si risolvano in un giorno; le richieste sono notevoli: si parla di piscine; si parla di campi da tennis al coperto; si parla di palestre; si parla di maneggi; si parla di sale per svago,che possono essere cinematografiche, per giochi o altre attività: si tratta comunque di strutture che hanno bisogno di un grosso impegno finanziario.

Noi oggi non siamo assolutamente in grado di intraprendere queste iniziative, poiché abbiamo un bilancio che è indubbiamente sinistrato, come si può rilevare dalle notizie che si sono già avute per quanto riguarda le proposte fatte in Consiglio; in questa situazione non c'è da sperare, evidentemente, in prospettive tali da migliorare questa situazione. Quindi a me possono andar bene quelle che sono le buone intenzioni che esprime il Consiglio, però senza i soldi non si può fare niente. Abbiamo un fondo in dotazione che è bloccato da un anno e che aveva il compito di rivitalizzare una struttura come quella alberghiera, che è notevolmente deficitaria nella nostra regione; avevamo il recupero delle vecchie case, anche questo è in difficoltà. Tutto questo costituisce l'elemento di quella rete di offerta turistica che noi possiamo presentare al di fuori delle altre esigenze.

Ora, quest'anno è avvenuto che su 38 società di impianti di risalita, 33 sono state toccate dalla mancanza di neve; queste società hanno presentato un preciso bilancio con un confronto fra l'incasso avvenuto lo scorso anno fino al giorno dell'Epifania ed il periodo corrispondente di quest'anno, senza valutare che c'è stato un aumento dei prezzi di circa il 20%. Tale confronto ha dimostrato che c'è stata una perdita secca (escluse, ripeto, le cinque società che hanno avuto la neve) di un miliardo e 66 milioni. Non dimentichiamo che queste società hanno investito complessivamente, nel corso del 1980, circa 7 miliardi in nuovi impianti; la sola Monte Rosa Ski, che raggruppa Gressoney e la Val d'Ayas, ha investito tre miliardi e mezzo in impianti nuovi: complessivamente nella regione si sono realizzati, o ammodernati, 20 impianti di risalita, per cui attualmente siamo a circa 178 impianti. Questa gente oggi deve continuare a pagare il personale e non ha incassato niente; vi è una perdita secca, perché gli stagionali che sono uno - diciamo così - degli incassi più immediati e più massicci, rappresentano mediamente il 35-40% del complesso di incasso durante l'anno; gli impianti di risalita incassano nell'anno 15 miliardi circa nella nostra regione; possiamo facilmente fare il conto che cosa rappresenti il 30-40% di incasso in meno, escluse le località delle quali parlavo prima.

È chiaro che se non ci sarà un tipo di intervento minimo, il limite di rischio che possiamo correre è quello che un altr'anno non si faranno investimenti. Sappiamo che la gran parte di queste società di impianti non ha pagato gli stipendi al personale; molti impianti non hanno aperto, o hanno aperto un giorno, due giorni: quindi hanno avuto produzione zero e spese normali, salvo quelle dell'energia.

C'è stato un intervento regionale immediato, già deliberato dalla Giunta del 9 gennaio, che è, mi pare, un tipo di intervento estremamente corretto e dignitoso. Una delle richieste fatte dall'Associazione Impianti a Fune è quella di poter prelevare una somma corrispondente praticamente al mancato incasso nel periodo che era stato rapportato, da quelle che sono le necessità di Cassa normali della Regione. In pratica, si chiede di poter prelevare, agli interessi che la Regione percepisce sulle somme eccedenti le sue normali necessità di Cassa, depositate presso la Cassa di Risparmio, una cifra corrispondente a un miliardo 200 milioni.

