Oggetto del Consiglio n. 3336 del 21 febbraio 2008 - Resoconto
OGGETTO N. 3336/XII - Interpellanza: "Realizzazione di un servizio completo di metropolitana sul tratto di linea ferroviaria Nus/Villeneuve".
Interpellanza
Richiamate le Deliberazioni di Giunta regionale n. 1840 del 12 maggio 2003, n. 3337 del 15 settembre 2003, n. 1473 del maggio 2006 e n. 2905 del 19 ottobre 2007 sui lavori di collegamento alle pubbliche strade delle nuove fermate ferroviarie presso l'Istituto Scolastico per Geometri e il Cimitero di Aosta;
Considerato che dopo circa 5 anni pare non sia stato realizzato alcunché per rendere finalmente operative le due fermate;
Ritenuto importante inserire in un progetto di utilizzo metropolitano della linea ferroviaria, non solo la realizzazione urgente dei collegamenti in premessa, ma anche la realizzazione di ulteriori fermate lungo il tratto Nus-Villeneuve;
il sottoscritto Consigliere regionale
Interpella
l'Assessore competente per sapere:
1) a quale stadio di avanzamento si trova il progetto di realizzazione dei due collegamenti richiamato in premessa;
2) quando si pensa possano essere ultimati i collegamenti e quando si ritiene possano essere aperte al pubblico le due fermate;
3) se è intendimento del Governo regionale individuare e quindi proporre agli Enti interessati ulteriori fermate, al fine di realizzare un servizio completo di metropolitana sul tratto di linea Nus-Villeneuve.
F.to: Venturella
Presidente - La parola al Consigliere Segretario Venturella.
Venturella (Arc-VA) - Credo che per questo argomento - e penso che l'Assessore Pastoret conosca benissimo la situazione perché di cultura molto vasta - ci vorrebbe il prof. Barry Cooper, l'unico in grado di ricostruire sia dal punto di vista musicale che di spartito la decima sinfonia di Beethoven, chiamata "Incompiuta". Beethoven come Lavoyer, non per il fine orecchio musicale quanto per quello che è capitato: le 2 fermate incompiute.
Fermate che, forse, nelle deliberazioni che si sono susseguite nel tempo, non sappiamo quando sono state realizzate: in questa deliberazione non è stata riportata la data nella quale sono state realizzate le 2 fermate. Abbiamo tutti sotto gli occhi in quale stato si trovano adesso le 2 fermate: di abbandono.
Un altro aspetto è che gli utenti, quelli che utilizzano la linea Aosta/Pré-Saint-Didier e Pré-Saint-Didier/Aosta, vedono, ogni volta che passano con il treno, queste fermate, chiamate Geometri e Viale Europa: vedono la struttura, ma della messa in servizio nulla si sa.
Allora la memoria corre subito al lavoro che abbiamo fatto in IV Commissione, insieme all'Assessore, ai nostri proclami. Naturalmente sto guardando tutto il Consiglio, non solo il Governo regionale; una volta analizzato lo studio "Caposio", quello dell'ammodernamento della linea Aosta/Ivrea/Chivasso/Torino, abbiamo detto che ci sono questi interventi da fare. Ma sappiamo bene che questi interventi impegneranno, come fattibilità, se mi ricordo bene, una cifra intorno ai 900 milioni di euro, tanto almeno ipotizzava il prof. Caposio. Quindi l'invito è, prima di produrre ancor altri studi di fattibilità, di operare affinché le situazioni contingenti migliorino, affinché i disagi degli utenti siano ridotti al minimo, e questo si può fare con piccoli interventi. Noi non finiremo qui, Assessore Pastoret, perché le vogliamo bene e sappiamo che lei ha piacere di risponderci, perché ha modo di rendere pubblico lo stato di avanzamento dei lavori.
