Objet du Conseil n. 2239 du 14 juillet 2016 - Resoconto
OGGETTO N. 2239/XIV - Interrogazione: "Indicazioni fornite alla società CVA per la rinegoziazione dei contratti per l'affidamento della fornitura di pasti ai dipendenti".
Rosset (Presidente) - Punto n. 10 dell'ordine del giorno. Ha chiesto la parola il Presidente della Regione per la risposta; ne ha facoltà.
Rollandin (UV) - Pour répondre à cette question nous avons demandé des informations directement à CVA S.p.A., qui nous a informés avoir pris la décision de ne plus gérer de manière directe les conventions avec les restaurateurs, comme elle le faisait auparavant, mais de confier à un organisme externe l'organisation du service de restauration pour les années 2016, 2017 et 2018. En effet, la gestion directe n'a pas été considérée comme la plus avantageuse économiquement, compte tenu des frais divers qu'elle comportait pour la société, aussi bien au niveau de la gestion qu'au niveau administratif, sans pour cela garantir une meilleure satisfaction des besoins des travailleurs des filiales principales et secondaires de l'entreprise. L'entreprise sélectionnée par CVA est Edenred Italia S.r.l., premier acteur dans le secteur des services, qui compte parmi ses clients ENEL S.p.A., mais aussi DEVAL S.p.A. depuis janvier 2015. Par ailleurs, contrairement à ce qu'indique l'interpellation, CVA n'a pas confié à Edenred Italia la renégociation des contrats pour l'attribution de la fourniture des repas aux employés, mais s'est adressée à ladite société pour assurer, au moyen d'elle, la gestion du service de restauration du 1er octobre au 31 décembre 2018. La procédure à suivre pour fournir ce service est entièrement à la charge d'Edenred Italia, qui est déjà au travail sur le territoire régional, afin de signer les conventions avec les établissements disposés à fournir les repas pour les employés de CVA.
Le Conseiller m'a demandé "se quanto sopra corrisponde al vero": je peux confirmer qu'à partir du 1er octobre 2016 CVA passera de la gestion directe du service de restauration à une gestion indirecte de ce service, qui, comme nous l'avons dit, a été confiée à la société Edenred Italia. Le changement du type de gestion n'aura pas de conséquences pour les employés, conformément à ce que prévoit l'article 45 de la Convention collective nationale du travail pour le secteur électricité. En vue de ce prochain changement, le 17 juin 2016 CVA a fait parvenir à son personnel une communication interne visant à informer des nouvelles modalités de gestion du service de restauration. Cette communication comprenait la liste des 58 établissements conventionnés. À présent, Edenred Italia a fait savoir que désormais on est à 71 adhésions. Le fait que le nombre de restaurants conventionnés a augmenté de 58 à 71 est bien la preuve que CVA a demandé à la société qui fournit le service d'accorder une attention particulière au territoire valdôtain, en permettant à d'autres établissements de se conventionner pour élargir le réseau des restaurants disponibles. La crainte des travailleurs était celle qu'il n'y avait plus les mêmes restaurants disponibles qu'auparavant. Comme je viens de vous le dire, non seulement les 58 restaurants qui étaient disponibles auparavant sont confirmés, mais maintenant il y en a 71.
Le collègue m'a demandé "se sono state date indicazioni in merito alla negoziazione": dans le cadre du processus de rationalisation des dépenses entamé par CVA, l'objectif était de faire des économies directes, avec une diminution du coût de service, mais aussi des économies indirectes, avec moins de tâches à la charge des structures internes qui s'étaient jusqu'à présent occupées de la gestion de ce service. Dans cette optique, tout en maintenant la quantité et la qualité des repas - je le souligne - on a tenté d'obtenir les modalités de fourniture du service à des conditions plus avantageuses pour CVA.
Sur la période qui va du 1er octobre 2016 au 31 décembre 2018 (27 mois) la société estime pouvoir faire une économie d'environ 450.000 euros.
On me demande aussi "se il risparmio andrà a compensare il costo della società esterna": les économies susmentionnées d'environ 450.000 euros constituent un gain net, non pas pour la société, mais pour CVA. Celle-ci ne bénéficieront donc en rien à Edenred Italia.
Je crois que cet aspect est suffisamment clair et surtout qu'on a tout fait dans l'intérêt de CVA et des travailleurs, en maintenant la qualité et la quantité.
Presidente - Ha chiesto la parola la collega Certan; ne ha facoltà.
Certan (ALPE) - Merci Monsieur le Président pour vos réponses. In parte le avevamo ricevute lo scorso martedì, in IV Commissione, dal Direttore generale di CVA, che era venuto in audizione anche per altri dossier e ci ha portato anche queste informazioni. La ringrazio per il dettaglio con il quale ci ha fornito tutte le informazioni.
Noi abbiamo preparato questa iniziativa per capire, per monitorare e chiedere anche a voi di monitorare, voi come maggioranza, perché comunque il servizio alla fine va a ricadere sia sui ristoratori che sui dipendenti CVA, quindi credo che sia un compito anche dell'Amministrazione regionale controllare questo, perché abbiamo avuto diverse segnalazioni. È chiaro - come lei ci ha annunciato - che per poter far avere un risparmio di 450 mila euro in ventisette mesi probabilmente l'azienda deve in qualche modo avere più locali convenzionati, perché deve avere un maggiore giro, soprattutto deve cercare di essere capillare, di avere il più possibile i locali convenzionati nei luoghi che siano comodi, oltre che convenienti, ai lavori. Io credo che il numero dei locali convenzionati sia aumentato anche per questa motivazione, pertanto siamo d'accordo sull'azione di risparmio che è stato fatto. Sulla scelta del perché CVA abbia deciso di non assumersi più questo impegno di gestire direttamente le convenzioni e di esternalizzarle noi abbiamo chiesto al Direttore generale, come IV Commissione, di poter avere il contratto e anche le motivazioni di questa scelta.
L'unica cosa che non vorremmo è che poi a farne le spese fossero i locali e i ristoranti, perché è chiaro che - come lei ha giustamente detto - CVA non ha rinegoziato, ha ragione, è più grande l'azione che CVA ha delegato a questa società: ha proprio dato la gestione di tutto il servizio, non solo di rinegoziare i prezzi come pensavamo all'inizio, per cui questa società non lavorerà gratuitamente ma avrà un guadagno. Noi ci auguriamo di non dover ritornare su questo argomento, perché temiamo un po' che la qualità e la quantità su questi servizi non vadano sempre di pari passo.
Noi siamo sicuri che sia voi come Giunta regionale che CVA come esternalizzatore di questo servizio controllerete che la qualità possa essere mantenuta dai ristoratori, perché ad un certo punto è chiaro che i primi ad averne poi la ricaduta saranno tutti i lavoratori di CVA. Diciamo che dovrà essere stabilito un equilibrio tra chi utilizza questo servizio e chi lo eroga. Noi ci auguriamo che in questo ci sia il massimo controllo, perché è chiaro che sennò oltre al danno ci sarebbe la beffa, soprattutto per i locali convenzionati.
Dalle ore 11:03 assume la presidenza il Vicepresidente Viérin Marco.