Resoconto integrale del dibattito dell'aula

Oggetto del Consiglio n. 1506 del 26 settembre 1985 - Resoconto

OGGETTO N. 1506/VIII - SUBCONCESSIONE, IN VIA DI SANATORIA, ALLA DELTASIDER S.p.A., PER IL PERIODO 11.7.1978/31.12. 1985 E SUCCESSIVA SUBCONCESSIONE ALL'ENTE NAZIONALE PER L'ENERGIA ELETTRICA - E.N.E.L. DI DERIVARE LE ACQUE DELLA DORA DI RHEMES PER PRODUZIONE DI ENERGIA ELETTRICA NELLA CENTRALE DI CHAMPAGNE I°.

PRESIDENTE: Do lettura del testo della delibera:

IL CONSIGLIO

- richiamati il T.U. 11.12.1933, n. 1775, il D.P. R. 18.3.1965, n. 342 e la legge 5.7.1975, n. 304;

Delibera

1°) di subconcedere, in via di sanatoria, alla DELTASIDER S.p.A. con sede legale in Piombino (LI) e Direzione Generale in Milano, via Melchiorre Gioia, n. 8, come da istanza in data 26/7/1985 di derivare dalla Dora di Rhêmes, in località Cavegroud del Comune di Rhêmes-Saint-Georges massimi moduli 60 e medi 30 atti a produrre, con due salti successivi di mt. 11,06 e mt. 464,64 la complessiva potenza nominale media di KW. 13.991,17 nella centrale di Champagne I°.

La subconcessione di cui sopra viene rilasciata alla DELTASIDER S.p.A. per il periodo 11 luglio 1978 - 31 dicembre 1985 ai fini della regolarizzazione dell'utilizzazione, per produzione di energia elettrica nella citata centrale di Champagne I° in quanto l'acqua pubblica è già stata completamente e irreversibilmente utilizzata da parte del vecchio concessionario ed ha formato oggetto di accordo fra l'E.N.E.L. e la DELTASIDER stessa.

2°) di subconcedere con decorrenza dal 1° gennaio 1986 all'Ente Nazionale per l'Energia Elettrica - E.N.E.L. con sede in Roma - Via G.B. Martini n. 3, come da istanza in data 16.1.1976 e 26.7. 1985 di derivare dalla Dora di Rhêmes, in località Cavegroud del Comune di Rhêmes-Saint-Georges massimi moduli 60 e medi 30 atti a produrre su due salti successivi di mt. 11,06 e mt. 464,64 la complessiva potenza nominale di KW 13.991,17 nella centrale di Champagne I°, sotto l'osservanza delle norme contenute nel sottoriportato schema di disciplinare.

3°) di autorizzare l'emanazione del decreto di subconcessione da parte del Presidente della Giunta regionale a favore della DELTASIDER per quanto si riferisce alla subconcessione in via di sanatoria - per il periodo 11.7.1978 31.12.1985 - e a favore dell'E.N.E.L. per quanto si riferisce alla subconcessione definitiva con decorrenza dal 1° gennaio 1986 previa sottoscrizione del sottoriportato disciplinare da parte del legale rappresentante dell'E.N.E.L. stesso.

4°) di stabilire come specificato dall'art. 8 del disciplinare di subconcessione in lire 146.851.320 (centoquarantaseimilioni ottocentocinquantunmila tre-centoventi) il canone annuo da versare, a decorrere dall'1.1.1986, da parte dell'E.N.E.L. in ragione di lire 10.496 per KW alla Regione, anno per anno anticipatamente; somma da introitare agli istituendi capitoli della parte "Entrata" del Bilancio preventivo della Regione per l'anno finanziario 1986 e successivi (Provento delle concessioni e sub-concessioni d'acque pubbliche e miniere).

