Oggetto del Consiglio n. 3432 del 20 maggio 1992 - Resoconto
OGGETTO N. 3432/IX Disegno di legge: "Disciplina degli interventi volti alla promozione del turismo verso la Valle d'Aosta".
PresidenteParola al Consigliere Milanesio che ne è il relatore.
Milanesio (PSI) Brevemente, mi limiterò a leggere la relazione con la quale si accompagna il disegno di legge n. 384 che disciplina alcuni aspetti della promozione del turismo in Valle d'Aosta, individuando nella Regione il momento di coordinamento degli operatori pubblici minori, degli operatori privati e dei vettori.
Ciò consentirà di favorire l'affermarsi, sul mercato nazionale ed internazionale, di una appropriata immagine turistica della nostra Regione al fine di stimolare una domanda più ripartita nel tempo e nella dislocazione territoriale, così come è negli auspici di tutti e soprattutto degli operatori del settore.
Nel presente disegno di legge si definiscono un'elencazione ed una ripartizione di competenza, in base alle quali si individuano i soggetti chiamati all'azione promozionale.
Presidente Parola all'Assessore al Turismo, sport e beni culturali, Pascale.
Pascale (PSI) Anche in questo caso direi che lo scopo principale che ci ha mosso a presentare tale disegno di legge deriva dal fatto che da ben sei anni la Commissione di coordinamento emette dei rilievi di legittimità in ordine ai provvedimenti che vengono assunti relativamente ai capitoli 64120, 64140, 64100, 64180, cioè la necessità di dare una cornice normativa a questi interventi che la Regione effettua nel campo del settore promozionale.
Quindi, non si ha affatto la pretesa di attuare una programmazione o una riforma dell'organizzazione turistica, che per altro è prevista dalla legge 9 del 1987 che riguarda anche le APT. C'è in modo prioritario l'esigenza di definire, nell'ambito di una legge, quelli che sono gli interventi che possono essere effettuati per la promozione turistica della Valle d'Aosta.
Presidente La parola al Consigliere Faval.
Faval (UV) On peut pas nier que "il compagno Milanesio" a une grande capacité de synthèse: il a réussi à dire en quatre lignes le contraire de ce que monsieur Ricco a écrit dans un rapport pour une autre loi, que nous avons discutée ce matin. Il l'a fait de façon plus analytique et, sans vouloir faire de l'ironie, je crois que le rapport de monsieur Ricco serait beaucoup plus adapté à cette loi que non à celle qu'on a discuté ce matin.
Je ne peut pas répéter ce que j'ai dit ce matin, mais je crois que nous devons prendre acte de ce que vient de dire l'Assesseur, c'est à dire que d'après lui ce projet de loi n'est qu'une opération d'ordre bureaucratique, dans le sens qu'il répond à une certaine exigence bureaucratique, d'après les remarques de la Commission de coordination. Pour éviter que cela continue, il nous propose l'adoption de ce projet de loi.
Je crois que nous ne pouvons pas nous borner à satisfaire une exigence de rapport entre le Conseil régional, la Junte régionale et le gare de contrôle.
En ce domaine, on a beaucoup de choses à faire et c'est étonnant que dans ce projet de loi on parle de quelque chose qui n'existe pas, les APT, car la loi n'a pas été approuvée et on le regrette. On attend de connaître les propositions qui doivent venir de la Junte régionale. On peut imaginer, d'après ce qu'il est écrit à l'article 4, quel rôle la Junte ou tout au moins l'Assesseur, pense attribuer aux APT. Et alors je crois qu'il serait même inutile de les créer.
Et quand on dit: "L'iniziativa di cui i punti a) e b) quando siano svolte al di fuori della Valle d'Aosta sono di esclusiva competenza regionale", je me demande les "Aziende di Promozione Turistica", où doivent-elles faire "promozione"? "La promozione", je m'imagine, par définition, doit être faite en dehors de la Vallée d'Aoste. Je ne pense pas qu'on aille faire de la "promozione" en Vallée d'Aoste.
La promotion doit être faite en dehors de la Vallée d'Aoste et si la promotion faite en dehors de la Vallée d'Aoste est de compétence exclusive de la Région, à ce point je me demande a quoi peuvent servir les APT, même si on dit: "su richiesta della Regione, le Aziende di Promozione Turistica possono tuttavia collaborare alla realizzazione delle iniziative stesse anche mediante l'impiego di proprio personale."
Donc là, on comprend très bien qu'il n'y a pas d'initiative à niveau de APT; l'initiative est du ressort exclusif de la Région et seulement si et quand la Région pense s'adresser aux APT, ces mêmes organes peuvent intervenir en quelque sorte pour faire leur profession.
Nous nous permettons de dire que nous ne partageons pas cet avis. Nous croyons que l'APT, tout au moins pour ce qui nous concerne, doit être un organe à qui la Région peut confier une action qu'elle n'est pas a même de faire.
Nous aimerions faire une confrontation sur ces problèmes. Nous pensons que la Région a surtout un rôle politique à jouer et à tenir. Bien au contraire, tout ce qui est de l'activité à l'intérieur des différents domaines, doit être réalisé par les organes qui sont détachés de la Région et qui ont l'agilité et les moyens pour affronter, de façon la plus utile possible, la plus fonctionnelle possible, les problèmes qui se posent dans les différents domaines. Face à la nécessité de réglementer mieux l'utilisation de certains fonds dans le domaine de la promotion, nous pouvons partager la nécessité de se doter d'une loi.
