Resoconto integrale del dibattito dell'aula. I documenti allegati sono reperibili nel link "iter atto".

Oggetto del Consiglio n. 1043 del 10 febbraio 2010 - Resoconto

OBJET N° 1043/XIII - Rejet de résolution: "Adaptation de la réforme du deuxième cycle du système éducatif aux particularités de l'école valdôtaine".

Résolution

Le Conseil des Ministres a approuvé le 4 février 2010 la réorganisation du deuxième cycle du système éducatif voulue par la réforme Gelmini, qui devra être appliquée à partir de l'automne 2010. À cet effet, le délai des inscriptions pour les élèves qui fréquentent la dernière année de l'école secondaire de premier degré a été reporté au 26 mars.

La Vallée d'Aoste, se trouvant dans la nécessité de transposer la réforme sur le territoire régional, a l'opportunité et la responsabilité de remodeler le système scolaire sur la base des exigences des jeunes et des familles, en tenant compte de la réalité économique et sociale de notre région, ainsi que de sa spécificité linguistique et culturelle. Tout en étant soumise aux nomes générales fixées par la réforme Gelmini, la Vallée d'Aoste doit cueillir cette occasion pour élaborer une réflexion globale sur le système scolaire et opérer des choix stratégiques en fonction des caractéristiques économiques et culturelles de la région.

Il s'avère donc fondamental de procéder à une analyse des exigences du territoire, à travers une étude de perspective des compétences nécessaires, pour parvenir à une définition adéquate des parcours scolaires. De cette façon, les familles et les jeunes seront mis dans la condition d'opérer un choix avisé, sans se trouver à falloir choisir sous réserve, l'activation des cours étant de surcroît subordonnée, dans le projet du gouvernement, au quota minimal de 20 inscrits.

Le débat politique qui a caractérisé pendant des décennies la destinée de l'école valdôtaine ne doit pas s'estomper sur un aplatissement à la réforme établie par de l'Etat, mais doit harmoniser la législation régionale par rapport à celle de l'Etat à travers l'adoption de normes d'application, en utilisant la compétence primaire de la région en matière d'instruction professionnelle et en procédant à l'adaptation des programmes du deuxième cycle.

Il ne faut pas rater l'occasion historique d'adapter la réforme à notre territoire et à nos prérogatives, en donnant une empreinte spécifique et autonome au système scolaire valdôtain.

Le Conseil régional de la Vallée d'Aoste

Engage

le Gouvernement valdôtain:

- à négocier immédiatement avec le gouvernement national le sursis de l'application de la réforme du deuxième cycle du système éducatif à l'année scolaire 2011/2012, afin de mieux adapter la réforme aux particularités du système scolaire valdôtain, en concernant toutes les parties intéressées;

- à promouvoir l'adoption des normes d'application et d'harmonisation nécessaires au système éducatif valdôtain, par rapport à la réforme de l'école secondaire;

- à soumettre au Conseil de la Vallée un projet de mise à jour des dispositions législatives régionales en matière d'instruction professionnelle;

- à procéder, en même temps qu'à l'application de la réforme, à la réorganisation dimensionnelle des établissements scolaires, aux termes de la loi régionale 26 juillet 2000, n. 19;

Engage

l'Assesseur à l'éducation et à la culture:

à convoquer le Conseil scolaire régional afin de procéder à la rédaction d'une proposition d'adaptation des programmes aux termes des articles 39 et 40 du Statut.

F.to: Morelli - Chatrian - Bertin - Louvin - Giuseppe Cerise

Président - La parole au Conseiller Louvin pour motion d'ordre.

Louvin (VdAV-R) - M. le Président, l'heure étant suffisamment avancée, je demande de bien vouloir disposer une suspension de quelques minutes, juste pour nous accorder sur la suite des travaux, puisqu'il s'agit d'une motion qui a une ampleur suffisamment large et sur laquelle nous souhaiterions, de la part de ce Conseil, avoir un débat suffisamment approfondi. Veuillez la disposer, si vous voulez bien.

Président - Le Conseil est suspendu pendant dix minutes.

La séance est suspendue de 19 heures 17 jusqu'à 19 heures 30.

Président - Nous reprenons nos travaux. Comme il a été convenu, les travaux reprendront en discutant la résolution inscrite au point 23.2.

La parole à la Conseillère Patrizia Morelli.

Morelli (VdAV-R) - Merci, M. le Président.

Avec l'approbation de la part du Conseil des Ministres du règlement d'application de la réorganisation du deuxième cycle du 4 février dernier, le monde de l'école se trouve à un tournant crucial. Après une décennie caractérisée par un climat d'incertitude croissante due à une série de réformes et contre-réformes, où l'on a assisté à une sorte de dérégulation faite d'expérimentations différentes, avec la "réforme Gelmini" le monde de l'école vit actuellement en Vallée d'Aoste aussi le dernier - en sens chronologique, mais ce n'est pas dit que ce sera le dernier... - épisode d'une longue histoire qui a causé et continue de causer un malaise, dû au manque d'adresses certaines et consolidées et au manque de temps nécessaire à métaboliser les nouvelles règles que régulièrement, à la rentrée scolaire, le monde de l'école se trouve à falloir affronter; le monde de l'école, et les familles aussi, naturellement.

