Resoconto integrale del dibattito dell'aula

Oggetto del Consiglio n. 2485 del 6 marzo 2002 - Resoconto

OGGETTO N. 2485/XI Manutenzione dell’impianto di allarme del Museo archeologico regionale. (Interrogazione)

Interrogazione Premesso:

- che la Giunta ha affidato "per l'anno 2002 a parziale sanatoria il servizio di assistenza tecnica per la manutenzione dell'impianto di allarme del Museo Archeologico Regionale";

- che a fronte di 17.844 euro di canone il servizio "consiste in due collaudi annuali" e non comprende né la sostituzione dei materiali né le riparazioni;

- che il costo orario, per gli interventi non rientranti nella convenzione oscilla tra i 42 e i 79 euro;

- che l'incarico è stato affidato a trattativa privata alla stessa ditta fornitrice sul presupposto che l'impianto "è ancora in fase di ristrutturazione";

i sottoscritti Consiglieri regionali

Interrogano

l'Assessore ai Beni Culturali per sapere:

1) il costo complessivo dell'impianto di allarme;

2) in quali tempi si concretizza il servizio in oggetto;

3) da quanti anni si reitera la convenzione;

4) se vi sono altre convenzioni per impianti di allarme installati c/o beni culturali e quale sia il loro importo.

F.to: Frassy - Tibaldi - Lattanzi

Président La parole à l’Assesseur à l’éducation et à la culture, Pastoret.

Pastoret (UV) L’acte de régularisation partielle du service de surveillance concerne la période allant de janvier 2002 jusqu’à la moitié du mois de février, et cela parce que pour des raisons formelles l’accomplissement des actes administratifs n’a pas pu être perfectionné dans les temps prévus. Voilà pourquoi dans la délibération du Gouvernement valdôtain sont présentes soit la régularisation partielle jusqu’au 12 février 2002, soit l’adjudication du service pour la restante partie de l’année pour un montant se chiffrant à 14.870,15 euros, TVA exclue. L’allocation du service comprend, comme pour les années précédentes, tous les travaux de remise en fonction de l’installation, la vérification des réglages des capteurs, les interventions d’urgence, y compris les interventions prévues dans les jours fériés, la liaison avec la surveillance aussi que les deux révisions générales prévues dans l’année. Le coût des travaux par heure est défini par les tarifs adoptés par la catégorie et il suit l’adéquation ISTAT; la différence des chiffres que vous reportez sur les prémisses de la question, est due aux différents types de travaux.

La Surintendance aux biens culturels est directement et institutionnellement responsable de la conservation et de la protection des ?uvres. L’accord privé est pourtant décidé dans le respect des fonctions de ce bureau, devant assurer la protection et la sauvegarde du patrimoine contre les vols et contre les actes de vandalisme, et cela peut être mieux garanti en sauvegardant toutes les informations du système, en mettant ainsi au courant des caractéristiques dudit système le moins des personnes possible, ce qui, par contre, serait inévitable avec une procédure d’appel d’offres ouverte.

En outre, il faut considérer que le choix d’attribuer l’entretien aux installateurs du système permet d’en assurer le fonctionnement avec tous les avantages relevant d’une excellente connaissance de l’ensemble.

Pour ce qui est de l’incise "? è ancora in fase di ristrutturazione", il faut éclaircir ce passage en disant que le système d’alarme du musée n’est pas rénové dans sa totalité, comme il pourrait apparaître par cette définition. Ce système remonte à la fin des années ’80 et son installation définitive est terminée en 1991, mais comme il est évident dans ce domaine, il y a la nécessité d’une mise à jour constante des installations et de leur adaptation aux nouvelles nécessités technologiques et d’utilisation, compte tenu du fait que le système est complexe: par exemple, il peut gérer séparément par des zones différentes, tous les signaux d’alarme provenant des portes, des fenêtres, des entrées, et cetera.

Une installation de ce genre nécessite donc d’une mise à jour continuelle et la rénovation des installations, pour les adapter aux nouvelles technologies, est toujours présente, afin de permettre une continuelle mise à jour des dispositions en vigueur en matière de sécurité et avec l’objectif de garantir des standards performants pouvant assurer la sûreté de l’immeuble. Dans ce sens, par exemple, des interventions complémentaires ont été faites il y a deux ans, pour installer des caméras à l’intérieur des salles d’exposition. Ce sont des interventions qui se proposent de compléter la sûreté du système, mais non pas de le restructurer, comme cela aurait pu apparaître par le terme utilisé par la délibération.

Cela dit, venant à la première question, des actes du service des biens architectoniques il résulte que le coût total de la réalisation du service d’alarme, y compris les travaux de maçonnerie, la centrale et toutes les connections et liaisons, se chiffrait en 1992 à 884 millions de lires. Par la suite, des mises à jour ont été réalisées, mais elles rentrent dans les dépenses de l’assistance technique, dont le coût a été pour les années précédentes toujours prévu à l’intérieur du service qui est offert par l’entreprise, à l’exception de l’achat récent des caméras installées à l’intérieur des salles, dont j’ai déjà parlé tout à l’heure, et dont le coût a été de 59.595.600 lires.