Evidentemente queste società pagherebbero gli stessi interessi che la Regione percepisce dalle Banche, con l'aggiunta della commissione bancaria che la Banca deve fare. C'è una difficoltà sulla garanzia, che dovrebbe essere possibilmente risolta a giorni, dopo di che questo tipo di intervento sarà possibile. Quindi non c'è nessuna richiesta di contributo a fondo perduto: è la possibilità di disporre di un fido, che nessuna di queste società è in grado di pretendere, perché tutte quante hanno raggiunto quello che può chiamarsi il massimo di fido che la Banca può concedere, per cui le Banche non sono più disposte a concedere nessun fido, a qualunque titolo e a qualunque interesse. Questo è il primo intervento.

Un secondo intervento è quello del versamento per intero delle quote regionali degli aumenti di capitale, senza attendere, come normalmente avviene, che siano prima gli altri Enti, o privati, a versare laddove noi siamo presenti col 35% del capitale regionale.

Un altro degli aspetti è il versamento immediato dei fondi di manutenzione delle piste, che è stata una delle cose più importanti, perché la manutenzione delle piste, attraverso l'innevamento, ha consentito di poter sciare, ad esempio a Pila, ad esempio a Courmayeur, laddove sono caduti 15 cm. di neve; senza innevamento questo non sarebbe stato assolutamente possibile. Quindi questa legge è stata efficace ed ha consentito questo tipo di intervento, che ha permesso di lavorare almeno in qualche località.

Un altro tipo di intervento è la richiesta, e su questo la Giunta si è dichiarata disponibile, di ammettere, quando saranno riaperti, ai benefici dei fondi di rotazione anche gli impianti di risalita, per la costituzione di nuovi impianti.

Sotto questo aspetto va ricordato un altro problema, che mi pare importante, ed è quello legato all'allungamento della stagione. Io qui ho un elenco del calendario delle vacanze nei vari paesi europei; è sufficiente guardare il calendario delle vacanze della Francia, che è diviso per regioni, con periodi diversi, e confrontarlo con il nostro, per rendersi conto della complessità del problema. A Besançon si fanno le vacanze di Natale dal 19 dicembre al 5 gennaio; a Lille di fanno dal 20 dicembre al 12 gennaio; a Toulouse dal 18 dicembre al 5 gennaio; a Parigi dal 5 al 16 febbraio, e si va avanti: dal 14 al 23 per la zona di Caën, Dijon, Montpellier, ecc.; nella zona di Bordeaux-Grenoble dal 21 febbraio al 2 marzo: questo vale per le vacanze invernali, per le vacanze di Pasqua, ecc., e così fanno anche le altre nazioni. È chiaro che questo permette di distribuire la stagione dello sport in un arco maggiore di tempo, mentre quando le famiglie sono collegate con problemi di carattere scolastico, per cui sono bloccate, è difficile poter ottenere un allungamento delle vacanze, se non ridotto a fette più strette, certamente, di quelle che potrebbero essere le vacanze in periodi di piena.

E allora noi assistiamo a una piena assurda nel periodo di Natale-Capodanno e di Ferragosto, e ad un vuoto assoluto in altri periodi. Non dimentichiamo poi l'aspetto estivo: in estate l'italiano cerca più che altro il sole e il mare, raramente la montagna.

Tornando al discorso dell'allungamento delle vacanze, delle iniziative dello sci-alpinismo e delle altre cose, si stanno prendendo iniziative, ma è evidente che nessuno dispone di bacchetta magica; iniziative se ne sono prese, itinerari di sci-alpinismo ve ne sono parecchi, però occorre, anche in questo caso, una serie di strutture che secondo me ci vorranno anni e anni per poter realisticamente pensare di realizzare. In presenza della situazione attuale, non è possibile che un tipo di promozione turistica, che consenta alla gente di conoscere la nostra regione, di conoscere la nostra offerta turistica; però non dimentichiamo che sul piano dei prezzi siamo notevolmente penalizzati.