Nous demandons uniquement que cette loi aille un tout petit peu au-delà, c'est-à-dire qu'elle donne des indications de point de vue politique de ce que la Région pense devoir faire, non elle-même directement, mais ce qu'elle pense solliciter et réaliser dans le domaine de la promotion.
Sur ce genre de loi nous devrions pouvoir discuter, monsieur l'Assesseur, parce que, je le répète, il est utile sans doute d'éviter les remarques et les lettres de la Commission de coordination, mais en même temps nous devrions rationaliser et coordonner l'action dans ce domaine et surtout la coordonner en nous donnant des organes qui puissent fonctionner eux-mêmes autonomement, en dehors de certaines contraintes que la législation publique n'est pas à même d'éliminer.
Dans ce sens, je crois, nous ferions un bon travail. Ici nous ne voyons pas de modifications par rapport à la situation existante; au contraire, d'après l'article 4, nous alourdissons ultérieurement l'activité, l'action, le rôle de l'administration régionale qui a des difficultés à porter en avant ce discours.
Presidente La parola al Consigliere Viérin.
Viérin (UV) Hier matin, en discutant la motion sur les dépenses liées à la présentation de la candidature de la ville d'Aoste à l'organisation des jeux olympiques d'hiver de 1998, nous avons eu l'occasion d'examiner et de vérifier la manière d'utiliser les chapitres budgétaires portant promotion de l'image touristique de la Vallée d'Aoste pour soutenir la candidature, une nouvelle candidature olympique de la ville d'Aoste.
L'Assesseur s'est étonné de ces remarques en disant que la chose ne correspondait pas à vérité et que jamais on n'avait utilisé les actions promotionnelles de cette image touristique du Val d'Aoste pour d'autres finalités que celles prévues par les dispositions en vigueur.
Aujourd'hui, ce projet de loi veut, sur la base des intentions du gouvernement, rationaliser ces différentes interventions en unifiant les différents chapitres budgétaires et en prévoyant quelque treize milliards et cent millions pour réaliser toutes les initiatives liées à cette promotion touristique.
A cet égard, donc, pour éviter un malentendu et en acceptant les remarques formulées par l'Assesseur, nous présenterons un amendement à l'article 1 de ce projet de loi afin que les finalités de cette promotion soit claires, soit définies et ne prêtent pas à confusion.
Presidente L'emendamento presentato da Viérin, a nome suo, di Perrin e Agnesod, aggiunge all'articolo 1 quanto segue:
Emendamento "Tali iniziative non possono in alcun modo essere finalizzate alla promozione di eventuali nuove candidature all'organizzazione di giochi olimpici invernali".
Parola all'Assessore al Turismo, Sport e Beni culturali, Pascale.
Pascale (PSI) In risposta al consigliere Faval, devo dire che qui le APT sono citate, tenendo presente quelli che erano i compiti e le indicazioni che emergevano dalla legge n. 9 del 1987 e con ulteriori precisazioni.
Voglio dire che la legge sulle APT esiste: il Consiglio regionale ha anche definito e approvato gli ambiti territoriali delle APT. Credo di aver detto in altre occasioni, in risposta forse ad una interpellanza, che c'era stato un momento di attesa da parte della Giunta regionale e che era in corso al Parlamento la proposta di modifica della legge quadro 217 del 1983, con particolare riferimento a nuove indicazioni proprio nei confronti delle APT. La proposta è stata poi bloccata dalla fine della legislatura. Se non si protrae a lungo, io sarei intenzionato ad aspettare la formazione del nuovo governo, per vedere quali sono gli indirizzi del nuovo Ministro del Turismo. Dopo di che si deciderà in merito alla attuazione di quello che è stato già deciso dal Consiglio regionale oppure presenteremo delle nuove proposte relative alle APT.
In questo caso e le opinioni sono divergenti, si è ritenuto di dover prevedere una specie di coordinamento della Regione perché ritengo importante che la promozione turistica che ogni singola APT può effettuare al di fuori della Valle d'Aosta, non possa essere lasciata alla sua completa iniziativa e, quindi, alla completa anarchia, ma debba comunque essere coordinata dalla promozione regionale.
Oggi la Regione attua delle iniziative promozionali, coinvolgendo evidentemente tutti gli operatori turistici e la stessa cosa farà successivamente, nel momento in cui esisteranno le APT. Se, però, si vuole dare un minimo di coordinamento, ci deve essere un soggetto che promuove e coordina le varie iniziative.
Sotto questo aspetto avevamo precisato meglio quello che era uno dei compiti fissati nella legge 9 delle APT, perché esse hanno anche altri compiti, come ad esempio svolgere una funzione di promozione e di assistenza a favore dei turisti nel territorio valdostano.
Per quanto riguarda l'emendamento presentato dal Consigliere Viérin e da altri, mi sembra superfluo, perché non si possono effettuare promozioni di nuove candidature, se non c'è una legge ad hoc su queste.
