Oggetto del Consiglio n. 266 del 17 dicembre 2008 - Resoconto
OGGETTO N. 266/XIII - Interpellanza: "Intendimenti in merito alla destinazione d'uso dei beni immobili siti in Comune di Fénis denominati 'Cascina del Castello'".
Interpellanza
Preso atto
che con delibera di Giunta n. 4664 del 30 dicembre 2000 si approvava l'acquisto di terreni e fabbricati siti in Comune di Fénis, meglio conosciuti con il nome "Cascina del Castello" impegnando a tale proposito la somma di tremiliardicinquecentoquarantamilioni;
che con stessa delibera veniva affidato ad un notaio l'incarico di rogare l'atto notarile impegnando a riguardo la somma di cinquantamilioni;
Verificato che l'acquisto dei sopraccitati immobili era giustificato dall'interesse dell'Amministrazione regionale di destinarli quale corollario per la fruizione del castello, nonché per ospitare manifestazioni culturali di grande rilievo;
Constatato che al momento nulla esiste, a nostra conoscenza, quale ipotesi di utilizzo e la destinazione dei fabbricati e dei terreni in oggetto;
i sottoscritti consiglieri regionali
Interpellano
la Giunta regionale per conoscere quali siano gli orientamenti in merito.
F.to: Giuseppe Cerise - Louvin
Président - La parole au Conseiller Giuseppe Cerise.
Cerise G. (VdAV-R) - Merci, M. le Président. Con questa interpellanza il nostro gruppo auspicherebbe conoscere quali sono gli orientamenti dell'Amministrazione regionale riguardo a questi immobili: sia della superficie agraria che è ancora oggi gestita come cascina, sia degli immobili che sono i fabbricati.
Nel 2000 la Regione aveva acquistato questi immobili e la giustificazione dell'interesse della Regione era quella di destinarli quale corollario per la fruizione del castello, nonché per ospitare manifestazioni culturali di grande rilievo. Condividiamo la scelta che è stata fatta all'epoca di acquisire questi beni, perché rappresentano un patrimonio di carattere ambientale, paesaggistico, culturale e storico, perché si innestano diverse articolazioni su questa proprietà, che è sottoposta al vincolo della 490 oltre a quello del PTP, vincolo che abbiamo concordato all'epoca di estendere sino a monte, sino alla strada delle Piane, oltre quella che era la strada vicinale che delimitava questa proprietà. Però otto anni sono trascorsi da quella scelta che condividiamo e vorremmo capire quali sono le prospettive future. Mi riservo nella replica di approfondire.
Président - La parole à l'Assesseur à l'éducation et à la culture, Laurent Viérin.
Viérin L. (UV) - Merci, M. le Président. Nous partageons les considérations sur le potentiel non seulement du château, mais de toute la zone autour du château qui, comme d'ailleurs le témoigne le château d'Aymaville, souvent le château est une partie très importante, mais le parc et les zones limitrophes ont une suggestion qui peut être d'un point de vue de potentiel utilisées pour des manifestations et pour valoriser à la fois le château et notre patrimoine culturel immatériel.Pour ce qui est des terrains, vous avez bien résumé les autres aspects, je n'y retourne pas. Les terrains de cette propriété ont été loués à des particuliers, qui les ont cultivés et irrigués au cours de ces dernières années, assurant aussi l'entretien du paysage et de l'environnement et donc c'est un aspect très important, qui a donné la possibilité de maintenir ces espaces. L'échéance naturelle de ces contrats est en 2011, donc c'est aussi un moment de perspective à analyser. Depuis l'an 2000 l'Administration avait acquis ces terrains, disons que les efforts ont été surtout ciblés sur le château: nous avons doublé la longueur de l'itinéraire de visite, toute une série d'interventions et de mise en sûreté et de mise à norme ont été mis sur pied avec de grands investissements, mise à norme du réseau électrique, éclairage intérieur, illumination des fresques de la chapelle, illumination des cycles des fresques des balcons, système anti-incendie de détection des fumées, parce qu'à l'époque il y avait encore ce problème, mise en place d'un réseau de vidéo surveillance, nouvelle billetterie, restauration et consolidation du balcon du bois côté ouest, restauration des parquets, toute une autre série d'interventions qui ont donné la possibilité soit d'intervenir avec des travaux, soit de réviser l'aménagement muséal du château.
Donc quelque chose de très important qui a ciblé notre attention sur le château, mais maintenant il est temps d'étudier quelle utilisation faire des zones environnantes et nous sommes en train d'évaluer les diverses possibilités d'utilisation des bâtiments ruraux, qui ont par ailleurs fait l'objet d'un relevé architectural méticuleux. Compte tenu de l'espace disponible, les destinations d'usage seront sélectionnées sûrement parmi les différentes initiatives de divulgation destinées aux classes, à la communauté en général pour des initiatives temporaires et non, expositions et évènements, mais pourront aussi comprendre des activités liées à certains évènements organisés par l'Administration régionale ou par l'Administration communale ou de concert avec l'Administration communale. Ce que je tiens à souligner c'est qu'il sera important de se concerter avec l'Administration communale, car à aujourd'hui c'est un sujet que nous n'avons pas encore abordé. Il est important avant de l'aborder, avant d'entamer quelconque type de détermination, de se confronter avec l'Administration locale, et surtout vu qu'à aujourd'hui le château est avec le fort de Bard le premier attracteur du point de vue du nombre de visiteurs de la région, de raisonner aussi sur cette deuxième donnée. Bien évidemment nous pourrons envisager - à part les perspectives que je vous citais, vu que ce sont des bâtiments ruraux et que nous n'avons pas les mêmes prescriptions par rapport au château - des destinations d'usage complémentaires, à savoir restaurant, book shop et toutes les hypothèses qu'on devra mettre sur la table, et raisonner ensemble pour voir celles qui peuvent être les destinations plus utiles pour avoir des retombées aussi économiques sur la communauté locale et sur l'entière Vallée d'Aoste.
Président - La parole au Conseiller Giuseppe Cerise.
Cerise G. (VdAV-R) - Ringrazio l'Assessore per averci portato a conoscenza di alcuni orientamenti; si è soffermato soprattutto sulla parte del castello, sicuramente sono stati fatti degli interventi apprezzabili, ma la nostra interpellanza in questo caso verteva più verso la parte della cascina.
Quando parliamo per la parte agricola, non ci sono particolari problemi, è gestita bene; però gli edifici rurali, come ha detto l'Assessore, difficilmente possono mantenere quella destinazione, perché non hanno i requisiti necessari oggi per gestire una cascina di quelle dimensioni. Di fatto il locatario non ha lì i suoi animali, ma in collina di Nus ha acquistato una stalla. Ma al di là degli edifici, la parte agricola e la parte di civile abitazione, lì c'è il rudere della vecchia Maison forte, che è in particolare stato di degrado. Negli ultimi anni è stata fatta una copertura per non compromettere ulteriormente la parte muraria, ma sarà necessario intervenire, perché si presenta qualche pericolo di cedimento che va sulla strada di accesso dalla parte a monte. Credo che sia un intervento importante, come l'insieme della cosa; spero che gli otto anni abbiano fatto maturare qualche consapevolezza in questa direzione. Devo dare atto, e mi fa piacere, di ciò che è stato fatto in passato: la comunità locale è stata coinvolta in queste scelte e mi fa piacere che anche oggi l'Assessore abbia sottolineato la necessità di continuare questo dialogo, per condividere un percorso.