E non va neanche dimenticato un aspetto: il monte di affari che si fa attorno a un impianto di risalita vede un ritorno del 10 o del 15% all'impianto stesso, che quando va bene fa pari, salvo impianti particolari come possono essere quelli delle due massime località; ma l'85%, il 90% è tutto indotto, costituito da un altro tipo di reddito, che percepisce quello che è considerato il contorno all'attività sciatoria. Laddove mancano gli impianti di risalita, non si può certamente affittare per una settimana a Natale un appartamento per 800.000 lire, così come avviene in Valle d'Aosta. È vero che questo tipo di utenti non dà, non paga, non interviene per il beneficio che deriva dall'impianto di risalita. Quali sono i mezzi, gli strumenti? È gente che non paga neanche la tassa di soggiorno; è gente cui difficilmente noi potremmo attraverso uno strumento legislativo, far pagare una quota, o penalizzare di una quota, o far contribuire il costo di gestione degli impianti di risalita. Bisogna avere il coraggio di avere i piedi per terra, perché parlare qui può anche essere facile, però realizzare un concreto questo tipo di iniziativa, probabilmente è un pochino più difficile.

Io ho avuto una serie di incontri ai livelli delle varie Aziende di soggiorno, ai livelli dei vari Comuni - e ho qui un rapporto diviso per tutte le nove stazioni e Aziende di soggiorno, esclusa Aosta. Diciamo che sul piano alberghiero fino al 6 di gennaio non vi è stata una grossa caduta; la grossa caduta è stata probabilmente nel settore dei ristoratori, nel settore cioè a cui si rivolge quella clientela del sabato e della domenica, che viene per sciare e torna via; questo tipo di clientela evidentemente non è venuta per sciare, perché al massimo poteva venire a passeggiare nei prati.

Sotto questo aspetto è necessario considerare due fattori: il primo, che questo evento per fortuna è eccezionale, bisogna dirlo, e non bisogna neanche esagerare nel valutare questo aspetto come un fatto che si potrebbe ripetere facilmente, a meno che il tutto non venga a modificarsi in tempi molto rapidi. Il secondo, che occorre prendere atto di questa situazione eccezionale per evidenziare quelle che sono state le carenze.

Ora, sotto il profilo turistico, non ci si può, di fronte a questi fatti, scoprire a un certo punto tutti quanti propensi a dare una mano al settore; occorre essere coerenti sempre in questa direzione, perché il dirlo solo oggi, quando ci rendiamo conto che è l'unica - per fortuna ce n'è ancora una! - delle attività non assistite dalla Regione, non è sufficiente; bisogna pensare che se penalizziamo anche questa, noi rischiamo poi di andare in bancarotta come Regione. Prima che sia troppo tardi occorre che tutti quanti noi prendiamo coscienza che questi problemi vanno affrontati fin da ora, anche se sembrano lontani, anche se sembrano problemi per ricchi, e vorrei che questo detto fosse sfatato, perché è necessario considerare che se è vero che chi va a fare quel tipo di vacanza è uno che non è assistito dall'ex ECA, è anche vero che attraverso questo tipo di utenza noi abbiamo dei grossi vantaggi. Non dimentichiamo che oltre il 50% delle presenze alberghiere nel periodo invernale è rappresentato da presenze straniere, ed è anche un problema di valuta, ed è anche un problema importante, però rischiamo di perdere, se non presenteremo un'offerta turistica che consenta alla gente di trovare qui qualcosa che da alte parti trova sicuramente. Noi sappiamo che le ultime stazioni cresciute in Francia sono stazioni tutto pagato, per cui uno, pagando l'albergo, ha diritto al tennis, alla piscina, al maneggio, al pattinaggio, a tutto! Noi qui non abbiamo certamente quelle strutture; o ci rendiamo conto che dobbiamo procedere, sia pure gradualmente, in questa direzione, o fatalmente queste cose dovranno un bel giorno farci svegliare e trovare di fronte sorprese amare. Vorrei quindi che fosse valutato l'aspetto legato al problema concreto, e cioè che il turismo ha diritto di essere considerato come un'attività imprenditoriale, il cui ritorno in termini economici è essenziale per l'economia della nostra regione.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Consigliere Tonino, ne ha facoltà.

