Oggetto del Consiglio n. 506 del 26 aprile 1984 - Resoconto
OBJET N° 506/VIII - REALISATION DE LA LIASON FERROVIERE EAUX-FROIDES CHAREMOZ -COGNE. (Interpellation).
PRESIDENTE: Do lettura dell'interpellanza presentata dai Consiglieri Tamone, Rolando, Perrin, Voyat et Stévenin.
INTERPELLATION
Par la délibération n° 2261 du 8 avril 1983, le Gouvernement régional a autorisé l'adjudication pour la forniture de wagons nécessaires à la liaison ferroviare Eaux-Froides-Charemoz-Cogne en approuvant le cahier des charges spécial annexé.
Ayant entendu dire que l'adjudication avait été conclue et que plusieurs entreprises importantes, dont certaines groupées en consortium, avaient présenté leurs offres pour la construction immédiate.
Vu qu'il existe depuis longtemps un projet présenté par les techniciens nommés par la Région depuis 1981, et comprenant également l'aménagement du tunnel et des autres ouvrages.
Vu que le budget régional 1984 prévoit un premier crédit de 2 milliards de lires pour la réalisation de la liaison proprement dite.
Etant donné que jusqu'à présent il n'a pas été possible de savoir si l'adjudication de la construction des wagons et de l'autre matériel roulant, avait effectivement eu lieu, ni si l'on avait l'intention d'entreprendre les travaux d'aménagement du tunnel et du chemin de fer;
INTERPELLENT
l'Assesseur régional à l'Industrie, Commerce, Artisanat et Transports pour savoir:
1) s'il a été procédé et quand, à l'adjudication pour la construction du matériel visé à la délibération du Gouvernement régional n° 2261 du 8 avril 1983;
2) quelles sont les actions prévues et financiées, pour la réalisation de la liaison ferroviaire Charemoz-Cogne;
3) quand doivent être entrepris les travaux d'aménagement du tunnel et de la ligne de chemin de fer;
4) quels sont les détails et les modalités des diverses iniziatives liées à la réalisation de la liaison complète et à son exploitation.
PRESIDENTE: Ha chiesto la parola il Consigliere Stévenin; ne ha facoltà.
STÉVENIN: (U.V.): A l'occasion de la fermeture des mines de Cogne, des engagements précis avaient été pris par la Société et par le Gouvernement régional à l'égard de la Communauté de Cogne et des organisations syndicales.
Avant tout, c'était l'installation des activités industrielles (celles réalisées avec la SOTTINI e la COFARCO) qu'on avait prévue.
On se demande, même si tout le monde connaît les difficultés que la SOTTINI est en train de passer, si cet engagement sera maintenu. La Société COGNE avait promis, de son côté, la mise à disposition du Village des mineurs pour réaliser un centre touristique et on pouvait compter aussi sur la liaison ferroviaire entre Charemoz et Cogne. Si les deux premiers engagements ont été respectés, ce dernier doit être encore achevé.
L'interpellation a le but d'acquérir des renseignements sur la réalisation du projet de transformation de la ligne de chemin-de-fer entre Cogne et Charemoz en une ligne de tramway. Les autorités communales de Cogne et de Gressan, les professionnels du tourisme et du commerce de la zone et surtout la population de Cogne ont manifesté un certain malaise pour le manque d'informations, mais surtout pour le manque de faits concrets, qui témoignent une effective volonté de mettre en oeuvre ce projet pour lequel le Gouvernement avait donné de précises garanties.
On peut très bien se rendre compte que des difficultés non prévues se sont présentées, mais nous retenons quand même qu'il est préférable de porter à connaissance de tous tout ce qui s'est passé au bout de l'année: les investissements, les difficultés qui se sont présentées, les retards, les motivations de ces retards d'investissements.