Ripeto che alle Olimpiadi di Albertville, l'Assessorato al Turismo ha svolto opera di promozione della Valle d'Aosta e mi sembra opportuno che sia stata svolta in un contesto come quello dei giochi invernali che sono poi i giochi che riguardano in modo particolare il turismo valdostano.
La promozione è stata fatta in base a una legge votata dal Consiglio regionale, così non ci sarà, per quanto mi riguarda, nessuna candidatura per il 2002 e, quindi, non ci sarà promozione per la candidatura del 2002, se la popolazione non darà il suo assenso attraverso l'esito del referendum, sul quale ci sono tante ambiguità e contraddizioni. Io ho già esposto, in questo Consiglio regionale, l'opinione della Giunta e della maggioranza: per noi, la vittoria dei SI costituirà una indicazione contro la presentazione di altre candidature, checché ne dica l'Union Valdôtaine, sempre che, una volta al potere, possa fare a meno di seguire le indicazioni del referendum e ripresentare le candidature. Noi, comunque, daremo al voto del 14 giugno questo significato: la vittoria dei NO vorrà dire che la maggioranza della popolazione è contraria alla proposta di altre candidature.
Presidente Parola al Consigliere Riccarand sull'articolo 1.
Riccarand (VA)Io vorrei fare una dichiarazione di voto sull'articolo 1 e sul complesso della legge.
Io credo che questo disegno di legge abbia delle implicazioni ben più complesse di quelle discusse stamattina. Secondo me, questo era, tutto sommato, un passo avanti per cercare di mettere un po' d'ordine nella pratica dei contributi regionali per manifestazioni culturali, sportive, eccetera , fissando alcuni parametri. In quel senso il mio voto è stato positivo. Ora, a mio avviso, ed è il problema sollevato dai consiglieri dell'Union Valdôtaine, permane una distinzione poco chiara dei compiti spettanti all'amministrazione regionale e quelli delle APT.
Ricordo che quando si discusse del ruolo delle funzioni da attribuire alle APT, a lungo era stata anche caldeggiata, da parte nostra e di altri gruppi, la proposta di creare un'unica azienda di promozione turistica in tutta la regione, che fosse, così, in grado di svolgere globalmente il ruolo di promozione pubblicitaria all'esterno come è compito di una azienda di promozione turistica.
Credo che si sia sbagliato non facendo quel tipo di scelta. Adesso si rischia di avere delle APT ridotte ad organismi che funzionano in modo molto parziale e limitato, con la Regione che le sostituisce nel loro ruolo di promozione turistica senza avere le strutture e gli strumenti adeguati.
Questo disegno di legge riserva alla Regione l'iniziativa più forte a livello di promozione turistica, negando, così, il ruolo delle APT, quando non so in che misura, in che modo, la Regione possa garantire il miglior adempimento di questa funzione. Quindi, a mio avviso, la soluzione proposta in questo disegno di legge non è soddisfacente. In effetti, noi dovremmo cercare di snellire l'amministrazione regionale, decentrando talune funzioni sul territorio presso organismi esterni. Questo vale per le APT, per i comuni e per le comunità montane.
Se, invece, si accentrano le funzioni di potere, secondo me, si rischia di rendere ingestibile l'amministrazione regionale. In questo senso, mi pare che l'impostazione data da questo disegno di legge non sia soddisfacente e quindi il nostro voto non sarà favorevole.
Condivido, invece, lo spirito dell'emendamento presentato dal Consigliere Viérin e da altri consiglieri e, quindi, voterò a favore dell'emendamento.
Presidente La parola al Consigliere Perrin.
Perrin (UV) L'assesseur au tourisme a affirmé que l'amendement présenté est superflu. S'il le considère superflu, mais juste, mieux il vaudrait qu'il l'accepte, selon le proverbe latin "melius est abundare quam deficere". Nous soutenons évidemment cet amendement, parce que si on regarde les dispositions de l'article 1 et de l'article 2, il est évident que tout devient possible.
Promouvoir "una adeguata immagine turistica della Valle d'Aosta sul mercato nazionale ed internazionale", ce sont les mots exacts que monsieur l'Assesseur a employé lors d'un service à la télévision au moment de l'inauguration à Rome du bureau du Tourisme, mais il a dit aussi que cela était possible uniquement à travers la reproposition d'une candidature pour les jeux olympiques d'Aoste ou de la Vallée d'Aoste.
Le collègue Viérin, hier, à démontré comme, après Birmingham, on a continué à conduire des initiatives, plus au moins cachées, tendant à promouvoir l'image de la Vallée pour un futur olympique: campagnes publicitaires, participation et organisation d'expositions et cetera. Ce qu'on retrouve à la lettre a) et b) du alinéa de l'article 2 pourrait mettre quelqu'un dans la tentation de suivre cette direction. C'est pour cela que nous nous souhaitons que cet amendement soit voté non seulement par nous, mais aussi par la majorité du Conseil.
Presidente La parola al Consigliere Viérin.
