Oggetto del Consiglio n. 2062 del 9 novembre 2011 - Resoconto
OBJET N° 2062/XIII - Projet de loi: "Modification de la loi régionale n° 6 du 16 mars 2006 (Dispositions propres à mettre en valeur l'autonomie et réglementation des signes distinctifs de la Région. Abrogation de la loi régionale n° 2 du 20 avril 1958)".
Article 1er
(Modification de l'article 2)
1. À la fin du deuxième alinéa de l'article 2 de la loi régionale n° 6 du 16 mars 2006 (Dispositions propres à mettre en valeur l'autonomie et réglementation des signes distinctifs de la Région. Abrogation de la loi régionale n° 2 du 20 avril 1958), sont ajoutés les mots suivants: ", et est célébrée en même temps que la commémoration visée au premier alinéa ci-dessus".
2. Le troisième alinéa de l'article 2 de la LR n° 6/2006 est abrogé.
Article 2
(Modification de l'article 3)
1. Au deuxième alinéa de l'article 3 de la de la LR n° 6/2006, après les mots: "guides d'utilisation approuvés", est ajouté le mot: "respectivement".
Article 3
(Modification de l'article 6)
1. La lettre d) du premier alinéa de l'article 6 de la LR n° 6/2006 est remplacée comme suit:
"d) à l'extérieur des bâtiments accueillant un bureau de vote pendant les consultations électorales et référendaires.".
2. A la fin de la lettre a) du deuxième alinéa de l'article 6 de la LR n° 6/2006 sont ajoutés le mots suivants: "et de la Fête de la Vallée d'Aoste".
3. La lettre b) du deuxième alinéa de l'article 6 de la LR n° 6/2006 est abrogée.
Article 4
(Insertion de l'article 7 bis)
1. Après l'article 7 de la LR n° 6/2006, il est inséré un article ainsi rédigé:
"Article 7 bis
(Drapeau de la communauté walser)
1. Le drapeau de la communauté walser peut être exposé, à côté des drapeaux italien, européen et régional, sur les bâtiments publics des Communes visées à la loi régionale n° 47 du 19 août 1998 (Sauvegarde des caractéristiques ainsi que des traditions linguistiques et culturelles des populations walser de la vallée du Lys).".
Article 5
(Remplacement de l'article 9)
1. L'article 9 de la LR n° 6/2006 est remplacé comme suit:
"Article 9
(Rendez-vous citoyens)
1. La Présidence du Conseil régional, la Présidence de la Région et l'assessorat régional compétent en matière d'éducation et de culture organisent, à l'intention des institutions scolaires et des jeunes résidant en Vallée d'Aoste, des manifestations et des initiatives à caractère culturel appelées "Rendez-vous citoyens", qui visent à l'information et à la sensibilisation aux thèmes de l'éducation civique. Lesdites manifestations et initiatives sont ouvertes à toute la population.
2. Les modalités de déroulement des manifestations et des initiatives visées au premier alinéa ci-dessus sont fixées respectivement par délibération du Bureau de la Présidence du Conseil régional et du Gouvernement régional.".
Article 6
(Modification de l'article 10)
1. À la lettre a) du premier alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006, le mot: "Amis" est remplacé par les mots: "Amie/Ami".
2. Au deuxième alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006, les mots: ", d'ordinaire, le 7 septembre," sont supprimés.
Article 7
(Déclaration d'urgence)
1. La présente loi est déclarée urgente aux termes du troisième alinéa de l'article 31 du Statut spécial pour la Vallée d'Aoste et entrera en vigueur le jour qui suit celui de sa publication au Bulletin officiel de la Région.
Presidente - Prima di passare la parola al relatore, comunico che la I Commissione ha espresso parere favorevole, a maggioranza, sul disegno di legge nel nuovo testo in lingua francese predisposto dalla Commissione stessa. Vi faccio presente inoltre che il provvedimento ha avuto il parere favorevole del CPEL e che sono stati presentati tre emendamenti dai gruppi ALPE e PD ed un emendamento dal gruppo ALPE.
La parola al relatore, Consigliere Caveri.
Caveri (UV) - Merci M. le Président.
En effet le texte assigné à notre Assemblée a été modifié, parce que la loi de 2010, qui a été renouvelée en partie avec cette proposition du Gouvernement, était à l'origine en langue française, donc il était tout à fait opportun de maintenir l'emploi de la même langue lors de la discussion au Conseil. Je partagerai très brièvement mon intervention en deux, c'est-à-dire les parties moins problématiques de cette loi, qui a été approuvée au mois de juillet au Gouvernement et enfin je m'occuperai un peu de la question plus délicate - qui est même l'occasion pour l'opposition de présenter des amendements -: la célèbre question du 7 septembre et son déplacement sur le 26 février.