En-effet, il est indiscutible que par la délibération n. 2591 du 23 mai 1980, le Gouvernement régional a confié à deux ingénieurs de Turin le projet de transformation de la ligne du chemin de-fer Cogne-Charemoz. Il résulte ensuite, par la délibération du Gouvernement Régional n. 2092 du 23 avril 1981, que les deux ingénieurs ont remis les plans et les élaborés à l'Assessorat compétent. Il est également indiscutable que, par la délibération n. 2261 du 8 avril 1983, le Gouvernement Régional a approuvé le cahier des charges et a autorisé des accords privés pour la fourniture de 10 wagons prévus dans la ligne de tramway entre Cogne et Charemoz.
Il en résulte que un concours de sélection, sur la base du cahier des charges, a été effectué par l'Assessorat compétent, c'est-à-dire par celui qui maintenant est l'Assessorat aux Transports (et continuera à l'être pendant 7 années) et que d'importantes entreprises spécialisées dans le secteur ont participé, même groupées en consortium. On ne comprend pas pourquoi, vu que depuis le 1981 la Région a demandé un projet complet et maintenant ce projet existe, on n'a pas encore decidé l'adjudication des travaux prévus pour la transformation du tunnel et de la ligne ferroviaire en une ligne à nouvelle destination. On ne comprend pas pourquoi l'Assessorat aux Transports, qui est en possession des meilleures offres dans le secteur de la fourniture des wagons, n'a pas encore donné des nouvelles sur l'adjudication des travaux.
Ce retard risque de rendre vaines toutes les offres présentées, parce que les prix et les conditions risquent de ne plus être en concurrence pour le futur. En plus, on court le risque d'être obligés à faire une nouvelle sélection et on ne sait pas si, à ce moment-là, il y aura des entreprises qui pourront répondre. Pourtant le Gouvernement Régional, par la délibération n. 6814 du 9 décembre 1982, avait décidé de donner un avancement aux travaux avec la forniture des wagons des passagers.
Sur la "Gazzetta del Popolo" du 20 février de l'année dernière, il y avait un article dans lequel on disait: "La Cogne protesta perchè tardano i lavori della galleria". A ce moment-là, il y a eu une déclaration de la part d'un composant du Gouvernement Régional qui disait, et je le repète textuellement,: "Occorre ora dare concreto avvio alla costruzione dei vagoni in questione, in quanto è tale realizzazione probabilmente quella che richiederà maggior tempo fra i vari interventi necessari all'attuazione del collegamento, trattandosi di prototipi".
Vu qu'une année est passée sans qu'on ait procédé à la construction des wagons, avec cette interpellation on veut avoir des renseignements précis sur l'exacte situation et sur les motivations qui ont determiné ces retards, soit dans la fourniture des wagons, qui avait été estimée la plus urgente, soit dans l'exécution des interventions nécessaires à la liaison du tramway: en particulier la réfection de la ligne, la consolidation des tunnels et la restructuration des gares comprenant la réfection de l'installation téléphonique et surtout on veut connaître comment on a résolu les problèmes de la sécurité.
En particulier, on se demande si l'on a confirmés que les ordres pour la fourniture de dix wagons ont été effectivement présentés, si le projet d'ensemble, qui avait été prédisposé par les techniciens chargés, a été considéré valable; si, dans la réalisation du projet déjà élaboré, le Gouvernement régional a l'intention de procéder à des modifications ou à des changements (dans ce cas là on voudrait savoir quels sont ces changements). Si, au contraire, on a décidé de remettre en question le projet de transformation, on aimerait bien savoir si le Gouvernement régional pense d'annuler le projet précédent ou le renvoyer au cas où il résulte moins favorable, malgré les engagements pris dans le passée par le même Gouvernement.
PRESIDENTE: Ha chiesto la parola l'Assessore all'Industria, Commercio, Artigianato e Trasporti Pollicini; ne ha facoltà.
POLLICINI (Féd. D.P.-U.V.P.): La complessa illustrazione che ha appena fatto il Consigliere Stévenin richiede una risposta altrettanto complessa e ritengo opportuno fare anche alcune rettifiche alle sue affermazioni.
Concordo sull'impegno assunto nel 1979 quando è stata chiusa la miniera: c'era un impegno reale da parte della Giunta regionale ad assumere delle iniziative tali da consentire al Comune di Cogne di superare la mancanza di quella attività lavorativa con altre attività alternative.
