Objet du Conseil n. 927 du 18 septembre 2019 - Resoconto
OGGETTO N. 927/XV - Interpellanza: "Interventi per la risoluzione delle problematiche inerenti la scuola dell'infanzia valdostana".
Farcoz (Président) - Point n° 36 de l'ordre du jour. Pour l'illustration, la parole au collègue Aggravi.
Aggravi (LEGA VDA) - Io non voglio mettermi in mezzo a due insegnanti, quindi cercherò in maniera molto più modesta di portare all'attenzione un problema che in realtà è già stato toccato da altre iniziative di altri colleghi: cito ad esempio quella del luglio di quest'anno dei colleghi Restano e Cognetta sulla situazione della scuola dell'infanzia valdostana. Penso al di là dell'attenzione che ognuno di noi per le problematiche che ci sono dà a questa costola importante della formazione dei nostri piccoli... ha una particolare importanza proprio perché è il primo momento in cui possiamo dire che i piccoli valdostani si affacciano appunto alla società e di fatto prendono "forma". Nell'iniziativa si vogliono chiedere appunto tutta una serie di questioni, forse anche di grandi questioni che non si possono risolvere in qualche minuto ma sicuramente una sintesi l'Assessore ce la darà. È ovvio che l'iniziativa è mossa soprattutto dal fatto che ci sono state numerose segnalazioni appunto anche di insegnati che sono precari e quindi che non hanno un posto definitivo; hanno segnalato problemi che affliggono il sistema scolastico dell'infanzia e che mettono a rischio la vera questione: la qualità del servizio finale o, meglio, la qualità della formazione (non voglio ridurre tutto a una specie di mercato e la collega Pulz che non c'è mi potrebbe riprendere su questo aspetto). Ci sono appunto degli aspetti che preoccupano chi ha segnalato, ma dovrebbero preoccupare tutti noi, riguardo alla responsabilità degli insegnanti del corpo docente, alla sicurezza dei bambini e di fatto anche la problematica riguardante gli organici e soprattutto anche l'insieme dei supplenti. Noi nelle premesse ricordiamo che ad oggi possono esercitare la funzione di supplenti anche soggetti non in possesso di titoli tipicamente richiesti agli insegnanti, quali, ad esempio, la laurea in Scienze della formazione primaria o altro titolo.
Ricordiamo poi, proprio per citare anche in parte quanto già altri colleghi hanno segnalato, il fatto che vi è una norma che vieta la sostituzione di un insegnante nel primo giorno di assenza e anche questo ha generato delle problematiche proprio perché vi è un peggioramento del rapporto esistente tra il numero degli insegnanti e i bambini da poter gestire, questo determinando la trasformazione del ruolo di formatore dell'insegnante a un ruolo quasi di vigilante dell'Aula, nonché poi anche all'insieme delle funzioni che gli insegnanti devono svolgere non soltanto legate all'attività vera e propria per la quale sono assunti o sono pagati ma attività anche collaterali che sembrano - io lo sintetizzo così - attività più amministrative, più di segreteria. Per questo chiediamo appunto se l'Assessorato è a conoscenza delle problematiche citate in precedenza, è un po' lapalissiana ma è utile sempre chiederlo, quali siano gli intendimenti del Governo regionale per risolvere le numerose problematiche che affliggono oggi la scuola dell'infanzia valdostana, nel suo discorso di insediamento il presidente Fosson aveva citato particolarmente la famiglia. Noi crediamo che il primo aspetto importante della famiglia sia appunto la sua riproduzione e quindi la formazione dei bambini, dei piccoli e quali siano nello specifico gli intendimenti del Governo per ovviare alle carenze di organico che oggi sembrano colpire in maniera significativa l'insieme degli insegnanti e quindi anche, come dicevo prima, la qualità del servizio finale e quale sia la posizione del Governo regionale in relazione al fatto che le supplenze vengono affidate a soggetti non in possesso di titoli specificatamente equipollenti a quelli richiesti agli insegnanti.
Vi è un ulteriore aspetto che volevo sottolineare e che aggiungo: quello che citiamo nelle premesse, ovvero il fatto che ad oggi non vengono effettuate visite medico-psicologiche o comunque specialistiche a tutti gli insegnanti in servizio, compresi i supplenti saltuari. Confido nella buona sintesi dell'Assessore ed eventualmente sono a disposizione poi, se il tempo non bastasse, per integrare poi anche per iscritto la sua risposta.
Dalle ore 17:39 assume la presidenza il vicepresidente Distort.