Pour ce qui est des choses les moins importantes, il y a eu la proposition d'avoir des petites modifications: je pense à la question des guides d'utilisation pour les symboles, qui sont approuvés respectivement par le Gouvernement pour ce qui est du symbole de la Région et par le Bureau de la Présidence pour ce qui est du symbole du Conseil de la Vallée, celle-ci a été une chose qu'on avait oubliée. Je pense qu'on pourrait dire la même chose là où on avait oublié de l'exposition du drapeau quand il y a les élections et les référendums, il s'agit de quelque chose qu'on avait oubliée et on peut ajouter avec la même justification le drapeau walser...justement les trois Communes reconnues en tant que telles, selon les procédures d'une loi régionale prévue par l'article 40 de notre Statut, afin d'exprimer les différentes communautés walser qui se trouvent sur les Alpes... J'ajouterais encore, parmi les modifications mineures, "amie/ami" de la Vallée d'Aoste, masculin et féminin, après en commission on a mis, pour une question du respect du genre, "amie" avant de "ami" de la Vallée d'Aoste; ce sont des petites modifications. J'ajouterais par contre une modification plus importante: celle qui va toucher les Rendez-vous citoyens. A l'occasion de la discussion en 2006, les Rendez-vous citoyens étaient conçus comme une espèce de substitution régionale de la Leva obbligatoria, dans le sens qu'on avait réfléchi sur le fait que les conscrits, en ajoutant les femmes qui ne faisaient pas le service militaire, pouvaient avoir une occasion annuelle pour se retrouver. On avait longuement discuté sur ce qu'on pouvait mettre dedans; aujourd'hui les Rendez-vous citoyens, qui donnent un rôle dans l'organisation à la Présidence du Conseil, deviennent un moment ouvert au reste de la population et ils ne sont pas seulement adressés aux conscrits; donc il y a eu un certain changement vis-à-vis de la philosophie de la vieille loi.
Veniamo invece al tema più delicato e dibattuto, da questo punto di vista, vedo che il collega Zucchi sorride, perché abbiamo avuto numerose discussioni nel corso del confronto in commissione e di questo come relatore vorrei dare atto. All'inizio non si parlava dell'eventuale spostamento della data del 7 settembre, la decisione è scaturita in seguito a quanto contenuto nella manovra finanziaria estiva, che di fatto ha deciso, a mio avviso improvvidamente, di sopprimere le festività civili, un tempo collegate per ciascun Comune con i Patroni con l'unica eccezione, vivendo noi in uno Stato centralista, del Patrono di Roma che gode nel rapporto Stato-Chiesa del vantaggio del celebre accordo stipulato attraverso i Patti Lateranensi, quindi ha una protezione un po' rinforzata, anche se si potrebbe a lungo discutere se ci sono altri patroni che hanno magari una profondità almeno equivalente: non mi riferisco a San Grato, penso a San Gennaro, che è uno dei santi che in Paradiso forse sta protestando per questa scelta. Al di là dello scherzo, tale soppressione poneva il problema di una difficoltà di valorizzazione di questa data del 7 settembre, che era quella alla quale gli Aostani - e non solo, perché San Grato è Patrono anche di altri Comuni più piccoli - facevano riferimento: era una data di vacanze e in cui diventava confortevole e utile concentrare una serie di manifestazioni. Qui agisco dopo aver letto l'ammonimento di uno studioso che apprezzo molto, anche padrino di uno dei miei figli, il prof. Rivolin, che ci "tira un po' le orecchie": "in questo momento non stiamo valutando lo spostamento di San Grato sul 26 febbraio, nessuno di noi ha pensato di fare un'operazione di questo genere", ma Rivolin motiva a maggior ragione dal punto di vista storico con la sua competenza quanto era nelle cose, quando venne scelta con un certo dibattito la famosa data del 7 settembre. Questa data è storicamente la Festa nazionale della Valle d'Aosta: lo è non solo perché San Grato è il Patrono della nostra diocesi - questo Santo un po' misterioso come tutti i santi del cattolicesimo, di lui non abbiamo un'esatta contezza, ma sappiamo che la devozione popolare (ci sono delle bellissime statue di San Grato) lo definisce come uno dei santi più importanti tanto da diventare il Patrono della nostra diocesi -, in realtà, nell'andare a scorrere i documenti storici della Valle d'Aosta, si scopre come quella data finiva per avere un ponte con il mondo laico della politica, quindi i Savoia venivano qui in quella data per le udienze generali, profittando di mettere assieme sacro e profano. Vi è poi un elemento che sicuramente è casuale, ossia il fatto che il 7 settembre 1945 furono emanati i decreti luogotenenziali, la cui importanza è stata rimarcata di recente, proprio per la modernità del disegno che allora si affermò, dallo stesso Presidente della Repubblica Giorgio Napolitano nella sala sottostante. Senza nulla togliere alla forza che...personalmente ho condiviso come promotore di questa parte della legge sulla simbolistica...quindi si è fatto un ragionamento più pratico, dicendo: "noi in quella data non possiamo immaginare uno sviluppo di una festa popolare", perché di questo si trattava: quando insieme ad altri colleghi pensammo a tale data e alla Festa della Valle d'Aosta, si immaginava che un giorno o l'altro questa festa si sarebbe riempita di contenuti, perché è vero che abbiamo altri momenti festosi come la Battaglia delle Reines, o la sera del 30 gennaio di ogni anno in occasione della serata di San Orso, però una festa nazionale è un'altra cosa. Non a caso Rivolin ha rievocato il fatto che nel corso dell'800 il Comune di Aosta, che era il Comune più importante, celebrasse con i fuochi d'artificio - c'erano già allora e non era solo per la Festa dei Calabresi, con tutto il rispetto per quella festa - e in grandissima pompa questa manifestazione, che cominciava al mattino con la suggestiva cerimonia dell'esposizione annuale delle reliquie del Santo.
