Oggetto del Consiglio n. 3110 del 21 novembre 2007 - Resoconto
OGGETTO N. 3110/XII - Interpellanza: "Tempi di realizzazione degli interventi migliorativi sul sistema di trasporto ferroviario Aosta-Torino".
Interpellanza
Premesso che:
- nel giugno 2004 è stato avviato l'adeguamento e il miglioramento del sistema di trasporto ferroviario Aosta/Torino con la firma dell'APQ tra il Ministero dell'Economia e delle Finanze, il Ministero delle Infrastrutture e dei Trasporti, RFI e la Regione Autonoma Valle d'Aosta;
- il Politecnico di Torino ha predisposto lo Studio di fattibilità per l'adeguamento e il miglioramento del collegamento ferroviario Aosta/Torino, che definisce altresì una sequenza realizzativa delle opere da intraprendere;
- il Consiglio regionale ha approvato, il 24 maggio scorso, una risoluzione sulla mobilità e sulla ferrovia in Valle d'Aosta;
- la Regione Autonoma Valle d'Aosta e la Regione Piemonte hanno sottoscritto, il 31 ottobre scorso, un generico documento di intenti sulla tratta ferroviaria Aosta/Torino;
i sottoscritti Consiglieri regionali
Interpellano
l'Assessore delegato per sapere:
1) per quali ragioni nel documento di cui all'ultimo punto in Premessa non si fa alcun cenno sui tempi di realizzazione (ancorché di massima) delle opere;
2) se è intenzione della Giunta regionale attivarsi con l'organo omologo della Regione Piemonte per definire, quanto prima, il calendario degli interventi e le modalità della loro esecuzione.
F.to: Tibaldi - Frassy - Lattanzi
Presidente - La parola al Vicepresidente Tibaldi.
Tibaldi (CdL) - Nella scorsa seduta consiliare l'Assessore Pastoret ha distribuito gentilmente una copia dell'intesa che è stata firmata tra la Giunta regionale valdostana e la Giunta regionale piemontese in merito alla ferrovia Aosta/Chivasso/Torino. Tale documento aggiunge parole, in questo caso parole "scritte nero su bianco", a tante parole che sono già state dette in questi anni su un insieme di interventi di adeguamento di tale linea ferroviaria o, meglio, che tale linea ferroviaria attende da tempo. Come ben sa l'Assessore, la ferrovia valdostana risale al 1886; di buone intenzioni ne sono state proclamate a più riprese. Noi abbiamo preso atto di questo documento che è stato siglato dai 2 Esecutivi regionali, in cui - come scritto nella premessa dell'interpellanza - si fa riferimento alle intenzioni comuni, condivise fra le parti, e si declinano tutta una serie di iniziative che dovrebbero essere realizzate in parte in terra piemontese, in parte in terra valdostana, ma ci risulta che vi sia una grossa mancanza che è quella della tempistica. Quando si siglano degli accordi, non si stabiliscono solo degli obiettivi, degli strumenti per conseguirli e dei percorsi da effettuare, ma si tende a fissare dei tempi. Ci sembra che questi tempi siano i grandi assenti in tale documento di intenti, per questo ci siamo permessi di porre 2 semplici quesiti: come mai non si fa alcun cenno ai tempi di realizzazione, ancorché di massima, per interventi che sono allo stadio progettuale o addirittura allo stadio intenzionale; vorremmo poi capire se è intenzione della Giunta attivarsi con la Giunta regionale piemontese per definire un calendario più o meno preciso e naturalmente anche le modalità di questa esecuzione. Ci spiacerebbe che dopo che questo documento è costato, immagino, in termini di tempo per l'elaborazione e come impegno da parte degli uffici competenti e degli Assessori delegati, la cosa si fosse consumata al Castello di Sarriod de la Tour qualche settimana fa con un semplice incontro conviviale, baci e abbracci, scambi di saluti e di mani, ma poi la sequenza realizzativa non venisse assolutamente temporizzata.