Distort (Presidente) - La parola all'assessore Certan.
Certan (AV) - En effet, je crois qu'en entrant toujours plus dans le détail de cette thématique, peut-être nous réussirons tous ensemble à aborder toutes les différentes nuances que cet aspect sûrement pose. Comme j'ai déjà dit dans d'autres occasions - et vous les avez citées dans votre réponse -, pour répondre à cette interpellation, je tiens avant tout à souligner qu'en ce qui concerne la Vallée d'Aoste, on ne peut pas en aucun cas parler de carence de personnel enseignant. Comme vous le savez, on adopte des critères spécifiques et des paramètres précis pour dresser les organigrammes relatifs: je parle des organici di diritto au mois de mars et des organici di fatto au mois de juin, relatifs au poste d'enseignant; je souligne que ces organigrammes au niveau italien sont mis à jour chaque trois années et en Vallée d'Aoste toutes les années. Tous le postes sont mis en place donc s'il y a des possibilités même de passer d'un temps déterminé à un temps indéterminé, les bureaux font ce passage, font cette analyse. Je disais: en adoptant des critères très spécifiques avec des paramètres plus différenciés et plus précis que ceux qui sont fixés à l'échelon national, notre Région a un modèle d'école valdôtaine axé sur l'amélioration de la qualité de l'offre de formation largement garantie tout au long des années. Cela en faisant une action de comparaison avec le reste du territoire, après quoi je suis d'accord avec vous qu'on doit toujours atteindre à une qualité toujours majeure. J'ajoute encore que même si plusieurs dispositions nationales ont été promulguées pour permettre l'augmentation du nombre d'élèves par classe - je fais un exemple: augmentation du rapport moyen élèves-classe c'est de 0-40 pour le triennat 2009/2011 au sens de la lettre e) du deuxième alinéa de l'article 2 du DPR n° 81/2009 -, notre Région n'a jamais mis en place l'action de rationalisation, n'a jamais effectué ces actions pour augmenter le rapport élèves-enseignant. Par ailleurs, des critères fixés pour l'année scolaire 1999/2000 liés au nouveau contexte introduit par l'autonomie didactique et organisationnelle attribuée aux institutions scolaires par la législation ont été maintenus. Même si ces paramètres ont été revus bien de fois au niveau national, nous les avons maintenus ainsi.
Je pense à deux aspects que vous avez touchés que j'aimerais rappeler: celui de la sûreté et celui de la qualité. Pour ce qui est des problèmes dérivant de l'interdiction de remplacer les enseignants dès le premier jour d'absence, je vous signale que celle-ci a été introduite par une disposition nationale en 2014, loi de stabilité 2015, qui vise la réduction des dépenses internes de personnel. Nous devons donc l'appliquer dans les écoles de notre région comme dans le reste du Pays. Cela signifie quand même qu'uniquement durant le premier jour d'absence d'un enseignant celui-ci doit être remplacé par ses collègues en poste dans la même école et sur la base d'un plan de remplacement élaboré par chaque institution scolaire. Je souligne cependant que cette norme garantie la sauvegarde de l'offre de formation et que, par conséquent, l'interdiction susmentionnée n'est pas appliquée dans le cas où le non remplacement d'un enseignant dès son premier jour d'absence génère l'impossibilité d'assurer le déroulement régulier du service scolaire donc nous ne l'appliquons pas. Pour ce qui est de la qualité de l'enseignement, s'il y a des enseignants qui peuvent substituer et qui sont dans le plan de substitution, autrement on ne l'applique pas et cela c'est quand même à discrétion du directeur scolaire parce que c'est lui qui connaît la situation de l'école. Ainsi que dans les écoles qui ne comptent qu'une section - et en Vallée d'Aoste nous en avons beaucoup - il est possible de faire venir un remplaçant dès le premier jour d'absence du titulaire du poste et de la même façon il est possible de faire venir un enseignant de soutien remplaçant dans le cas où l'absence de l'enseignant de soutien titulaire ne permet pas à l'élève handicapé de fréquenter l'école normalement.
Je souhaite également rappeler que les conséquences de la chute de natalité - dont nous en avons parlé beaucoup de fois - sur le monde scolaire sont prises en considération par l'administration scolaire et que le dialogue avec les organisations syndicales valdôtaines du monde de l'école est de nouveau ouvert pour étudier certains problèmes de ce secteur pour l'école maternelle comme pour les écoles des autres ordres et degrés, c'est normal qu'en ce moment la première école à être de quelque façon touchée c'est la maternelle. Je vous rappelle encore qu'au cours de cette année est prévu que la structure régionale compétente en matière réalise une analyse détaillée de la situation relative aux écoles de montagne maternelles et primaires, ainsi que des aux autres établissements. Cette analyse fournira tous les éléments utiles règlementaires, organisationnels et économiques pour décider de quelle façon intervenir afin de réaliser l'objectif stratégique du programme de gouvernement pour ce qui est de la sauvegarde des écoles de montagne, et des pluriclasses je dirais aussi, et pour garantir ce que vous demandiez: sûreté et qualité.