Concludo facendo notare che nella discussione - il Presidente poi aggiungerà altri elementi - si è riflettuto sulla necessità, da un lato, per il venir meno della festività...che svuoterebbe in settimana questa festività...dall'altra, per esigenze di risparmio, di andare a confluire su un'altra data altrettanto significativa per il nostro attuale regime di autonomia, anche se meno profonda nella storia valdostana, ossia il 26 febbraio: la Festa dell'autonomia, che è il ricordo dell'emanazione dello Statuto di autonomia. Naturalmente, esattamente come la data del 7 settembre, per la parte più attinente ai decreti luogotenenziali va detto che i valdostani, sia il 7 settembre 1945, sia il 26 febbraio 1948, all'epoca non furono tutti schierati a festeggiare i contenuti; importanti storici ci hanno spiegato che all'epoca la comunità si augurava che alcune promesse effettuate nel periodo fra il secondo dopoguerra e la fine della liberazione si concretizzassero e noi sappiamo di tutti i limiti del nostro Statuto - che pure rispettiamo anche con un giuramento che ci porta qui - sia di contenuto, sia rispetto ad alcune speranze che si erano manifestate di un disegno più federalista dell'Italia. Per tale ragione abbiamo deciso, a maggioranza, tale spostamento della celebrazione della Festa della Valle d'Aosta e questo nulla toglierà al carattere altrettanto forte della Festa della Valle d'Aosta nel corso del 7 settembre e naturalmente - concludo indirizzandomi al Presidente del Consiglio e al Presidente della Regione - quando continuiamo a dire che esistono degli elementi di una certa fragilità di un disegno autonomistico, che non è un disegno federalistico, lo diciamo perché questa vicenda della soppressione dell'accostamento fra la festività religiosa di San Grato e la sua parte storica di una festività civile dimostra la debolezza del disegno del nostro Statuto. Forse un domani se mai un prossimo Consiglio regionale sarà chiamato a rinnovare lo Statuto, potremmo con il rango che viene dato ad uno Statuto di autonomia immaginare che, come capita per le grandi comunità - da quella scozzese a quella galiziana, a quella catalana e a quella dei Paesi del Galles -, si possa avere una nostra festività sancita proprio con una festa nazionale - utilizzo il termine "nazionale" fra virgolette -, cosa che invece oggi è regolamentata nell'ordinamento italiano solo da una legge statale.
Presidente - Dichiaro aperta la discussione generale.
La parola al Consigliere Donzel.
Donzel (PD) - Egregio Presidente, cari colleghi, mai come oggi mi riconosco moltissimo nelle parole del relatore, a cui devo fare i complimenti sia in questa sede che in sede di commissione per quanto ci riporta alla memoria della storia della nostra Regione, per l'efficacia con cui ne ha ripercorso alcuni passi, che non starà a me qui ripetere, visto che li ha ricostruiti con precisione. Quello che mi preme far notare relativamente al testo di legge - nei confronti del quale non vi erano particolari difficoltà, anzi penso che non ci sarebbe stato nessun problema per l'ottenimento del nostro assenso - è l'emendamento che ci è stato presentato sulla base di una norma nazionale, che non sopprime le feste nazionali - qui Caveri ha usato il termine "nazionale", io userei con orgoglio il termine "regionali", perché le Nazioni hanno fatto tali e tanti danni nel corso degli anni che forse dovremmo orgogliosamente usare il termine "regionale" anche per la nostra autonomia -, dicevo, non ha l'obiettivo di eliminare le feste regionali, ma sopprimere le festività religiose; questo, andando noi a collocare la nostra festa regionale su una festività religiosa, ha ingenerato il problema che è stato bene esposto dal collega. Noi abbiamo condotto una battaglia per il mantenimento delle feste civili a livello statale, quindi il 25 aprile, il 1° maggio e il 2 giugno - una battaglia "passata" anche da una raccolta di firme e a cui hanno aderito molti valdostani, in particolare i sostenitori dell'ANPI -, e che ha almeno su questo punto fatto recedere il Governo nazionale. Non si è riusciti a raggiungere lo stesso intento nella difesa delle festività religiose, ma va ricordato che alcune comunità molto legate ai loro santi come quella del caso di Napoli già evocato dal collega Caveri...i napoletani hanno detto: "San Gennaro non si tocca e noi faremo comunque festa in quel giorno". A quanto mi risulta - non è che abbia particolari rapporti con la Curia vescovile di Aosta, ma ho sempre partecipato alle celebrazioni