5°) di incaricare l'Assessorato regionale delle Finanze:

a) di richiedere alla Stato il versamento della somma di lire 60.268.660 corrispondente all'ulteriore decimo, spettante ancora alla Regione Valle d'Aosta sulla somma di lire 602.686.580 versata allo Stato dalla Società Nazionale Cogne ora DELTASIDER S.p.A. per canoni demaniali, nel periodo 11 luglio 1978 - 10 luglio 1985 relativi alla derivazione idroelettrica di cui si tratta.

b) di accertare il pagamento alla Regione Autonoma Valle d'Aosta da parte della DELTASIDER S.p.A. del canone demaniale, pari a lire 10.496 per KW per il periodo dall'11.7.1985 al 31.12.1985 corrispondente a £ 70.005.835 (settantamilioni cinquemilaottocento trentacinque); somma da introitare al cap. 08800 della parte "Entrata" del Bilancio preventivo della Regione per il corrente anno finanziario (Provento delle concessioni e subconcessione d'acque pubbliche e miniere).

6°) di introitare l'introito del versamento da parte dell'E.N.E.L. presso la Tesoreria regionale della somma di £ 850.000 (ottocentocinquantamila) a disposizione dell'Ufficio Acque e Miniere per spese d'atti, sorveglianza, esperimenti di portata, collaudo lavori ecc. da introitare al cap. 13500 della parte "Entrata" del bilancio preventivo della Regione per il corrente anno finanziario (Gestione di fondi per conto di terzi per istruttorie domande e pratiche varie). Segue disciplinare di subconcessione.

(...Omissis...)

PRESIDENTE: Comunico solo, prima di dare la parola al Presidente della Giunta, che è già stata data a tutti i Capigruppo una lettera da parte delle organizzazioni sindacali per un certo tipo di rapporto con la Regione.

Ha chiesto di parlare il Vice-Presidente Dolchi, ne ha facoltà.

DOLCHI (P.C.I.): Solo per chiedere una cortesia al Presidente della Giunta. Con i colleghi Torrione, Mafrica e Bajocco siamo impegnati per una mezz'oretta per il funerale del padre dell'ex Sindaco di Aosta Bongiovanni. Saremmo grati, se fosse possibile, nel caso non fossimo ancora presenti - parlo anche a nome del Consigliere Torrione - di far slittare il problema della scritta sul frontone, alla cui discussione vorremmo essere presenti.

Ringraziamo il Presidente della Giunta ed il Presidente del Consiglio se vorranno accettare questa nostra richiesta. Grazie.

PRESIDENTE: Ha chiesto di parlare il Presidente della Giunta, ne ha facoltà.

ROLLANDIN (U.V.): Je crois qu'on a déjà eu l'occasion plusieurs fois de parler des problèmes de l'énergie en Vallée d'Aoste, en effet le problème a été examiné soit du point de vue technique que du point de vue politique. Du point de vue technique, vu la complexité des thèmes, on avait décidé qu'il était nécessaire s'appuyer, selon les exigences, sur l'expérience d'experts des différents secteurs. Du point de vue politique, on avait choisi à niveau de Conseil de prévoir une participation directe de l'Administration régionale avec des représentants de l'E.N.E.L. pour examiner les problèmes que nous connais sons, parmi lesquels celui du transport de l'énergie, de la possibilité de démarrer avec l'exportation de petites centrales à niveau régional et tant d'autres.

Tous ces problèmes ne sont que les divers aspects de la question de la Centrale, dont on va parler aujourd'hui, qui doit être passée à l'E.N.E.L. selon les accords qui avaient déjà été faits et qui avaient rencontré des difficultés lorsqu'on avait examiné la proposition d'accord entre l'E.N.E.L. et DELTASIDER.

Comme tout le monde sait, suite au décret n. 84 de 1981, on devait rendre les centrales, qui à présent étaient exploitées par la DELTASIDER, à l'E.N.E.L.. En ce moment on avait observé de la part des forces politiques, qu'il y avait quand même le danger que l'énergie, qui jusqu'à présent était utilisée de la part de la DELTASIDER, pouvait être utilisée aussi par d'autres établissements qui n'étaient pas en Vallée d'Aoste, et par conséquent on pouvait manquer le but qu'on s'était proposé d'atteindre à l'intérieur de la DELTASIDER, de dépasser ou quand même de maintenir un certain niveau d'occupation. Donc il y avait le danger que la situation à l'intérieur de l'établissement de la DELTASIDER pouvait empirer: situation qui, comme nous savons, est déjà difficile à présent.