Noi crediamo che queste 2 fermate siano importanti, non solo perché devono essere urgentemente aperte al pubblico, ma perché vogliamo fare, in questo Consiglio e con lei, un discorso che potrebbe essere la base per pensare al futuro. Il futuro è quello: in attesa delle norme di attuazione, in attesa che si possa acquistare tutto il ferro, tutta la traccia, cominciare a pensare (sperando in risultati diversi) a localizzare prima e a realizzare poi alcune fermate per l'uso metropolitano della ferrovia, che parta da Villeneuve e arrivi a Nus. Lei ricorderà come proprio in questo Consiglio abbiamo pensato alla stazione di Nus e convenuto con lei che una delle stazioni strategiche, oltre a Châtillon, Verrès e Pont-Saint-Martin, fosse Nus perché polo di attrazione di una serie di spostamenti della "Plaine" orientale.
Insomma si potrebbe pensare, per il futuro, a interventi, anche minimi, di realizzazione di diverse fermate per uso metropolitano della ferrovia.
Questa interpellanza vuole domandare a che punto siamo con i lavori e con la progettazione, quando si pensa di aprire al pubblico le 2 fermate, se vi è intenzione da parte del Governo regionale di pensare alla realizzazione di altre fermate, quindi di aprire urgentemente queste ed altre fermate, per uso metropolitano, sul tratto Nus/Villeneuve.
Presidente - La parola all'Assessore al turismo, sport, commercio e trasporti, Pastoret.
Pastoret (UV) - En effet on revient sur ce thème, qui a pris pas mal de temps, pour trouver enfin une issue dont je vais vous faire part de suite.
Il est cependant utile de réfléchir à une question de caractère plus général et j'en profite en prenant en prétexte la nouvelle dont la presse nous a informés aujourd'hui (je vous en ai parlé ce matin) parce que c'est intéressant de voir qu'en Espagne on vient d'inaugurer la ligne de haute vitesse Madrid/Barcelone, 659 km., un coût de 8,7 milliards d'euros, un temps de voyage de 2 heures 30, un respect des horaires obligatoires parce que sur 15 minutes de retard il y a un remboursement de ticket de 50%, sur 80 minutes de retard les usagers ont droit à un remboursement de 100%, un projet lancé en 1992 et accompli en 2007, le tout réalisé par l'Etat y compris le choix des convois qui sont confortables, neufs, propres. Petit parallèle...
(interruption du Conseiller Secrétaire Venturella, hors micro)
... oui mais c'est cela qui m'a donné l'idée...
Je reviens à l'Italie: en 2007 a été inaugurée une ligne de haute vitesse Milan/Bologne, 182 km., temps de parcours presque le même employé pour en faire 700 en Espagne, commencement de l'œuvre en 90, coût 6,9 milliards d'euros, c'est-à-dire 37,9 millions d'euros par km. contre le 13,2 millions d'euros de la ligne espagnole.
Après, je ne sais pas si en Italie il y a des convois neufs, s'ils existent c'est parce que les Régions mettent de l'argent; par contre, en Espagne c'est l'Etat qui assure les transports.
Je ne sais pas si les voyageurs peuvent être remboursés en Italie, je crois que non...
(nouvelle interruption du Conseiller Secrétaire Venturella, hors micro)
... c'est déjà quelque chose.
J'ai porté cet exemple parce qu'il y a de quoi réfléchir et il y a aussi l'opportunité de tirer des conséquences sur l'ensemble de l'organisation des transports en Italie. Je dis tout cela car je veux introduire un paradoxe, parce que très souvent ici on parle de la Vallée d'Aoste, de la culture, la différence, les langues et cetera, alors je voudrais dire qu'à ce propos personne pourra nous dire que nous ne sommes pas à plein titre Italiens: nous sommes parfaitement Italiens, nous sommes trempés dans la culture italienne et nous n'avons pas le droit de nous dire différents de l'Italie et de ses habitude, parce que la culture de la péninsule nous a complètement conquis en tout et partout.