Dans cette situation de précarité et de mécontentement général, la tentation de toucher le moins possible à la réorganisation proposée par l'Etat a dû être forte en Vallée d'Aoste aussi; en effet, c'est le premier aspect qui est ressorti suite à la diffusion de la première ébauche régionale de la réorganisation du deuxième cycle. Cela a paru dans tous les journaux, les syndicats ont observé que la proposition régionale semblait être marquée par la nécessité de bouger le moins possible par rapport au cadre national, plutôt qu'à prendre des décisions d'envergure par la définition d'un projet de qualité. De plus, dans la première ébauche, qu'entre autres - je le dis en passant - les membres de la Ve Commission n'ont jamais eu le plaisir de voir, les instituts professionnels sur lesquels la Région a la compétence primaire étaient pratiquement éliminés à l'avantage des parcours techniques.

La deuxième ébauche - je pense que c'est la dernière pour le moment -, fruit de la concertation avec les syndicats que la Ve Commission a eu le privilège de voir la semaine après la convocation de la commission même, car en commission on n'a pas vu de documents, tiendra en compte ces observations et établira de nouveau les trois ordres de l'offre formative: les lycées, l'instruction technique et l'instruction professionnelle. Toutefois, force nous est de constater que dans la prédisposition de l'application de la "réforme Gelmini" au niveau régional on est en train de procéder de manière assez désarticulée. En effet l'on n'a pas la perception qu'il y ait un dessein global, articulé à la base des propositions formulées par l'Assessorat, au point que la Région, au lieu d'opérer des choix politiques clairs, fait retomber sur les familles la responsabilité de l'activation des cours, en les obligeant à choisir des options sans leur donner aucune certitude, l'activation des cours étant subordonnée à un quota minimal de 20 élèves, un quota qui souvent peut être à risque, à cause de l'excessive fragmentation.

Nous pensons qu'il serait indispensable de procéder à une analyse globale de ce qui est nécessaire au territoire et d'ouvrir une concertation avec tous les acteurs concernés: étudiants, parents, administrateurs locaux, monde économique, non seulement les syndicats et les enseignants, afin de pouvoir opérer des choix politiques responsables, et puis finalement - ça devrait être du ressort de la politique - d'opérer des choix le plus possible objectifs et sages, sans trop se faire conditionner par les sollicitations contingentes de part, répondant plutôt à des sollicitations trop locales ou, pire, trop localistes.

Or, nous pensons que la Vallée d'Aoste, se trouvant dans la nécessité de transposer la réforme sur le territoire régional, a l'opportunité et la responsabilité de remoduler le système scolaire sur la base des exigences des jeunes et des familles, en tenant compte de la réalité économique et sociale de notre région, ainsi que de sa spécificité linguistique et culturelle. Tout en étant soumise aux normes générales fixées par la "réforme Gelmini", la Vallée d'Aoste doit cueillir cette occasion pour élaborer une réflexion globale sur le système scolaire et opérer des choix stratégiques en fonction des caractéristiques économiques et culturelles de la région.

Le débat politique qui a caractérisé pendant des décennies la destinée de l'école valdôtaine ne doit pas s'estomper sur un aplatissement à la réforme établie par l'Etat, mais doit harmoniser la législation régionale par rapport à celle de l'Etat à travers la notion des normes d'application, en utilisant la compétence primaire de la Région en matière d'instruction professionnelle et en procédant à l'adaptation des programmes.

Nous pensons qu'il soit important de ne pas rater l'occasion historique d'adapter la réforme à notre territoire et à nos prérogatives, en donnant une emprunte spécifique et autonome au système scolaire valdôtain. En paraphrasant une expression que l'actuel Assesseur à l'éducation avait utilisée lors du débat sur la loi n° 18/2000, nous devons adapter la "Gelmini" à la Vallée d'Aoste et non pas la Vallée d'Aoste à la "Gelmini". Donc nous proposons que le Gouvernement régional s'engage à négocier immédiatement avec le Gouvernement national le sursis de l'application de la réforme du deuxième cycle du système éducatif à l'année scolaire 2011-2012, afin de mieux adapter la réforme aux particularités du système scolaire, en concernant toutes les parties intéressées; à promouvoir également l'adoption des normes d'application et d'harmonisation nécessaires au système éducatif valdôtain, par rapport à la réforme de l'école secondaire; à soumettre au Conseil de la Vallée un projet de mise à jour des dispositions législatives régionales en matière d'instruction professionnelle; à procéder, en même temps qu'à l'application de la réforme, à la réorganisation dimensionnelle des établissements scolaires, aux termes de la loi régionale du 26 juillet 2000, n° 19.