Par conséquent, au moment où on avait discuté de ce problème, on avait demandé à l'E.N.E.L. de modifier l'accord qu'elle avait déjà proposé à la DELTASIDER, en demandant que soit inséré un alinéa là où on prévoyait explicitement que l'énergie produite, dont la DELTASIDER pouvait jouir, devait être utilisée uniquement en Vallée d'Aoste et non dans les établissements qui étaient quand même de la DELTASIDER, mais qui pouvaient être déplacés en Piémont ou ailleurs.

Tout de suite il y avait eu certaines difficultés et à la fin du mois de juin les deux parties ont accepté d'introduire ce comma à l'intérieur de l'accord qui a été distribué et que nous connaissons officiellement et c'est l'accord qui a été envoyé au Ministère de l'Industrie.

Voilà un des points qui qualifie cet accord entre l'E.N.E.L. et la DELTASIDER. Toujours dans cet accord il y a des points qui sont à mettre en rapport avec le discours économique, qui ne concernent pas directement notre Administration, mais plutôt les relations entre DELTASIDER et E.N.E.L.; il s'agit là de l'évaluation des biens à transférer de la DELTASIDER à l' E.N.E.L..

Au mois de juin on a discuté aussi du problème du personnel, c'est-à-dire le personnel dépendant actuellement de la DELTASIDER, qui passera sous la dépendance de l'E.N.E.L. selon les directives de la loi 529. A ce sujet aussi ont été organisées plusieurs rencontres entre les deux parties, et il a été finalement convenu que les 87 personnes qui à présent travaillent à la DELTASIDER et qui devaient être transférées à l'E.N.E.L., aient les reconnaissances qui sont prévues, et donc, là au point de vue syndicale il n'y a pas de problèmes.

Un troisième point assez important concerne la nécessité de prévoir, dans l'avenir, la constitution d'un consortium entre les trois parties concernées, c'est-à-dire la Région, l'E.N.E.L. et la DELTASIDER. A ce sujet, qui est l'objet du communiqué que je viens de lire, prédisposé de la part des forces syndicales suite à la rencontre à laquelle j'ai participé mardi, il y a déjà la disponibilité, soit de la part de l'Administration régionale que de la DELTASIDER, à prévoir une participation future à un consortium à trois, là où on puisse prévoir la participation de l'Administration régionale en partie de l'E.N.E.L., et en même temps il devrait y être la participation de la DELTASIDER. Là les points sont encore assez délicats et complexes car, même si à présent il y avait la possibilité de faire ce consortium, le problème ne serait pas résolu. Ce consortium aurait pour but celui de maintenir pour longtemps l'énergie à un prix inférieur par rapport au prix courant. Comme vous savez, l'accord qui a été signé entre E.N.E.L. et DELTASIDER prévoit que pendant six années le prix de l'énergie sera selon le prix des coûts et donc sera beaucoup inférieur au prix actuel.

Mais la participation de la DELTASIDER à un hypothétique consortium, comme je disais avant, comporterait que cette dernière peut jouir de l'énergie uniquement selon les quotes-parts de participation à ce consortium, et à ce propos je veux rappeler la requête qui avait été faite déjà au moment de la discussion des centrales Cravetto pour l'I.L.S.S.A.. En effet, les Conseillers peuvent rappeler qu'à un moment donné on avait discuté de la possibilité d'acheter les centrales Cravetto pour donner l'énergie à l'I.L.S.S.A. Viola et donc pour prévoir qu'il y ait une possibilité économique qui puisse garantir un certain taux d'occupation à l'intérieur de l'I.S.S.A. Viola. A ce temps là était Assesseur le Conseiller Pollicini, qui s'était occupé de ce problème, et on avait eu une lettre officielle des bureaux légaux de l'E.N.E.L., là où on disait clairement que c'était impossible qu'il y ait la participation de la Région à ce consortium et que l'énergie soit distribué à l'I.L.S.S.A. Viola. Cela parce que, d'après la législation actuelle, c'est uniquement possible d'utiliser l'énergie selon les quotes-parts de participation au consortium. Voilà un des problèmes qui se posera quand même au moment où on pourra réaliser ce consortium à trois.

