Oggetto del Consiglio n. 1093 del 26 gennaio 2005 - Resoconto
OGGETTO N. 1093/XII - Controlli della sicurezza sulle piste di sci nelle piccole stazioni turistiche. (Interrogazione)
Interrogazione
Ricordato che in occasione dei Consigli regionali del 23/09/2004 e del 4/11/2004, la Giunta regionale, sollecitata dalle iniziative del Gruppo "Arcobaleno-Vallée d'Aoste" condivise le preoccupazioni circa il sistema regionale di controllo della sicurezza e di individuazione dei responsabili delle piste di sci, troppo difficoltoso per le stazioni invernali più piccole;
Rammentato in particolare che l'Assessore competente annunciò un approfondimento tecnico-giuridico, al fine della proposizione di una nuova normativa che vada nel senso di alleggerire gli incombenti più gravosi;
Osservato che siamo nel pieno della stagione invernale e che i problemi evidenziati appaiono irrisolti;
Ritenuto opportuno tornare sul tema, per capire quali iniziative abbia assunto l'Amministrazione per affrontare il problema in questione;
il sottoscritto Consigliere regionale
Interroga
l'Assessore competente per sapere:
1) se è stato avviato l'iter per la predisposizione di una nuova normativa regionale per sgravare le piccole stazioni turistiche invernali dagli obblighi per il controllo delle piste e l'individuazione dei responsabili delle stesse;
2) quando si pensa che la nuova normativa venga portata all'attenzione degli organi consiliari competenti.
F.to: Curtaz
Président - La parole à l'Assesseur au tourisme, aux sports, au commerce, aux transports et aux affaires européennes, Caveri.
Caveri (UV) - D'abord pour plus de clarté précisions tout de suite que c'est de pistes de ski de fond que nous parlons, la formulation de la motion qui mentionne les petites stations pourrait en effet laisser penser que nous nous intéressons aussi au ski de descente, ce qui n'est pas le cas.
Le précédent débat entre le Conseiller Curtaz et moi-même concernait en effet le problème de la simplification, de la tâche des directeurs de piste et des pisteurs secouristes, dont le travail est lié aux anneaux de ski de fond de dimension réduite et qui ne sont pas ouverts au public en permanence.
Comme je vous l'ai dit la dernière fois, nous nous apprêtons à soumettre d'ici quelques jours à cette Assemblée une proposition de loi qui prévoit des financements spécifiques en faveur des domaines skiables, financements qui avaient été supprimés dans le cadre des nouvelles dispositions sur les finances locales, et ce en réponse aux requêtes des Communes concernées, dont chacun peut comprendre la raison, parce que le service de secours est assez coûteux. Ce texte, qui a été discuté longuement avec les Communes intéressées, destine des crédits au secteur de la sécurité des pistes et de l'organisation des secours sur les pistes de fond, mais ce n'est pas à ce stade qu'il faut modifier les attributions du pisteur secouriste ou du directeur de piste dans le domaine du ski de fond.
Je veux cependant vous confirmer que dans le courant de l'année nous avons l'intention de reformer la figure professionnelle du pisteur secouriste et son rôle dans le cadre de l'organisation des secours sur les pistes de fond et de descente, car il est nécessaire de simplifier la situation surtout dans les petits domaines skiables, mais dans ce cas-là ce n'est pas seulement une question de fond, c'est une question aussi de descente, parce que là aussi il y a une grande polémique. J'ai peut-être déjà rappelé lors de la dernière question que nous avons à peu près 500 pisteurs secouristes, dont à peu près une 60 sont aujourd'hui des professionnels réels; là évidemment il faut reformer cette figure professionnelle. C'est de cette manière, en suivant la voie législative, que nous allons répondre aux légitimes préoccupations du Conseiller Curtaz.
Quoi qu'il en soit, il nous faudra trouver donc une solution équilibrée, parce que d'un côté nous avançons cette proposition de financer de nouveau le secours sur les pistes de ski de fond, mais de l'autre côté je partage l'idée, mais à travers la loi de réforme de la figure professionnelle du pisteur secouriste et du directeur de piste, de simplifier la situation des anneaux les plus petits, parce que c'est tout à fait paradoxal de mettre ensemble un grand domaine skiable de ski de fond, tel que Brusson ou Cogne, avec des petites réalités comme Vetan ou d'autres pistes de fond, qui se retrouveraient à avoir un poids bureaucratique excessif.
Le problème est que, vu que maintenant nous avons décidé de financer le secours, ce n'est pas celui-là l'instrument, l'autre instrument sera - j'espère présenter la réforme avant l'été 2005 - une réforme des pisteurs secouristes, en prévoyant justement pour les petits domaines skiables de ski de fond et de ski de descente, une série de simplifications, parce que ça pèse beaucoup sur l'organisation actuelle.
Président - La parole au Conseiller Curtaz.
Curtaz (Arc-VA) - Brevemente per dire che mi ritengo soddisfatto delle risposte dell'Assessore. Anche l'idea di agire con due strumenti e in due tempi, mi sembra una risposta percorribile. Ovviamente si tratta di una manifestazione di soddisfazione subordinata a quello che sarà il merito della legge, quindi ci riserveremo di esaminare i disegni di legge predisposti dalla Giunta e di fare le nostre valutazioni al riguardo.