Et l'on demande, en particulier à l'Assesseur, de bien vouloir convoquer le Conseil scolaire régional, afin de procéder à la rédaction d'une proposition d'adaptation des programmes aux termes des articles 39 et 40 du Statut pour le deuxième cycle.

Président - La parole au Conseiller Donzel.

Donzel (PD) - Diciamo che questo dibattito di fine giornata non è che ci trova impreparati, perché è assolutamente chiara la posizione del nostro partito rispetto alla "riforma Gelmini", se di riforma si può parlare, quando affrontiamo un provvedimento che dal punto di vista organizzativo prosegue l'opera iniziata nel 2009-2010 che ha ridotto di 11.347 docenti la scuola nazionale e ora, con il provvedimento che verrà adottato, saranno ulteriormente eliminati 20.339 insegnanti, cioè - tanto per darvi l'idea - molti insegnanti in più di tutti i dipendenti che ha il gruppo FIAT, solo per capirci di cosa stiamo parlando.

Ma la cosa più grave è che togliamo tempo scuola ai ragazzi. Parliamo di una sottrazione di tempo scuola nel periodo scolastico che è superiore alle 63 settimane di istruzione, vuol dire che i ragazzi che entrano in questo sistema avranno una media di due anni in meno di tempo scuola rispetto alla scuola precedente, cioè i nostri ragazzi staranno fisicamente a scuola due anni in meno di quanto stavano prima. È chiaro che per noi questo è un modello che va contro la nostra idea di scuola, di formazione, di tempo scuola lungo, di apprendimento fatto in un certo modo; chi conosce l'idea di scuola di Don Milani sa che questo è un modo di far scuola in cui noi non ci riconosciamo per nulla.

Per quanto riguarda la situazione a livello regionale, intanto ravviso un problema nostro, personale, organizzativo, come Partito Democratico, perché ci aspettavamo un dibattito in commissione venerdì e in questo senso oggi ci troviamo ad anticipare alcuni temi che volevamo approfondire con domande soprattutto alle forze sociali, come i sindacati, per avere chiarimenti che... siccome questi provvedimenti sono stati approvati a breve, alcuni calcoli li stanno ancora eseguendo, per capire le ricadute sulle classi e quant'altro.

Ma una certezza c'è; rispetto al danno fortissimo che abbiamo a livello nazionale, da quanto abbiamo percepito e siamo riusciti a capire dalle proposte che verrebbero dall'Assessorato, rileviamo che per quanto riguarda la parte liceale e tecnica stiamo assistendo ad una "controriforma Gelmini", cioè ad un atto coraggioso da parte dell'Amministrazione regionale che difende il tempo scuola dei nostri ragazzi, in termini non solo di applicazione delle nostre prerogative regionali - ci mancherebbe! - ...le ore di francese che sono aggiuntive alle ore di italiano... ma assistiamo anche al mantenimento di alcune ore di didattica molto importanti nei licei, qualcosa anche negli istituti tecnici.

Altro elemento di forza è il fatto che nell'istruzione e formazione professionale, quand'anche vada riconosciuto il fatto che bisognerà, sì, in tempi più distesi immaginare un'istruzione ed una formazione professionale, in cui veramente riusciamo a far funzionare un modello regionale, va riconosciuto il fatto che la parte delle materie curriculari della formazione professionale è interamente attribuita alle istituzioni. Anche questo è un passo avanti rispetto a un dibattito e ad un confronto acceso fra organizzazioni sindacali e amministrazioni. È chiaro che in questa parte della formazione professionale restano maggiori difficoltà, ma perché maggiori difficoltà ci sono nell'organizzare un sistema professionale in una realtà piccola come la nostra in cui, in un mondo dove sempre di più è necessario che vi sia flessibilità e cambiamento, sempre di più le istituzioni scolastiche appaiono rigide e non rispondere a questi cambiamenti che sono repentini.

Altra discussione molto delicata è quella che riguarda per esempio il numero degli alunni. Il numero di 20 è certo un numero che pare eccessivo rispetto ad alcune realtà locali, ma paragonato alla realtà nazionale...

(interruzione dell'Assessore Laurent Viérin, fuori microfono)

...sì, poi c'è il meccanismo che si possono sommare le classi che hanno un corso simile, quindi si possono fare le cosiddette "classi miste", ma ci sarei arrivato, Assessore, dicendo che partendo già dal numero 20, il numero 20 è un numero che non esiste in tutto il territorio nazionale. Non vorrei addirittura che qualcuno ci venisse a dire: ma sulla base di quale prerogativa regionale voi applicate questi numeri sull'istruzione secondaria di 2° grado? Qui siamo ad un paradosso; fra un po', se facciamo ancora un po' di dibattiti, scopriamo che qualcuno a Roma arriva e ci chiede cosa stiamo combinando.