Un autre problème à souligner est celui du transport de l'énergie, dont on a déjà discuté dans ce Conseil.

A présent ce n'est pas envisageable qu'une deuxième organisation, voire la Région ou la Commune, ou bien un consortium, puisse jouir de la possibilité que l'énergie soit transférée directement par l'E.N.E.L., selon les exigences distribuées sur un certain territoire.

Voilà les deux points qui, même si on n'arrivera pas à faire un consortium, resteraient quand même à décider.

Tout de même, cette proposition c'est dans les buts de l'Administration régionale et en effet, au moment de l'accord avec les forces syndicales, on a discuté des problèmes de l'énergie dans leur ensemble - l'Assesseur Lanivi présent - et on a dit clairement que la Région est d'accord de participer à un consortium dans le futur, si l'E.N.E.L. notamment sera disponible à cela.

Pour revenir aux subconcessions, là c'est un acte dû plutôt qu'une possibilité de gestion de la part de l'Administration régionale. En effet, lorsqu'il y a l'accord entre les parts, la loi prévoit qu'il y ait ce passage qui est à sanatoire, car il devait être fait dans l'année 1977 et suivantes. Au contraire on arrive en 1985 à faire cet accord pour le problème que j'ai rappelé et que je souligne encore une fois (je reprends les points de l'accord): dans la convention entre l'E.N.E.L. et la DELTASIDER on dit clairement: "La Regione Valle d'Aosta ha richiesto che l'energia prodotta dalla centrale elettrica oggetto del presente accordo venga utilizzata nel territorio della Regione Autonoma Valle d'Aosta".

Il y a aussi l'accord pour ce qui est du problème du personnel, ainsi que l'accord qui prévoit le payement de 16 milliards de la part de l'E.N.E.L. à la DELTASIDER pour les biens qui devraient être passés de la DELTASIDER à l'E.N.E.L., et il y a la possibilité de jouir de l'énergie pour 15 années à un prix inférieur par rapport à l'actuel pour l'établissement de la DELTASIDER. Je lis textuellement: "Durata della fornitura: Le forniture agevolate di energia rapportate alla produzione delle centrali di Champagne I°, Chavonne, Aymavilles-Grand-Eyvia hanno luogo per un periodo di 15 anni consecutivi, con decorrenza dal ° gennaio 1986 e scadenza 31 dicembre 2000".

Je crois que les problèmes dont je vient de parler, c'étaient les plus importants qu'on devait discuter ici au Conseil. Par conséquent il y a la possibilité à présent de soumettre à l'attention du Conseil les points 30-31 et 32, concernant les subconcessions des Centrales de Champagne I°, Chavonne, Aymavilles-Grand-Eyvia; il y a aussi des rapports économiques qui sont réglés et qui sont très clairement expliqués dans les délibérations.

Donc je crois que le Conseil pourra approuver ces points, compte tenu du fait qu'on pourra présenter un ordre du jour qui invite l'Administration régionale à s'engager vis-à-vis de l'E.N.E.L., pour avoir un avis favorable à la participation à un consortium futur entre Région, E.N.E.L. et DELTASIDER, ce qu'au fond les organisations syndicales souhaitent.

PRESIDENTE: Ha chiesto di parlare il Consigliere Millet, ne ha facoltà.

MILLET (P.C.I.): Su questo problema avevamo preso posizione nel passato, chiedendo che nelle varie bozze dell'accordo E.N.E.L.-DELTASIDER si precisasse che il consumo dell'energia prodotta nella nostra Regione doveva essere effettuato in valle d'Aosta. Il fatto che l'accordo abbia recepito questo punto è positivo, perchè il problema della energia è uno dei principali, soprattutto per il settore industriale.