Non entro nel merito della questione della COROS, che non è stata un'esperienza felice; recentemente il suo capitale sociale è stato ridotto a 20 milioni, quindi è diventata una "s.r.l.". Sono venuti meno, infatti, gli organi di controllo ed il Consiglio di Amministrazione ha avuto una perdita notevolissima ed ha dovuto abbattere quindi, in nome della legge, il suo capitale.
Posso capire che si ritenga opportuno perseguire qualche iniziativa che risponda meglio di come ha risposto la COROS ai problemi occupazionali che si sono creati, proponendo una certa soluzione che, a posteriori, poteva essere più felice, più consona all'ambiente e alla natura. Infatti, per il milanese che sta undici mesi all'anno con la tuta blu davanti alle ciminiere, l'andare in vacanza e ritrovarsi davanti alle ciminiere non contrasta forse con le sue attese e aspettative nell'ambito del Parco del Gran Paradiso? Qualsiasi attività ha implicito il rischio di sbagliare: non sbaglia soltanto chi non fa nulla. Importante però è fare tesoro degli errori già commessi.
Questa ferrovia, che ha una lunghezza di 11,644 Km., di cui 3,421 Km. a cielo aperto e 8,223 Km. complessivi in tre gallerie è molto vecchia (era stata costruita dall'ANSALDO nel 1926) quindi va interamente rifatta. Verrà trasformata in tramvia intercomunale, perchè la Regione ha potestà primaria in fatto di tramvie, cosa che non ha per le ferrovie.
I tecnici ritengono che la galleria possa valere, allo stato attuale, dai 40 ai 50 miliardi, però il degrado che sta subendo quest'opera, in quattro anni e mezzo di fermata, rischia di diventare irreversibile fra due o tre anni. Ci sono delle enormi perdite d'acqua che vengono canalizzate nei torrenti e di conseguenza la volta continua a franare. Vi è quindi la necessità di procedere in tempi ristretti.
Qual è l'obiettivo che si propone la Regione, quando porta avanti questa iniziativa? Il rilancio turistico di Cogne, di Pila e di Aosta per tutto l'anno. Noi riteniamo che il trenino rappresenti un'attrattiva perchè è un fatto anomalo e una novità e può essere motivo (almeno ce lo auguriamo) di rilancio turistico di Cogne, di Aosta e di Pila. L'obiettivo che si pone la Regione è importante ed è in sintonia con il tipo di economia che noi vorremmo alimentare anche in misura maggiore.
Abbiamo però trovato delle grosse difficoltà per quanto riguarda le pertinenze minerarie: la galleria Cogne Charemoz era considerata pertinenza mineraria e lo Stato non consente di utilizzare diversamente tutto ciò che è in miniera o è di pertinenza della miniera. Abbiamo avuto una serie di ispezioni del Corpo delle miniere, e in seguito a relazioni e viaggi a Roma, il 7 ottobre 1982 abbiamo ottenuto dal capo delle miniere la dichiarazione di non pertinenza. Il regime pertinenziale, con questa dichiarazione, si arresta all'impianto di arricchimento del minerale all'uscita della miniera; prima, invece, la pertinenza finiva al termine della galleria di trasferimento del minerale attraverso il trenino.
Un altro degli aspetti da affrontare era quello legato al tipo di progetto da fare e per il quale sono stati incaricati due esperti, l'uno in ingegneria civile (gallerie e tunnel) e l'altro in costruzioni ferroviarie (si tratta di un ex ingegnere delle ferrovie dello Stato attualmente direttore della ferrovia privata Torino-Ceres). Trovati gli esperti, sono stati fatti i sondaggi e vi posso assicurare che il lavoro è stato estremamente lungo, perchè esaminare passo a passo 8,200 Km. di galleria non è stato semplice, i due tecnici hanno fatto una serie di rilievi ed hanno presentato questo progetto diviso in due tempi d'attuazione. Il primo, necessario ed indispensabile, è l'immediato rivestimento delle volte che può riguardare circa il 30% della lunghezza della galleria, il secondo riguarda la parte in galleria che non presenta delle vene d'acqua e che quindi potrebbe anche non essere rivestita. Essendo la galleria grezza, quest'ultima parte potrebbe anche restare così com'è.