Noto un atto di coraggio in questo percorso, tanto più che sulla questione numerica delle classi chi ha esperienza di tavoli di contrattazione sa che quante volte, come sindacati - non me voglia il collega Zucchi, che mi guarda così... -, quante volte siamo riusciti a strappare qualche classe con qualche alunno in meno; non è che siamo sempre andati giù con l'accetta in Valle d'Aosta! Però dei paletti li abbiamo sempre fissati, perché se non si mette un certo numero congruo, veramente siamo al ridicolo nell'istruzione secondaria di 2° grado, quindi... come dire? molte sono le cose che ci piacerebbe approfondire in un dibattito con le forze sindacali e con l'Assessore, chiedere ulteriori chiarimenti, perché quello che è importante è già il principio che qui, in Valle d'Aosta, il segnale è: non si va nella direzione della "riforma Gelmini", si va in tutt'altra direzione. Questo per me è un punto cardine, che porta il Partito Democratico a guardare con attenzione a quello che si sta facendo: si salvaguardano posti di lavoro, ma non è la difesa del posto dell'insegnante, è la difesa del tempo scuola, di materie fondamentali per la formazione dei nostri ragazzi. Quindi se ci saranno sicuramente ancora dei ritocchi da fare, il fatto di essersi già smarcati dal percorso nazionale è già per noi un punto di partenza assolutamente positivo.

Ci riserviamo naturalmente di offrire anche un altro contributo, come Partito Democratico, alla luce del dibattito in commissione, quindi la nostra posizione più definita e più chiara rispetto alle proposte dell'Amministrazione la daremo solo successivamente all'audizione in commissione, cioè non ci esprimiamo prima dell'audizione su cos'è per noi la proposta dell'Amministrazione, rispettando i tempi del dibattito che ci siamo dati.

Per cui, rispetto a questa risoluzione che è proposta, non può che esserci per noi un'astensione, perché la discussione per noi si dovrà ancora fare ed entrare più nel merito nella commissione che sarà convocata venerdì prossimo.

(intervento del Consigliere Louvin, fuori microfono)

Presidente - Nella discussione degli ordini del giorno, oltre al proponente, può intervenire dopo le dichiarazioni della Giunta un solo Consigliere per ciascun gruppo consiliare.

Si quelqu'un du Gouvernement veut intervenir, peut intervenir.

La parole à l'Assesseur à l'éducation et à la culture, Laurent Viérin.

Viérin L. (UV) - Quelques considérations. Avant tout, la "réforme Gelmini" a été approuvée par le Conseil des Ministres le 4 février, il est vrai, collègue Morelli, mais le débat ne s'est pas entamé du 4 février à aujourd'hui. Le débat, surtout le débat à l'intérieur du monde de l'école, c'est-à-dire une commission que nous avons comme Administration fait naître, travaille depuis plus d'une année, car cette réforme a été annoncée; il y a eu des textes, disons plus des parties techniques qui ont été concertées et le monde de l'école qui était présent dans ce groupe à travers les dirigeants scolaires, avec l'Agence de l'emploi et donc le monde du travail, a travaillé pendant plus d'une année, et à un certain moment cette réforme est arrivée. Ce débat s'est tenu aussi avec les organisations syndicales, il y a eu différentes rencontres, il y a eu le débat en Ve Commission; il y a eu un texte qui a été, comme l'accord qu'on avait pris avec la Surintendante lors de notre audition, distribué au Président de la Ve Commission, qui l'a distribué aux membres de la Ve. Donc, pour ce qui est de l'iter de cette réforme, je crois qu'aujourd'hui nous avons un acte concret du Gouvernement qui l'a approuvée et donc il faut que d'un point de vue temporaire, en attendant les inscriptions du 26 février qui vont s'ouvrir, nous devons nous engager à procéder.

Je partage les considérations formulées par le collègue Donzel sur le fait que vendredi, en commission, il y a un débat et c'est le premier débat, pas référé au soussigné ou à la Surintendante, mais un débat qui voit la commission confrontée aux organisations syndicales. Organisations syndicales que nous avons rencontrées à maintes reprises, encore aujourd'hui dans la pause, et qui donc vont s'exprimer aussi sur cette ébauche de réforme. A aujourd'hui je n'anticiperais pas trop les propos par rapport à ce qu'est la réforme scolaire, mais je m'attendrais simplement aux considérations référées à la résolution, cela par respect à la commission et à notre volonté d'entamer le débat avec la commission.