Si parla della "lunetta" di Chivasso da tempo, si parla di realizzarla per accorciare le distanze, ma soprattutto le percorrenze fra Aosta e il capoluogo piemontese, si parla anche di interventi importanti sul territorio regionale come la variante fra Verrès e Châtillon, oppure le sottotratte Ivrea/Verrès/Châtillon/Aosta, l'elettrificazione della tratta Ivrea/Aosta, ma qui andiamo sul futuribile. Naturalmente la prima dovrebbe essere la "lunetta" di Chivasso, anche perché si è fatta ampia divulgazione a mezzo stampa delle decisioni del Governo di stanziare alcuni milioni per realizzarla. Sta di fatto che questo documento è stato proposto dopo 3 anni dal momento in cui è stato firmato l'accordo di programma quadro per l'adeguamento e miglioramento del sistema di trasporto ferroviario Aosta/Torino, non dimentichiamo che tale accordo di programma quadro risale al giugno 2004 e porta le firme del Ministro Tremonti e Lunardi, allora rispettivamente Responsabili delle finanze e dei trasporti. A distanza di 3 anni la legge finanziaria nel 2007 ha stanziato dei soldi per la "lunetta" di Chivasso, a fine 2007 si arriva a questo documento che ci sembra incompleto. Lasciamo all'Assessore le risposte per avere qualche lume in più in merito a tale grande incognita.
Presidente - La parola all'Assessore al turismo, sport, commercio e trasporti, Pastoret.
Pastoret (UV) - Tout d'abord je veux remercier le Vice-président Tibaldi, qui, en proposant cette interpellation, me permet de revenir sur le document qui a été signé par les 2 Régions, car cela a été brièvement illustré par le Président Caveri et la Présidente Bresso, mais on n'a pas eu l'occasion d'entrer dans le contenu. La première question sur laquelle je veux revenir c'est la question des temps. Là qu'il me soit permis de dire que les temps sont liés à l'opérativité de l'Etat, car nous n'aurions pas signé ce document si le Ministère des transports et le Ministre Di Pietro eussent tenu leur promesse quant aux rencontres qui auraient dû se tenir. Quand le Ministre Di Pietro était venu ici, il nous avait dit qu'il était suffisant de contacter quelqu'un de ses bureaux afin de faire avancer le thème sur le chemin de fer; cela n'a pas été ainsi. Ce document a été nécessaire et nous l'avons voulu, parce qu'il était nécessaire en ce moment s'occuper de ces 40 millions d'euros, qui ont été inscrits dans le budget de l'Etat pour les années 2007-2008. Nous avions nous, mais aussi la Région Piémont, chacun pour son compte, la nécessité de savoir qu'est-ce que l'Etat voulait faire de cet argent, qui avait été inscrit sur requête de nos Parlementaires et c'est en accord aussi avec les Parlementaires que nous avons contacté la Région Piémont, pour arriver à un acte conjoint afin que cet argent ne soit pas employé n'importe où, sans faire des interventions qui intéressent le chemin de fer Chivasso/Aosta.
Tout cela dit, je voudrais encore vous faire quelques prémisses qui sont nécessaires. L'étude de l'école polytechnique a été la base sur laquelle nous avons travaillé au cours de 2006-2007 en Commission, suite à cette étude et au document que j'avais transmis à la Commission le Conseil de la Vallée a approuvé la résolution du 24 mai que vous, Vice-président Tibaldi, vous avez rappelé dans les prémisses de votre interpellation. Cette résolution renvoyait aux dispositions d'actualisation - "norme d'attuazione" - du Statut les question relative à la réfection du chemin de fer dans différentes tractes du territoire valdotain. A ce propos je tiens à vous informer - je le dis aussi pour le collègue Venturella, qui souvent me questionne sur le chemin de fer - qu'en conformité à ce que le Conseil avait délibéré, nous avons pourvu à définir une première ébauche des normes d'actualisation et celles-ci ont été déjà transmises pour un premier examen à la Commission paritaire. Vous savez aussi que dans le document que nous avions approuvé au Conseil on disait que les dispositions d'actualisation auraient dû faire renvoi pour certains aspects concernant les investissements à des spécifiques accords de programme; je vais revenir sur ce thème. La question à qui affère le document signé entre la Région autonome de la Vallée d'Aoste et la Région Piémont concerne quelque chose qui est différent en dehors des dispositions d'application du Statut, à savoir le financement du passant de Chivasso et quelques autres éléments pouvant prévoir des investissements.
