Objet du Conseil n. 1795 du 24 février 2016 - Resoconto

OBJET N° 1795/XIV - Communications du Président de la Région.

Viérin M. (Président) - Point 2 à l'ordre du jour. La parole au Président de la Région.

Rollandin (UV) - Merci Président.

Les 10 et 11 février dernier j'ai participé à Bruxelles à la séance plénière du Comité des Régions, consacrée notamment à la politique de cohésion européenne. Il s'est agi d'une importante occasion de dialogue avec la Commission européenne, qui nous a permis de rappeler combien il est important, dans le cadre réglementaire de la mise en œuvre de la politique de cohésion et des relations entre les zone urbaines et les zone rurales, de prévoir des mesures de facilitation fiscale susceptibles de créer les conditions pour un développement durable des zones de montagne. Toujours en matière d'actions visant à encourager le développement des zones de montagne, il a été souligné que le Produit Intérieur Brut, tout en étant un indicateur immédiat et facile à interpréter, ne suffit pas à représenter la complexité des phénomènes économiques régionaux, et ce, en particulier, pour les réalités comme la Vallée d'Aoste. Merci.

Président - La parole au collègue Chatrian.

Chatrian (ALPE) - Grazie Presidente, e buongiorno colleghi.

Una breve comunicazione. Nell'ultimo Consiglio era stato preso un impegno da parte del Governo regionale e quindi comunico a tutti i colleghi che è stato onorato l'impegno assunto in questo Consiglio: è stato archiviato e revocato il procedimento disciplinare fatto a un dirigente. Io penso, noi pensiamo che altri commenti siano superflui in questo momento. L'auspicio è che non capitino più questi brutti episodi.

Volevo comunicare al Presidente della Regione che in queste settimane ci sono state trasmesse numerose segnalazioni da parte di numerosi dirigenti regionali preoccupati da come è stato affrontato tale episodio, ma se il tutto è stato archiviato, completamente riesaminato e revocato, noi pensiamo che sia stato solo un episodio, e che con tutta serenità si possa collaborare con il Governo e con i dirigenti delle strutture, serenamente. Abbiamo i nostri statuti, le nostre possibilità; che questo brutto episodio non capiti più, quindi, e che non più sia un esempio da trarre.