Disons que ce qui a été souhaité par la collègue Morelli a été fait par nous, c'est-à-dire qu'un an de travail, surtout dans ces derniers mois, pour adapter et pour maintenir un modèle scolaire valdôtain qui, par rapport à une réforme nationale qui existe et sur une partie de laquelle nous n'avons pas de compétence primaire... il faut le rappeler, nous avons essayé d'adapter les contenus et surtout nous avons essayé de travailler dans la direction de maintenir les dotations de personnel et de lier l'école, cette ébauche pour avoir une école liée au territoire. Voilà pourquoi l'Agence de l'emploi a été présente dans ce groupe de travail, parce qu'à aujourd'hui nous avons voulu faire ce passage.

Donc le territoire, les acteurs qui avaient la dignité d'être concernés ont été concernés, les choix stratégiques ont été discutés, il manque justement ce passage, mais un premier passage en commission nous l'avons fait sur les choix stratégiques, sur l'esquisse de cette réforme, aucun aplatissement et, à aujourd'hui, nous avons d'un côté la "réforme Gelmini", que nous avons adaptée, cela a été reconnu aussi par les organisations syndicales, qui est une réforme qui a tenu les parties négatives de cette réforme et surtout tient en compte de la réalité de la Vallée d'Aoste. Voilà, je crois que pour ce qui est de la résolution et des points spécifiques sur la résolution, j'interviendrai pour illustrer quelle est notre position sur les quatre points plus le point final.

Président - La parole au Conseiller Louvin.

Louvin (VdAV-R) - Merci, Président.

Ringrazio i colleghi che hanno la cortesia di consentire a questo gruppo, ma a chiunque fuori da quest'aula che è interessato alle sorti della scuola valdostana, di avere un approfondimento che non è solo di tipo culturale o di presa di posizione generale, perché ci troviamo, in questo particolare momento, come ha ricordato anche l'Assessore, a pochi giorni dall'approvazione in Consiglio dei Ministri dei regolamenti di applicazione della riforma cosiddetta "Gelmini", ma più correttamente forse "Gelmini-Tremonti", visto l'impatto finanziario sull'assetto che avrà la scuola secondaria superiore, di permetterci di avere una decisione politica chiara, trasparente, sul percorso da seguire nell'attuazione in Valle d'Aosta di questa riforma.

Non mi soffermerò ulteriormente sulle criticità, che hanno già espresso bene anche i colleghi, della riforma Gelmini nel suo complesso, nella sua opera di riduzione degli indirizzi e sperimentazioni, cosa che andava sicuramente fatta. Il macete è caduto pesantemente e porterà a perdita di cattedre, porterà sicuramente a delle mancanze di continuità educativa che non saranno certamente sopperite dagli interventi anche in sede applicativa, che potranno essere realizzati solo amministrativamente dalla Regione.

Noi siamo complessivamente contrari a questa impostazione che è stata data e non consente, lo voglio dire subito con molta chiarezza, di dare una dimensione moderna ed europea alla scuola valdostana. Molto semplicemente, avremmo bisogno di più diplomati, ne avremo probabilmente di meno, dopo l'applicazione di questa riforma. Gli obiettivi di Lisbona, lo sforzo di crescita, anche numerica, del numero di diplomati nella nostra regione, risentirà sicuramente in negativo dell'applicazione di questo nuovo assetto della scuola secondaria superiore.

Avremmo avuto bisogno di diplomati più giovani; i nostri vicini di casa, da Chamonix in giù, si diplomano un anno prima dei nostri. Questa era l'occasione storica per un allineamento europeo della scuola valdostana, e nazionale in questo caso; obiettivo mancato, non per colpa nostra, non certamente per colpa del Governo regionale, ma obiettivo drammaticamente fallito perché il BAC si ottiene prima, ci si laurea prima. Negli altri sistemi scolastici, non solo francese (tedesco, inglese) abbiamo una diversa calendarizzazione degli studi che permette di diplomarsi più in fretta, e poi tacciamo sugli aspetti di convittualità, di diritto allo studio, che avranno delle ripercussioni negative.

Veniamo a noi, veniamo al nostro sistema, ed è questo, Assessore Viérin, il problema per il quale disturbiamo il Consiglio e chiediamo che ci sia un pronunciamento di tipo nettamente politico. Ci sono due strade che possono essere intraprese per l'integrazione nel nostro sistema, non di tutta la riforma Gelmini, ma dei principi e delle norme di carattere generale che devono essere applicati alla nostra regione. Qui, ricordiamoci, oltre alla competenza primaria in materia tecnica e professionale - così recita lo Statuto -, ricordiamoci le nostre possibilità legislative nei restanti ordini di scuola che naturalmente non hanno la stessa ampiezza della competenza primaria, ma devono essere utilizzate.

La Provincia di Trento ha fatto una scelta, come dire, mirata, rispetto al proprio ordinamento che non ha profili di sensibilità linguistica molto larghi. Ha fatto un percorso molto particolare, ma vorrei ricordare che la Provincia di Trento si è dotata di una norma, una normativa complessiva in materia scolastica, nel 2006, molto ampia, di cui noi non siamo provvisti in questo momento e che, all'interno di questo intervento massiccio, di tipo legislativo, colloca le decisioni che ha assunto con un documento che chiama il "Conchiuso di Giunta", che viene sottoposto alla discussione al Consiglio regionale e viene varato.