Nous pouvons donc prendre bien en exemple, à ce sujet, celui de ces 2 arrêts, sur lesquels vous me questionnez. Dans ce cas, il ne s'agit pas de responsabilité particulière de "Trenitalia", ni de "RFI" qui elle a des responsabilités mais pas si importantes, donc ce n'est pas la peine de les rappeler. Ils ont produit quelques retards sérieusement, mais pas trop.
Il y a eu des facteurs qui ont déterminé des reports de temps et, parmi ceux-ci, j'en cite 2.
Un projet a été réalisé, et ce projet n'a pas été approuvé par la Commune d'Aoste parce que la Commune devait, par une convention à souscrire avec la Région et "RFI", prévoir au déblayage de la neige et que le parcours de par la commune n'était pas considéré compatible avec cette possible activité (troppo tortuoso).
A partir de là on a dû laisser de côté l'idée de réaliser l'ancien parcours et il a fallu faire en sorte d'avoir une disponibilité de terrain, qui n'était pas en disponibilité de "Trenitalia", pour refaire le projet ainsi que le parcours qui n'était pas gré à l'Administration communale.
Donc nécessité de refaire le projet, de disposer des terrains, et tout cela afin que la commune soit satisfaite, et par conséquent nous assure de pouvoir signer la convention pour l'entretien des arrêts, car toute la voirie doit être garantie par la commune.
Ce n'est pas le cas de l'arrêt de Saint-Martin de Corléans, où nous avons eu, là aussi, des querelles, car "Trenitalia RFI" a des modalités standard pour ce qui est des trottoirs, qui n'étaient pas appréciés par les techniciens de la commune. Mais on a pu résoudre ce problème, qui s'est traîné pendant presque une année. Pour vous dire comme nous semblons aux exemples que je viens de vous poser...
A la fin de ce projet, qui a été refait, tout a finalement pu procéder et on est arrivé à la formalisation de la convention avec la commune, pour la gestion du parcours piétons. Dommage qu'il n'a pas été possible d'avoir la signature du fonctionnaire de la commune, - je vais vous produire après les courriers -, parce que les uns attribuaient aux autres la compétence de cette signature.
Les fonctionnaires de l'Assessorat ont envoyé des lettres pour solliciter, mais un disait que c'était la compétence d'un autre... pour mettre une signature sur une convention!
On a la documentation, je ne l'ai pas portée ici car je pense que le sens de l'interpellation est un autre et ce n'est pas le cas d'y revenir.
Nous sommes à la fin d'une législature dans laquelle nous avons entendu tout... et ce qui me dérange, en général, c'est que nous sommes la "Casta", les politiciens qui ne font pas avancer les choses, mais personne ne s'occupe d'une autre "Casta", de certaines personnes qui sont à l'abri de la place assurée à temps indéfini, qui peuvent faire ou pas faire sans que personne n'ai le droit de leur dire n'importe quoi, et c'est nous qui devons prendre la responsabilité! Ce qui me dérange c'est que parfois il y a des procédures qui se traînent, mais pas seulement dans le cas que je citais et que je prends à prétexte comme titre d'exemple.
Il faudrait que, de temps à autre, quand on parle ici, on fasse attention à ne pas avoir des positions différentes par rapport aux situations.
Cela dit, j'arrive à répondre à votre question. Quel est l'état des choses: le projet exécutif destiné à relier les nouveaux arrêts de train à la route - Lycée technique commercial pour géomètre et le cimetière d'Aoste - a été approuvé par délibération n° 2905/2007 (je peux vous préparer un dossier si vous voulez et vous fournir aussi les lettres dont j'ai parlé tout à l'heure), il est inscrit au budget pluriannuel 2007-2009 de la Région, pour l'année 2008 avec une mise à pris de 189.941 euros.