di San Grato ad Aosta -, il 7 settembre continuerà ad essere celebrata la festività religiosa di San Grato ad Aosta. Siamo noi quindi che decidiamo di spostare la Festa dell'autonomia secondo un ragionamento che è stato presentato sotto varie forme, del tipo: "dobbiamo contenere le spese, quindi accorpiamo" e "dobbiamo consentire la massima partecipazione della popolazione a questi eventi". Questo mi dà l'occasione di fare due considerazioni. Ben venga il risparmio delle spese su tali festività, perché non è che, per far festa, bisogna chiamare cantanti, acrobati, eccetera, ma si possono fare delle feste civili e religiose anche in modo più parsimonioso. Il che non significa non fare festa, ma vuol dire che magari si mettono meno manifesti, si coinvolgono di più le persone con altre modalità, che non siano quelle di far venire ad una festa regionale dei cantanti che con la Regione ci azzeccano non so quanto! Sull'aspetto del ridurre le spese quindi "sfondate una porta aperta": accogliamo pienamente l'idea di abbattere le spese, ma esse si possono contenere anche senza accorpamenti, anzi siamo preoccupati perché, accorpando la festa, possiamo avere l'occasione per rimettere in circolo, visto che le ricorrenze sono due, il grande mercato dei concerti e delle spese folli.
L'altra questione è che questo ci dà l'occasione per mettere l'accento sulla festività del 7. Vi invito a vedere i manifesti che la Regione ha pubblicato, su molti sembrava che ci fossero 15 giorni di festività. I valdostani non sapevano neanche che la Festa dell'autonomia era il 7, invece, leggendo i manifesti, sembrava che vi fossero 10 giorni di festività! Probabilmente questa è l'occasione per una riflessione su come impostiamo tali feste: non è che dobbiamo fare 3-4 giorni di festa, perché c'è la Festa regionale della nostra autonomia...che merita la massima attenzione. Anzi colgo l'occasione per ringraziare chi ha avuto l'idea di mettere in campo una festa di questo tipo, in un momento in cui le autonomie speciali sono fortemente attaccate anche da chi si proclama federalista, compresi anche alcuni esponenti del mio partito! Posso garantirvi che in tutte le riunioni io, i colleghi di Trento e Bolzano del Partito Democratico abbiamo sempre fatto una battaglia strenua sul ruolo delle autonomie speciali; quindi, da questo punto di vista, non voglio dire che noi siamo i primi della classe. In tale disegno federalista che, a parte le strombazzate secessioniste e quant'altro, non si è concretizzato visto che la legislatura volge repentinamente al termine...noi vediamo la necessità di ribadire con forza il ruolo delle Regioni autonome anche con degli atti simbolici, con dei gesti. Capisco allora che quel giorno non potremo dire ai nostri dipendenti: "state tutti a casa perché è festa", però possiamo, come esiste nelle giornate pre-festive del sabato, concordare con le autorità religiose che la Santa Messa si svolga nel pomeriggio alle sei, quando i dipendenti per la maggior parte sono fuori dal lavoro. Sappiamo che comunque camerieri, baristi, benzinai, tutta una serie di figure, anche quando ci sono le feste, sono sempre tenute a lavorare, quindi non esiste il "tutti a casa".
Mi viene da dire che, qualora capita la festa in una giornata infra-settimanale, è una straordinaria occasione per incontrare le scuole, gli studenti... Non vedrei quindi con questo una diminutio, ho assistito a delle celebrazioni di una bellezza straordinaria e di un'emotività grandiosa per le persone che sono state premiate, per il decoro - e questo va riconosciuto, l'Amministrazione l'ha sempre avuto in queste feste -, ma in cui eravamo tutti addetti ai lavori: c'erano Signori con la banda tricolore, che erano sindaci e consiglieri regionali; dov'era il popolo valdostano a queste manifestazioni? Era al concerto. Forse allora ci sarebbe molto da lavorare su tali celebrazioni e molto da fare per coinvolgere, è per questo che ringrazio i colleghi dell'ALPE per avere accolto la nostra proposta di mantenere la data del 7 in modo simbolico per il valore che ha, perché rievoca momenti straordinari dell'autonomia valdostana.
Dal nostro punto di vista, quindi, questo è un punto fermo nel consentire o meno la nostra approvazione al disegno di legge nel suo complesso: che la Festa dell'autonomia valdostana resti il 7 e che tutti insieme cerchiamo di valorizzarla, spendendo qualche euro in meno per la gioia dei contribuenti.
Presidente - La parola al Consigliere Bertin.
Bertin (ALPE) - Grazie Presidente.