Quello che sta succedendo nella Provincia di Bolzano dovrebbe interessarci ancora di più, perché pone la diversità del sistema scolastico che vige in quella provincia. Ci troviamo sostanzialmente allineati con la necessità di adattare le norme scolastiche nazionali ad un quadro linguistico e territoriale particolare. Ora ci siamo premuniti di sentire, di informarci anche noi su quello che sta succedendo in questa provincia e su come si intende affrontare la questione in questa provincia, ed è esattamente il modo nel quale - credo - in passato si guardava all'applicazione di questa riforma.

Vorrei ricordare che quando è iniziata la discussione della riforma del sistema scolastico, in particolare nel corso della seconda metà degli anni '90, era all'epoca ministro Berlinguer, con tutte le problematiche legate a quella riforma, questa Regione pensava di dover intervenire con legge e interveniva con una piccola legge, propedeutica all'applicazione degli articoli 39 e 40, nella scuola secondaria superiore. È una legge di preparazione, di invito e di sostegno anche economico, all'attività di preparazione dei docenti, ma l'obiettivo era lo stesso che persegue oggi la Provincia di Bolzano che ha già espressamente dichiarato di perseguire, l'obiettivo di un'intesa con il Governo e di un intervento legislativo ad hoc, con un'applicazione dei principi della cosiddetta "riforma Gelmini" su una scala biennale nel corso dell'anno scolastico successivo, risolvendo quel problema su quale si è discusso in queste settimane. Naturalmente lo avrà discusso tante volte l'Assessore con i sindacati, lo abbiamo discusso anche noi con le forze sindacali, e anche fuori dal contesto regionale, per capire la fattibilità di questo percorso, ed è una fattibilità che sicuramente è possibile, tanto più che era esattamente stata immaginata nella prima versione dei regolamenti, poi rettificata in seguito al parere dato all'interno del Parlamento. Quindi non credo, se lo pensava il Ministero dell'istruzione, non credo che fosse una via assolutamente impraticabile. Lo pensava il ministero, peraltro, non nella prospettiva dell'anno prossimo e di quello successivo, ma dell'attuale e del successivo abbinati per l'applicazione; ma in questa ottica, di avere un sistema scolastico valdostano adattato al nostro contesto, su quali piani: sul piano naturalmente degli organici, sul piano delle risorse, sul piano dei programmi, con un capitolo che naturalmente è tutto da aprire, ma che non si apre fino a quando non l'apriamo noi. Perché c'è un organismo di cui ha fatto menzione la collega Morelli nella sua presentazione, che non ha ancora - risulta - preso in mano la questione delle cosiddette "adaptations", ed è il Consiglio scolastico regionale, organo detentore della potestà di iniziativa.

L'iniziativa dell'iniziativa, però, compete all'Assessore, perché è l'Assessore che presiede questo organismo e finché l'Assessore non l'avrà naturalmente convocato e non l'avrà incamminato su questa via, risulterà il Consiglio scolastico regionale il grande desaparecido. Il Consiglio nazionale della pubblica istruzione discute da anni di questa riforma, ha pronunciato i propri pareri, si è espresso ampiamente. Il modello che l'Assessore Viérin ha perseguito è un modello da cui noi dissentiamo, è il modello della trattativa bilaterale con il sindacato (cercare la pax sindacale è una scelta, una via anche questa), ma non aprire al mondo della scuola nel suo complesso e agli organi collegiali della scuola, in particolare, la discussione che ci vuole e che questo debba essere fatto, che questo obiettivo debba essere perseguito, noi crediamo che ce ne sia ampiamente bisogno... che ci sia bisogno di fare partire quella procedura che la "legge Moratti" ha, in qualche modo, messo in discussione.

Assessore Viérin, lei sicuramente ha ricostruito tutta la vicenda della riforma scolastica attraverso la trasformazione dei programmi scolastici in indicazioni; noi ci siamo trovati in una situazione di limbo, come Regione; non abbiamo più la certezza dell'adaptation dei programmi precedenti, non abbiamo avuto integrazione nel nostro ordinamento delle indicazioni per la scuola elementare, per la scuola media, e quindi ci troviamo in una situazione di oggettiva incertezza.

Il nostro invito è quindi a prendere quella via in parallelo con le altre vie che abbiamo voluto tratteggiare. Un aggiornamento delle norme di attuazione, in particolare in materia di istruzione professionale (siamo fermi al 1989)... abbiamo un quadro che va sicuramente aggiornato (allora risentiva di bisogni immediati, soprattutto per quanto riguarda l'istruzione alberghiera), deve essere oggettivamente aggiornato. Un intervento normativo regionale, una riorganizzazione - a nostro modo di vedere - dimensionale della scuola valdostana da non rinviare ulteriormente.