Le 31 octobre le Directeur du bâtiment a demandé (c'est l'Assessorat du collègue Cerise qui réalisera cela) au Coordinateur du département des ouvrages publics de procéder à l'attribution d'un mandat de direction des travaux, ce qu'on n'avait pas prévu, et de coordination de la sécurité pendant la réalisation des travaux en question, car nous sommes là sur une ligne ferroviaire en exercice, donc c'est plutôt compliqué.
Ce mandat attribué, l'entreprise contractante sera choisie à l'issue d'une procédure restreinte, un contrat régissant les commandes hors marché.
Le projet prévoit 150 jours consécutifs pour la réalisation des travaux, à compter de la date qui figurera sur le procès-verbal de prise en charge des travaux.
Après le récolement des travaux, pour lesquels un délai d'un mois a été prévu, les 2 arrêts pourront être ouverts au public. Compte tenu qu'il n'y aura plus d'avis et d'autorisations à demander à n'importe qui et que la procédure est toute interne à l'Administration régionale, je peux dire que sur la base de ces temps on peut prévoir que ces travaux et la mise en exercice de ces arrêts sera possible pour la fin de 2008.
Par la suite, pour ce que vous nous demandez quant aux arrêts et au métropolitaine léger, le Gouvernement régional, dans le respect des compétences de "Ferrovie dello Stato" en la matière, a l'intention de proposer la création d'un nouveau arrêt en vue de la mise en place d'une desserte régulière du type métro mais je n'aime pas le nommer métro pour des raisons techniques sur la ligne Aoste/Pré-Saint-Didier et donc Villeneuve aussi, conformément à la résolution que nous avons approuvée ici.
Quant à la question de la gare de Nus, vous savez que nous sommes disponibles de prendre en compte le fait que Nus devient un pole d'intermodalité quant aux transports ferroviaires, mais nous avons un problème car un compte c'est de parler de Nus/Aoste, autre compte c'est de parler de Aoste/Pré-Saint-Didier, donc des 2 arrêts qu'il y a ici et de Villeneuve, parce que dans nos intentions, dans le futur, il n'y aura pas seulement la disponibilité mais aussi la possibilité d'organiser les horaires de façon indépendante sur le trajet Aoste/Pré-Saint-Didier, tandis que sur l'autre trajet nous avons la nécessité de tenir compte d'horaires qui tiennent en charge aussi le fait que le train arrive à Pré-Saint-Didier, puis à Ivrea et après il fait des trajets sur les lignes du Piémont. En plus nous avons la nécessité d'intervenir à nouveau sur quelques gares de la basse vallée, pour avoir le doublage des rails, sinon on ne pourra pas faire un service de type métropolitaine.
Il faut aussi tenir compte d'une question; d'ailleurs pour ces 2 arrêts nous avons déjà demandé à "Ferrovie dello Stato" de mesurer la possibilité de diminution des temps de parcours pour le trajet en question et de nous transmettre une ébauche d'horaire ferroviaire, parce que le fait de s'arrêter et de partir va comporter la nécessité de modification d'horaire. La seule possibilité de ne pas le modifier c'est celle d'accélérer la vitesse de parcours, compte tenu des contraintes qui existent sur notre ligne.
A plus forte raison si on voudra raisonner sur un usage de type métropolitaine entre Nus ou entre Verres/Aoste, il faudra considérer les 2 aspects: les horaires et l'infrastructure pour le doublement des rails dans certaines gares, afin que la question horaire ne soit pas compromise et on puisse avoir des courses supplémentaires par rapport à celles qui existent déjà.
Si dà atto che dalle ore 11,47 assume la presidenza il Vicepresidente Tibaldi.
Presidente - La parola al Consigliere Segretario Venturella.
Venturella (Arc-VA) - Siamo soddisfatti della risposta dell'Assessore, che ha permesso di fare un piccolo "excursus" contemporaneo, in Spagna e in Italia, mentre a noi permette nel corso della replica di lanciare un'idea, dovendo però sottolineare alcuni aspetti.