Questa legge, come detto in precedenza, aveva un percorso previsto piuttosto semplice: pareva una legge di secondaria importanza che andava a rivedere una legge del 2006 per alcuni aspetti e niente più. Per quanto ci riguarda, poteva essere l'occasione per indirizzarla in modo diverso e coinvolgere di più la comunità, ma pareva, come detto, una legge non particolarmente significativa. All'improvviso, con un emendamento presentato in commissione, come ha detto il collega Caveri, di fatto, si è accolta l'idea di sopprimere la Festa della Valle d'Aosta in ragione del fatto che da quest'anno saranno cancellati i Patroni e si è deciso per una ragione di risparmio, che riteniamo giusta, di accorpare la Festa della Valle d'Aosta, istituita nel 2006, con il 26 febbraio, che è la data in cui si celebra l'emanazione dello Statuto di autonomia.
Confesso che non mi hanno mai provocato grandi entusiasmi le cosiddette feste comandate di ogni genere e questa, come le altre...E non so se fossi stato qui nel 2006, se avrei votato tale legge, anche se ne condivido le motivazioni. È necessario che ci sia un momento in cui la comunità può ritrovarsi come avviene per altre Regioni di mezza Europa - ad esempio, l'11 settembre per la Catalogna -. Ma pur condividendone le motivazioni, non ho mai apprezzato le modalità molto fastose con cui si è svolta questa festa. Ricordo al Presidente Rollandin, che adesso tra le giustificazioni alla soppressione ci porta anche il risparmio, che nel 2010 soltanto per questa festa si sono spesi 466.000 euro, una specie di record, spesa che oggettivamente non era giustificata.
Torniamo all'argomento principale: quello dell'accorpamento delle due feste, se accorpamento ci deve essere, a nostro avviso, deve essere fatto il 7 settembre, perché questa è una data ideale per consentire una maggiore partecipazione dei cittadini; se festa deve essere, che sia una festa di popolo, un momento in cui la comunità si riconosce. La data ideale poteva essere il 7 settembre per tante ragioni, storiche, come ha illustrato Caveri, e per ragioni più banalmente meteorologiche. In effetti, lentamente questa festa istituita nel 2006 stava entrando fra le abitudini dei cittadini valdostani. Volevo sottolineare che condividiamo le altre parti che vengono ritoccate, per esempio per quanto riguarda l'introduzione della bandiera della Comunità walser, dato che ci pare un giusto riconoscimento di questa comunità. Rimangono le perplessità per la scelta di cancellare il 7 settembre come Festa della Valle d'Aosta e di spostarla al 26 febbraio; si sarebbe potuto fare il contrario, cercando di coinvolgere di più la cittadinanza e rendendo questa festa più popolare e meno sfarzosa, diversamente da come si è connotata in questi anni. Annuncio quindi un paio di emendamenti sul testo di legge. Grazie.
Presidente - Se non vi sono altri interventi, dichiaro chiusa la discussione generale.
La parola al Presidente della Regione, Rollandin.
Rollandin (UV) - Merci M. le Président.
Je crois que l'illustration qui a été faite par le Conseiller Caveri pour ce qui est du projet de loi a mis en évidence les raisons qui étaient à l'origine du choix de faire des modifications, qui étaient de substance pour ce qui est du drapeau walser. Il faut rappeler qu'il y avait là une requête qui avait été présentée depuis longtemps, toutes les associations culturelles walser avaient sollicité une prise de position dans ce sens et donc on a cru opportun de reconnaître ce droit. N'oublions pas qu'il y avait eu, à l'occasion de certaines manifestations internationales, de la polémique quand on avait mis le drapeau walser à Gressoney-La-Trinité et je crois qu'il y avait l'exigence de réglementer ce thème. On a donc inséré un article qui va donner ce droit à la Communauté walser et dans toutes les interventions soit au niveau culturel, soit au niveau du soutien de l'information on vient d'en parler...le droit pour les langues minoritaires de maintenir cette intervention au niveau d'information de la RAI en principe...donc on a sollicité qu'il n'y ait pas une réduction dans ce sens. En même temps on a toujours maintenu la possibilité d'intervention soit au niveau des Communes walser qu'au niveau de la collectivité dans son ensemble, donc c'était normal qu'il y ait cette possibilité. Les autres modifications ont déjà été expliquées de façon claire et je n'y reviendrais pas. Je crois que le thème fondamental a été celui de dire face au fait qu'au niveau national il y avait une prise de position sur les fêtes patronales qui avaient été supprimées...il fallait en prendre acte...l'unique fête donc qui avait une reconnaissance officielle était la fête du 7 septembre.