Tonino (PCI) - Non ho ben capito se l'appello alla coerenza era rivolto a noi o alle forze di maggioranza; per quello che ci riguarda, noi saremo coerenti su quello che diciamo adesso e abbiamo sempre detto. E siamo coerenti quando ripetiamo, e torniamo a chiedere, che ci vuole un progetto, e che ci vuole un piano per quelle aree turistiche. A noi sembra che anche oggi, malgrado un certo dinamismo dell'Assessore e una voglia di fare nel campo del turismo, si vada ancora avanti a naso, e si vada ancora avanti con un certo volontarismo.

Siamo profondamente convinti di una affermazione che ha fatto l'Assessore Pollicini: che cioè oggi star fermi vuol dire andare indietro, nella nostra regione; e che per alcune realtà l'impianto, il piccolo sviluppo del turismo, anche modesto, significa far restare popolazioni in alcune aree che altrimenti sono soggette allo spopolamento. E la coerenza rispetto a queste affermazioni la ribadiamo anche in questa occasione.

Siamo anche dell'avviso, evidentemente, che ci deve essere il rischio d'impresa, come ricordava il Consigliere Faval,e siamo contrari a una politica assistenziale in questo settore.

Cosa fare? Nell'immediato i provvedimenti che la Giunta, se ho ben capito, ha adottato, credo vadano bene; se sono, evidentemente, finalizzati a sostenere quelle società di impianti di risalita che si sono trovate in difficoltà in questa situazione, soprattutto laddove - e lo ha detto lo stesso Assessore - un impianto di risalita significa, come indotto, anche l'80% del volume d'affari. Quel tipo di intervento, che non è assistenziale, che dev'essere contingente, secondo noi dev'essere fatto. Più a lungo periodo, noi crediamo che ci voglia un progetto: le affermazioni di buona volontà, l'apertura di nuove possibilità, devono essere concretizzate, devono essere patrimonio non soltanto di pochi, ma patrimonio di tutti gli operatori turistici di una zona. E noi crediamo che questo non si faccia, che anzi esista, da questo punto di vista, un vuoto della Regione: troppo spesso anche laddove, localmente, vengono prese delle iniziative per programmare in modo complessivo lo sviluppo di una certa zona, e si indicano le cose che diceva Faval (lo sci-alpinismo, i percorsi attrezzati), queste cose cadono nel vuoto perché il sostegno, e nella politica pubblicitaria della Regione, e nella promozione di queste zone, manca, e non esiste un progetto complessivo.

Presidente - Ci sono altri Consiglieri che intendono prendere la parola su questo oggetto? Ha facoltà di parlare il Presidente della Giunta.

Andrione (UV) - Volevo rassicurare il Consigliere Tonino, nel senso di dirgli che, per quanto riguarda la formazione delle Alpi, e quella parte che ci interessa, che va dal Col Dolen, grosso modo, a Re tempio, sapevamo anche noi, e lo sapevano tutti, e non è colpa di questa Giunta, che la parte nord-occidentale è più nevosa della sud-orientale. È un dato di fatto che conoscevamo, che tutto il Consiglio conosceva, tant'è che in questa stagione, come in tutte le stagioni precedenti in cui la neve è arrivata in ritardo, La Thuile ha conosciuto un successo particolare; quest'anno il 40% in più! Però quando abbiamo discusso in questi giorni il piano regolatore di La Thuile, abbiamo cercato di mettere un freno, perché non intendiamo che La Thuile si sviluppi in maniera abnorme o troppo rapidamente, ma vogliamo che abbia uno sviluppo armonico. Il che non impedisce che quando nel mese di gennaio ai 2.900 metri della Betta forca manca la neve, ci siano dei problemi per quanto riguarda quel dato tipo di impianto, che probabilmente nei prossimi giorni sarà innevato. Dico probabilmente perché, come certamente il Consigliere Tonino sa, quando Napoleone Bonaparte è passato dal Gran San Bernardo (la Stazione è in Svizzera ma riguarda anche il versante valdostano) è stato istituito il primo nivometro del mondo, che funziona dal 28 maggio 1800, e funziona ancora adesso. E da questo nivometro si può dedurre abbastanza facilmente che l'unico periodo in cui è mancata effettivamente la neve va dal 1930 al 1957, con la punta massima nel 1957; dal '49 al '57 c'è stata una precipitazione nevosa nettamente inferiore a quella precedente, che di poi è rimontata, avendo recentemente avuto una punta massima nell'inverno '76, quando al Colle del Gran San Bernardo sono caduti 24 metri di neve, cosa che non era mai capitata da almeno un secolo e mezzo.

