Oggetto del Consiglio n. 562 del 20 maggio 2009 - Resoconto
OGGETTO N. 562/XIII - Interpellanza: "Interventi finalizzati alla valorizzazione dell'istruzione e della formazione nella nostra regione".
Interpellanza
Premesso che da un'analisi dei dati pubblicati sull'annuario statistico dell'ISTAT del 2008, il quale fotografa la situazione dell'anno precedente, emergono, in merito all'istruzione, degli indicatori piuttosto negativi sulla realtà della nostra regione, in particolare, a titolo esemplificativo, i seguenti dati:
- diplomati tra i residenti di 19 anni: 64,9% (penultima posizione nella graduatoria nazionale);
- laureati tra i residenti di 25 anni: 17,4% (sestultima posizione);
- diplomati tra i residenti maschi: 25,3% (penultima posizione);
- laureati tra i residenti maschi: 8% (penultima posizione);
Considerato che l'amministrazione regionale investe numerose risorse per un sempre migliore funzionamento della scuola secondaria e per l'istruzione universitaria attraverso borse di studio e agevolazioni sui trasporti;
i sottoscritti Consiglieri regionali
Interpellano
l'Assessore competente per sapere:
1) qual è la valutazione dell'Assessore sui dati sopracitati;
2) se è possibile prevedere un miglioramento o un peggioramento nel futuro in base all'andamento in termini percentuali della scolarizzazione negli ultimi anni;
3) quali sono gli intendimenti della Giunta in merito alla diffusione presso i nostri concittadini più giovani del valore dell'istruzione e della formazione nella nostra epoca.
F.to: Zucchi - Lattanzi - Benin - Tibaldi
Presidente - La parola al Consigliere Zucchi.
Zucchi (PdL) - Da un'analisi pubblicata dall'ISTAT nel 2008, che fotografa la situazione in questa materia l'anno precedente, emergono, si evidenziano in merito all'istruzione una serie di dati e di indicatori che sono piuttosto negativi in merito alla realtà della nostra regione. Da questi dati infatti si evince che sia per quanto riguarda i nostri giovani che si diplomano, sia per coloro che passato questo scoglio poi vanno verso la laurea e la pongono a termine, le classifiche, riportate sempre secondo l'organo dell'ISTAT, riferite all'anno 2006-2007 (perché è uscito nel 2008) sono piuttosto disarmanti: siamo infatti in molti di questi casi che ho citato , se non all'ultima posizione, alla penultima posizione, tant'è che i diplomati tra i residenti di 19 anni sono nella penultima posizione nella graduatoria nazionale, i laureati tra i residenti maschi sono nella penultima posizione, il miglior dato ci pone nella sestultima posizione e riguarda i laureati fra i residenti di 25 anni. Orbene, dal momento che, come è giusto ed è logico pensare, l'Amministrazione regionale comunale da anni investe numerose risorse per il migliore funzionamento della scuola secondaria per l'istruzione nel senso più generale, si chiede all'Assessore competente Laurent Viérin di esprimere una valutazione in merito a questi dati, quindi se condivide almeno la veridicità di tali dati oggettivi, se effettivamente risultano anche a lui e qual è la valutazione che egli trae da questi indicatori, che sembrerebbero piuttosto negativi. Se ritiene, dal momento che si tratta comunque, ammesso e non concesso, di dati che se vengono considerati veritieri, data anche l'importanza dell'organo che li ha emessi... comunque se è possibile prevedere un miglioramento, oppure (speriamo di no) un peggioramento in merito a queste graduatorie, a questi dati e se ci sono già da parte sua, auspichiamo, dei dati che possono presumere un innalzamento di questa nostra media nei casi che ho citato. In ultimo, dal momento che si dà per scontato che l'Assessore in primis condivida e sia consapevole del principio, quindi del valore e dell'importanza del valore dell'istruzione che sia da diffondere a tutti i livelli presso i nostri giovani, affinché si comprenda fin dal primo livello proprio di istruzione qual è nel percorso della vita di un individuo l'importanza che riveste l'istruzione... nell'affrontare la vita soprattutto in questi momenti, lo è sempre stato, ma soprattutto in questi momenti... appunto quali sono gli intendimenti dell'Assessorato in merito a questa diffusione di tale valore e quali sono gli accorgimenti che lui ha posto in essere in merito.
Si dà atto che dalle ore 11,26 riassume la presidenza il Presidente Alberto Cerise.