Ho perso un po' il conto, Assessore Viérin, ma credo siano già state fatte tre proroghe del dimensionamento delle istituzioni scolastiche in Valle d'Aosta, siamo di fronte ad una quarta, forse posso sbagliare - per difetto o per eccesso - di una, ma abbiamo la prospettiva, lei porta avanti la prospettiva di un ulteriore rinvio di due anni nel dimensionamento delle istituzioni scolastiche, è un nodo che va affrontato, capisco, capiamo la difficoltà ad affrontarlo...

(interruzione del Presidente del Consiglio)

...sono sensibile al richiamo, mi permetta di chiudere il ragionamento, e sarò brevissimo... di uscire fuori da un periodo, delicato come quello preelettorale, adoperare le scelte necessarie. Noi sappiamo delle pressioni, d'altra parte è inevitabile che questo avvenga, che esercitano anche gli enti locali, per non avere soprattutto in questo momento degli sconvolgimenti, dei terremoti nei loro rispettivi comuni; il discorso in prospettiva va affrontato e va sicuramente risolto.

Quello che noi proponiamo, in conclusione, e sosteniamo fortemente, è questa sospensione dell'applicazione in questa fase, l'apertura immediata di un tavolo di discussione con il Governo nazionale perché ci sia questo periodo sufficiente, questi dodici mesi di adattamento. Glielo chiedo Assessore non solo come Consigliere, ma anche come genitore che ha in questo momento tutta la consapevolezza della difficoltà di scelta che hanno le famiglie in questo momento. Grazie di avere concesso qualche minuto in più; spero che questo non porti detrimento alla qualità della vostra serata. Grazie.

Président - La parole à l'Assesseur à l'éducation et à la culture, Laurent Viérin.

Viérin L. (UV) - Merci, M. le Président.

Entrando nel merito delle proposte illustrate dal Consigliere Louvin, per il primo punto: "à négocier...", noi ribadiamo che l'orientamento di procedere da subito agli adattamenti della riforma nazionale ed alla realtà locale, in analogia a quanto fatto dalla Provincia di Trento, rileva dall'inopportunità di dover effettuare nell'anno scolastico 2011-2012 un intervento sia sulle classi prime che sulle classi seconde, la soppressione di corsi già iniziati, la loro trasformazione in presenza di alunni che hanno già scelto un determinato percorso scolastico con tutti i problemi annessi e connessi; quindi il vero problema per le famiglie e per i ragazzi è che verrebbero iscritti in un percorso di studio che poi verrebbe soppresso.

Il rinvio di un anno ci obbligherebbe infatti ad agire successivamente sull'intero biennio della scuola superiore, ipotesi che è stata peraltro già bocciata dalle organizzazioni sindacali, sia nazionali che regionali - oggi nella riunione durante la pausa pranzo è stata di nuovo sottoposta alle organizzazioni sindacali la condivisione di questo passaggio -, dal CNP, dal Parlamento che hanno sollecitato il Governo in occasione di questa riforma ad agire solo sul primo anno e non su quelli successivi (quindi è già stato un aspetto positivo). Non vogliamo che alunni, famiglie ed insegnanti debbano, al secondo anno del percorso di studio, dover cambiare istituzione scolastica o indirizzo in quanto quello scelto è soppresso con la riforma.

Il secondo punto: "à promouvoir..."; per quanto riguarda le accuse di applicazione meccanica e a fotocopia di quanto stabilito dal Governo nazionale, sia il collega Louvin che la collega Morelli ci tacciano di essere meri esecutori, ma noi rimandiamo i colleghi all'illustrazione del confronto sulle linee degli adattamenti della riforma effettuato in V Commissione, dove il dibattito è stato molto interessante - peccato che il collega Louvin non fosse presente, perché è stato molto, molto interessante - e alla valutazione congiunta delle stesse, concordata con le organizzazioni sindacali scolastiche nel corso del penultimo incontro, quello della settimana scorsa, dove sono state evidenziate le differenze in positivo dell'impianto regionale rispetto a quello nazionale, in particolare l'esercizio di competenze sull'istruzione professionale e l'applicazione dello statuto. E i punti congiunti penso siano noti a tutti, perché è un comunicato congiunto fra Amministrazione e organizzazioni sindacali.

Terzo punto: "à soumettre..."; per quanto riguarda la parte dove abbiamo competenza primaria, ma la legge del 1960 ha al massimo una necessità di restyling stilistico; l'impianto è assolutamente attuale, a meno che quanto previsto dall'articolo 5 della legge, cioè che la Giunta stabilisca la tipologia di corsi di studio attivabili, che l'Assessore definisca con proprio decreto profili professionali, orari, programmi, non si voglia spostare in capo al Consiglio. Ecco la riflessione.