Je viens donc aux questions que vous avez posées.
"Pour quelles raisons le document signé le 31 octobre 2007 ne mentionne aucun délai de réalisation?". Cela je l'ai déjà dit, mais il y a aussi des raisons de caractère pratique. L'étude élaborée par l'École polytechnique de Turin et portant sur les interventions infrastructurelles nécessaires pour réduire la durée des trajets sur la ligne Aoste/Turin et la résolution approuvée par le Conseil régional au mois de mai, qui en approuve les contenus, prévoient une série d'actions qui nécessitent un financement de 886 millions d'euros. Ce financement ne peut être couvert par les budgets de la Région à cause de l'importance des sommes en question, mais aussi du fait qu'il s'agit d'investissements relatifs à une infrastructure appartenant à "RFI" ("Rete Ferroviaria Italiana"), parce que trop souvent on fait des confusions et on imagine que c'est la Région qui doit faire des choses, et non pas directement à l'État qui détient 100% des actions de "RFI". Les ressources nécessaires à la réalisation des travaux visés à l'étude de l'École polytechnique de Turin doivent donc être attribuées à "RFI" par l'État, qui est le sujet qui finance les investissements de cette société par des virements de fonds destinés à des objectifs spécifiques. Nous n'avons jamais exclu que la Région puisse elle verser des sommes à "RFI", mais là uniquement en contrepartie d'engagements de celle-ci quant aux délais de réalisation et à la qualité des travaux concernés et c'est ce qui devra être fixé avec les accords de programme suivant les dispositions d'actualisation avec l'Etat. Si la Région prendra en cause la nécessité d'investir de l'argent, il faudra décrire conjointement. D'ailleurs je ne parle pas d'une nouveauté, tout le monde avait été d'accord qu'on aurait suivi une procédure qui s'était déjà produite pour les actions financées dans le cadre des accords de programme cadre de 2004 et de 2006 ("passaggi a livello, passante di Chivasso..."). Les ressources étant l'objet du document signé par les Présidents Caveri et Bresso par contre sont celles prévues par les accords de programme cadre dans la loi de finances 2007, l'État a destiné 40 millions d'euros aux travaux de rénovation de la ligne Aoste/Chivasso et a ensuite attribué cette somme à "RFI" par le biais du contrat de programme 2007-2011, en vue de la réalisation du contournement ferroviaire de Chivasso: ce que l'on appelle communément la "lunetta" de Chivasso.
Pourquoi un document pour cette intervention partagée par les 2 Régions et ne pas prévoir cela dans les "norme di attuazione"? On l'avait déjà dit au mois de mai: étant donné que les projets actuels estiment le coût de la "lunetta" de Chivasso - qui était déjà présente dans un accord qui avait déjà été défini, donc ce n'était pas nécessaire de le stopper pour lui faire faire un autre parcours - à environ 20 millions d'euros, "RFI" pourra destiner les crédits restants à la ligne Aosta/Chivasso conformément aux dispositions législatives. Ces crédits, dont le montant peut être évalué à environ 20 millions d'euros, parce qu'il y en a 40 en total, 20 sur un côté et 20 sur l'autre, ne permettent la réalisation d'aucun des travaux envisagés par l'étude de l'École polytechnique de Turin et d'ailleurs il s'agit de sommes qui n'ont été léguées à aucune disposition, étant celles d'actualisation du Statut ne pas encore approuvées et, par conséquent, efficaces. L'accord du 31 octobre 2007 a pour objectif de définir les dépenses prioritaires, de concert entre les 2 Régions concernées, en vue de présenter au Ministère des infrastructures et