Président - La parole à l'Assesseur à l'éducation et à la culture, Laurent Viérin.
Viérin L. (UV) - Merci, M. le Président. Je remercie le collègue Zucchi pour avoir présenté cette interpellation, car en effet nous donne la possibilité d'illustrer les données, en effet d'un côté les données ISTAT et de l'autre côté les données qui ont été reprises par "Il Sole24 Ore", qui étaient des données du Ministère... qui en effet sont des données qui ne correspondent pas à la réalité, je vais vous dire pourquoi, pas pour responsabilité ni des uns, ni des autres, mais pour un système d'évaluation qui à aujourd'hui n'existait pas. Vous avez justement dit que les données se réfèrent à l'année 2006-2007, quelques fois aussi à l'année 2005-2006, mais, à part cela, la nouveauté c'est qu'au printemps 2007 l'Assessorat de l'éducation et de la culture a créé le SREV, c'est-à-dire la structure d'évaluation du système scolaire. Ce SREV est une unité statistique qui a précisément pour mission de collecter, de traiter les données qui permettront d'orienter le système scolaire valdôtain, donc on en avait parlé avec le collègue Lattanzi: c'est un système d'évaluation avec des données statistiques qui nous donne éventuellement la possibilité de faire les réflexions dont vous parliez. Au moment de la mise en place du SREV il est en effet paru que le bureau chargé d'établir les statistiques souffrait d'un manque d'investissements et de compétences professionnelles, mais aussi et par-dessus tout qu'il ne suivait pas une procédure certifiée, conforme aux méthodes modernes comme vous le savez pour ce qui est de la récolte des données et à la logique nécessaire à la collecte et au traitement des informations, chose indispensable pour toute administration efficiente. C'est-à-dire qu'une fois qu'on a les données, on peut savoir comment et éventuellement où agir. Depuis septembre 2007 donc les informations supplémentaires destinées au Ministère à Rome de l'éducation, de l'université et de la recherche ont été informatisées, ce qui ne se passait pas avant donc pour les données qui font référence aux données que vous avez dites. C'était une procédure qui comportait auparavant des risques sur la transmission des données, car c'étaient des données sur papier que de l'Administration étaient transmises au Ministère et il y avait le risque d'erreur de transcription à chaque étape et surtout qui ne tenaient pas compte de toutes les réalités (je vais vous dire pourquoi). Il y avait aussi le problème que les écoles n'étaient pas à mesure de certifier ces données. Le changement de procédure donc, premier élément de nouveauté, a résolu le problème de transmission des données, mais aussi un autre problème: jusqu'à l'année scolaire 2006-2007 les statistiques du Ministère n'ont pas pris en considération les écoles paritaires et en Vallée d'Aoste 4 sur 12 sont paritaires, donc 1/3, et je vais vous donner les données d'aujourd'hui, ainsi on se rendra compte de la différence. En plus il faut tenir compte que parmi les paritaires il y a l'Institut Don Bosco, qui est classé dans les catégories des professionnels, ce qui signifie qu'aucun des élèves qui a obtenu le diplôme en fin d'études n'a été compté, premier élément. Je vais aussi souligner un autre élément: les chiffres afférent à notre réalité étaient réduits, donc la légère variation liée au fait de 3 ou 4 classes, que ces 4 classes n'ont pas été insérées dans les calculs a des répercussions considérables sur le résultat exprimé en pourcentage. Autre élément: il y a - mais bon cela je crois que c'est probable que ce soit une réalité aussi dans les autres régions, mais c'est à tenir en compte - un certain nombre d'élèves qui habitent dans certaines localités qui sont inscrits dans des établissements scolaires ou suivent des cours de formation dans d'autres régions et donc ils ne sont pas comptés. En plus les données concernant ces élèves n'ont pas été ajoutées aux calculs relatifs aux élèves de la Région qui ont obtenu le diplôme et cela par contre c'est quelque chose qui compte, donc même un petit nombre pour notre petite réalité change les pourcentages. Nous avons donc décidé, à partir de 2007, d'investir sur les moyens nécessaires sur l'activité de collecte des données, donc depuis 2007-2008 nous avons renversé le trend et nous commençons à recueillir les premiers fruits de nos efforts et nous présenterons au mois de juin, à la bibliothèque régionale, les données de ce SREV, c'est-à-dire les données mises à jour, les données réelles, qui ne se réfèrent pas aux années précédentes et qui en plus se sont, d'un point de vue des contenus réels, adaptées à la réalité valdôtaine. Voilà les données, je vais vous les citer: l'année scolaire 2007-2008, en ce qui concerne les jeunes de 19 ans titulaires d'un diplôme de fin d'études, partie école normale et partie école paritaire: 74,58%. Je voudrais donc souligner que si l'on tient à la page 184 de