Viérin (UV) Monsieur Pascale a un sens élevé de la démocratie quand il s'agit des autres, par contre quand les mêmes règles ou les mêmes principes doivent s'appliquer à ses propres déclarations ou aux déclarations du gouvernement dont il fait partie, alors là il adopte d'autres règles et d'autres principes. De plus son sens de la démocratie ne va pas jusqu'à vouloir approuver des dispositions qui peuvent prévoir des référendums consultatifs. Le sens de la démocratie, selon vous, c'est de venir ici faire des affirmations que nous partageons et après se conduire d'une façon bien différente, parce que à Courchevel, monsieur l'Assesseur, vous avez fait de la promotion de la candidature olympique d'Aoste 2002!
En temps voulu, on vous adressera un courrier officiel de la part des membres du Comité Olympique International avec leurs remarques et leurs considérations quant à l'action menée à l'Hôtel Résidence Biblos de Courchevel par le président du Comité promoteur de la candidature d'Aoste olympique.
Ce sont des faits réels, ce ne sont pas des affirmations génériques; et c'est à cet effet que nous avons contesté l'utilisation des fonds spécifiques de l'Administration régionale pour des finalités qui ne sont pas prévues.
On peut avoir des avis différents sur certains thèmes, mais la chose doit être explicite, claire; il ne faut pas recourir, comme vous êtes en train de le faire, à des moyens indirects, soit utiliser l'image touristique de la Vallée d'Aoste pour des buts, pour des finalités qui ne correspondent pas aux intentions, soit financer de nouveau le chapitre 66525 avec un prélèvement des fonds de réserve.
A cet égard nous croyons que l'amendement peut dépasser tout ces malentendus et, donc, définir exactement que toutes les initiatives visées par ces actions ne sont pas finalisées ou ne peuvent pas être finalisées à la promotion d'une candidature olympique. Vous l'avez affirmé, mais il devient difficile de vous croire, monsieur l'Assesseur, parce que je ne veux pas relire vos affirmations sur le budget 92: "Capitolo chiuso". Comment "capitolo chiuso"? Comment "chiuso"? Trois délibérations toujours sur le chapitre 66525! Mais là il y a des contradictions entre ce que vous avez affirmé au mois de décembre et ce que vous avez fait au mois de février, au mois de mars et au mois d'avril, parce que vous avez utilisé, et là je regrette mais ce sont des questions qui ne sont pas formelles, le chapitre 66525 qui est à nouveau un chapitre budgétaire 1992 de compétence non pas à "residui". Je peux être d'accord pour ce qui est des retards dans l'envoi des notes, des factures, des paiements, mais de payer des factures "in conto residui" est un compte, inscrire des fonds spécifiques en compétence sur le budget 92 en est un autre.
Je ne comprends pas comment vous pouvez continuer à nier quand on vous a même donné les références des trois délibérations. Donc, là-dessus, il n'y a pas de doutes, nous ne pouvons pas vous croire. Vous vous étonnez et insistez qu'il y a des accusations ou des interprétations qui ne correspondent pas à la vérité.
La façon la meilleure de suivre votre raisonnement est de voter cet amendement, pour qu'il n'y ait ni de notre part, ni de la vôtre aucun doute quant à la portée de ces initiatives.
Dans le cas contraire il sera toujours possible de vérifier les actions menées au cours des différentes initiatives.
Presidente La parola al Consigliere Bich.
Bich (GM) Sembra anche a noi che questo emendamento non sia assolutamente pleonastico, anzi serva a fare chiarezza su una questione che è centrale in questo momento.
E' cominciata la campagna referendaria e tutti dicono "alors".
Giustamente un momento fa l'Assessore dichiarava: "Ma ci sono delle ambiguità, nell'area del Sì."; questo può anche essere vero; poi "ci sono due filoni all'interno del Sì: alcuni non vogliono i giochi olimpici gestiti in un certo modo, altri non vogliono del tutto i giochi olimpici" e questa è una sfumatura che si è capita molto bene.
Però, se ci sono ambiguità nell'area del Sì, ce ne sono anche, accompagnate da silenzi ermetici, all'interno del No.
Non abbiamo ancora capito, per esempio, cosa farà il suo partito, egregio Assessore, in merito a questa vicenda.
Se il silenzio ha senso ed anche il silenzio ha un senso strisciante, soprattutto quando è esemplificato da un Assessore che si esprime con i muscoli facciali.
Allora, caro Assessore, lei ci deve dire cosa pensa di questo movimento referendario: è a favore del Si o del No? Perché questo è il primo atto per togliere ambiguità. Se questo emendamento può servire a portare chiarezza, insomma lo dica a nome del suo partito quanto meno, visto che altri segmenti del suo partito sono muti, parli almeno lei. Dopo di che si prenderà atto, perché in effetti questa legge dà la possibilità di pescare nel torbido, che si intende sovvenzionare, finanziare degli interventi alla fin fine indirizzati in questo senso.
Devo anche prendere atto che finora i suoi interventi sugli organi di informazione, là dove erano necessari e dove veniva tirata fuori questa querelle olimpica, sono sempre stati di fatto favorevoli e "intelligenti", tra virgolette, al conseguimento delle olimpiadi per il 2002.
L'abbiamo visto quando si è parlato del sondaggio, che poi non so che fine abbia fatto, presso gli imprenditori, presso i sindacati, insomma, presso le forze vive, rampanti della società. Lo si è visto in altre circostanze: nelle dichiarazioni, nelle interviste. Insomma, di fatto si è sempre sostenuta questa posizione.