Quindi non è che noi ci preoccupiamo nel senso di dire che non vi è la neve, e non è la questione di fare il Piano per dire che al Breuil si può sciare, e che investendo 3 miliardi, o 4, o 5, si può sciare fino al mese di giugno sul ghiacciaio del Ruitor.

Il nostro problema è quello di contemperare e di predisporre quegli interventi che, come del resto giustamente è stato sottolineato adesso, siano favorevoli a delle attività localizzate, e puntuali, per una popolazione che esiste in un dato territorio e che non vive più di sola agricoltura, perché, non lo diceva Karl Marx, ma qualcuno di molto importante, diceva "Non si vive di solo pane". E quindi noi interveniamo a Champorcher come interveniamo, adesso, con i metodi e il tipo di intervento che è stato illustrato.

Su un punto invece concordo con quanto ha detto il Consigliere Tonino, e direi che dovrebbe essere sottolineato, ed è il fatto che noi abbiamo questi domaines skiables che si estendono a delle quote differenti; mentre i domaines skiables del Breuil e di Gressoney sono particolarmente alti, quelli di Courmayeur e di La Thuile sono di natura differente, leggermente meno accessibili, però con dei grossi vantaggi.

Quello che noi dobbiamo fare è l'offerta turistica differenziata, e quindi, anche se è più difficile, ritornare a un certo tipo di offerta turistica estiva, che è estremamente importante per la nostra regione - anche se in questo momento conosce un regresso, e come moda e come possibilità di impiego, anche per questioni di costo, perché il mare costa meno - e un'offerta per le stagioni cosiddette morte. In questo momento è in discussione in Commissione, e vorrei che fosse pubblicizzata il più possibile, la creazione di Parchi regionali, che non sono dei parchi puramente e soltanto naturalistici, ma che danno delle possibilità per lo sfruttamento dello sci invernale, delle routes vertes e rappresentano per noi l'alternativa che coincide geograficamente con le zone meno favorevoli che, o per valanghe, o per accessibilità, o per innevamento - perché anche l'innevamento può avere la sua importanza - si prestano meno alla pratica di altri sports.

Noi potremmo oggi, con un investimento superiore a 10 miliardi di lire, fare l'arroccamento necessario per sfruttare il domaine skiable di Cogne o altro, il Grauson ed eventualmente arrivare fino alla faccia sud-ovest della Tersiva, però questo avrebbe dei costi enormi, per un'utilità relativa rispetto all'offerta turistica che Cogne invece può dare in altra maniera.

Ora, questo non è solo, e non può essere, il frutto di un piano, che deve essere evidentemente legato a quella che è la moda del momento. Abbiamo visto come si è sviluppato lo sci di fondo in brevissimo tempo e sotto l'impulso di un certo tipo di facilitazioni, di consumismo, di spinta, magari anche di réclames, ma è invece un discorso generale dell'uso del territorio della Valle d'Aosta. E quindi direi che su quel terreno ci troviamo abbastanza d'accordo con quanto ha detto il Consigliere Tonino.

Sottolineando che però l'attuale particolare momento difficile delle società di risalita in Valle d'Aosta, verrà affrontato, per quanto riguarda la Giunta Regionale, con delle facilitazioni di credito, e con l'appoggio che la Regione potrà dare, anche per il fatto che la Regione sottoscrive questi capitali per il 35%; non senza dimenticare che soltanto dove c'è un'iniziativa locale specifica la Regione è disposta ad intervenire: abbiamo messo un limite del 35% come sottoscrizione proprio per questo motivo.