indirectement à "RFI" un document unique contenant les souhaits des Régions relativement à l'utilisation des ressources qui seront disponibles à l'issue de la définition des coûts de la "lunetta" de Chivasso. Ces ressources ayant été attribuées à "RFI", la Région Vallée d'Aoste et la Région Piémont ne pouvaient évidemment pas fixer des délais ou adopter des dispositions détaillées quant à leur utilisation et là s'insère l'observation que je faisais au préalable: si on avait été reçus par le Ministre ou par quelques fonctionnaires du Ministère, peut-être on aurait gagné 4-5 mois sur ce thème, ce qui n'a pas été possible et celle-ci est la raison pour laquelle nous avons, en accord avec la Région Piémont, voulu écrire sur un document afin qu'il soit vivant... et présenter au Ministère quelles sont les exigences des 2 Régions. Voilà pourquoi dans une intention d'unir les forces a été cosigné ce document qui devrait permettre, selon nos souhaits, de gagner du temps pour ce qui est des interventions structurelles. En fait nous prévoyons dans ce document - et c'est ce que nous demandons à "RFI" et à l'Etat - de pourvoir à la rédaction de l'avant projet du passant entre Verrès et Châtillon, ainsi que la modernisation du trajet. Nous le faisons avec ces sommes, alors ce qui est important c'est l'accord de la Région Piémont, ainsi que la possibilité de faire cet avant-projet déjà à présent et de ne pas attendre de le faire après que les dispositions d'actualisation du Statut seront approuvées, parce que là il faudra faire des accords de programme... Si nous aurons déjà un projet, nous serons à même à ce moment-là de dire qu'est-ce que nous voulons et qu'est-ce qu'il sera nécessaire d'insérer dans les accords qu'on fera avec l'Etat. Je m'excuse si j'ai été un peu long, mais c'était nécessaire d'expliquer.
Vous nous demandez ensuite "si le Gouvernement régional a l'intention, de concert avec le Gouvernement de la Région Piémont, de fixer le calendrier des interventions et leurs modalités de réalisation", comme je viens de le préciser, la Région Vallée d'Aoste, qui a signé un accord, en a déjà informé - parce que nous avons tout de suite envoyé un courrier au Ministère par lettre du 8 novembre 2007 - le Ministère des infrastructures, qui passe avec "RFI" les contrats de programme afférents aux travaux à réaliser sur la ligne en question. Nous avons communiqué donc les intentions qui sont contenues dans ce document et nous avons pourvu à les transmettre. Même chose nous l'avons fait avec le Député Nicco et le Sénateur Perrin avec qui nous avions concordé de nous tenir au courant, tous, sur les procédures qui seront fixées pour ce qui est des interventions. Nous avons l'intention de signer d'autres accords de programme cadre avec "RFI" pour obtenir de celle-ci des engagements quant au respect des délais et aux modalités de réalisation desdits travaux. Avant d'en arriver là nous devons connaître le coût exact des travaux afférents à la "lunetta" de Chivasso, parce que nous avons la nécessité du projet, nous devons savoir combien coûte la "lunetta" de Chivasso, si elle coûtera entre 18 et 20 millions d'euros nous saurons qu'on aura la disponibilité entre 20 et 22 millions d'euros pour les autres interventions. Cependent il est nécessaire qu'avant de programmer les phases successives qui sont "Ponte sul Chiusella" et le projet sur la tracte Aoste/Pont-Saint-Martin nous avions davantage de certitudes quant aux coûts de la "lunetta" de Chivasso, pour laquelle l'avant-projet est terminé et on est déjà dans la phase du projet définitif.
Presidente - La parola al Vicepresidente Tibaldi.