Se si chiarisse bene, una volta per tutte, la situazione e se l'emendamento potesse servire a questo, faremmo un bel lavoro: quanto meno avremo fatto capire a quel cubo lassù, che è il sensore degli umori del Consiglio, cosa si pensa all'interno del Consiglio per quanto riguarda la campagna referendaria, anche perché, mi sembra, che su questo poca gente voglia parlare.
PresidenteLa parola al Consigliere Milanesio.
Milanesio (PSI) Io vorrei rispondere ad una affermazione fatta dal Consigliere Viérin, per dire con molta chiarezza, senza possibilità di equivoco che la mia presenza a Courchevelle, non è stata assolutamente in funzione di alcuna candidatura olimpica né passata né presente né futura.
Mi sono recato colà come Consigliere regionale punto e basta. E non ho avuto se non un incontro occasionale con un membro del C.I.O. al quale non ho sollecitato alcun appoggio per alcuna candidatura, perché non c'è alcuna candidatura della Valle d'Aosta per il 2002. Questo lo dichiaro con assoluta chiarezza e se mi sarà data la prova del contrario, ne sarei ben felice. Se questa non mi sarà data e si continuerà ad insistere sotto questo profilo, io chiederò la nomina di un Giurì, perché qui è ora di smetterla di attribuire affermazioni o comportamenti che non sono assolutamente compatibili con quanto ho fatto recandomi in quel di Courchevelle.
Poi ci sono altri che hanno la "pruderie" di sapere quale sarà la posizione del Partito Socialista nella vicenda olimpica.
C'è già stata una dichiarazione molto chiara, chiarissima direi, fatta alla stampa, dove si è detto che il Partito Socialista non avrebbe dato nessuna indicazione agli elettori valdostani perché li ritiene sufficientemente maturi per potersi esprimere come meglio credono su questa vicenda. Qui si vuole, da quello che ho capito, strumentalizzare a fini politici qualcosa che, se è nelle attese e nella volontà della grande maggioranza dei valdostani può avere un senso, se non lo è, non ne ha alcuno.
E quando il consiglio regionale deliberò la candidatura con 34 voti a favore, sembrava che tutto questo potesse avere un senso.
Il resto è tutta polemica politica. Per quanto ci riguarda, lo dico per l'ultima volta in questo Consiglio, se il referendum darà esito negativo alla candidatura olimpica, questo discorso sarà morto e sepolto. Se dovesse dare una indicazione favorevole di piccola mi-sura, io credo che sarebbe morto e sepolto lo stesso, perché questa è una grande iniziativa che ha bisogno di energie, di volontà, di risorse, di convinzione; pertanto, se passa con una maggioranza esigua, non ha nessun senso, tanto per essere chiari.
Quindi, dico questo per quelli che sono favorevoli e per quelli che sono contrari con buona pace di quelli che fingono di essere favorevoli e, talvolta, di essere contrari.
Presidente La parola al Consigliere Rollandin.
Rollandin (UV) On prend acte, avec satisfaction qu'on est passé "dal guanto al Giurì" et c'est déjà un pas important avec des règles plus nuancées, mais, tout de même, pour ce qui est des positions politiques, je crois que chacun prend ses responsabilités au moment où on doit décider.
Pour ce qui est de la loi je voudrais poser une question et faire une remarque:
La première question concerne l'article 2. Je demande à l'Assesseur le sens de la loi et je me réfère à l'article 2. Si l'Assesseur est gêné par la question, je peux la poser dans un autre moment. Je la posais dans le discours général pour dire que cette loi était présentée comme solution à un certain problème.
"Iniziative da attuare", article 2, qui se rattache à l'article premier, là où on dit "disciplina degli interventi, iniziativa da attuare".
La question est très simple: quelle est l'initiative que l'administration régionale ne peut pas prendre?
Remarques à propos des APT: avec satisfaction j'ai entendu de la part de l'Assesseur certaines considérations sur les APT. La proposition qu'on avait fait d'une APT avec un certain sens et par la suite réglementer l'activité au niveau local. Aujourd'hui nous avons entendu autre chose de la part de l'Assesseur, car ici on dit que les APT ne doivent pas sortir de certaines limites, de certains parages, car, pour ce qui est de la politique de promotion, il y a l'Administration régionale; position qui est, dans certains termes, même correcte, mais alors je crois que tout le débat sur la possibilité de constituer des APT avec un rôle d'un certain niveau est réduit à faire des APT des Pro loco. Il suffisait de le dire. On a alloué certains financements quand il n'y avait l'exigence ni de l'article 4 ni d'autres interventions.
Les collègues ont déjà donné une série de suggestions sur l'ensemble de la loi.
J'estime que, surtout sur ce point, l'Assesseur aussi devra faire une réflexion, car la question de coordonner l'activité de promotion s'impose.
Si une APT, qui est encore à constituer, veut faire une certaine promotion, il est plutôt évident qu'elle doit aller au-delà de la commune, autrement on risque de faire une promotion toujours pour le minimum et pour Noël, c'est-à-dire chaque commune organise sa fête patronale. Pendant l'été les fêtes qui se tiennent toujours dans la même journée ainsi que partout il y en a.
