Resoconto integrale del dibattito dell'aula

Oggetto del Consiglio n. 1541 del 8 novembre 1990 - Resoconto

OBJET N° 1541/IX - Travaux de construction du chemin des vignobles reliant Donnas, Pont-Saint-Martin et Perloz (Interpellation).

Presidente - Do lettura dell’interpellanza presentata dai Consiglieri Agnesod, Andrione, Faval, Perrin e Mostacchi:

INTERPELLATION

Considérant l’utilité que représente pour nos viticulteurs la construction du chemin des vignobles reliant entre elles les communes de Donnas, Pont-Saint-Martin et Perloz tout au long du coteau à vignes;

Vu que les travaux ont été interrompus depuis bientôt huit mois;

Sachant que le terrain du tronçon final est sans soutien et qu’il s’agit d’un terrain extrêmement friable représentant un véritable danger pour les habitations du hameau Verturin en cas de fortes pluies,

les soussignés Conseillers régionaux de l’Union Valdôtaine

interpellent

le Gouvernement valdôtain pour savoir:

- quand les travaux en question seront repris;

- quelles sont ses intentions et de quelle manière il entend agir pour réaliser l’oeuvre en question, compte tenu des observations formulées.

Presidente - Ha chiesto di illustrare l’interpellanza il Consigliere Agnesod, ne ha facoltà.

Agnesod (UV) - A l’égard de cette interpellation je veux seulement dire deux mots d’explication, car il s’agit surtout d’entendre les intentions et l’avis de l’Assessorat compétent.

Le chemin en question relie la côte travaillée à vignes, côte de production du vin Donnas DOC qui comprend les communes de Donnas, Pont-Saint-Martin et Perloz. Son utilité est sans doute plus qu’évidente, surtout pour le fait qu’avec ce chemin on peut à la suite relier toute la côte avec des funiculaires.

Pour notre viticulture cette oeuvre représente un aspect très important; pour cette raison c’est indispensable porter à terme ce travail dans le plus bref délai.

Il y a en plus un danger d’éboulement sur le dernier morceau. Je souligne en effet la friabilité de ce terrain, tant il est vrai que quelques centaines de mètres du lieu en question, dans le tronçon de la Commune de Pont-Saint-Martin, il y a eu l’année passée un éboulement qui a enlevé des terrains et a menacé sérieusement les habitations au long de la route nationale, causant un dommage plutôt relevant.

Pour ces raisons nous avons présenté cette interpellation, pour connaître l’avis de l’Assesseur compétent, compte tenu des observations formulées.

Presidente - Ha chiesto di parlare l’Assessore all’Agricoltura, Foreste e Ambiente Naturale Lanièce, ne ha facoltà.

Lanièce (DC) - Bisogna dire che questa interpellanza mi lascia un po’ perplesso, visto che il discorso è stato portato avanti dal mio predecessore, il quale forse poteva dare meglio di me le risposte al Consigliere Agnesod.

Comunque faccio una piccola cronistoria della situazione, perché in questa vicenda vi sono stati dei fatti che sono precedenti all’incarico che ho avuto nel gestire l’Assessorato all’Agricoltura.

Con deliberazioni di Giunta n. 9563 in data 12 dicembre 1986 e n. 465 del 23 gennaio 1987 venivano approvati i lavori di costruzione della strada di cui si tratta per un importo complessivo di lire 1.628.000.000.

Con deliberazione di Giunta n. 913 del 29 gennaio 1987, vista l’opportunità di procedere ad uno studio sull’impatto ambientale dell’opera, in considerazione della zona interessata ai lavori di struttura caratteristica per la presenza di vigneti in terrazzamenti, veniva incaricata dello studio sopracitato la società Zollet Ingegneria S.p.A., con sede a Belluno. L’aggiornamento delle tipologie progettuali veniva approvato con deliberazione di Giunta del 4 dicembre 1987.

Con regolare appalto i lavori venivano affidati all’impresa Lys s.r.l. con sede in Serravalle Scrivia, risultante la migliore offerente.

I lavori venivano infine consegnati in data 25 maggio 1988 e sospesi in pari data, in quanto non sussisteva l’immediata disponibilità dei terreni; c’è stato un accordo fra l’Assessorato e i proprietari per permettere a questi ultimi di effettuare la vendemmia nel 1988.