Gli interventi sono studiati in maniera da garantire il massimo di sicurezza e di efficienza, nonchè di riduzione dei costi; il grado di garanzia deve essere duraturo, per ridurre i costi di sorveglianza e di manutenzione, e deve assicurare anche una velocità confortevole. Questo è stato fatto dai nostri progettisti che hanno preparato un capitolato d'appalto che riguarda le opere civili, interne ed esterne, i binari, il materiale rotabile e i vagoncini, nonchè la parte elettrica che è a parte. Addirittura sono stati prenotati i binari della ferrovia Torino-Ceres: non c'è bisogno, infatti, di una rotaia nuova il cui costo è tre volte superiore, poichè la velocità massima (30 Km.) è tale da non creare problemi per il profilo della rotaia stessa. Abbiamo anche ottenuto l'approvazione tecnica del progetto ai fini della sicurezza da parte del ministero; per il resto, la competenza è regionale in quanto si tratta di una tranvia intercomunale.
Rientrando nelle domande specifiche presentate dagli interpellanti, occorre dire che a questa gara d'appalto-concorso sono state invitate 17 ditte ma solo quattro hanno risposto, anche se abbiamo prorogato più volte il termine di consegna delle proposte per aumentare la concorrenzialità tra le ditte stesse. Pensavamo che aderissero grosse ditte, come la FIAT ferroviaria, invece hanno aderito solo quattro società: la SEAT che ha sede a Carmagnola, la MAGLIOLA con sede a Santhià, la FIREMA che è consorzio di ditte con sede a Milano e la SOCIMI anch'essa con sede a Milano. Queste quattro buste, con le offerte, sono state aperte il 12 marzo e sono state esaminate dai due ingegneri preposti al progetto e dal direttore della Motorizzazione civile di Aosta.
I tecnici, prese in esame le quattro proposte, hanno fatto le loro scelte e hanno ritenuto opportuno segnalare una società che offre un numero di posti, per ogni vagoncino, che aumenta la portata di un terzo (noi avevamo previsto dodici posti). Il termine di consegna è di 18 mesi ed è fra i più bassi, perchè normalmente si va dai 18 ai 22 mesi. L'appalto dei vagoncini pertanto è stato fatto per primo poichè è la realizzazione che richiede maggior tempo, mentre per il rivestimento della galleria si prevedono tempi decisamente inferiori (quasi la metà).
In data 16 marzo ho portato in Giunta la proposta di assegnazione e la Giunta ha formulato tre esigenze: la prima è relativa all'aggiornamento dei costi, per cui abbiamo chiesto ai tecnici di aggiornare i costi complessivi al mese di marzo di quest'anno (i costi precedenti erano relativi all'epoca di realizzazione dei progetti).
Inoltre, proprio in relazione alla prospettiva di completare gli impianti, la Giunta ha chiesto di dare incarico ai due tecnici nominati di preparare un progetto per il prolungamento del binario che esce a Charemoz fino a collocarlo sull'asse intersecante l'attuale funivia Aosta-Pila, in maniera che, nell'ipotesi della realizzazione di questo collegamento, sia possibile avere un punto di fermata nella zona di Petit Cerise. Domani sarà discusso in Giunta l'incarico ai tecnici per effettuare questo prolungamento (che è di 1300 mt. circa) e quindi anche per la collocazione della stazioncina d'arrivo.
La Giunta ha tenuto una riunione speciale dedicata ai problemi dei collegamenti Acque Fredde-Cogne e Aosta-Pila nel corso della quale ha preso la decisione a cui noi ci siamo attenuti. Non è vero che l'Assessorato non ha ancora dato notizie sull'assegnazione dei lavori e non è neanche vero che c'è assenza d'informazione, perchè il sindaco di Cogne era settimanalmente informato della realizzazione di questo progetto.