On risque surtout de réduire l'activité des APT à celle qui était des Pro loco: les initiatives de promotion locales. Elles ont un rôle important, mais qui n'est pas celui des APT qui, je crois, ont une fonction importante, mais différente. Voilà la petite remarque que je me permets de faire à propos de ce qui est l'intention de cette loi.
PresidenteLa parola all'Assessore al Turismo, Sport e Beni culturali, Pascale.
Pascale (PSI)Sempre sull'articolo 1 e sull'emendamento che è stato presentato: devo una risposta anch'io al Consigliere Bich. L'avevo già detto in questo Consiglio, ma lo ripeto: personalmente sono favorevole alla ricandidatura olimpica.
Forse sono rimasto l'unico padrino di quei 34 consiglieri che a suo tempo la votarono e, quindi, nei limiti delle mie possibilità, dove sarò chiamato a farlo, la sosterrò. Non ha niente a che fare con la gestione del 1998; quando dicevo al Consigliere Viérin: "il capitolo è chiuso", intendevo dire è chiuso il capitolo relativo alla candidatura '98, ma potrebbe riaprirsi un altro capitolo, relativo alla candidatura 2002; lo vedremmo dopo il 14 giugno.
Io voglio solo dire che, dal momento in cui è stata deciso di indire il referendum, l'Assessorato non ha svolto alcuna promozione per una possibile ricandidatura olimpica.
E mi impegno formalmente, in questo Consiglio, a non farlo fino a quelle che saranno le eventuali decisioni dopo il referendum. Ho già detto, e mi pare che anche altri partiti siano su questa posizione, che se il referendum avrà un certo esito, da parte di questa maggioranza non si riproporranno altre candidature.
Se il referendum avrà un esito diverso, valuteremo con il Comune di Aosta, che formalmente deve porre la candidatura, se riproporla o no. Ecco perché l'emendamento ci sembra, tutto sommato, superfluo.
Per quanto riguarda le APT, ripeto che questa legge tiene conto dell'attuale normativa cioè di quanto stabilito dalla legge n. 9 del 1987 e dal Consiglio regionale nel definire gli ambiti territoriali.
Dopo questa pausa di riflessione, che terrà conto anche delle indicazioni nazionali, io ritengo che, se le APT da costituirsi saranno le otto scelte dal Consiglio regionale, sia opportuno mantenere questa formulazione dell'articolo 4 che prevede un coordinamento e un direzione dell'ente regionale.
Se si dovesse arrivare, invece, ad una diversa formulazione, fatto che io non ho mai escluso se non dal punto di vista pubblico, io ritengo che costituire un APT come ente pubblico a totale carico della Regione voglia dire costituire un altro inutile carrozzone pubblico.
È una mia opinione. Se si potesse, invece, costituire un'azienda di promozione turistica a livello regionale con la presenza maggioritaria degli operatori turistici privati, con il concorso finanziario dei privati, allora sì che si potrebbe parlare di una azienda di promozione turistica.
Io ho intenzione di chiedere agli operatori privati se hanno questa volontà di partecipare, economicamente e finanziariamente, ad una azienda di promozione turistica unica della Valle d'Aosta; voglio vedere se ci sarà questo apporto dei privati, perché, sono d'accordo, questo non è un compito che deve gestire l'ente pubblico.
Ma non vorrei che lo gestissero i privati con i soldi dell'ente pubblico.
Presidente Possiamo votare l'articolo 1. Sull'articolo 1 c'è un emendamento dei consiglieri Viérin, Perrin e Agnesod.
La parola a Viérin per illustrare l'emendamento.
Viérin (UV) Déclaration de vote. Même si on m'a fait l'honneur d'un jury, je ne sais pas quel sera le déroulement de cette affaire. Je verrai par la suite comment me conduire. Nous maintenons toutes nos affirmations et donc la validité et le bienfondé de cet amendement. C'est pour cette raison que nous voterons pour cet amendement.
Presidente Se non vi sono altre dichiarazioni, possiamo passare alla votazione sull'emendemento Viérin all'articolo 1.
Emendamento All'articolo 1 è aggiunta la seguente frase:
"Tali iniziative non possono in alcun modo essere finalizzate alla promozione di eventuali nuove candidature all'organizzazione di giochi olimpici invernali".
Esito della votazione:
Presenti: 33
Votanti: 33
Favorevoli 15
Astenuti: 18 (Aloisi, Bajocco, Beneforti, Chenuil, Chiofalo, Cout, Gremmo, Lanièce, Lavoyer, Limonet, Mafrica, Martin, Milanesio, Monami, Pascale, Ricco, Rusci e Trione).
Il Consiglio non approva.
Presidente Do lettura dell'articolo 1 e lo pongo in votazione:
Articolo 1 (Generalità)
1. Allo scopo di incrementare il movimento turistico verso il territorio valdostano, di favorire l'affermazione di una adeguata immagine turistica della Valle d'Aosta sul mercato nazionale ed internazionale, nonché di stimolare la destagionalizzazione e la diffusione sul territorio dei flussi turistici, la Regione provvede direttamente o per mezzo di operatori turistici, vettori e, più in generale, organizzazioni ed enti pubblici e privati, a realizzare idonee iniziative pubblicitarie e promozionali con le modalità e nei limiti previsti dalla presente legge.
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Astenuti: 16 (Agnesod, Andrione, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat).