I lavori venivano ripresi in data 13 febbraio 1989 e nella primavera dell’anno corrente si sono ultimati i lavori del primo appalto.

Attualmente, con delibera del 7 settembre è stato affidato l’incarico per la progettazione esecutiva del secondo tronco, ad avvenuta presentazione di quest’ultima i lavori verranno appaltati con le procedure previste dalle norme vigenti e speriamo questo possa avvenire entro il mese di gennaio-febbraio al più tardi, in quanto in base all’incarico affidato per la progettazione dovrebbero consegnarci i progetti esecutivi entro la metà di dicembre del corrente anno.

La filosofia progettuale seguita prima per lo studio e in seguito per la realizzazione dell’opera di cui si tratta, ha portato alla realizzazione di manufatti con tipologie strutturali particolari, sovente sperimentate per la prima volta, le quali, se si va a vedere precedenti interrogazioni, hanno suscitato dubbi e perplessità.

Quindi prima di continuare l’opera, almeno questo mi è stato riferito, si era voluto verificare le prime risultanze sia in merito alla stabilità che all’inserimento ambientale.

Avendo giudicato infine le stesse in gran parte soddisfacenti, si è proceduto alla progettazione esecutiva particolareggiata per la seconda parte.

Una domanda che faccio è questa: come è stato possibile che i lavori appaltati riguardassero la realizzazione della strada per l’intero, mentre a stanziamenti esauriti rimangono ancora da eseguirsi oltre un miliardo di lavori?

Questo semplicemente perché lo studio di impatto ambientale è stato effettuato dopo la progettazione ed ha portato a delle grosse modifiche del progetto originale, quindi ha portato a delle maggiori spese.

Per ultimare questa strada si pensa occorra 1 miliardo 200 milioni, sperando, ripeto, di poter fare tutto entro i primi mesi del prossimo anno.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Consigliere Agnesod, ne ha facoltà.

Agnesod (UV) - Pour la première partie de la réponse je me retiens point satisfait, puisque cette oeuvre a été construite bien et, sans être des techniciens, tous, nos viticulteurs et les habitants de Donnas, se sont déclarés satisfaits de l’oeuvre réalisée, parce que c’est une oeuvre qui tient compte de l’environnement, va s’insérer très bien et a une consistance valide.

Pour l’autre partie, du fait que dans le mois de janvier pourrait partir le restant de l’oeuvre, je souhaite que cela ce sera vrai pour nos viticulteurs, pour l’importance qu’elle revêt dans la viticulture de la basse Vallée. Alors pour ce fait les explications et les engagements fournis par l’Assesseur peuvent être satisfaisants.

Presidente - Ha chiesto di parlare il Consigliere Perrin, ne ha facoltà.

Perrin (UV) - Dans sa réponse l’Assesseur à l’Agriculture a essayé de décharger une partie de responsabilité sur qui l’a précédé, c’est-à-dire le soussigné.

Il est vrai que ce que nous avions prévu en tel que projet, et donc le coût global de la route, a été largement dépassé et cela est dû au fait que ce Conseil même, après que l’oeuvre avait été mise en appel d’offres, avait demandé que sur cette oeuvre on procède à un projet d’évaluation sur l’impact. Ce projet a causé l’augmentation énorme des frais de construction de la route.

Mais évidemment, au moment où nous avons approuvé le nouveau projet qui tenait compte de l’impact sur l’environnement, nous savions que l’oeuvre aurait coûté énormément plus, à peu près la moitié en plus, et que donc l’argent qui était mis à disposition de la route n’était pas suffisant.

Ce que nous avons voulu demander par cette interpellation ce n’est pas l’histoire, que nous connaissons, mais s’il y avait la volonté de procéder à mettre en appel d’offres et donc à procéder pour la réalisation du deuxième tronçon.

Donc ce n’était pas une réponse sur l’histoire de la route que nous attendions, mais justement l’engagement à poursuivre cette oeuvre, qui est extrêmement nécessaire pour la revitalisation du coteau de Donnas et de Pont-Saint-Martin et donc pour une reprise de la viticulture de ce secteur.

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