l'annuaire des statistiques, dont vous faites référence, et dont justement vous avez tiré vos données, les élèves des cours de formation professionnelle des autres régions sont insérés, ce n'est pas qu'ici on les insère et hors de la Vallée d'Aoste ils ne sont pas insérés, même hors de la Vallée d'Aoste dans les calculs ils ont pris l'école et les paritaires, comme cela doit être. Compte tenu de ce fait, je dirais que les résultats de notre région sont comparables, voire meilleurs, que ceux pratiquement de toutes les autres régions du nord de l'Italie, bien évidemment nous pour ce qui concerne 2007-2008, car il y a eu un calcul agrégé. Au vu des données dont on dispose, pour ce qui est des inscriptions (je vous fournirai les données, collègues), 100% des élèves en âge d'être scolarisés, enfants nés en 1993-1994, sont inscrits dans une école et suivent les cours, autant dire que le non respect de l'obligation scolaire est un phénomène inexistant en Vallée d'Aoste. Obligation de formation qui va jusqu'à 18 ans, le pourcentage est 92,6%, je tiens à rappeler que cette obligation concerne les jeunes de 16 à 18 ans et que cette formation peut également prendre la forme d'un apprentissage comme le prévoit la "réforme Moratti", une disposition qui a été avalisée par les Ministres Fioroni et Gelmini. Pour ce qui est de l'ensemble des écoles secondaires de 2e degré, le taux de scolarité qui concerne les jeunes de 15 à 19 ans est de 88,2%, taux de scolarité de 15 à 19: 88,20%, taux de scolarité de 15 à 16: 100%, taux de scolarité de 15 à 18: 92,64%. Bien sûr qu'il est possible d'améliorer encore ce taux de scolarité, mais ces chiffres confirment pour ce qui est de la catégorie visée par l'obligation scolaire et par l'obligation de formation (15-18 ans) que les offres cumulées des écoles et des centres de formation touchent plus de 92% des jeunes. Passons maintenant au niveau universitaire important aussi. Le nombre des jeunes résidants en Vallée d'Aoste qui ont obtenu une licence est le suivant: 2003-2004, 485; 2004-2005, 559; jusqu'à arriver à 2007-2008, 553. Il ressort donc des statistiques figurant sur le site du MIUR (c'est-à-dire du Ministère) que, en 1999, 254 jeunes valdôtains avaient obtenu leur licence ou diplôme universitaire, alors qu'en 2007-2008 ils étaient 553, donc plus du double, ce qui représente une progression de 100% en 10 ans. En 2001-2002 2.724 résidants valdôtains étaient inscrits dans une université, tandis que, en 2006-2007, 3.030 (11% en plus). J'aimerais compléter ces données en vous indiquant qu'en 1998-1999 2.459 résidants valdôtains étaient inscrits dans une université et qu'en 2007-2008 il y avait 346, donc 25% en plus. A titre d'information voilà quelques chiffres relatifs à la population étudiante dans notre région, je vous les fournirai, mais je vous donne 2001-2002: 2.724; 2007-2009: 3.086. Vous avez remarqué que ces données indiquent une inversion de tendance par rapport à la période précédente, un processus dont les effets ne sont pas immédiats, mais qui demandent du temps et ils reflètent une lente progression des pourcentages et des chiffres. Avant d'arriver à la considération finale que je partage sur disons l'esprit et la fonction de l'éducation, i dati de "Il Sole 24ore" intanto non sono corrispondenti alla verità, in quanto i dati tengono conto per l'80% di dati Legambiente proprio per il fatto di non avere una possibilità di avere accesso a dei dati. Vi faccio degli esempi: abbiamo 0% di edifici con giardino, semplicemente perché, a mio avviso, i comuni non hanno risposto a Legambiente non essendo un ente accreditato ai centri di studio statistici, mentre con il sistema di valutazione regionale sicuramente ci sarà una corrispondenza alla verità. Altro dato: edifici privi di strutture per lo sport, anche qui 0% di edifici hanno la palestra, mentre sappiamo che in Valle d'Aosta non è così e via dicendo, ci sono una serie di dati... 0% sulla raccolta differenziata, mentre sappiamo che non è così; 0% edifici in cui si utilizzano fonti di illuminazione a basso consumo, non è così; 0% per l'utilizzo di tecnologie informatiche o comunque in parte mettono 28% quando sappiamo che è di più e anche altri dati che per esempio tengono conto del fatto... di quanto siamo informatizzati, hanno rilevato che non esiste un sito semplicemente perché non hanno trovato il sito, Web école, che è in francese, quindi hanno rilevato che il sito non esiste. Questo per dire che non è responsabilità di nessuno probabilmente, ma che abbiamo bisogno come Assessorato e come Amministrazione di avere una fonte di rilevazione dati che sia reale e che almeno quando vengono pubblicati dei dati, che sia l'ISTAT, sia quotidiani che poi traggono spunto da fonti ad esempio Legambiente come in questo caso, siano dati reali. Sulla base di questi dati, poi si può discutere e sicuramente sono dati interessanti per intervenire per le cose che non funzionano.