Ma io - come ho ricordato nelle prese di posizione delle settimane scorse, perché in queste settimane c'è stato un susseguirsi di comunicati stampa o di conferenze stampa, di prese di posizione - vorrei ricordare che la riforma sull'istruzione professionale del 1995, riforma sull'unico settore dove abbiamo la competenza primaria, è stata realizzata con una delibera di Giunta, e quella premura all'epoca non fu così solerte, non ci fu questa sensibilità di condividere con il Consiglio, di modificare la legge del '60 dicendo che forse sarebbe meglio portare in Consiglio certi passaggi. L'allora Assessore della pubblica istruzione, Roberto Louvin, ha adottato i decreti sul quadro orario senza ritenere necessario alcun passaggio, né in Consiglio, né con le famiglie o altri organi di concertazione che sono stati enunciati.

Per quanto riguarda il quarto punto: "à procéder...", a nostro avviso. e pienamente condiviso da tutte le organizzazioni sindacali, sono necessari due anni di stabilizzazione e monitoraggio delle iscrizioni sulla questione sollevata per operare un dimensionamento funzionale. Anche a livello di Conferenza Stato-Regioni e di IX Commissione sono state prese posizioni estremamente critiche rispetto alla decisione del Governo di procedere ad un dimensionamento già dal prossimo anno, senza aspettare le stabilizzazioni, perché questo ci dà la possibilità di agire in seguito.

Ultimo punto: "à convoquer..."; noi ascoltiamo sempre i consigli preziosi di tutte le forze politiche, soprattutto di Vallée d'Aoste Vive-Renouveau, ma senza aspettare il consiglio prezioso, la convocazione del Consiglio scolastico regionale è già avvenuta, sia della Giunta esecutiva il 3 febbraio scorso, e la riunione si terrà domani...

(interruzione del Consigliere Louvin, fuori microfono)

...ma non è che noi facciamo conferenze stampa per dire che abbiamo convocato il Consiglio scolastico regionale, penso che sia una prassi di convocarlo secondo i canoni e i crismi, come di solito si fa! E penso che non abbiamo bisogno, noi, di insegnarle come si convoca il Consiglio scolastico regionale!

In sintesi, noi siamo pronti per questa riforma, anche perché il 26 febbraio le famiglie dovranno andare ad iscrivere i propri ragazzi e i ragazzi dovranno andare ad iscriversi. I passaggi sono stati quasi tutti fatti, nel senso che aspettiamo di essere auditi in commissione, aspettiamo un accordo con le organizzazioni sindacali, che oggi abbiamo incontrato, che si riservano di farci sapere la loro opinione su questa riforma; il percorso è andato in senso positivo, è partito con posizioni distanti, ma si è mediato, si è lavorato tutti insieme per arrivare ad una posizione condivisa.

Quindi "no" ad un rinvio che non risolverebbe niente, ne abbiamo parlato anche con la legge di soppressione dell'IRRE: rinviare per continuare a parlare di una questione che è stata dibattuta e che dibatteremo ancora; quindi noi siamo pronti e la politica deve dare le proprie risposte. Abbiamo una riforma, l'abbiamo adattata, abbiamo cercato, seppure con i tempi e i modi... perché il momento come tempi non è dei migliori, essendo arrivato in un momento in cui c'erano le iscrizioni che sono state prorogate... quindi dal 26 febbraio al 26 marzo ci sarà la possibilità di iscriversi.

Noi faremo tutti i dibattiti pubblici o comunque la pubblicità, più che dibattiti pubblici, oggi se n'è parlato, ma la pubblicità per andare incontro alle famiglie, che sono state vittime della tempistica di questa riforma; quindi ci impegniamo a fare tutto il possibile per informare sia le famiglie che il mondo della scuola, nonché tutti coloro che sono interessati a questa riforma. Rinviare non risolverebbe niente, se non di creare dei problemi, perché poi dovremmo intervenire sui due anni, come dicevo.

Sul mantenimento degli organici, sulla formazione delle classi, rispetto al territorio nazionale - qualcuno lo ha ricordato - c'è stato un rispetto dell'autonomia scolastica, ma rispetto al territorio nazionale è stato un lavoro che è andato nella direzione di salvaguardare la specificità della scuola valdostana anche attraverso il mantenimento degli organici. Quindi, aspettando la presa di posizione sindacale - che poi è la parte che rappresenta i lavoratori che operano nel mondo della scuola - crediamo che, rispettando tutti i passaggi, sia giunto il momento di procedere e noi siamo pronti per dare delle risposte alla comunità valdostana.

Président - Je soumets au vote la résolution:

Conseillers présents: 26

Votants: 25

Pour: 5

Contre: 20

Abstentions: 1 (Rigo)

Le Conseil n'approuve pas.

Président - Les travaux du Conseil sont terminés.

La séance est levée.

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La réunion se termine à vingt heures et dix-neuf minutes.