Oggetto del Consiglio n. 1135 del 4 aprile 1990 - Resoconto
OGGETTO N. 1135/IX - INTENTION VIS-A-VIS DES "GRAFFITI" VISIBLES SUR DES ROCHERS DANS LE TERRITOIRE DES COMMUNES DE MONTJOVET, ARNAD ET BARD. (Question)
PRESIDENTE:Do lettura dell'interrogazione presentata dal Consigliere Agnesod ed iscritta al punto 4 dell'ordine del giorno.
INTERROGATION
Constatant la présence de "graffiti" injurieux visibles de l'autoroute au niveau du Château de Montjovet; sur un rocher, visible de la SS. 26, peu avant le Fort de Bard, de même que sur la Paroi d'Arnad, fréquentée par de nombreux alpinistes, vers Machaby, et en d'autres lieux de la Vallée;
Constatant leur présence déjà ancienne pour la plupart;
Vu que nombreux de ces lieux présentent une forte fréquentation touristique ou de passage;
Compte tenu que l'image de la Vallée d'Aoste pourrait s'en ressentir;
le soussigné Conseiller régional
INTERROGE
les Assesseurs compétents sur leurs intentions vis-à-vis de ce problème.
PRESIDENTE:Ha chiesto la parola l'Assessore al Turismo, Urbanistica e Beni Culturali, Faval; ne ha facoltà.
FAVAL (UV):Je remercie le Conseiller Agnesod, qui a présenté cette interrogation, parce que cela nous permet de souligner comme cette "mauvaise habitude" de quelqu'un est à même de gâcher la nature de façon parfois irremplaçable. Dans les localités où ces gens se sont adonnés à cette activité il y a effectivement des difficultés pour y arriver et utiliser certains moyens pour effacer ce passage, parce que - comme vous connaissez - pour atteindre les rochers en dessous de la tour de Montjovet et même à Bard et à Arnad il faut s'adresser à de véritables alpinistes, car on ne peut arriver là sans une connaissance remarquable de l'activité d'alpinisme.
Il y a deux problèmes: la difficulté d'accès et aussi les matériaux utilisés. Si nous allons avec des agents chimiques, nous risquons de gâcher le milieu encore pire que ce qui a été fait par ces messieurs. Sur le rocher nous avons des lichens et toute une microflore qui s'est formée pendant les siècles.
Nous sommes en contact avec la protection civile, car il faut s'adresser à eux, pour voir la façon d'y arriver et quelle substance utiliser pour effacer ces "graffiti".