En conclusion pour ce qui est des aspects liés à l'école, le fait de parler de l'école et de ses diverses possibilités d'évolution veut dire en tout premier lieu que l'on conçoit l'éducation comme un bien et une valeur qui est dans l'intérêt de chacun de préserver quels que soient les idéaux et/ou les opinions politiques. C'est en effet sur l'éducation que reposent les bases de toute société convaincue qu'il n'y a pas de croissance civile, économique, ni sociale sans citoyens conscients de ce qu'ils sont et de leur capacité d'autonomie et il faut savoir relever ce défi et construire chez les jeunes un maillage de connaissances solides, un savoir utile et j'entends en parlant un réseau de connaissances et de compétences tel qu'il pourra étayer celles qu'ils acquerront au fil de la vie adulte. L'enjeu pour l'école en ce début de siècle consiste donc à concilier équité socio-culturelle et qualité, il importe donc que la société dans son ensemble et non pas simplement le Gouvernement sache que l'éducation est une valeur en soi, et cela je le souligne, il faut que l'éducation retrouve sa place centrale dans les familles et bénéficie à nouveau de la considération de la société en dépit du contexte actuel où le succès facile réduit en néant la peine et le sacrifice que demande l'étude, donc il est impératif de renforcer et de refonder le système d'éducation et de formation sur la reconnaissance du rôle qui doit être le sien dans la société. L'école seule ne saurait relever ce défi, mais pour agir elle a besoin de l'aide des diverses institutions culturelles, des familles, de la société, de la communication et de la politique. Pour déterminer si un système scolaire est à la hauteur de sa tâche il ne suffit plus, comme cela se faisait jusqu'à présent, d'analyser les chiffres de l'échec scolaire ou d'autres données, aujourd'hui nous devons aussi nous demander quel type de compétences possède l'élève qui mène ses études à terme (nous en avons parlé là aussi et déjà avec les collègues), justement quelle compétence fournit l'école à nos jeunes? Il faut nous pencher sur l'ancrage des connaissances acquises sur les bancs de l'école, sur le fait que dans les grandes lignes elles persistent suffisamment pour constituer un patrimoine de savoir, même pour ceux qui n'en feront pas directement usage dans la vie professionnelle - il y a tout l'aspect lié à la formation professionnelle, passer de la culture du savoir à la culture du savoir-faire aussi -, si l'école n'atteint pas son objectif, elle ne sert qu'à dépasser le problème et à le reporter sur la vie des adultes. Même s'ils possèdent officiellement un titre d'étude, les individus qui en sortent risquent de régresser et de devenir incapables de comprendre la situation dans laquelle ils se trouvent, ou encore de ne pas savoir gérer les informations qu'ils reçoivent, un processus qui aboutit dans bien de cas à un analphabétisme entre guillemets de retour. Ni la Vallée d'Aoste, ni l'Italie n'ont besoin d'une presse... à diplômes... il me semble que les différents Ministères qui se sont succédé ont été suffisamment clairs sur ce point et je défends les choix qui ont été faits dernièrement et je les ai défendus là aussi; je pense aux procédures de récupération des carences de formation et aux notes de conduite, des éléments fondamentaux pour redonner de la dignité à l'école. Ce qu'il nous faut c'est un système éducatif efficient qui associe le sérieux des études et l'investissement nécessaire, afin que chaque élève ait vraiment la possibilité de recevoir une éducation de niveau supérieur.