Non manca, quindi, l'impegno: esso esiste ed è di vecchia data. Devo ricordare che nel mese di maggio del 1980 (io ero allora Assessore al Turismo), abbiamo indetto una riunione con gli operatori turistici nella quale abbiamo detto chiaramente che la Regione era disposta a dare addirittura il 49% per questo impianto di arroccamento Aosta-Pila se si trovava il restante 51%. Tutti gli operatori turistici, gli industriali, le banche, i comuni ecc. si dichiararono d'accordo, ma nessuno versò una lira. Chiaramente i tempi sono cambiati e la situazione evolve in meglio. In seguito si ravvisò l'utilità del proseguimento della ferrovia di Charemoz sino al Petit Cerise, per collegarla con la funivia Aosta-Pila; da questo punto di vista mi pare che ci sia stata una costante attenzione ai problemi di carattere turistico legati agli impianti di arroccamento.
La seconda domanda alla quale rispondo riguarda il problema finanziario. Proprio perchè il mezzo di collegamento è una tranvia, ricade nella legge n. 151 e cioè sul Fondo Nazionale Trasporti che ha due capitoli: il capitolo investimenti, dove vengono finanziati al 75% tutti gli investimenti (tipo il nostro investimento); inoltre, nel capitolo esercizio, si prevede il ripiano del deficit fino alla quota eccedente quella annualmente fissata, che quest'anno è del 35%. Lo Stato attraverso la legge n. 151, copre quindi il 65% dell'eventuale deficit.
I tempi per i lavori in galleria (opere civili) sono previsti in un anno, mentre occorrono 18 mesi per la consegna dei vagoncini. E' possibile, proprio in relazione ai dati che avremo al più presto, che i lavori possano avere tempi molto contenuti, proprio perchè abbiamo iniziato dalla fase più lunga, che è quella della fornitura dei vagoncini. Chiaramente saremo consequenziali, facendo i vagoncini e facendo la galleria. Per quanto riguarda i dettagli, potremmo citarne molti ma sono di carattere più che altro tecnico e sono compresi nel progetto e nelle relazioni.
Per quanto riguarda l'iniziativa regionale mi pare che sia abbastanza evidente l'impegno di creare le condizioni per il rilancio di una economia che, in mancanza di talune situazioni e in mancanza di una stagionalità più ampia, rischia di avere delle difficoltà. Anche sotto questo aspetto mi pare che si tratti di un segnale nuovo in una situazione economica piuttosto difficile.
PRESIDENTE: Ha chiesto la parola il Consigliere Stévenin; ne ha facoltà.
STÉVENIN (U.V.): Je prends acte des engagements du Gouvernement régional, mais je dois quand même préciser qu'il faut se rendre compte que, en ce qui concerne les investissements qui nous viennent du secteur des transports, il y a, a part les deux milliards dont l'Assesseur vient de nous parler, le risque que le plan des transports dès l'an 1985 n'existera plus, parce que l'échéance est à la fin de l'année en cours, c'est à dire on ne sait pas à présent si la loi qui prévoit ces financements pour le plan des transports continuera à être en vigueur pendant les prochaines années.
Le problème est, par consequent, un problème de temps, car l'Assesseur vient de nous dire qu'il faut attendre 18 mois: je me demande si c'est le cas d'attendre. Je me félicite qu'il y ait, de la part du Gouvernement régional, la décision de faire un nouveau projet pour la continuation du chemin-de-fer jusqu'au Petit Cerise; toutefois je me demande si ce n'était pas le cas d'aller en avant sur la base du projet initial parce que, évidemment, quand on avait pris certaines décisions, il y a un an à peu près, il y avait, à ce moment-là, la décision de continuer cet ouvrage.
C'est pour cela que, si je me félicite d'un côté, j'avoue de l'autre mes préoccupations, car on risque de perdre trop de temps avant de prendre une décision qui pourrait être celle qui prévoit plus de temps pour réaliser cet ouvrage. Nous verrons dans le temps si ces engagements seront maintenus et ce sera au moment où on commencera à executer les travaux.