Oggetto del Consiglio n. 588 del 16 luglio 2014 - Resoconto
OGGETTO N. 588/XIV - Interpellanza: "Offerta formativa dell'Università della Valle d'Aosta per il prossimo triennio".
Presidente - La parola, per l'illustrazione, alla collega Chantal Certan; ne ha facoltà.
Certan (ALPE) - Grazie Presidente.
Molto semplicemente, con questa interpellanza chiediamo al Presidente della Regione, che come da Statuto dell'Ateneo valdostano è anche il Presidente del Consiglio dell'Università, e che ha tutta una serie di compiti e di ruoli particolari (nei quali in questo momento non entro), chiediamo al Presidente della Regione e dell'Università della Valle d'Aosta quali siano le intenzioni per i prossimi anni...noi abbiamo scritto "il prossimo triennio", riguardo alla programmazione degli indirizzi e dei nuovi corsi accademici è già stata fatta anche più a lungo termine, chiediamo se ci sia appunto l'intenzione di variare degli indirizzi e dei corsi di laurea. Ora, è notizia di pochi giorni che appunto è stato attivato (combinazione, la notizia di pochi giorni coincide con questa interpellanza, quindi cade anche a fagiolo) un corso di Laurea in Economia; l'aveva già anticipato in qualche modo il Rettore nella Giornata dell'Economia che si stava cercando di trovare anche una vocazione particolare alla nostra Università.
Perché questa interpellanza e perché questa richiesta di informazioni? Perché riteniamo che comunque l'offerta formativa, quindi gli indirizzi e comunque le decisioni che vengono prese per quanto riguarda la formazione universitaria sia molto importante per un territorio, in considerazione del fatto anche di un territorio tutto sommato piccolo, che però ha messo a disposizione un'Università per accogliere anche eventualmente studenti da altre regioni, proprio per permettere questa permeabilità dello scambio culturale e formativo con altri studenti. Quindi riteniamo che sia ancora più importante proprio perché forma un'Università, in un territorio come quello valdostano, forma le future generazioni e le forma da un punto di vista non solo culturale e di corso di studi, ma anche che poi di prospettive di lavoro. E quindi ci chiedevamo appunto se fosse intenzione di provare ad essere in qualche modo innovativi, proponendo dei corsi e degli indirizzi forse più rari o più particolari, ma che potessero in qualche modo dare prospettive di lavoro ai valdostani e a chi la frequenta, o essere anche di appeal, di interesse per gli studenti che vengono dall'esterno. Quindi diciamo anche che l'importanza di un'Università com'è quella della Valle d'Aosta, l'importanza che può avere sul nostro territorio è maggiore se c'è una concertazione anche con le associazioni valdostane dell'attività produttiva, la Consulta delle professioni, ma, a mio avviso, anche con la società in house, che è la società che in qualche modo sta curando i lavori della struttura universitaria, perché sappiamo anche che, a seconda dell'indirizzo, a seconda del corso di laurea che si istituisce, vi è una richiesta diversa di strutture, quindi di laboratori, di aule, eccetera.
Ci stiamo quindi chiedendo - e la nostra interpellanza va in questa direzione - se è stato intrapreso un cammino di concertazione, anche per quanto riguarda la costruzione dell'involucro, visto che sono partiti i lavori della nuova Università. Grazie.
Presidente - Grazie. Ha chiesto la parola, per la replica, il Presidente Rollandin; ne ha facoltà.
Rollandin (UV) - Sì, grazie Presidente.
D'une part je veux rassurer la collègue qu'évidemment on n'a pas préparé cela suite à l'interpellation, car c'est un travail qui dure depuis un an et demi, car il y a l'engagement du Sénat et tout ça.
J'apprécie qu'il y ait cette interpellation qui nous donne la possibilité de répéter ce que nous avons déjà dit au moment où on a présenté la Laurea Magistrale - justement pour les cinq années - le résultat d'un parcours qu'a été partagé par le Sénat Académique, par le Conseil d'administration, par les intéressés, par les professeurs. Elle a eu toute une logique de parcours - comme vous venez de dire - qui donne, comme résultat, cette possibilité, qui est engageante pour une petite Université comme la nôtre, je veux le rappeler, car - comme vous le savez - les frais de cette Université, à aujourd'hui, sont payés pour la partie prenante de la part de l'Administration régionale, puisque la contribution de l'État est réduite à très peu.
Pour ce qui est donc...en référence aux programmes qui avaient été faits pour 2013-2015, nous avons abouti à ce résultat - comme vous veniez de dire - de la Laurea Magistrale, qui a été justement prévue. Pour ce qui est des perspectives on est en train d'imaginer de faire un compte rendu des différentes propositions qu'on présentera à la fin d'année après un parcours qui est celui que j'ai examiné tout à l'heure. Évidemment les conséquences de ces parties sur l'immeuble futur sont sans doute importantes, mais elles peuvent être tranquillement placées à l'intérieur sans créer des problèmes d'un point de vue du projet, car c'est un projet qui donne la possibilité de réduire ou d'augmenter les disponibilités d'une façon évidente et possible, donc ce n'est pas contraignant par rapport au futur de l'Université même.