A questo proposito credo sia importante fare due riflessioni: stiamo parlando delle modalità con cui fare festa in occasione di ricorrenze o di avvenimenti che hanno caratterizzato la nostra storia in modo particolare. Ritengo che la festa per eccellenza sia la Festa dello Statuto, perché se è vero che esso è stato preceduto dai decreti luogotenenziali, è anche vero, come ho detto in occasione dell'illustrazione in commissione, che quei decreti hanno dovuto essere successivamente fatti propri da una norma che rinforzasse tale esigenza con l'articolo 48bis, che dava un rango superiore proprio a questi decreti. Non mettiamo in dubbio il discorso della festa religiosa, nessuno ha voluto inserirsi in tale dialogo, credo sia legittimo che la festa patronale abbia la sua modalità, che viene prevista con orari delle messe, nella quale non entro nel merito. Su questo ritengo sia giusto che ognuno faccia le proprie scelte per gli orari che ritiene più convenienti, non so se il pomeriggio o il mattino, qui lascio fare le scelte opportune alla parte ecclesiastica. Quello che vorrei richiamare sono due concetti. Il concetto di festa è sicuramente legato da una parte ad un ricordo speciale, ora sappiamo che la ricorrenza dell'anniversario dello Statuto è una giornata a cui partecipano essenzialmente le istituzioni. Vi è la presenza in Consiglio regionale non solo dei consiglieri, ma di tutti i sindaci, di tutti gli invitati, che sono essenzialmente i rappresentanti delle istituzioni. Questo è quello che succede per il 26, con inviti a personalità di altre realtà che hanno l'autonomia speciale, le quali venivano in Valle per portare il loro supporto, e l'esigenza di mantenere vivo e alto il segno di riconoscimento dello Statuto e della sua validità. La festa del 7, se festa doveva essere, doveva - avendo previsto una serie di manifestazioni - avere un coinvolgimento più largo; questo ha avuto delle difficoltà, perché anche la festa che regolarmente veniva prevista per quella data si traduceva in una parata di tutti i gonfaloni della Regione, in presenza delle autorità e di tutti gli invitati a livello comunale e poi si traduceva in un concerto serale, in una manifestazione, che portasse il pubblico a condividere un momento: quello appunto di una manifestazione, che poi poteva essere più o meno dispendiosa. Qualcuno ha ricordato il 2010...lo avevamo già spiegato anche qui in occasione di un'interpellanza, mi dispiace che il collega non lo ricordi: avevamo spiegato la scelta di far coincidere i giorni, per un accordo con gli albergatori, e la presenza di due concerti. Mi rendo conto che questa organizzazione dei concerti è onerosa...la valutazione della possibilità di fare dei concerti durante l'estate o ad inizio settembre non è esclusa, perché ci sono già, nell'ambito della Saison culturelle o delle attività svolte dall'Assessorato del turismo, una serie di concerti durante tutta l'estate e può essere benissimo fatto un concerto. Se si ritiene utile e valida questa iniziativa, comunque può essere fatta ugualmente il 7 settembre; nulla vieta la possibilità di fare una festa che coincida con il 7 settembre, ma è diverso dal celebrare una festa che si riconosce nelle modalità con cui era stata prevista. Io credo che, sotto questo profilo, abbiamo spiegato in modo dettagliato il perché della scelta.
Dobbiamo anche dire che se in anni passati la festa si capiva di più, perché c'era ancora un certo benessere diffuso, adesso invece stiamo parlando di festa quando tre minuti prima abbiamo discusso di tutte le difficoltà che abbiamo a tirare avanti e del problema dei posti di lavoro. Non voglio confondere le due cose, ma sicuramente alcuni anni fa era più facile organizzare feste di un certo tipo, perché c'era una disponibilità diversa. Oggi, anche sotto questo profilo, tutti devono riconoscere che, se dobbiamo tagliare qualcosa, lo dobbiamo fare sulle manifestazioni, che possono essere fatte, ma in un modo più economico e legato alle contingenze del momento. Queste sono le ragioni, che non vanno certo né ad interferire con le feste religiose, né con la possibilità di mantenere altre iniziative, come sono quelle dei peuples minoritaires, che possono essere svolte indipendentemente dal momento, per riuscire a portare in Valle d'Aosta personaggi importanti per discutere della cultura, ma esse possono essere portate avanti in qualsiasi momento. Questa è la ragione per la quale riteniamo che tale scelta vada in una direzione corretta, non è uno sconvolgimento di un problema che riguarda un affronto rispetto a delle date capitali. Ogni data che abbiamo ricordato nella storia della Valle d'Aosta...e abbiamo occasione di ricordarla ogni tanto in certi anniversari...nulla toglie di commemorarla come meglio si crede. Far coincidere queste due date molto importanti, quella dello Statuto basilare e capitale per la nostra storia...credo sia un momento essenziale che va nella logica di tener conto che in Valle d'Aosta le feste non mancano. Il fatto di chiamarle feste più o meno popolari tutti noi...basta girare le nostre valli e vedere gli inviti che ci arrivano durante l'estate e l'autunno e anche l'inverno se vogliamo, per capire che non sono le feste che mancano! Non è quindi la carenza di feste il problema, ma è far riflettere sul significato della commemorazione e del ricordo di alcune date e questo lo si può fare indipendentemente da quello che qui proponiamo. Ringrazio ancora la commissione per avere accolto alcuni emendamenti e sugli emendamenti annunciamo già che non li approveremo.