Questa particolare carenza è venuta nel momento in cui sia a Champorcher, che, come ricordava l'Assessore, ad Ayas e a Gressoney, erano stati investiti i capitali maggiori; questo era l'anno in ci avrebbero dovuto cominciare ad incassare, perché avevano investito fino ad adesso. A quelque chose malheur est bon: ci ha insegnato che non sempre uno può contare sulla materia prima indispensabile. Anche a questo potrà essere fatto fronte, ma non crediamo che sia un problema tale da mettere in dubbio il fatto che la Regione debba intervenire in questo tipo specifico di investimenti; anzi, direi, a più forte ragione dobbiamo essere superiormente equipaggiati per poter far fronte, come è successo a Courchevel, come è successo a Verbier, all'eventualità che non ci sia la neve. Sono stati in grado di superare quella crisi, come penso saremo in grado di superarla anche noi.

Presidenza del Presidente Giulio Dolchi.

Presidente - Ci sono dichiarazioni di voto? Possiamo allora passare alla votazione della ratifica della deliberazione n. 6300:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 30

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6317 in data 19 dicembre 1980: Aumento importo annuo delle borse di studio intitolate alla memoria del Dott. "Cesare Ollietti" (Mésard) e dell'Abate "Pierre Anselme Plassier".

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6317:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 28

Il Consiglio approva all'unanimità.

Objet n° 6320 en date 19 décembre 1980: Allocation et liquidation d'une subvention de 1.600.000 lires à la Commune de Pollein pour l'achat d'équipement ménager destiné à la cuisine de la cantine scolaire. Approbation et liquidation de dépense.

Président - Il y a quelqu'un qui demande la parole? Je mets à l'approbation du Conseil la ratification de la délibération n. 6320:

Esito della votazione:

Présents, votants et favorables: 30

Le Conseil approuve à l'unanimité.

Oggetto n. 6322 in data 19 dicembre 1980: Concessione e liquidazione al Comune di Verrès di un contributo di lire 3.200.000 nell'acquisto di arredamento per la Direzione Didattica.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6322:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 31

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6324 in data 19 dicembre 1980: Concessione e liquidazione al Comune di Pont-Saint-Martin di un contributo di lire 3.140.000 nell'acquisto di arredamento per le Scuole elementari e medie.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6324:

Esito della votazione:

Presenti, votanti e favorevoli: 31

Il Consiglio approva all'unanimità.

Oggetto n. 6353 in data 19 dicembre 1980: Concessione di un contributo di lire 2.000.000 al Parroco di Sarre per i lavori di restauro della Cappella in località Vareille del Comune di Sarre.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Nessuno chiede la parola. Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6353:

Esito della votazione:

Presenti e votanti: 31

Favorevoli: 30

Astenuti: 1 (Faval)

Il Consiglio approva.

Oggetto n. 6354 in data 19 dicembre 1980: Concessione di un contributo di lire 2.500.000 al Parroco di Valsavarenche per i lavori di restauro della Cappella in località Tignet del Comune di Valsavarenche.

Presidente - Qualcuno chiede la parola? Ci sono dichiarazioni di voto?

Metto in approvazione la ratifica della deliberazione n. 6354:

Esito della votazione:

Presenti e Votanti: 31

Favorevoli: 30

Astenuti: 1 (Faval)

Il Consiglio approva.

Objet n° 6393 en date 19 décembre 1980: Allocation e liquidation d'une contribution de 7.800.000 lires à la Chorale "Le Soldats de la Neige" de Saint-Rhémy pour l'achat et la confection de costumes. Approbation et liquidation de dépense.

Presidente - La discussion est ouverte. Il y a quelqu'un qui demande la parole? Je mets à l'approbation la ratification de la délibération n. 6393:

Esito della votazione:

Présents, votants et favorables: 29

Le Conseil approuve à l'unanimité.