En revanche, quant à la position du Gouvernement régional sur la question des remplacements confiés à des sujets qui ne possèdent pas des titres équivalents à ceux qui sont demandés aux enseignants titulaires, je tiens à préciser que l'attribution des remplacements dans le domaine scolaire est règlementée par des dispositions précises qui imposent que les recrutements soient faits sur la base de listes d'aptitude dressées selon les modalités spécifiques composées uniquement de sujets satisfaisants les conditions requises pour l'enseignement prévues par la législation en vigueur. Il est cependant entendu que lesdites listes d'aptitude et celles des écoles voisines sont épuisées. Quand les listes sont épuisées, les écoles peuvent recourir au personnel non inscrit aux listes susmentionnées mais ayant déposé une demande d'attribution de remplacement. Cet aspect je vous l'assure est assez important dans l'école maternelle mais beaucoup plus dans les autres degrés d'école où la qualité de l'enseignement est encore plus liée aux compétences didactiques et pédagogiques de l'enseignant.
Si aucun personnel ne possède donc les titres prévus pour accéder à l'enseignement, l'école peut recourir à du personnel qui ne le possède pas dans le seul but d'assurer le service scolaire pour éviter de devoir fermer l'école vu que les élèves ne peuvent évidemment être laissés seuls en classe. C'est vraiment la dernière option qu'en Vallée d'Aoste arrive très peu, seulement dans des cas de maladie ou d'épidémie, dans les périodes de rhume où on a des enseignants malades dans un nombre majeur, ou bien vers la fin de l'année quand tous les enseignants ont été occupés déjà de quelque façon. Il s'agit d'une solution extrême à laquelle on ne peut pas et on ne doit pas recourir que quand il est impossible de recruter les sujets en possession des titres prévus, la Surintendante l'a précisé aux dirigeants scolaires. Après je vous passerai ma réponse ainsi vous l'avez toute, mais je voudrais encore dire que je vous avoue quand même que si jusqu'à maintenant nous avons tenu bon sur les termes de la loi n° 18/2016 qui ne considérait pas des projets 0-6, mais du moment que notre système est axé sur le 0-3 et le 3-6 lié à l'école et le 0-3 lié à l'école enfantine, on est en train de le prendre en considération au moins pour des cas extrêmes.
Dalle ore 17:51 riassume la presidenza la presidente Rini.
Rini (Presidente) - Per la replica, la parola al collega Aggravi.
Aggravi (LEGA VDA) - Merci Madame l'Assesseur pour votre réponse et merci pour me la rendre disponible dans une forme écrite, ainsi on pourra mieux comprendre la situation générale et surtout ce qu'on pourra encore - pourquoi pas? - vous demander dans les prochaines séances du Conseil. Je chercherai de non banaliser, je pars de ce que vous avez dit, malheureusement je pense qu'on doit attendre que la chute de natalité aille nous aider. Pour le fait que c'est un index que, par rapport au numéro du personnel et surtout pour ce qui est du numéro des sections, pourra nous porter à faire des raisonnements et comprendre surtout quelle sera l'évolution de notre société et surtout notre futur, je dirais. Malheureusement vous avez justement cité des données qu'on verra et on analysera encore plus dans le détail et la réglementation que je dirais en grosse partie, si j'ai bien compris, de provenance centrale et donc nationale. Je crois malheureusement, et je dois le dire, que tout à fait si on a des signalisations, si on a des critiques et des problématiques, si la base du corps du personnel, du corps enseignant va dénoncer... sans doute c'est toujours ainsi quand on joue à faire les petits syndicalistes même dans l'école, on a un peu de problèmes... Si on nous demande des réponses et si on nous demande de résoudre certains problèmes qu'on a et qu'on connaît très bien, car la sûreté des petits enfants mais même des grands enfants c'est toujours une question de sûreté et donc c'est même une question administrative de responsabilité... je crois qu'on a encore beaucoup à faire et qu'on retournera sur cet argument et pas seulement se limitant à celle qu'est aujourd'hui notre école maternelle.