Presidente - Passiamo all'esame dell'articolato nel nuovo testo predisposto dalla I Commissione in lingua francese. All'articolo 1 vi è il primo emendamento presentato dai gruppi ALPE e PD.
La parola al Consigliere Bertin.
Bertin (ALPE) - Grazie Presidente.
Questo emendamento riguarda la festa del 7 settembre, riprendo quindi quanto detto da lei in precedenza, che a quanto pare si è deciso di risparmiare, un po' tardi perché quest'anno si è speso ben 288.000 euro solo per i concerti, poi ci aggiungiamo le manifestazioni...Il Presidente parlava dei concerti, e si arriva a molto di più! Presidente, se fare i concerti è stato un errore, lei ha perseverato da questo punto di vista...
(interruzione del Presidente della Regione, fuori microfono)
...si è esagerato e addirittura se ne fanno due quando ne basta uno, come avete fatto quest'anno. A parte questo, la data del 7 settembre, da un punto di vista storico, ha le stesse credenziali del 26 febbraio: è stato il primo momento di riconoscimento di una autonomia del dopoguerra alla Valle d'Aosta, eccetera, per cui, da un punto di vista storico, non ci sono particolari giustificazioni. Il 7 settembre stava diventando lentamente una festa più popolare per tante ragioni, anche per il periodo nel quale si svolgeva, pertanto abbiamo ritenuto di presentare un emendamento per mantenere il 7 settembre come festa, perché se Festa della Valle d'Aosta deve essere, che sia il 7 settembre e che coincida e venga accorpata con quella dello Statuto, per dare una maggiore possibilità di partecipazione ai cittadini. Grazie.
Presidente - La parola al Consigliere Donzel.
Donzel (PD) - Intervengo per dichiarazione di voto solo per dire che noi voteremo questo emendamento convintamente, anche ricordando le parole del Presidente Napolitano, che nella sua visita ad Aosta ricordò con favore il 7 settembre come uno di quei momenti in cui si manifestò la lungimiranza delle forze antifasciste, che avevano sconfitto la dittatura e prefiguravano uno Stato che avrebbe avuto una natura federale. Questo Stato poi così non è stato, ma quei decreti luogotenenziali sono il simbolo di tale sensibilità, che già le forze antifasciste avevano manifestato, quindi rimaniamo fermi su questa posizione.
Presidente - Pongo in votazione l'emendamento n. 1 dei gruppi ALPE e PD, che recita:
Amendement
L'article 1er est remplacé comme suit:
"Article 1er
(Modification de l'article 2)
1. Le premier alinéa de l'article 2 de la loi régionale n° 6 du 16 mars 2006 (Dispositions propres à mettre en valeur l'autonomie et réglementation des signes distinctifs de la Région. Abrogation de la loi régionale n° 2 du 20 avril 1958), est remplacé comme suit:
"1. La Fête de la Vallée d'Aoste est instituée dans le but de promouvoir la connaissance de l'histoire de la Vallée d'Aoste, d'en illustrer et d'en valoriser le patrimoine linguistique, social, culturel et identitaire, mais aussi d'affirmer les valeurs et les traditions de la communauté valdotaine, et est célébrée chaque année le 7 septembre".
2. Le deuxième alinéa de l'article 2 de la LR n° 6/2006 est remplacé comme suit:
"2. La constitution de la Vallée d'Aoste en Région autonome du fait de l'approbation du Statut spécial par la loi constitutionnelle n° 4 du 26 février 1948 est célébrée en même temps que la commémoration visée au premier alinéa ci-dessus".
3. Le troisième alinéa de l'article 2 de la LR n° 6/2006 est abrogé.".
Consiglieri presenti: 30
Votanti e favorevoli: 6
Astenuti: 24 (Agostino, Bieler, Caveri, Comé, Crétaz, Empereur, Hélène Impérial, Isabellon, André Lanièce, Lattanzi, Lavoyer, Maquignaz, Marguerettaz, Pastoret, Prola, Emily Rini, Rollandin, Rosset, Salzone, Tibaldi, Laurent Viérin, Marco Viérin, Manuela Zublena, Zucchi)
Il Consiglio non approva.
Presidente - Pongo in votazione l'articolo 1:
Consiglieri presenti e votanti: 30
Favorevoli: 24
Contrari: 6
Il Consiglio approva.
Presidente - Pongo in votazione l'articolo 2:
Consiglieri presenti, votanti e favorevoli: 30
Il Consiglio approva all'unanimità.
Presidente - All'articolo 3 vi è il secondo emendamento presentato dai gruppi ALPE e PD, che decade; ne do lettura per il verbale:
Amendement
Le deuxième alinéa de l'article 3 est remplacé comme suit:
"2. La lettre a) du deuxième alinéa de l'article 6 de la LR n° 6/2006 est remplacée comme suit:
"a) à l'occasion de la célébration de l'anniversaire de la constitution de la Vallée d'Aoste en Région autonome et de la promulgation du Statut spécial ainsi que de la Fête de la Vallée d'Aoste;".".