Il Consiglio approva.
Presidente La parola all'Assessore al Turismo, Sport e Beni culturali, Pascale.
Pascale (PSI)Devo una risposta al Consigliere Rollandin sull'articolo 2. Quali sono le iniziative che restano fuori dall'articolo 2? Quelle che non sono indicate nello stesso. Lascio all'intelligenza del Consigliere Rollandin vedere quali sono.
Presidente La parola al Consigliere Rollandin.
Rollandin (UV) Tout en reconnaissant les limites de mon intelligence, je demanderai, au contraire, à l'intelligence et à la fantaisie de l'Assesseur de m'indiquer quelles sont les activités qui ne sont pas prévues.
Moi, je crois qu'il suffit de le lire. J'ai essayé de comprendre quelle est l'activité qui n'est pas possible, des voyages interplanétaires peut-être, pour le restant je crois que la question n'était pas si drôle comme quelqu'un pouvait juger. On risque de faire pour les lois régionales ce qui se passe pour les lois de l'Etat, une série d'indications et à la fin quel en est le sens?
Il suffirait de dire que l'Administration régionale peut faire tout ce qu'elle veut pour promouvoir son image, au lieu de dire "effettuazione di campagne sui mercati, sui vettori, tutti gli studi, le indagini, le ricerche, acquisto, edizione, produzione". Tout de même je prends acte de la réponse.
Presidente Vi sono altri interventi? Possiamo passare alla lettura e alla votazione dell'articolo 2.
Articolo 2 (Iniziative da attuare)
1. Le iniziative di cui all'articolo 1 sono approvate con delibere della Giunta regionale, su proposta dell'Assessore regionale al Turismo, Sport e Beni culturali e consistono in:
a) effettuazione di campagne pubblicitarie sui mercati di origine dei flussi turistici, avvalendosi a tale scopo, congiuntamente o in alternativa, della stampa sia quotidiana sia periodica, della radio, della televisione, del cinema e, in generale, di qualsiasi altro idoneo mezzo di comunicazione;
b) partecipazione ed organizzazione di mostre, fiere, esposizioni, manifestazioni, spettacoli e convegni aventi particolari riflessi sull'immagine turistica della Valle d'Aosta, sia in Italia sia all'estero;
c) acquisto, edizione e produzione di materiale pubblicitario grafico e di mezzi audiovisivi;
d) studi, indagini e ricerche volti a raccogliere elementi utili per l'impostazione dell'attività promozionale e per la conoscenza, l'organizzazione e la valorizzazione delle risorse turistiche regionali;
e) ogni altra iniziativa idonea a favorire l'incremento del movimento turistico verso la Regione e la migliore organizzazione e commercializzazione dell'offerta turistica valdostana.
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Astenuti: 16 (Agnesod, Andrione, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat)
Il Consiglio approva.
Presidente Possiamo passare alla votazione dell'articolo 3.
Articolo 3 (Iniziative all'estero)
1. L'attività promozionale turistica all'estero è svolta nel rispetto delle disposizioni di cui all'articolo 2, comma 2, del D.P.R. 22 febbraio 1982, n. 182 concernente "Norme di attuazione dello Statuto speciale della Regione Valle d'Aosta.
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Astenuti: 16 (Agnesod, Andrione, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat).
Il Consiglio approva.
Presidente Chiede la parola il Consigliere Faval.
Faval (UV) Mi permetto di suggerire all'Assessore di accettare la proposta di abolire l'articolo 4, perché, come viene detto qui: "articolo 4, titolo: iniziative attuate da enti subregionali". Se l'impostazione è quella che leggiamo qui, ci troviamo di fronte ad iniziative attuate da enti subnormali, perché non si può da una parte affermare l'esistenza, tra l'altro soltanto sulla carta, di aziende definite come aziende di promozione turistica, quando poi nell'articolo stesso si nega a questi stessi organi la possibilità operativa di fare promozione. Mi pare veramente una contraddizione in termine.
Fin qui limitandosi a leggere, senza contestare l'esistenza di un'APT o diverse e il ruolo che a questi organismi deve essere affidato.
Si tratta per lo meno di avere un minimo di senso logico rispetto alle locuzioni che utilizziamo. Se diciamo "azienda di promozione turistica", mi pare per lo meno scontato che questa promozione non possa avvenire all'interno della Regione.
La promozione non può avvenire che al di fuori dei confini della Regione; questo credo che nessuno lo possa contestare. Io posso capire che l'Assessore abbia, e non glielo contesto, per carità, pur affermando le nostre opinioni, diritto di avere le sue: però allora quest'articolo va formulato per lo meno in modo diverso, perché non possiamo dire "Azienda di Promozione Turistica, ma la promozione al di fuori del confine regionale viene fatta esclusivamente dalla Regione".
E va spiegato che tipo di promozione turistica attua l'Azienda di promozione Turistica. In questo modo non si fa un servizio a nessuno. Se si vogliono anticipare le intenzioni dell'Assessore sul ruolo dell'APT, lo si fa comunque in modo maldestro.
Maldestro perché in questa accezione si comprende che l'APT non può fare assolutamente niente. Come ho detto prima diventa un ente subnormale. Normale sarebbe consentirle di fare ciò che si prevede debba essere l'attività da svolgersi in relazione alla denominazione. Poiché ciò non è, essa è al di sotto della normalità.