J'apprécie donc le sens de cette interpellation qui va dans la direction de donner une offre majeure même pour ceux qui viennent de hors de la Vallée d'Aoste, qui maintenant sont - je veux le rappeler - à peu près le 40 pour cent, et donc c'est déjà une attractive importante pour le futur de notre région. Le Campus, qui sera à la Testafochi, je crois qu'il va dans la direction de donner un panorama et de donner une possibilité d'avoir des liaisons avec la partie - je veux le rappeler - de Chambéry. Le fait qu'il y ait des Universités françaises qui sont en liaison avec la nôtre c'est un point important par exemple pour Langues et pour l'attractive dans cette direction sur lesquelles nous sommes en train de travailler. Merci.
Presidente - Ha chiesto la parola la collega Certan, per la replica; ne ha facoltà.
Certan (ALPE) - Oui, merci Président.
En effet je ne partage pas trop quand vous dites que l'organisation des classes et de la structure peut arriver dans un deuxième moment. À mon avis, ça, devrait être quelque chose qui marche de façon parallèle, parce que sinon...non, ce n'est pas de changer un projet, c'est peut- être de (vu même qu'on est dans une phase initiale des travaux) une question d'adéquation des projets, pas de changement. Sûrement, si l'Université de la Vallée d'Aoste décidera d'activer un cours de "Glaciologie" ou de "Géologie", par exemple je me permets de souligner que c'est quelque chose de différent par rapport à un laboratoire de Langues ou, disons, de plus humanitaire. Donc, c'est pour cette raison que je me permettais de dire que je tiendrais compte de cette question tout de suite et je ne la laisserais pas à un deuxième moment.
Pour ce qui est du compte rendu à la fin d'année, oui, merci, nous serons très contents de voir un compte rendu et nous en tirerons nos conclusions. À mon avis, un Conseil régional devrait être concerné même pour les choix de "l'avenir" et pas seulement pour un compte rendu ou des conclusions. Je dis cela parce qu'à mon avis, surtout vu que le Président de la Région Vallée d'Aoste est Président de l'Université aussi, ce n'est pas seulement un choix qui fait le Sénat ou le Collège des enseignants, et cetera, mais c'est aussi un choix politique l'adresse qu'on veut donner à universités...je dirais "particulières" comme celles de la Vallée d'Aoste, parce que avoir une université dans une Région de 120 mille habitants est quelque chose sûrement de inusuel. Donc, pour pouvoir la valoriser, il faut vraiment faire des choix qui soient à l'avant-garde. Pour ce qui concerne par exemple l'adresse des Sciences de la formation, choix qui a été fait il y a quelques années, je le retiens avoir été un choix exclusivement politique, pour dire: "Je forme les enseignants qui travaillent en Vallée d'Aoste et nous les formons à l'Université". À mon avis on ne peut pas dire que c'est quelque chose qu'on a décidé pour attirer, comme priorité, des étudiants de l'extérieur, mais elle a été une adresse politique bien claire: de former et de faire formation aux propres enseignants. Je n'entre pas dans la didactique en ce moment, bien évidemment, mais je crois qu'il n'y a pas seulement des choix de programmation...disons plus général du Sénat ou des enseignants, mais il y a des choix bien politiques.
Une autre chose: vous avez parlé des conventions qu'on peut faire avec d'autres universités. Je crois qu'il faudrait tenir compte aussi (je ne sais pas la date exacte) qu'on a changé la façon de recrutement des enseignants, et donc les différentes façons d'acquérir une classe enseignante ont changé au niveau académique et universitaire. Comme vous savez, il n'y a plus une liste avec un ordre qui tienne en compte le classement...oui, mais il y a...disons une possibilité de choix bien plus large, parce qu'on ne doit pas suivre la liste, mais on peut choisir; l'offre et le choix - nous le savons - portent toujours à différentes facettes. Alors je suggère que la facette...disons la plus qualitative et, en même temps, la plus performante soit choisie, et donc qu'on fasse un certain choix des enseignants, même par rapport à ce qui est la langue et même la compétence dans les langues, vue quand même que notre Statut prévoit un enseignement bilingue. Donc, vu qu'il y a cette perspective, je me souhaite qu'avec Madame Rini, qui est Assesseur à l'instruction publique, il y ait une concertation sur ce point.
Presidente - Grazie. Come vi è stato comunicato, il Presidente ci deve lasciare per un importante impegno istituzionale. Riprendiamo quindi i lavori dal punto 4 dell'ordine del giorno.