Non entro nel merito dell'aspetto tecnico di questo accordo, che è piuttosto complicato; sta di fatto però che fino al dicembre 1991 le quantità di energia restano quelle fissate oggi, mentre da allora in poi andranno decrescendo. Questo vorrà dire che nel 2000 la DELTASIDER - o futura denominazione che avrà questo stabilimento, perchè i tempi di trasformazione sono molto rapidi - arriverà a pagare gli stessi prezzi di mercato. D'altra parte ho letto una volta su un giornale che le forniture di energia alle varie fasce, da quelle sociali a quelle artigianali, erano tutte in utile per l'E.N.E.L., eccetto quella della grande industria. Perciò sarebbe forse da capire se gli attuali prezzi per la DELTASIDER vengono raffrontati, sul piano del mercato, a quelli che vengono praticati alla grande industria, oppure alle altre fasce, perchè evidentemente la FIAT l'energia elettrica la paga meno. Quindi ci sarebbe da chiarire cosa vogliono dire quelle 18 lire al KW di oggi, se sono cioè raffrontate a quello che l'E.N.E.L. pratica oggi alle grandi industrie o pratica al commercio libero.

Siamo d'accordo a votare un ordine del giorno - speriamo che si possa formularlo insieme, dato che non so se il Presidente lo ha già preparato - perchè ritengo che sia importante riuscire ad arrivare con l'E.N.E.L. alla costituzione di un consorzio, pur con tutte le difficoltà che il Presidente ha evidenziato, che tuttavia con uno studio, con una iniziativa politica a livello regionale o a livello di governo centrale, dovrebbe essere possibile superare.

Riteniamo che sia importante approvare un ordine del giorno in tal senso, perchè bisogna utilizzare questi sei anni fino al 1992, e poi i restanti, per arrivare comunque ad un qualcosa che possa dare all'industria valdostana un costo energetico più favorevole. Infatti al di là dei vari finanziamenti che vengono dati alle diverse iniziative industriali, l'energia ha un ruolo importante.

Pensiamo che si sia fatto un passo avanti e che si debba affrontare questo problema del consorzio, delle quote, del trasporto. Penso che quest'ultimo aspetto non si possa in questo momento che affrontare con l'E.N.E.L., altrimenti si metterebbe in piedi una iniziativa grossa e da discutere poi nei dettagli: cosa vuol dire fare una seconda linea, che a me pare anche antieconomica. Ritengo che questo sia un problema da affrontare con l'E.N.E.L., se cioè in futuro potrà essere utile che, per tutta l'energia consumata in valle d'Aosta, sia costruita una linea gestita direttamente dalla Regione, mentre l'E.N.E.L. gestirebbe soltanto le grandi linee. Questo, come ripeto, è un problema che dovrà essere esaminato nei dettagli per valutare cosa comporterebbe dal punto di vista finanziario, perchè sappiamo come le linee che erano gestite dai consorzi dei Comuni, siano poi dovute passare all'E.N.E.L. per i costi di gestione non indifferenti.

Per questo daremo il voto favorevole con l'unica condizione, dal momento che il Presidente si è già dichiarato d'accordo, di votare questo ordine del giorno che ponga a questione del consorzio ed i problemi ad esso inerenti.

PRESIDENTE: Ha chiesto di parlare il Presidente della Giunta, ne ha facoltà.

ROLLANDIN (U.v.): Je veux seulement donner des réponses aux observations de M. Millet. En effet, pour ce qui est du prix de l'énergie, on doit se référer à la loi 529, qui à présent est encore en vigueur, et donc les 18 lires par KW sont liées à cet accord.

Pour le transport de l'énergie, nous sommes pour maintenir et utiliser les lignes que l'E.N.E.L. a déjà et non pas pour en faire d'autres.

Vu qu'il y a l'accord du Conseil sur l'ordre du jour, je ferais quand même la proposition de le voter vers la fin de la matinée, pour avoir le temps nécessaire de le prédisposer.

PRESIDENTE: Qualche altro Consigliere intende prendere la parola per dichiarazione di voto?

Prima di porre in votazione l'oggetto n. 30, chiedo solo una modificazione tecnica nelle premesse: là dove si dice che "Con decreto ministeriale n. 5526 in data 15 luglio 1933 la Società Anonima Nazionale Aosta", penso che si tratti della Società Anonima Nazionale Cogne e non Aosta, chiedo quindi di sostituire Aosta con Cogne, così come nel paragrafo successivo.

Con queste modifiche tecniche pongo in votazione l'oggetto n. 30 all'ordine del giorno.

ESITO DELLA VOTAZIONE

Presenti, votanti e favorevoli: 25

Il Consiglio approva all'unanimità