Resoconto integrale del dibattito dell'aula

Oggetto del Consiglio n. 2348 del 19 dicembre 2001 - Resoconto

OGGETTO N. 2348/XI Trattamento economico del personale dipendente della Casa da gioco. (Interrogazione)

Interrogazione A seguito dell’approvazione della legge regionale n. 144, nella seduta consiliare del 15 novembre 2001, concernente la costituzione della società per azioni per la gestione della Casa da gioco di St. Vincent, denominata "Casino de la Vallée di St. Vincent S.p.A.";

Preso atto di quanto previsto dal comma 5) dell’articolo 13 - Cessazione della Gestione Straordinaria;

il sottoscritto Consigliere regionale

Interroga

il Presidente della Regione per conoscere:

se al personale dipendente della Casa da gioco, oltre a mantenere quanto contenuto nel comma 5) dell’articolo 13 della legge 144, è prevista anche l’erogazione dell’indennità di fine lavoro maturato nel periodo di lavoro prestato alle dipendenze della Gestione Straordinaria.

F.to: Beneforti

Presidente La parola al Presidente della Regione, Viérin Dino.

Viérin D. (UV)Le passage de la Gestion Extraordinaire à la nouvelle gestion de la Maison de jeu de Saint-Vincent est défini par la loi régionale que le Conseil de la Vallée vient d’approuver ou bien, pour tous les points que celle-ci ne précise pas, par les dispositions en vigueur en matière de travail prévues par le Code civil. C’est notamment le cas du sujet abordé par cette question, étant donné que la fin de la Gestion Extraordinaire et la naissance de la société par actions "Casino de la Vallée" présente les caractéristiques d’un transfert de propriété.

Et je cite le 5ème alinéa de l’article 13, pour mieux préciser mon point de vue: "In applicazione dell’articolo 7, comma 2, legge regionale n. 88/93, come sostituito dall'articolo 9, legge n. 13/99 e secondo i principi di cui all’articolo 2112 del Codice civile, la società subentra nel rapporto di lavoro del personale dipendente dalla Casa da gioco, e garantisce al medesimo personale il mantenimento del trattamento economico e normativo in godimento all’atto della cessazione dell’esercizio dell’attività, e della gestione della Casa da gioco da parte della Gestione Straordinaria, comunque assicurando il rispetto dei contratti di lavoro vigenti a tale data, nonché l’applicazione della specifica disciplina regionale in materia".

Théoriquement on pourrait suivre deux procédés, tout en considérant que, pour ce qui est de l’Administration, il n’y a pas de coûts supplémentaires par rapport à l’une ou à l’autre des solutions, vu que l’indemnité de cessation de fonctions se chiffre à 23 milliards; ces 23 milliards doivent être dans l’une des solutions théoriques possibles attribués aux employés et dans l’autre transférés à la nouvelle société, mais avec une remarque, collègue Beneforti: si jamais - ici je fais deux cas de figure - l’indemnité de cessation de fonctions était attribuée et liquidée au personnel, ce personnel partirait avec la nouvelle société avec une ancienneté de service zéro. Specifico: se si dovesse mai procedere al pagamento del trattamento di fine rapporto, il nuovo rapporto con "Casino de la Vallée S.p.A." comporterebbe un azzeramento di tutte le anzianità di servizio, perché c’è cessazione di rapporto.

Si ces deux cas de figure peuvent se présenter, nous exprimons également notre orientation, que nous discuterons ensuite avec les organisations syndicales. Il n’y a pas obligation de procéder au paiement de l’indemnité de cessation de fonctions. La loi régionale que nous avons votée prévoit un autre cas de figure: aux termes de la loi susmentionnée et des principes de l’article 2112 du Code civil, le personnel de la maison de jeu est assuré de conserver son emploi, ainsi que tous les droits qu’il a acquis à ce jour; son contrat de travail ne subira donc aucune modification du fait du changement juridique de son employeur.

Pour ce qui est de l’indemnité de cessation de fonctions, elle suivra une procédure analogue au transfert automatique, et c’est donc à notre avis l’employeur dont dépendra l’intéressé au moment de la cessation du contrat de travail, et donc "Casino de la Vallée S.p.A.", qui sera entièrement responsable de son versement, y compris pour la période relevant du précédent employeur. Le montant exact de ladite indemnité ne saurait en effet être déterminé qu’au moment même où le contrat de travail prendra fin.

Or, quelle conclusion pouvons-nous tirer? Nous savons que les organisations syndicales ont formulé une requête à cet effet; nous croyons qu’il y a probablement quelques malentendus à cet égard, parce que peut-être les organisations syndicales pensent pouvoir reconduire l’expérience de 1994, à savoir paiement de l’indemnité et maintien de la progression de carrière: cela n’est pas possible et M. Beneforti, en tant qu’ancien syndicaliste, le sait très bien! Nous exposerons donc ces problèmes aux organisations syndicales qui seront informées du fait que l’orientation de l’Administration régionale est de maintenir tous les droits acquis, en transférant l'indemnité de cessation de fonctions à la nouvelle société. Et ce afin de permettre aussi à la nouvelle société de pouvoir mieux agir, et partant de remplir toutes les conditions indispensables pour son activité.

Presidente La parola al Consigliere Beneforti.

Beneforti (PVA-cU) Ringrazio il Presidente per la risposta che mi ha dato e che credo sia stata molto chiara. Abbiamo presentato questa interrogazione per due motivi: il primo, perché in un incontro avvenuto con alcuni dipendenti della Casa da gioco ci è stata manifestata la volontà di ottenere, con la liquidazione della Gestione Straordinaria, anche la liquidazione che avevano maturato nel rapporto che c’è stato con essa, quindi mantenendo anche l'anzianità che avevano. Questa era la richiesta.

Secondo motivo: io avevo già fatto questa richiesta quando si è discusso sulla legge e sullo statuto della nuova società, ma non mi era stata data risposta?. Conosco bene tutti i meccanismi che lei ha citato, perché li ho vissuti in altre vicende, ma quello che chiedo è che tutto si risolva in una concertazione fra le strutture sindacali e la Regione, o la nuova società.

I lavoratori devono avere una controparte con cui chiarire la questione, in modo che niente sia calato sulla loro testa! Questo è quello che chiedo.