Le Parlement jeunesse du Québec

Le Parlement Jeunesse du Québec est une simulation non partisane qui se réunit depuis 1949 à l'Assemblée nationale de Québec. L'idée d'y participer est née à l'occasion de la première édition du Conseil des Jeunes Valdôtains, qui s'est tenue à Aoste au mois de juin 2017 et qui a permis de prendre contact avec le réseau des jeunes québécois invités dans notre région, et s'est concrétisée grâce au soutien du Conseil de la Vallée.

En 2019, Marlène Jorrioz et Mattia Lavevaz sont les représentants de la Vallée d'Aoste à la 70e édition du Parlement Jeunesse du Québec, du 26 au 30 décembre à l'Assemblée nationale québécoise.  Marlène Jorrioz, 19 ans de Charvensod, et Mattia Lavevaz, 22 ans et résidant à Verrayes, sont étudiants en langues et communication pour les entreprises et le tourisme à l'Université de la Vallée d'Aoste. Les travaux de cette édition portent sur l'écofiscalité, la citoyenneté, les habitudes numériques, la réforme du système pénal et carcéral: autant de thèmes qui font l'objet de quatre projets de loi et occupent le débat et le vote des jeunes parlementaires.

En 2018, ce sont Nicolò Alessi et Luca Distasi qui participent à la 69e session de la simulation convoquée du 26 au 30 décembre.  Nicolò Alessi, 26 ans et résidant à Introd, est avocat stagiaire après avoir obtenu son diplôme en droit à l'Université de Turin. Luca Distasi, 25 ans, résidant à Châtillon, est étudiant en ingénierie civile à l'Ecole polytechnique de Turin. Les thèmes abordés dans la réunion du Parlement Jeunesse portent sur la procréation assistée, le transport durable, la justice algorithmique, le statut de l'artiste.

En 2017, la première participation valdôtaine est celle de Eloïse Villaz et Federico Borre, du 26 au 30 décembre. Eloïse Villaz, 21 ans, résidante à Morgex, est étudiante en troisième année de sciences politiques et droit à l'Institut d'études politiques de Paris au campus de Nancy. Federico Borre, 19 ans, résidant à Sarre, est étudiant en première année des relations internationales à l'Université de Genève.  Les deux étudiants participent au débat sur l’abolition de la socialisation des genres et l’autosuffisance alimentaire.