Tibaldi (CdL) - Come lei sa, Assessore, il nostro gruppo consiliare non solo ha condiviso e approvato il documento approvato dal Consiglio il 24 maggio scorso, perché lì c'è stata una condivisione unanime sulla necessità e sull'urgenza di sistemare la tratta ferroviaria valdostana e il collegamento che ci lega al Piemonte, ma c'è stata anche una partecipazione nell'ambito della Commissione, visto che abbiamo dedicato ben 7 sedute a questo argomento. Il documento votato unanimemente il 24 maggio ha impegnato la Giunta ad attivarsi in certe direzioni. Lei ha appena ricordato che avete abbozzato alcune norme di attuazione che sono all'esame della Paritetica, avete firmato questo documento con la Giunta piemontese di cui è oggetto tale interpellanza, diciamo che sull'obiettivo non c'è una distonia di vedute, anzi c'è una completa sintonia di vedute, perché penso che qui dentro tutti condividono l'esigenza di ammodernare e rendere più efficiente la tratta ferroviaria. L'aspetto che ci lascia perplessi è la carenza di questa temporizzazione, di cui lei, Assessore, ascrive la responsabilità allo Stato: "ma i tempi non li abbiamo indicati perché dipendono essenzialmente dallo Stato". Bene, teniamo presente che lo Stato ha un suo Ministro ai trasporti (Di Pietro), che la nostra Regione ha 2 Parlamentari che sostengono anche questo Ministro (Nicco e Perrin) e che hanno dato fiducia al "Governo Prodi" e, di conseguenza, anche al Ministro Di Pietro, è grosso modo un anno che sentiamo parlare di "lunetta" di Chivasso e ricordo in quella "finestra" televisiva da Roma, quando il Deputato Nicco ci comunicò la somma di 10 milioni di euro disponibili per la "lunetta" - poi, in realtà, erano 20 -, annunciando come una grande conquista per la Valle d'Aosta questo risultato, in realtà sappiamo che sono soldi che vanno ad appannaggio della Regione Piemonte perché la "lunetta" di Chivasso si trova in territorio piemontese, in ogni caso, quando verrà realizzata, ci permetterà un recupero sui tempi di percorrenza di circa 5 minuti se ricordo bene quella scansione che è stata fatta sui segmenti della tratta Aosta/Torino. Va bene la "lunetta di Chivasso", auspichiamo che venga fatta al più presto, ma vi sono importanti progetti da realizzare anche in terra valdostana, come quello che viene subito dopo: la variante di Verrès/Châtillon, che costa 270 milioni di euro grosso modo e che sarebbe veramente un'opera importante per accorciare ulteriormente le distanze, per semplificare ed elettrificare una tratta, perché togliamo delle gallerie importanti che si trovano nella zona compresa fra Verrès e Châtillon. Certo che, senza una calendarizzazione di questi interventi, il tutto rimane definito largamente in via di massima, non so se sono già iniziati i lavori della "lunetta", qui non si dice, si parla di collegamento previsto e finanziato, quindi devono ancora cominciare i lavori. È vero che probabilmente si tratta di una lunghezza di 4-5 chilometri su un terreno relativamente pianeggiante, quindi non è difficile intervenire con una certa celerità, ma si parla sempre di intenzioni, di chiedere al Ministro di fare qualcosa, ma sia il Piemonte che la Valle d'Aosta hanno Parlamentari che appoggiano il "Governo Prodi", di conseguenza il Ministro Di Pietro potrebbe essere sollecitato nel far sì che tali opere procedano. Questo anche perché altrimenti tale documento che avete firmato rischia di rimanere un "pannicello caldo", che giunge a distanza di 3 anni dall'accordo di programma quadro siglato nel 2004 e, di fatto, rimaniamo sempre in balia di queste affermazioni manifestate in forma più o meno autorevole o in questa sede, o altrove, ma la ferrovia sappiamo che giace in condizioni ancora precarie. Non è un caso che dal nostro gruppo consiliare e da altri gruppi consiliari lei venga "tirato per la giacchetta" sui malfunzionamenti di questa ferrovia, sappiamo che lei non è responsabile immediato perché "RFI" è proprietaria della rete, perché "Trenitalia" gestisce il servizio, però con contratto integrativo lo Stato dà dei soldi per far sì che vi sia un servizio qualificato e la pulizia e la puntualità dei treni, da parte nostra abbiamo speso 10 milioni di euro per comprare il "Minuetto" e questi "Minuetto" ci sono e non ci sono, sembrano dei fantasmi... ma di questo parleremo in un punto a ciò dedicato. Qui si lavora su obiettivi di medio-lungo periodo, ma per questi, proprio perché più distanti, sarebbe necessario avere dei riferimenti temporali più certi, qui non c'è nulla e di questo ce ne dispiacciamo, perché rischia di essere quel "pannicello caldo" che non dà una soluzione concreta o prevedibile ad una ferrovia valdostana che la richiede ormai da anni.