Articolo 3: stesso risultato. Articolo 4: stesso risultato. Articolo 5: stesso risultato. All'articolo 6 vi sono gli emendamenti n. 3 dei gruppi ALPE e PD e l'emendamento del gruppo ALPE.
La parola al Consigliere Bertin.
Bertin (ALPE) - Nella sostanza si tratta di passare da tre Cavalieri e tre Amis de la Vallée d'Aoste ad uno per una questione di sobrietà.
Presidente - La parola al Presidente della Regione, Rollandin.
Rollandin (UV) - Rispetto a tale proposta, vorrei sottolineare al collega che già in questi ultimi anni abbiamo cercato di limitare al minimo il numero e tenendo conto che potrebbe esserci una variazione ogni anno, nel senso che dipende dalle proposte che vengono presentate dalle associazioni, dai Comuni...uno mi sembra obiettivamente troppo poco, quindi siamo contrari.
Presidente - Pongo in votazione il terzo emendamento presentato dai gruppi ALPE e PD, che recita:
Amendement
L'article 6 est remplacé comme suit:
"Article 6
(Modification de l'article 10)
1. La lettre a) du premier alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006 est remplacée comme suit:
"a) "Amie/Ami de la Val1ée d'Aoste", qui confère la citoyenneté d'honneur de la Région et comporte l'adhésion à la Confrérie des Amis de la Vallée d'Aoste, destinée à une personnalité, italienne ou étrangère, dont la présence ou l'action a rehaussé le prestige de la Val1ée d'Aoste;".
2. La lettre b) du premier alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006 est remplacée comme suit:
"b) "Chevalier de l'autonomie", décernée à un citoyen né ou résidant en Vallée d'Aoste qui s'est distingué par ses mérites dans les domaines du sport, de la culture, des sciences, des arts, de l'économie, de la politique ou de l'activité sociale.".
3. Au deuxième alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006, les mots: ", d'ordinaire, le 7 septembre," sont supprimés.".
Consiglieri presenti e votanti: 32
Favorevoli: 6
Contrari: 26
Il Consiglio non approva.
Presidente - Sempre all'articolo 6 vi è l'emendamento del gruppo ALPE.
La parola al Consigliere Bertin.
Bertin (ALPE) - Questo emendamento va nella direzione di allargare la possibilità di candidare persone ai premi sopracitati, l'idea è quella di uscire da una logica essenzialmente politica che rischia di affermarsi, al di là della volontà o dei singoli casi nei quali si può essere d'accordo a volte e altre volte meno, ma non è questa la questione: è più che altro cercare anche da un punto di vista formale di dare una maggiore possibilità di prevedere che più organismi possano partecipare alla designazione di persone alle due onorificenze previste.
Presidente - La parola al Presidente della Regione, Rollandin.
Rollandin (UV) - Siamo contrari in quanto già ci sono le possibilità per tutti di presentare candidature e già vengono svolte nel modo che ho appena ricordato precedentemente, quindi non pensiamo sia necessario mettere ulteriori regole. Grazie.
Presidente - Pongo in votazione l'emendamento presentato dal gruppo ALPE, che recita:
Amendement
L'article 6 est remplacé comme suit:
"Article 6
(Modifications de l'article 10)
1. À la lettre a) du premier alinéa de l'art. 10 de la LR n° 6/2006, le mot: "Amis" est remplacé par les mots: "Ami/Amie".
2. Après le deuxième alinéa de l'article 10 de la LR n° 6/2006, il est inséré un alinéa ainsi rédigé:
"2 bis. Les propositions de candidature aux décorations visées au premier alinéa du présent article peuvent être présentées par:
a) les membres du Gouvernement régional;
b) les conseillers régionaux;
c) les syndics des Communes de la Vallée d' Aoste;
d) les organismes et les associations ayant leur siège en Vallée d'Aoste;
e) les associations représentatives des émigrés valdôtains à l'étranger.".".
Consiglieri presenti: 32
Votanti: 29
Favorevoli: 3
Contrari: 26
Astenuti: 3 (Donzel, Carmela Fontana, Rigo)
Il Consiglio non approva.
Presidente - Pongo in votazione l'articolo 6:
Consiglieri presenti e votanti: 32
Favorevoli: 26
Contrari: 6
Il Consiglio approva.
Presidente - Pongo in votazione l'articolo 7:
Consiglieri presenti: 32
Votanti e favorevoli: 26
Astenuti: 6 (Bertin, Chatrian, Donzel, Carmela Fontana, Patrizia Morelli e Rigo)
Il Consiglio approva.
Presidente - Pongo in votazione la legge nel suo complesso:
Consiglieri presenti: 32
Votanti e favorevoli: 26
Astenuti: 6 (Bertin, Chatrian, Donzel, Carmela Fontana, Patrizia Morelli e Rigo)
Il Consiglio approva.