Deuxième question: le service est mis à jour chaque année et comprend la disponibilité pour les travaux et les interventions d?urgence pour la couverture des systèmes pendant tous les jours de toute l’année, pour protéger les personnes et les objets à l’intérieur du musée. Les différentes interventions requises doivent être effectuées tous les jours de la semaine, y compris les jours fériés, afin d’assurer une protection constante contre les vols et les incendies. Troisième question: ce contrat d’assistance technique est réitéré depuis 1991. Dernière question, en ce qui concerne les biens culturels, châteaux, sites d’exposition, d’autres conventions ont été mises en place, concernant d’autres installations et d’autres entreprises, pour un montant se chiffrant à 68.794,91 euros.

Je dois encore fournir une donnée au collègue Frassy, parce que dans la première question il avait demandé "il costo complessivo dell'impianto di allarme", je lui ai fourni le coût concernant l’installation complète du système, le coût afférent l’installation du système des caméras. Je vais lui fournir aussi le coût de ce service pour chaque année à partir de 1996. En 1996, le coût a été de 32 millions de lires; en 1997, 32 millions de lires; en 1998, 32 millions de lires; en 1999, 32 millions de lires; en 2000, 32 millions de lires; en 2001, 33 millions de lires et les données pour 2002 sont présentées dans la délibération.

Président La parole au Conseiller Frassy.

Frassy (FI) Non siamo soddisfatti della risposta, Assessore, per una questione formale e sostanziale - e direi che la questione formale diventa poi sostanziale - perché questa interrogazione nasce dalla lettura di una deliberazione di Giunta, con la quale stanziate determinate risorse, per l’esattezza 17.844 euro, per un determinato servizio, e le risposte che lei invece fornisce sono diverse rispetto agli impegni scritti in delibera.

Anzitutto questo termine, che lei ha detto per l’appunto non essere preciso, è il termine che la delibera usa e lo usa con un significato ben determinato: ristrutturazione dell’impianto, in quanto si motiva il fatto di ricorrere a questo affidamento al di fuori di ogni meccanismo di gara proprio per la ristrutturazione dell’impianto stesso. Lei, invece, dice che l’impianto non è in ristrutturazione, ma semmai è in espansione, a seconda di quelle che possono essere le varie esigenze. Il tipo di convenzione che è annesso alla deliberazione di Giunta non prevede, anche se noi ce lo auguriamo, che vengano effettuate queste prestazioni, non prevede la reperibilità, non prevede nessuna presenza fisica! Io leggo il punto 1, titolato "oggetto", dove ci sono due lettere che specificano l’oggetto.

La prima lettera parla di un servizio di assistenza tecnica che consiste - perciò specifica cos’è l’assistenza tecnica - in due collaudi annuali e il punto b) dell’articolo 1 dell’oggetto dice che nel servizio non sono comprese le sostituzioni dei materiali e le riparazioni.

Questo è l’oggetto che avete sviluppato nella delibera: due collaudi annuali, che non si capisce quanto possano impegnare l’assistenza tecnica, al prezzo di 17.000 euro, e con la motivazione che questo impianto ha bisogno di aggiornamenti e, probabilmente, deve essere anche gestito con una previsione di espansione rispetto alle esigenze. Pur non essendo dei tecnici in materia qualche informazione l’abbiamo presa, e un impianto di questo tipo, con queste caratteristiche, se viene fatto come deve essere fatto, non ha necessità di particolari manutenzioni continue, assistenza o aggiornamenti del software, nel senso che un impianto fatto a regola d’arte funziona negli ambienti in cui è stato installato.

Ci stupisce perciò questo modo di procedere e ci stupisce ancor di più che dal 1991 venga reiterato questo tipo di affidamento, un affidamento che riteniamo molto oneroso se lo paragoniamo ad un altro affidamento che era stato dato dal suo Assessorato tempo fa. Un affidamento che poi non è stato più rinnovato ad un'agenzia privata di vigilanza, la quale doveva garantire la reperibilità, doveva garantire la presenza dei suoi uomini che andavano a pattugliare determinati siti, castelli in particolare, e che costava di più come impegno e di meno invece come spesa.

Non siamo perciò soddisfatti della forma con cui la Giunta adotta questi atti, perché scrive delle cose e poi apprendiamo dalla sua viva voce che ne fa delle altre, in quanto ciò che lei ha detto è ben diverso da quello che è scritto in delibera.

Non siamo poi soddisfatti nel merito della risposta, perché riteniamo difficilmente sostenibile che una materia del genere abbia necessità di questo tipo. Per dirla tutta, ci sembra che questa delibera, come altre, possa essere definita con un termine che qui stamani qualcuno ha richiamato, e che era quello della "marchetta". Ci sembra che sia una delibera costruita non sulle esigenze oggettive di assistenza e manutenzione dell’impianto, ma che l’assistenza, se qui viene fatta, sia fatta dall’Amministrazione regionale a favore di chi dovrebbe fare l’assistenza tecnica!