Pour ce qui est de la Vallée d'Aoste, moi je crois que tous ensemble, pas seulement le Gouvernement, le soussigné et pas la structure de l'Assessorat, mais tout le Conseil, les institutions, les familles, tout le monde de l'école ont le devoir sur la base de ces données qui sont très importantes et qui donc à partir de cette année je l'espère auront cette correction... qui correspond à la réalité dans le bien et dans le mal, c'est-à-dire que c'est une structure d'évaluation qui prend des données et les fixe sur du papier, ne fait pas d'élaboration... que tous ensemble nous réussissons à construire une école valdôtaine insérée dans un système national de qualité et surtout qui donne des lignes d'actions et des objectifs que nous tous nous voulons atteindre.
Président - La parole au Conseiller Zucchi.
Zucchi (PdL) - Sono rinfrancato dall'intervento dell'Assessore Viérin, che di fatto ha illustrato una situazione che non è tale a quella delineata da pur autorevoli enti come l'ISTAT. Tengo a precisare in questa mia replica che nell'affrontare tale argomento il mio (e credo si sia anche colto) non era assolutamente un senso polemico, ma era solo conoscitivo, certamente vi era preoccupazione qualora vi fosse stata la consapevolezza e l'ammissione che questi dati erano veritieri. Non ho la possibilità nella lunga enunciazione dell'Assessore di poter fare delle valutazioni, che dopo le opportuni correzioni sembrano spostare l'ago della bilancia verso la virtuosità, quindi mi è sembrato di capire che addirittura su certi elementi... poi l'Assessore, come mi ha annunciato, mi farà avere i dati invece che sono in suo possesso, che tengono conto di indicatori diversi che sembrano non essere stati presi in considerazione dall'ISTAT e da "Il Sole 24Ore"... appunto, avrò quindi modo di poterli valutare con più cognizione di causa. Mi riesce però difficile pensare che enti autorevoli come l'ISTAT siano caduti in errori così grossolani, pertanto auspico...
(interruzione dell'Assessore Laurent Viérin, fuori microfono)
... certamente, non è certamente colpa della Regione o dell'Assessorato, ripeto, non era in senso polemico, mi auguro però che, alla luce di quanto detto e siccome emerge da questo quadro una situazione non idilliaca, da parte dell'Assessore vi sia stata un'attività concreta anche sullo stile della solerzia ad intervenire con cui ad esempio ci ha abituato anche negli ultimi venti giorni ad esempio su "l'affaire Brunetta"... che si possa intervenire anche nei confronti di questi enti che, pur autorevoli, come pure è autorevole un Ministro, possano avere delle indicazioni e dei dati che siano quelli veritieri.
Dicevo la perplessità. Mi suona strano e sarebbe un errore ancora più grave se un ente come l'ISTAT potesse prendere in considerazione solo per la Valle d'Aosta dei dati così difformi e quindi non utilizzasse dei campioni che fossero paritetici (ossia les écoles paritaires che non sono state considerate per la nostra regione e che sovvertono completamente il quadro); mi chiedo (non conosco la materia): non esistono delle situazioni equipollenti anche in altre regioni? Voglio dire il campione utilizzato dall'ISTAT e da "Il Sole24 Ore" è possibile che sia tanto méchant nei confronti della Valle d'Aosta e nelle altre regioni invece abbia fotografato una situazione veritiera? Al di là di questa mia perplessità, che credo sia fondata, dove effettivamente vi sia un sovvertimento del quadro della graduatoria così come ho sentito adesso dall'Assessore Viérin, su questo sarebbe opportuno fare una valutazione: che vi sia un'equanimità di campioni, ossia di metodi di valutazione.
Nel concludere sono felice di ascoltare che c'è la condivisione, ma non avevo dubbi sull'ultimo punto: sull'importanza che l'Assessorato e tutte quante le istituzioni devono riporre nei confronti dell'istruzione per una società che si deve definire al passo con i tempi. Mi permetto di dare un consiglio se vogliamo aiutare anche questi enti a non vederci e non considerare alcuni elementi nella tabella come zero: magari anche soltanto sul Web, visto che siamo una regione bilingue, invece di fare il Web école, facciamo anche il Web scuola, in modo tale che almeno in quel campo non ci ritroviamo con zero titoli, visto che in questi giorni è di moda parlare in questi termini, per evitare che almeno in quel versante, pure limitato, ci troviamo a zero titoli.