Addirittura qui ci troviamo di fronte ad un organismo che non ha neanche l'autonomia di una Pro Loco, che non può neanche respirare senza l'autorizzazione alla Regione.
Onestamente, l'articolo 4 non sta in piedi, quindi io chiedo che venga abolito.
Presidente La parola al Consigliere Perrin. Io non penso che possa essere accettata la proposta del Consigliere Faval a questo punto della discussione, perché sarebbe stato necessario presentare un emendamento con cui si chiedeva di abolire l'articolo in questione; a questo punto, al massimo, si può votare contro, formalmente.
Perrin (UV) J'interviens à faveur de la proposition du collègue Faval. C'est vrai ce que vous dites, monsieur le Président du Conseil, qu'il aurait peut-être fallu présenter un amendement. Mais, n'étant plus possible, on peut quand même voter contre cet article de façon à l'éliminer. Je crois que l'Assesseur et la majorité feraient bien d'accepter cette proposition parce qu'en maintenant cet article, la loi votée par le Conseil pourrait être repoussée par le Président de la Commission de Coordination pour illégalité et illégitimité.
De quelle façon pouvons-nous déclarer qu'un organisme tel que les APT ne peut pas prendre certaines initiatives, par exemple participer ou organiser une exposition en dehors de la Vallée? Cela est inadmissible.
Je crois que c'est inconcevable qu'un Conseil régional puisse vouloir empêcher à un organisme tel que les APT de participer à une exposition, de l'organiser. Serait-ce là la démocratie de cette majorité?
Nous allons empêcher à un organisme que ce Conseil a créé et qui a tout le crismes de la légalité de faire une oeuvre que tout le monde peut faire. Donc je crois que pour que cette loi soit démocratique et pour qu'elle puisse avoir le visa du Président de la Commission de Coordination, on doit abolir cet article. C'est un conseil que nous nous permettons de vous donner, monsieur l'Assesseur, à fin que le restant de la loi puisse aller de l'avant et avoir son visa.
Mais si vous n'acceptez pas, vous vous mettez du côté de ceux qui ne sont pas de bons démocrates.
Presidente Possiamo passare alla votazione dell'articolo n. 4
Articolo 4 (Iniziative attuate da enti subregionali)
1. Le iniziative di cui ai punti a) e b) dell'articolo 2, quando siano svolte al di fuori della Valle d'Aosta, sono di esclusiva competenza regionale; su richiesta della Regione, le Aziende di promozione turistica (A.P.T.) possono tuttavia collaborare alla realizzazione delle iniziative stesse, anche mediante l'impiego di proprio personale.
2) Le A.P.T. possono inoltre richiedere preventivamente all'Assessorato regionale del Turismo, Sport e Beni culturali l'autorizzazione a realizzare direttamente talune iniziative promozionali straordinarie, in deroga a quanto disposto al comma 1, ove ricorrano particolari e comprovate esigenze di promozione dell'offerta turistica locale sui mercati di origine del flusso turistico.
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Contrari: 13
Astenuti: 3 (Bich, Lanivi, Maquignaz).
Il Consiglio approva.
Presidente Possiamo passare alla votazione dell'articolo 5.
Articolo 5 (Disposizioni finanziarie)
1. Alla copertura degli oneri derivanti dall'applicazione della presente legge, previsti in complessive lire 13.100 milioni, si provvede, per il 1992, mediante utilizzo di fondi iscritti ai capitoli 64100 (" Spese per pubblicità ed azioni promozionali turistiche"), 64120 ("Spese per l'organizzazione di manifestazioni ed iniziative atte a migliorare l'offerta turistica"), 64140 ("Spese per manifestazioni culturali d'interesse turistico") e 64180 ("Spese per manifestazioni culturali di interesse turistico - Servizio rilevante ai fini I.V.A.") del bilancio di previsione della Regione per l'anno finanziario 1992.
2. A decorrere dal 1993 gli stessi oneri saranno determinati con legge di bilancio ai sensi dell'articolo 15 della legge regionale 27 dicembre 1989, n. 90: "Norme in materia di bilancio e di contabilità generale della Regione Autonoma Valle d'Aosta".
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Astenuti: 16 (Agnesod, Andrione, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat)
Il Consiglio approva.
Presidente Do lettura dell'articolo 6:
Articolo 6 (Dichiarazione d'urgenza)
1. La presente legge è dichiarata urgente ai sensi dell'articolo 31, comma 3 dello Statuto speciale ed entrerà in vigore il giorno successivo a quello della sua pubblicazione nel Bollettino Ufficiale della Regione.
Presidente Pongo in votazione l'articolo 6:
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Contrari: 1
Astenuti: 15 (Agnesod, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat).
Il Consiglio approva.
Presidente Si passa ora, alla votazione sul complesso della legge.
Esito della votazione:
Presenti: 34
Votanti: 34
Favorevoli: 18
Astenuti: 16 (Agnesod, Andrione, Bich, Faval, Lanivi, Louvin, Maquignaz, Marcoz, Mostacchi, Perrin, Riccarand, Rollandin, Stévenin, Vallet, Viérin e Voyat).
Il Consiglio approva.