Info Conseil

Communiqué n° 121 de 21 février 2018

Interpellanza sul soccorso alpino valdostano

Seduta consiliare del 20 febbraio 2018

Il gruppo ALPE, con un'interpellanza discussa in chiusura della seduta consiliare di ieri, martedì 20 febbraio 2018, ha affrontato la tematica del Soccorso alpino valdostano.

In particolare, il Capogruppo ha posto l'accento sui tagli effettuati e sulle ricadute che l'assenza di investimenti sta creando in un servizio fondamentale, che ha sempre rappresentato un orgoglio per la Valle d'Aosta. Albert Chatrian ha chiesto quali siano gli intendimenti in merito della Giunta regionale, rappresentando diverse problematiche, tra cui la sospensione dalla mansione di operatore del Soccorso alpino all'interno della Centrale unica di soccorso, i rimborsi degli eventuali danni, peraltro prevedibili viste le difficili condizioni in cui si opera, e il pagamento del ticket per le visite mediche di idoneità a carico dei volontari stessi.

Le Président de la Région a répondu que le Secours alpin valdôtain, dans le cadre du système régional de protection civile, joue un rôle stratégique de toute première importance: en effet, depuis novembre 2017, il est intégré en tant que membre effectif dans le Comité régional de la protection civile visé à la loi régionale n° 5/2001. Par ailleurs, malgré la diminution des ressources financières de ces dernières années et la réduction globale de la dépense publique, l’Administration régionale a toujours accordé une attention particulière au service public de secours en montagne, lequel n’a pas subi de coupes significatives.

Le Président Laurent Viérin a précisé que le contrat de service public approuvé en 2017 n'a pas prévu de coupures de budget: en effet, il prévoit une présence journalière de l’opérateur de la centrale du Secours alpin valdôtain, et ce, pour tous les jours de l’année, de 7h à 19h. Par ailleurs, pour la période du 9 février au 14 octobre, la présence de l’opérateur de centrale du Secours alpin valdôtain est prévue également pendant le poste de nuit, de 19h à 7h.

Quant aux dommage de l'équipement, le Président a expliqué que les opérateurs sont dotés des équipements personnels et collectifs nécessaires appartenant au Secours alpin ou bien mis à leur disposition par la Protection civile. Ces équipements sont attribués au personnel à titre gratuit et exclusivement pour les finalités du service de secours en montagne. Il s’agit de matériel qui est soumis non seulement à l’usure mais aussi à un risque élevé d’endommagement pendant le service: il en découle que, indépendamment du coût et du type d’équipement attribué, ce dernier, en cas d’endommagement avéré lors d’une intervention de secours, est remplacé sans qu’aucune charge soit imputée à l’opérateur.

Laurent Viérin a communiqué que le nombre actuel des opérateurs du secours en montagne, soit 114 personnes, est approprié pour répondre aux besoins internes, ainsi que pour assurer le service public de manière efficace et avec les ressources nécessaires. Le Secours alpin valdôtain ne compte donc pas de volontaire de type "général", comme cela peut être le cas dans d’autres organisations à caractère associatif. Ses membres sont tous des professionnels, qui pratiquent le secours en montagne en raison de leurs capacités techniques et professionnelles, ainsi que de leur disponibilité, et ce, dans un cadre de prestation de travail indépendant. Considérant les responsabilités du ressort du Secours alpin valdôtain, ses opérateurs sont donc tenus de se soumettre, à leurs frais, à des visites et à des examens médicaux, tout comme ils sont tenus de participer à des exercices périodiques et à des entraînements comportant une évaluation, sous peine d’exclusion automatique du service en cas d’absence ou bien de résultat négatif.

Pour le Président de la Région, le Secours alpin valdôtain a toujours œuvré, ces dernières années, pour adapter ses compétences et ses capacités aux changements qui sont intervenus par rapport à la montagne, avec de nouvelles modalités de fréquentation qui se sont ajoutées à l’alpinisme et au ski. Le Secours alpin valdôtain, a-t-il assuré, continuera donc de tout faire pour garantir la reconnaissance des rôles de ses agents et, en même temps, pour valoriser leurs capacités techniques et opérationnelles grâce aux formations et aux entraînements nécessaires. Une réflexion s'avère nécessaire - a conclu le Président Viérin - pour évaluer les criticités qui se manifestent au fur et à mesure.

Il Capogruppo di ALPE ha obiettato che i professionisti hanno segnalato che vi è stata una riduzione del personale, da due anni orsono. Per il Consigliere Albert Chatrian, le criticità all'interno del SAV devono essere risolte, avendo ben presente che le operazioni di soccorso avvengono spesso su terreno estremamente difficile e sono possibili solo grazie alla preparazione dei professionisti. Il SAV per la Valle d'Aosta non è solo un orgoglio, ha precisato Chatrian, ma deve essere messo nelle condizioni di lavorare sempre ai massimi livelli. Ha poi rilevato come la riduzione di personale volontario abbia ridotto la presenza capillare sul territorio e come ci sia un dato di fatto che genera criticità: il rapporto tra la parte dirigenziale amministrativa e i professionisti del SAV. Per il Capogruppo, infatti, i professionisti gradirebbero avere un rapporto più franco e trasparente con il Soccorso Alpino nel rispetto dei tecnici e delle persone. Occorre innanzitutto, ha concluso, ottimizzare l'organizzazione, rivedendo la convenzione con le guide alpine.

I lavori proseguono nella giornata di oggi con la trattazione delle mozioni.

SC