Prima osservazione. Andando a ritroso nelle deliberazioni osserviamo che il progettista incaricato consegna il progetto preliminare nel 2003, lo stesso progettista poi lo riconsegna in modo definitivo nel 2006: passano 3 anni, ci si domanda perché.
È in quel periodo di tempo, dei 3 anni intercorsi fra il 2003 e il 2006, che vi sono i problemi con il Comune di Aosta? Notiamo poi che in 3 anni il costo viene più che raddoppiato: il costo delle fermate per il progetto preliminare prevedeva la spesa di circa 110mila euro, nel 2006 la spesa passa a 252mila euro, con un aumento del 127%!
Quindi abbiamo effettivamente dei ritardi, i ritardi provocano la lievitazione dei costi e tutto quello che lei diceva, Assessore, è confermato: le stesse problematiche gli stessi vizi che abbiamo in Italia, li abbiamo anche in Valle d'Aosta, a sottolineare il fatto che apparteniamo a pieno titolo allo Stato italiano, all'area mediterranea.
Il problema del servizio metropolitano, attenzione: l'uso metropolitano della ferrovia, e penso che lei sarà d'accordo, quando parliamo di uso metropolitano, altrimenti sarebbero da sconvolgere tutte le tracce ferroviarie, e questo non si può fare. Dicevo, l'uso metropolitano della ferrovia: potremmo, proprio per queste problematiche, lanciare, ancora da verificare nei dettagli tecnici, economici e finanziari, ma crediamo che la proprietà della linea Aosta/Pont-Saint-Martin possa essere interamente ed esclusivamente regionale.
Mi dà questa opportunità nella replica, Assessore, di lanciare questa idea, ossia di allargare i nostri orizzonti, far sì che come per il traffico aereo - sull'ampliamento dell'aeroporto e allungamento della pista noi abbiamo dei seri dubbi sull'indispensabilità di queste opere e abbiamo espresso il nostro parere contrario - la Regione dovrebbe prendere in mano tutta la linea ferroviaria e cominciare a pensare a dei raddoppi selettivi, quello che lei indicava, i cosiddetti "raddoppi lunghi", dove è possibile raddoppiare la linea per far sì che gli incroci siano del tipo lungo, lungo in corsa.
Terza osservazione che riguarda l'orario, mi pare che "Trenitalia" avesse già inserito nel passato le fermate sulla Aosta/Pré-Saint-Didier, le 2 fermate incompiute; forse a casa ho ancora un orario o estivo o invernale, mi pare del 2002-2003, in cui c'erano le 2 fermate: geometri e Quartiere Europa. Quindi sull'orario forse "Trenitalia" è già pronta se ripesca le vecchie tracce e i vecchi orari.
Mi permetta un'ultima osservazione e anche un'esclamazione: benedetto Assessore, ma nel Comune di Aosta di che tipo di maggioranza stiamo parlando, di che tipo di governo, quale sindaco...
Pastoret (fuori microfono) - ... loro non hanno lo "spoil system"...
Venturella (Arc-VA) - ... però esistono anche per il Comune di Aosta dei dirigenti nominati in maniera fiduciaria, quindi sulla qualità della macchina amministrativa non sono solo problemi interni alla dirigenza, sono anche problemi di governo generale. Il responsabile del personale per quel che riguarda le strategie non è il dirigente del personale, è il sindaco. E che sindaco vi era nel 2003-2006 sappiamo benissimo chi era, che era quello che era prima Assessore ai lavori pubblici, insomma, tutto in famiglia, Assessore Pastoret!
Pastoret (fuori microfono) - ... una querela per "mobbing"... un dirigente a firmare un atto...
Venturella (Arc-VA) - Ringraziamo l'Assessore Pastoret per la risposta e perché alcune riflessioni sono condivise - quelle sull'uso metropolitano della ferrovia - rilanciamo la riflessione che lei invitava a fare sul "mobbing" e sullo "spoil system" - e sulla proprietà interamente regionale di tutta la traccia ferroviaria in territorio valdostano.